Gohan-Momo Pas assez puissant !

Merci pour vos commentaires les gars ça me fait plaisir !

Y'a des noms terriens comme Mathias ou Andreas

Gohan-Momo C'est surtout des noms germaniques, comme tout ceux de Harnyat !

Le prochain chapitre demain sans doute !

J'en gaspille de la ! Mon parquet en est recouvert, mais pratique pour la serpillière.

J'écris le chapitre cet après-midi, promis !

Je vais vous concocté quelque chose d'assez improbable !

• concocter

Tain la faute de nul !

Tu l'as dit

Voilà enfin le très attendu 28ème Chapitre ( et oui déjà ) ! Je vous préviens tout de suite, c'est un chapitre de transition, il n'y a quasiment aucun combat, ce sera pour le prochain épisode !

Bonne lecture !

Chapitre 28 : Sangohan et son père étaient attablés au Palais Royal, aux côtés des conseillers de Harnyat.
- Levons un verre en l’honneur de nos sauveurs ! s’enthousiasma Mathias. Sangohan nous a sauvés deux fois désormais, notre dette a doublé !
Ses paroles furent accueillies par une marée d’applaudissements.
- En outre, poursuivit le roi, nous nous devons de les aider comme ils nous ont aidés ! Sangohan, que désirez-vous, toi et ton père ?
L’enfant parut gêné par tant d’attention à son égard et répondit :
- Notre but est de rejoindre la Nouvelle-Namek.
Les diplomates Harnyatos prirent un air d’incompréhension au nom de la planète. Un d’eux demanda pour les autres :
- Où est cette planète ? Nous n’en avons jamais entendu parler !
- Le problème est là, expliqua Sangoku. Personne ne sait où elle se trouve, sauf les Nameks !
Un brouhaha terrible envahit la salle suite à cette annonce. Mathias tapa du poing sur la table, rétablissant le silence. Andreas questionna :
- Et vous n’avez aucun contact avec les habitants ?
- Malheureusement, non, déplora le fils de Baddack. Leur ancienne planète a été détruite lors du conflit avec le tyran Freezer mais ils ont eu le temps de… s’enfuir, en quelque sorte. Ils ont quitté la Terre en quête d’une nouvelle demeure.
- Sans vouloir être indiscret, commença Mathias, pourquoi tenez-vous tant à vous rendre là-bas ?
- Ils possèdent des objets magiques, les Dragon Balls, informa Sangohan. Ces choses permettent d’exaucer un ou plusieurs vœux.
Les conseillers braillèrent à tout va, implorant le Roi d’y envoyer des soldats s’en emparer. Ce dernier, agacé, bondit de son trône et cria :
- Il suffit ! Laissez-le finir et, ensuite, nous débattrons !
Le gamin remercia d’un mouvement de la tête le roi et poursuivit :
- Nous avons vraiment besoin de ces Dragon Balls : notre belle Terre a été vidée de ses habitants par Freezer et son père. Mais le plus grave n’est pas là : Freezer a également acquis l’immortalité en utilisant nos propres Dragon Balls ! Nous souhaitons les utiliser pour annuler l’immortalité du tyran et repeupler la Terre.
- C’est une cause noble, s’ému Andreas. Hélas pour vous, retrouver la Nouvelle-Namek paraît impossible.
A peine le fils cadet de Rainer eut terminé sa phrase qu’un soldat déboula, en sueur, et annonça :
- Majesté, un immense vaisseau vient de se poser dans le Hangar ! Il est trois fois plus imposant que le Vollendete !
- Allons voir, déclara le régent.

