Non allez plz
Non c'est comme si y'avait Cortex dans Walking Dead enfin voilà.
Bon allez je l'appele Nikola Çarcosy, c'est un Néerlandais
Sérieusement, pas de troll OLi.
T'es pas obligé de faire un badass mais pas de Sarkozy ou de Hollande lanceur de PS3 stp. :hap;
C'est pour quand la sweet?
Je veux la sweet
Ou bien mets toi en position fœtale je te prie
Bon, j'ai travaillé toute la journée j'ai même pas pu toucher à l'ordi et quand j'ai voulu faire la sweet, orage ! Là l'ordi est squatté mais je vais essayer de faire la sweet.
CHAPITRE 5 Partie 1
Les combats avaient été éprouvants et ils se pressèrent de rentrer. Ils récupérèrent de nombreuses munitions, des armes et des provisions. L’asile regorgeait de ces choses rares et précieuses. Le groupe avait perdu James et Ashley, mais ils avaient accueilli Alec Alcatraz, Flore Dubois et Bruce Lys. Les deux premiers avaient été capturés tout comme le jeune Andrew et avaient subi de violentes tortures. Alec était un homme de taille moyenne, nerveux mais agréable avec ses compagnons. Son amie, Flore, se montrait quant à elle assez discrète. C’était une jeune femme blonde de bonne taille qui n’avait pas froid aux yeux. Et enfin Bruce, le jeune anarchiste. Il était petit et fragile mais se servait avec brio des armes qu’on lui mettait à disposition.
Johnny parut soudain très heureux.
« Jackpot ! Hurla-t-il. R’gardez ce que j’ai trouvé, les gars. Je sens qu’on va s’faire plaisir avec ! »
Il exhiba une magnifique mitrailleuse qui semblait neuve et très efficace. L’ancien soldat la replia, la sangla et la mit sur son dos, ce qui lui renforçait son air de Rambo névrosé. Il partit dans un petit rire sonore, ravi de sa trouvaille tandis que les autres chargeaient leurs sacs de provisions, munitions et armes.
« Tu vas bien, Andrew ? » Demanda Rorschach.
« Sûr que je vais bien. Ils m’ont défoncé la gueule, ces enfoirés. »
« T’as besoin de quelque chose, genre des médicaments ou un truc comme ça ? »
« Nan, ça ira. Répondit le jeune homme. Merci. »
Le groupe se remit alors en marche avec les nouveaux arrivants. Léon paraissait très méfiant et son air violent ne faisait que croître. Il se dirigea vers Rorschach et lui souffla à l’oreille :
« Pourquoi t’accueilles ces trois paumés ? »
Il désigna Flore, Alec et Bruce qui marchaient un peu à l’écart.
« Ces trois paumés, comme tu dis, ils nous ont rien fait, c’est des humains comme nous. »
« Les anarchistes aussi étaient des humains ! Tu les as tués. »
« T’aurais peut-être voulu le contraire ? C’est qui qui s’foutait de ma gueule avec mes discours pacifistes et conciliants ? »
« Rorschach, Bruce était un anarchiste, et ces deux, on les connaît même pas. T’auras des morts de plus sur la conscience. »
« Bruce était des anarchistes contre son gré. Tu l’as vu ? Il est petit, faible. Il f’rait pas de mal à une mouche. Alec et Flore, m’ont l’air bien plus sympathique. Je veillerai à c’qu’ils fassent pas de conneries."
Léon parut outré et il jeta un regard noir à l’homme masqué, une sorte de défi. Il s’en alla sans même dire un mot.
Lorsqu’ils atteignirent le 4x4 et la camionnette, Johnny alla avec soin déposer sa mitrailleuse avant de s’attaquer à la réparation du véhicule qui s’avérait déjà bien avancée.
« Manque plus que deux ou trois trucs et c’est bon. » Leur assura Johnny.
Tandis que l’ancien soldat s’attelait à cette tache, les autres mangeaient et se reposaient. Adam et Rorschach firent la garde tandis que Léon restait à l’écart du groupe. Il jetait parfois des regards noirs à Rorschach qui faisait mine de ne pas le remarquer. Ce dernier se dirigea vers Alec et Flore qui paraissaient déjà bien intégrés au groupe.
« Vous avez besoin de rien ? »
En effet, les deux compagnons de cellule ne mangeaient rien.
