Voici enfin le 25ème Chapitre ! C'est le plus long de tous mes chapitres jusqu'à présent ! D'ailleurs j'ai décidé d'allonger mes chapitres pour ne pas en faire des trop courts qui ne serviraient à rien ou presque !
Bonne lecture !

Chapitre 25 : Les sayens suivaient depuis une bonne heure Andreas, juchés sur les magnifiques Rhinofogel. La planète était dotée d’une jungle luxuriante qui recouvrait quatre-vingt pourcents de sa surface selon les dires du fils cadet de Rainer.
- C’est superbe, n’est-ce pas ? demanda l’Harnyatos en voyant les regards émerveillés des deux étrangers.
Sangoku fut le plus prompt à répondre :
- C’est somptueux mais je n’ai encore pas vu d’eau. En possédez-vous ?
Andreas parut désappointé et interrogea ses invités :
- Qu’est-ce donc que l’ « eau » ?! Nous n’en possédons pas !
- Mais que buvez-vous alors ?
Cette fois-ci, le géant comprit immédiatement.
- Nous buvons de la Vedka, la sève que contiennent les Tränken, la majorité des arbres présents sur Harnyat.
Sangohan, intrigué, demanda :
- En avez-vous sur vous ? J’aimerai bien goûter.
L’Harnyatos sortit de son armure argentée et rayée de bandes noires une gourde aux proportions gigantesques : trente centimètres de hauteur et presque autant de largeur ! En voyant l’imposant objet, le jeune sayen pensa que ce n’était guère étonnant vu les mensurations des Harnyatos.
- Attrape ! prévint Andreas en jetant la gourde.
Le fils de Sangoku réceptionna le bidon, le décapsula puis but une gorgée de Vedka.
- Ca sent l’alcool ! pleurnicha-t-il. Et ça n’a pas bon goût non plus !
Ces remarques faisaient rire ses deux autres compagnons lorsqu’il tomba subitement de sa selle !
- Sangohan ! cria son père, terrifié.
Il bondit de sa monture et fonça sur le garçon en chute libre. Il le rattrapa juste avant qu’il ne s’écrase, évitant un drame.
- Sangohan ! Mon fils ! Répond-moi ! implora-t-il, en larmes.
Il fut rejoint dans les minutes suivantes par Andreas, déboussolé.
- Je ne comprends pas, Sangoku ! Cette sève doit être nocive pour votre race ! Ne perdons pas de temps, je connais un grand guérisseur à Versovia. Partons !

Les trois Rhinofogel se posèrent aux portes de la capitale et leurs chevaucheurs coururent jusqu’au portail principal, un blessé dans les bras d’Andreas. Trois gardes campaient devant l’entrée et ils hélèrent le groupe lorsqu’il fut à portée de leurs vues.
- Seigneur Andreas ! Que venez-vous faire ici ? interrogea le plus petit d’entre eux.
- Pas le temps de t’expliquer ! l’informa le frère de Mathias. Je dois entrer !
Les Harnyatos ouvrirent rapidement le portail où s’engouffrèrent les trois arrivants.
- C’est encore loin ?! questionna, inquiet, Sangoku après deux minutes de course effrénée.
- Nous y sommes, répondit le fils de Rainer en se stoppant.
Ils se tenaient devant une sorte de temple aux longues colonnes blanches ornées de motifs verts et noirs, sans doute en l’honneur d’un dieu. Ils pénétrèrent à l’intérieur, suivant des flèches aux murs qui indiquaient certainement le bureau du guérisseur. Après une bonne minute de zigzags dans le temple, ils débouchèrent sur un jardin fleurissant, une espèce de serre géante. Au milieu de centaines de végétaux de nombreuses planètes se trouvait un Harnyat de taille moins importante que ses congénères – un bon double mètre tout de même -. Il était mince et avait un regard rempli d’intelligence. A voir sa peau ridée, il semblait plutôt âgé. Lorsqu’il aperçut Andreas, il s’écria, aux anges :
- Andreas ! Quel bon vent t’amènes ici ?
L’héritier montra des yeux Sangohan, restant muet.
- Qui est-ce ? reprit le guérisseur. Il ressemble à un Humain.
- C’en est un, confirma le frère de Mathias. Il se nomme Sangohan et l’Humain à mes côtés est son père, Sangoku. Je vais être bref, Friedrich : il s’est évanoui après avoir bu de la Vedka. Y’a-t-il un remède ?
Le scientifique réfléchit longuement avant d’interroger :
- De quelle race est-il ?
- C’est un sayen.
- Je vais voir ce que je peux faire. Suivez-moi.
Il les entraîna dans un laboratoire souterrain dont l’entrée se trouvait sous une grande Rafflésia. Pendant cinq minutes qui parurent interminables, Friedrich rechercha la précieuse formule qui soignerait le jeune garçon. Ce temps passé, il hurla de joie :
- Je l’ai, Andreas ! J’ai la formule !
En vérifiant qu’il ne manquait aucun ingrédient, ils découvrirent qu’un élément faisait défaut. Ne lisant pas l’Harnyatien, Sangoku demanda des informations.
- Quel est le composant manquant ?
- Il nous faut une plante, le Seltene…
Andreas coupa :
- Où peut-on s’en procurer ?
- On en trouve sur Harnyat IV, une petite gazeuse du système solaire.