Effectivement, le cargo interstellaire avait des proportions colossales. Il semblait destiné au commerce puisque dénué de canons ou autres armes repoussantes. Sa couleur était plus qu’intrigante : bleu turquoise !
- Cette couleur… pensa Sangohan. Non, ce serait trop beau.
Alors que les conseillers s’amassaient autour de l’imposant vaisseau, trois extraterrestres en sortirent par le biais d’une plate-forme avançant vers le sol du hangar. Sangoku et son fils s’exclamèrent d’une même voix :
- Des Nameks !
Tous les regards se braquèrent sur les arrivants qui s’approchaient des sayens. L’un d’eux dit en Basique :
- C’est bien toi, Sangohan !
L’intéressé examina son interlocuteur, à peu près aussi grand que lui, et s’exclama dans un grand sourire :
- Dendé ! Que fais-tu là ?
- J’ai eu peur que tu ne me reconnaisses pas ! Depuis un mois, je parcoure la galaxie en compagnie de Carail, de Naluga et de notre équipage ! Nous vendons des spécialités de la Nouvelle-Namek dans tous les mondes où nous passons.
- Nous avons grandement besoin de toi, Dendé, l’informa Sangoku. Freezer est revenu sur Terre avec son père !
- Sangohan ne l’avait pas tué !? s’étonna Carail, un grand et fin Namek.
- Il le croyait ! Hélas, non, il n’est pas mort et il a acquit l’immortalité !
- C’est terrible ! s’épouvanta Dendé. Ne vous inquiétez pas, nous allons vous emmener sur Namek pour que vous puissiez annuler son invincibilité, si c’est bien ce que vous désirez.
- Exactement ! confirma, enthousiaste, le fils de Chichi. Après ça, nous le tuerons pour de bon !
Andreas s’immisça dans la conversation :
- Voilà une bonne nouvelle ! Reposez-vous un jour ou deux avant de repartir !

Deux jours s’étaient écoulés depuis l’arrivée inespérée des commerçants Nameks et les sayens s’apprêtaient à embarquer à bord du cargo. Selon Naluga, le voyage durerait une bonne semaine. Pas une éternité, mais assez de temps pour que Freezer pointe de nouveau le bout de son nez, ce qui hantait Sangoku. Il espérait arrêter les ravages du tyran intergalactique le plus vite possible. Les Harnyatos firent de longs et émouvants adieux à leurs bienfaiteurs, leur souhaitant bonne chance et les invitant à revenir quand ils le souhaiteront.
- Mon père serait heureux de vos exploits, assura, mélancolique, Mathias. Approche, Sangohan.
Le gamin obéit et s’avança vers le colosse. Ce dernier réclama quelque chose en Harnyatien et on lui apporta dans la minute qui suivit. C’était une sorte de diamant verdâtre, couleur émeraude.
- C’est un Glück, un diamant de grande valeur. Ce sera ton porte-bonheur. Quand tu le regarderas, tu sauras que tous les Harnyatos sont derrière toi, te soutiennent.
- Merci, Mathias, déclara, ému, le jeune sayen. Je ne vous oublierai pas de toute façon !
Les deux défenseurs de la Terre montèrent sur la plate-forme d’entrée avec Dendé, saluant une dernière fois les chaleureux habitants d’Harnyat. Le cargo décolla lentement et quitta l’atmosphère de la planète, en direction de la lointaine Nouvelle-Namek.

Le Porunga, c’était le nom du vaisseau de commerce Namek, ressemblait à une cité volante tellement il était vaste et grand. Les premiers membres de l’équipage que croisèrent les sayens ne furent pas des Nameks, à leur grande surprise. Sangohan demanda à Dendé :
- Quels sont les races qui peuplent ce vaisseau ?
- Les créatures à têtes d’oiseaux et corps d’humains que vous venez de croiser sont des Alavesans, de la planète Alavès.
Ils passèrent à côté de deux petits êtres trapus et avec une trompe à la place de leurs nez.
- Ceux-ci sont des Balleros, de Balera. Malgré leurs airs austères et sauvages, ce sont de très bons mécaniciens.
Ils franchirent une porte et débouchèrent sur le cockpit où deux pilotes Nameks dirigeaient l’énorme masse de métal.
- Le pilote de droite se nomme Valudo et celui de gauche s’appelle Podelo.
Les deux compatriotes lancèrent un bref salut aux arrivants, concentrés sur leur tâche.
- Suivez-moi, ordonna Dendé. Je vais vous montrer vos appartements.
Ils parcoururent deux bons kilomètres de zigzags dans les nombreux couloirs du vaisseau-cité pour arriver à une chambre du style Terrien, avec deux lits superposés.
- C’est très modeste, s’indigna le capitaine du Porunga, mais ce n’est pas si inconfortable. Bon, vous êtes ici comme chez vous, prenez vos aises ! Visitez le vaisseau.
Dendé repartit en direction du cockpit, laissant Sangoku et son fils prendre un peu de repos. Les deux sayens décidèrent de s’accorder une petite sieste.