« Non, merci. Répondit Alec. Nous vous sommes grandement reconnaissants de nous avoir accueillis dans votre groupe. »
« C’est normal. Comment vous vous êtes fait capturer par les anarchistes ? »
« Ces ordures nous ont kidnappés pendant qu’on voulait fuir. Tout le monde prenait la voiture, les routes étaient bondées. On avait continué à pied et on avait eu le malheur de prendre le chemin de la forêt. Ils avaient l’air drôlement content d’avoir de la compagnie dans leur campement isolé. Ils nous ont torturés, c’était atroce. »
« Bon. On va bientôt partir de ce maudit endroit. On a perdu deux personnes, hier soir. A cause de vos geôliers »
Adam leur expliqua ce qui s’était passé la veille tandis que Rorschach vérifiait que tout allait pour le mieux. Léon le foudroyait toujours du regard. Johnny lui fit signe que la camionnette était réparée. Sur ce, ils se répartirent avant de s’en aller. Rorschach, Adam, Alec, Flore et Johnny occupaient le 4x4 tandis que le reste du groupe prenait la camionnette. Léon avait pris soin de faire comprendre à Rorschach qu’il ne voulait plus le voir : lorsqu’il le vit grimper dans le 4x4, il changea de véhicule. Son comportement inquiétait de plus en plus Rorschach qui se mit en tête de le surveiller.
Le convoi roula pendant de longues heures. Tandis que le ciel s’assombrissait déjà, ils firent une pause sur un parking de supermarché. Joanna, Alec et Flore allèrent chercher des provisions dans le magasin. Le reste du groupe se reposait, mis à part Rorschach et Léon. L’homme masqué se dirigea vers Léon.
« Il se passe quoi, Léon ? T’es bizarre, depuis quelques temps. Si t’as un problème, tu m’le dis et t’arrêtes de me jeter ces putains de regards. Tu sais très bien de quoi j’parle. »
« Le problème, Rorschach, c’est que t’es un putain de mauvais leader. T’as recruté des types qu’on connaît même pas et t’oses encore te proclamer chef du groupe ? »
« La vérité, Léon, c’est que t’assumes pas le fait d’avoir perdu Ashley et tu fous la faute sur mes épaules. C’est qui qui t’a recueilli sur le toit de l’immeuble ? C’est qui ? C’est moi, Léon. Je passe mon temps à surveiller. Je me suis jamais proclamé chef. C’est vous qui m’avez rejoint. Au départ, j’étais qu’avec Adam. Je l’ai aidé à survivre, puis y’en a eu d’autres. Je suis pas votre chef. Tu veux me « remplacer » ? Vas-y, j’t’en prie. Prends les rennes. J’en ai ras le cul d’aider des gens qui me crachent à la gueule dès que je prends une décision. Alors, vas-y, prends ma place et arrête de m’casser les couilles. »
Il ponctua sa réplique en jetant lourdement le fusil à pompe qu’il utilisait pour surveiller dans les mains de Léon puis s’en alla sans attendre de réponse. Alors qu’il abattait quelques zombies avec son couteau, un sifflement de balle retentit. Rorschach intima à tout le monde de se mettre à terre. Andrew le rejoint rapidement.
« Il s’passe quoi ? »
Rorschach ne répondit pas. Il n’en savait rien. Mais alors qu’il songeait à repartir, un 4x4 rugissant déferla sur la route en descendant tous les zombies qui passaient.
« YOUHOUUUU ! »
Il y avait deux hommes. Le conducteur prenait bien soin d’écraser les zombies et le second homme les tuait avec une lourde mitraillette sur le toit du véhicule. Rorschach et les autres combattants du groupe se mirent à l’abri derrière des voitures et mirent en joue le 4x4 qui ralentissait en venant dans leur direction. Rorschach surgit alors que les deux hommes sortaient du véhicule.
« Vous êtes qui ? »
Les deux hommes semblaient être de redoutables durs à cuire. Ils étaient plus petits qu’Adam mais leur taille était vraiment imposante. Les deux possédaient un visage assez ressemblant. Sans doute des frères. Ils levèrent les mains en l’air sous la menace du groupe mais ne paraissaient pas dangereux.
« On veut pas d’emmerdes, les gars. On en a déjà assez avec les zombies. Répondit l’un en jetant ses armes à terre. Alexeï Smakinov, pour vous servir. Et lui, c’est Nikolaï, mon frérot ! »
« Des putains d’russes, Rorschach. Descends-les avant que j’le fasse ! »
« Ferme-la, Johnny. Répondit Rorschach. Vous occupez pas d’lui. Vous venez d’où ? »
« De Sibérie, mec. On était dans les Spetsnaz, etc. L’équivalent de ce qu’était votre pote. » Ponctua Nikolaï en désignant Johnny qui devenait rouge. Sa tenue militaire ne trompait effectivement pas.
« Bon, pouvez nous rejoindre, si vous voulez. On a ce qu’il faut, mais faut vous tenir à carreaux. » Lança Rorschach, prenant conscience qu’ils n’étaient pas dangereux, malgré leur apparence.
Sur ce, celui qui semblait être Alexeï sortit un couteau de sa poche et se trancha une grande partie de la main. Le sang coula à flots.
« Juré. »
Son frère fit de même. Flore leur donna rapidement des bandes de premier soin et ils firent connaissance avec le reste du groupe. Flore, Joanna et Alec revinrent du magasin, tenant deux gros caissons remplis de nourriture et de boissons. Ils se présentèrent tous, sauf Léon qui paraissait extrêmement nerveux. Il tournait autour du campement comme si les deux nouveaux étaient des mordeurs. Même Léon paraissait ridicule face aux deux colosses russes qui sympathisaient déjà avec le groupe.
Le convoi reprit la route avec deux nouveaux membres. Léon paraissait désaxé, à l’écart.
Le soleil se couchait alors dans un inhabituel silence.
Juste énorme cette fic vivement la suite !!!!!
Merci.
Demain dès que j'ai l'ordi la sweet.
Aller nouveau perso
Nom: Hansen
Prénom: Vincent
Âge: 16
Passé: Vincent est quelqu'un de frêle, qui n'a aucune confiance en lui, n'ayant peu d'amis, après avoir largué sa petite amie car elle baisait avec n'importe qui, peu avant l'infection il s'enferma chez lui pour passer le reste de sa pitoyable existence, se n'est que une fois l'électricité coupée qu'il se préoccupa de savoir se qu'il se passait en allant chez son meilleur ami, malheureusement il était déjà zombifié et du se battre avec la seule arme qui était chez son ami: Un sabre d'entrainement en bois
Une fois s'être occupé de son ami, il parti sur les routes de France se fichant du sort qu'on lui réserve
Capacité de survie: Nulles, doit se faire constamment aidé par les autres, mais en contre partie est un grand stratège et avec sa chance incroyable arrive souvent à s'en sortir
Perso accepté.
C'est Smakinev, pas Smakinov.
Et elle est où la petite amie de Nikolaï?
Elle est où la petite amie à Johnny?
+ Napoléon Shirak ça te fait
Pour les Smakinev je vois pas de petite copine et estime-toi heureux que tes persos apparaissent déjà, il y en a plein qui attendent.
Johnny je peux pas faire apparaître tous les persos en un chapitre.
Sinon à part râler vous avez pas donné votre avis.
Nom : Mc Lane
Prénom : John
Âge : 46 Ans
Passé : Bad Boys survolté habitant la ville surnommé Big Apple, 1m75, chauve.
Capacité en millieu hostile : Grande ! Je manie bien la gachette, et niveau furtivité je sait m'adapter.
Ah mais t'as de la chance, je viens tout juste de biday
Perso rajouté à la liste.
CHAPITRE 5 partie 2
Je vous rappelle que c'est court, c'est la partie 2 du chapitre
Constatant le peu d’essence qu’il leur restait, le groupe décida de passer la nuit dans le supermarché. Ils s’installèrent dans les bureaux, en hauteur. Tandis que Rorschach, Léon et Johnny veillaient, le reste du groupe disposait des couchettes et s’apprêtaient à dormir. La nuit fut longue et fatigante. Le supermarché avait été assez épargné par la catastrophe et Rorschach trouva une quantité importante de provisions. L’homme masqué sillonnait les allées du magasin tandis que Johnny surveillait l’entrée et Léon les bureaux. La nuit était lourde et silencieuse et les veilleurs plongeaient peu à peu dans une fatigue assommante.
Dans les bureaux, seul Andrew ne dormait pas. La chaleur l’empêchait de fermer l’œil, il se dirigea donc vers les toilettes du personnel. Il appuya par réflexe sur l’interrupteur qui ne fournit aucune lumière. Il soupira, usant des quelques rayons de la pleine lune pour se guider. Il se trempa le visage avec le peu d’eau qui restait encore et s’observa dans le miroir. Le jeune homme n’avait rien d’un survivant. Sa mèche lui donnait un côté rebelle, mais il ne paraissait pas dangereux. Alors qu’il souffrait de la chaleur, Rorschach entendit un léger bruit qui l’alerta immédiatement.