- Seigneur, Sangohan se déplace à grande vitesse, il a quitté Harnyat.
Le mystérieux patron de Kalérak se leva et s’adressa à un de ses vassaux :
- Raizer, tu es mon meilleur atout dans l’infiltration. Tu vas t’infiltrer à bord du vaisseau où se trouvent les sayens et les neutraliser. Compris ?
Le grand mais frêle extraterrestre hocha positivement la tête.
- Ce n’est pas tout, vu ta force, tu ne pourrais rien contre Sangohan et son père. Je vais donc te remettre un objet qui te sera très utile. Gaiza, apporte ce que je t’ai demandé tout à l’heure.
Le serviteur obéit et remit une sphère jaunâtre à son maître.
- Avec ceci, tu ne peux pas perdre face à ces idiots de singes. Pars Raizer, je t’en dirais plus pendant ton voyage. Et n’oublie pas : sois discret, invisible. La surprise est ta meilleure arme.
Le combattant s’agenouilla puis se rendit dans le hangar spatial. Il ordonna à un soldat :
- Mène-moi à mon Spatial Snake.
Le sous-fifre s’exécuta et Raizer s’envola dans l’espace, impatient à l’idée d’abattre ses proies. Voyant son assassin favori filer vers sa nouvelle cible, le seigneur annonça à Gaiza :
- Je surestime sans doute ces singes mais je préfère ne prendre aucun risque. Suivons-les également, au cas où Raizer échouerait.

Cela faisait deux jours que les deux sayens s’ennuyaient à bord du Porunga, attendant patiemment l’arrivée sur la Nouvelle-Namek. Ils avaient fait de nombreuses et enrichissantes rencontres avec des races qui leur étaient jusque là inconnues. Cependant, ils étaient quelque peu déçus de ne pas avoir pu s’entraîner, de ne pas avoir eu l’occasion de peaufiner leurs techniques. Alors qu’ils s’adonnaient à leur activité majeure dans la journée, c’est-à-dire dormir, un grand choc fit trembler le vaisseau, comme s’il avait été harponné par une autre embarcation spatiale. Lorsque les deux combattants voulurent sortirent, leur porte se bloqua automatiquement avant qu’une voix annonce :
- Il y a une rupture dans la coque du vaisseau, veuillez enfiler vos combinaisons spatiales. Elles se trouvent dans les placards.
Sangohan et son père se vêtirent de ces habits de survie et déambulèrent dans le couloir où la majorité de l’équipage venait, comme eux, de sortir de leurs chambres. Une explosion se fit entendre ; elle provenait du cockpit.
- Dendé ! s’écria Sangohan.
Le gamin ouvrit le sas entre les chambres et la salle à manger et fusa vers la cabine où se trouvaient ses amis Nameks, suivi de son père. Une fois arrivés là-bas, ils eurent la désagréable surprise de trouver les deux cadavres des pilotes. Un soldat à la peau bleue et aux cheveux hérissés vêtu d’une armure semblable à celle de Thalès, les protections sur les cuisses en moins, menaçait de son poing le pauvre Dendé. Sangohan bondit sur lui et lui décocha une droite qui lui brisa la mâchoire, le criminel pouvant survivre sans oxygène donc dépourvu du casque en verre que portaient les autres, mis à part les Nameks, dotés de la même capacité que le mystérieux guerrier.
- Qui es-tu ? demanda férocement Sangoku.
- Mon nom est Raizer. J’ai reçu ordre de vous éliminer.
- Alors toi aussi tu es au service du patron de Kalerak ! en déduit Sangoku.
- Oui, et je possède l’arme fatale aux sayens !

Je up cette superbe fic:

Je lirais le chap plus tard, j'ai d'la mifa à venir manger.

Ok Captain, bon appétit !

Bon chapitre, bien que ça soit un chapitre de transition, sans aucun combat.

J'ai hâte de connaître l'arme fatale de Raizer ^^

La suite

Merci Majin, c'est un chapitre important parce qu'il marque l'arrivée d'un nouvel ennemi !

La suite Mercredi si je peux autrement ce sera Samedi mais je préviendrai !

bravo pour cette fic génial!

Merci Darius, je ne te savais pas lecteur de ma fic, ça fait plaisir !

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Désolé mais ce n'est pas le topic pour les pubs.

Sinon y'a un nouvel ennemi a ce que je vois.

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The com of the king !

Super !
Quelle est cette arme qui va être utilisée contre les saiyens ? Le mystère reste entier...............