Des bruits de pas irréguliers et lents se faisaient entendre dans une allée voisine. Rorschach dégaina silencieusement son couteau et se dirigea vers l’hypothétique origine des bruits. Il se baissa, rasant les rayons du magasin. Un râle confirma ses craintes : un mordeur sillonnait tout comme lui les allées carrelées de l’ancien magasin. Mais alors qu’il brandissait déjà son poignard, un hurlement résonna. Dans les toilettes, un zombie s’attaquait à Andrew. Seul problème, le jeune homme n’avait pas pris la peine de s’armer et sa force laissait à désirer. Le désespoir guida ses actes : une montée d’adrénaline lui conféra la force nécessaire pour plonger la tête du zombie dans le lavabo. Un craquement sonore confirma à Andrew la mort du mordeur. Des flots de sang noir s’écoulèrent dans le siphon. Il assena de violents coups dans le crâne du zombie pour s’assurer de sa mort.
Seulement, du côté de Rorschach, le mordeur entendit tout comme lui le cri. Il détourna la tête vers les bureaux, émit un sordide râle et y alla de plus en plus rapidement. L’homme masqué voulut l’abattre, mais alors qu’il levait son arme, il remarqua une chose terrifiante : une horde entière de zombies s’approchait. Il aperçut alors Johnny se cacher derrière un rayon, l’arme à la main.
« Bordel de merde... » Soupira Rorschach.
La situation était alarmante. Le groupe se réveilla. Les Smakinev se levèrent et sortirent en courant : ils se positionnèrent derrière Léon et mirent en joue les mordeurs. Les autres firent de même. Adam alla voir ce qui se passait aux toilettes. Il vit Andrew en sortir, tâché de sang.
« Arme-toi, vite ! »
Tout le monde était à présent armé. Rorschach fit signe à Johnny de le suivre.
« 1....2...3 !! »
L’homme masqué sortit de l’allée en courant, il élimina quelques zombies et protégea Johnny qui faillit se faire mordre au bras. Ils remontèrent au bureau sans trop de difficultés, couverts par les autres membres du groupe. Les Smakinev firent un travail remarquable, ils paraissaient habitués à cette situation.
« COUREZ ! » hurla Rorschach en abattant un zombie avec son poignard.
Il désigna du doigt une sorte d’entrepôt annexé au bâtiment. Il les guida, courant à une vitesse folle et abattant au passage des mordeurs trop ambitieux. Il ouvrit non sans peine la lourde porte de l’entrepôt et invita les autres à s’y engouffrer. Alors qu’il faisait de même et haletait, il entendit Adam se racler la gorge.
« C’est qui ces mecs ? »
Rorschach releva la tête : quatre personnes se dressaient au fond de l’entrepôt, effrayés. Il y avait un adolescent, un jeune au visage inexpressif, une jeune femme et un homme assez baraqué. Ils paraissaient terrorisés.
« Vous êtes qui ? » Demanda Rorschach.
Ce fut la jeune femme qui répondit :
« On vous a entendus, hier soir. On n’osait pas s’approcher de vous, on a vus assez de pillards comme ça. Alors on s’est cachés dans cet entrepôt, et on a entendu des cris. Je voulais venir vous aider, mais les autres pensaient que c’était trop dangereux. «
« Je vous en supplie, nous faites pas de mal ! » Supplia l’adolescent.
L’autre jeune ne dit rien, mais ce fut au tour du baraqué d’ouvrir la parole.
« On dit vrai. On veut pas d’emmerdes, s’il vous plaît. On sait se défendre, mais on a déjà perdu trois personnes dans notre groupe. On n’a plus assez de provisions, ni de munitions et on tiendra plus longtemps si vous nous laissez là ! Les seules personnes qu’on a rencontrées jusqu’ici étaient des putains de pillards ! S’il vous plaît, aidez-nous ! »
Léon ne se retint plus.
« Vous allez vous démerder. J’en ai vraiment ras le cul d’accueillir des inconnus, moi ! Allez vous faire foutre, et si vous insistez, j’vous jette aux mordeurs ! »
« Et si toi tu te calmes pas, j’te jette avec eux ! Rétorqua Rorschach. T’étais aussi un inconnu quand j’t’ai aidé, sur le toit de l’immeuble. Alors, maintenant, que ce soit clair : tu fermes ta grande gueule ! On va vous aider. Mais j’vous préviens : on vous surveillera. Et je vous signale que le problème n’est pas d’accueillir des inconnus ou pas, mais de sortir de ce merdier ! »
En effet, les mordeurs frappaient avec rage contre la porte de l’entrepôt. Alors que la tension était des plus importantes, Johnny parut s’émerveiller, regardant dans un coin sombre du bâtiment.
« Oh putain ! Dis-moi que j’rêve, là ! »
Il courut vers une silhouette recroquevillée. Alors qu’il s’approchait, la femme se leva, n’en croyant pas ses yeux.
« JOHNNY ! »
« JESSICA ! »
Johnny paraissait oublier tout ce qu’il se passait à l’extérieur en voyant sa femme. Il l’avait enfermée dans un bunker lorsque la situation avait dégénéré. Il la prit dans ses bras, heureux comme jamais il ne l’avait été. Le rude visage de l’ancien soldat était radouci sous les larmes qu’il versait. Seul Léon paraissait désespéré et furieux face à la situation.
« Comment vous l’avez retrouvée ? » Demanda Johnny, les yeux pleins de larmes.
Cette fois-ci, ce fut le jeune homme discret qui prit la parole.
« Curtis et moi, on s’était réfugiés dans un bunker quand c’est parti en couilles. »
Il désigna l’homme baraqué et au crâne rasé.
« Votre femme s’y trouvait déjà. Quand on a compris que ça s’était calmé dehors, on est sortis, et on l’a emmenée. On a fuit le plus vite possible et on est tombés sur Alice et deux autres types. Ces deux sont morts il y a quelques heures à peine, et on s’est trouvés ici. La suite, vous la connaissez.»
Alors que le groupe se préparait à ressortir et s’armait, Léon s’approcha à nouveau de Rorschach et le prit à part.
« T’en as pas marre de prendre sous ton aile tous ceux qui se la ramènent ? »
« Tu les as vus ? Le gamin est terrorisé, les deux femmes aussi. Les deux autres ont l’air débrouillard, mais pas dangereux. C’est pas des vicieux comme ceux qui s’en sont pris à ta fille. Et si c’était le cas, je m’en chargerais. »
Léon lui jeta à nouveau un regard noir. Il parut réfléchir, voulut dire quelque chose, puis s’en alla rapidement.
« Préparez-vous à sortir. « Lança-t-il froidement.
Une fois chaque personne du groupe armée, ils sortirent précipitamment. Rorschach, Léon, Adam et Vasilis (le jeune homme discret qui avait recueilli la femme de Johnny) dégagèrent le passage tandis que les autres fermaient la route. Les zombies étaient des plus violents et chacun eut la chance d’éviter de justesse sa mort grâce à une quelconque intervention alliée. Le groupe poursuivit sa route en direction de la camionnette et du 4x4.
Ils s’y engouffrèrent rapidement tandis qu’Adam et Rorschach éliminaient les derniers poursuivants. Certains mordeurs frappaient contre les véhicules et le 4x4 n’avait plus assez d’essence. ils s’entassèrent donc dans la camionnette et le véhicule des Smakinev avant de repartir. Ils roulèrent à une vitesse folle, encouragés par la menace des mordeurs qui diminuait peu à peu. Adam constata une chose très désagréable.
« Les mecs... On a oublié a plupart de nos provisions... »
Tout le monde soupira, Rorschach frappa violemment contre la portière du véhicule.
« Va falloir s’arrêter à nouveau, on n’a pas le choix. »
« Il a raison. Ponctua Alexeï. Et puis mon frérot et moi se démerde pas mal à la chasse, on va pouvoir bouffer du cerf si on a de la chance. »
Ils décidèrent de s’arrêter à côté d’un centre hospitalier. Ils se répartirent à nouveau les taches. Léon et Rorschach iraient chasser dans la ville, les Smakinev feraient de même à proximité d’un parc et Vasilis, Adam, Alec et Curtis allèrent chercher des provisions et des médicaments dans l’hôpital. Les autres surveillaient le campement tandis que Johnny siphonnait des voitures avec sa femme.
Ils étaient tous épuisés, la suite s’avérerait difficile.