Sangoku et Andreas cherchaient un vaisseau à louer dans le hangar spatial à deux pas du palais royal lorsqu’une voix les appela :
- Hé Andreas ! Que fais-tu là ?
L’Harnyatos qui venait de s’exprimer n’était autre que l’actuel roi, Mathias. C’était un géant chez les géants : il mesurait trois mètres, possédait des bras épais comme des troncs d’arbres et semblait très puissant. Du moins, c’est l’impression qu’avait eu Sangoku lorsqu’il l’avait sondé.
- Mathias, mon frère ! J’ai besoin de toi !
Le régent hocha la tête puis dit :
- Qui est cet Humain ?
- C’est Sangoku, le père du sayen qui a aidé papa à vaincre Kalerak.
- Sangohan est ici ? J’adorerai le rencontrer !
Un lourd silence s’instaura. Mathias le brisa :
- Que se passe-t-il ?
- Il est gravement malade. Il a avalé de la Vedka et est tombé dans le coma après.
- On peut le soigner ? espéra le fils ainé de Rainer.
- Heureusement, oui. Hélas, il nous manque un ingrédient, le Seltene et il n’y en a que sur Harnyat IV.
- Vous avez besoin d’un vaisseau alors ! Je vais vous en fournir un !
Il désigna un grand paquebot argenté bordé de lignes noires, les couleurs de la planète. Il appela un soldat qui faisait une ronde. Ce dernier actionna un levier, abaissant le pont-levis de métal.
- Entrez, pria Mathias. Nous voyagerons à bord du plus grand, du plus gros et du plus puissant vaisseau Harnyatos : le Vollendete !

Une heure passa entre le départ du hangar spatial et l’arrivée sur la gazeuse. Il ne restait plus qu’au petit groupe à trouver du Seltene, chose compliquée vu la superficie de la planète. Heureusement, ils savaient à quoi ressemblait la petite fleur, l’ayant vue dans un livre biologique.
- Cette gazeuse est immense ! constata Sangoku, déboussolé par une telle surface. Il nous faudrait des jours pour la parcourir à pied ou même en Rhinofogel. Savez-vous voler ?
Les deux frères s’envolèrent sur le toit du vaisseau.
- Nous sommes les deux guerriers les plus puissants de Harnyat ! annonça fièrement Mathias. Nous sommes également les seuls à pouvoir voler.
Ils partirent d’abord vers le nord, rencontrant un climat glacial et des bêtes titanesques. La température ne changeait guère à l’ouest ou à l’est mais au sud, elle devenait acceptable.
- Le Seltene ne pousse que dans les plaines : nous nous trouvons dans la bonne région ! analysa, clairvoyant, Andreas.
Effectivement, ils tombèrent sur de vastes étendues verdoyantes recouvertes de Seltene et d’autres fleurs méconnues. Alors qu’ils cueillaient le précieux composant, une explosion advint à une centaine de mètres d’eux.
- Il y a des humains ici ? demanda Mathias, sentant le danger.
- Quelques-uns ! répondit une voix nouvelle.
Le roi d’Harnyat esquiva un kikoha vert avant de rejoindre Sangoku et Andreas.
- Qui est tu ? Montre-toi ! exigea le sayen.
Un individu de deux mètres, protégé intégralement par une brillante armure noirâtre et une lance à double lame dans le dos apparut devant le petit groupe. Il se présenta :
- Mon nom est Jetzerov. Je suis un mercenaire chargé de vous éliminer.
Mathias ria à pleines dents.
- Nous tuer ? N’y pense même pas !
Le régent dégaina une longue et fine épée ornée de fins traits noirs.
- Nous allons voir ce que tu vaux !
Il se rua sur Jetzerov, l’épée à la main. L’autre sortit de son fourreau la double lame et para la puissante attaque du colosse. Le mystérieux tueur à gages riposta d’une balayette qui fit perdre l’équilibre à son opposant. A terre, Mathias réagit d’un coup de pied, envoyant gicler le mercenaire.
- Pas mal ! reconnut l’Harnyatos. Je comprends pourquoi ton patron a confiance en toi !
Cette fois-ci, le roi se téléporta au-dessus de Jetzerov et lui asséna un violent atémi sur le crâne. La victime se défendit en projetant son agresseur au loin puis il poursuivit son effort en se volatilisant sur sa trajectoire du géant. Il l’accueillit d’une manchette dans les côtes et le lança contre un grand rocher. Jetzerov s’apprêtait à l’achever lorsque sa lame fut bloquée par un bouclier de métal qui venait de faire son apparition !
- Par quelle magie ce bouclier est-il apparu ? s’écria, surpris, le mercenaire.
- Par la mienne ! répondit Andreas. Si mon frère fait dans l’offensive, je suis un défenseur !

Le tueur devait désormais faire face à deux adversaires qui se connaissaient sur le bout des doigts. Il se concentra surtout sur Mathias, le sentant plus faible. Au bout de trois minutes intenses de joute, il brisa la garde de l’Harnyatos et entailla profondément sa jambe droite. Ce dernier poussa un cri de douleur avant d’être sauvé par son frère qui évita l’abattement de la double lame.
- Reste en dehors du combat, Mathias ! ordonna Andreas. Je m’en occupe !
Le fils cadet de Rainer lança une vague déferlante rose sur Jetzerov, l’ennemi esquivant au dernier moment.
- Tu m’as l’air intéressant, toi ! dit, excité, le mercenaire. Enfin un combattant digne de mon talent !
Il envoya un rapide rayon verdâtre sur Andreas qui créa un bouclier de verre pour dévier vers les cieux l’attaque. Hélas pour lui, Jetzerov avait prévu la parade et lui porta un coup de pied dans la tempe. L’Harnyatos évita la chute et répliqua par une nouvelle vague déferlante qui frappa de plein fouet l’étranger.
- Il a dû la sentir passée, celle-là ! s’enthousiasma Mathias.
- Pas sûr… contredit Sangoku, le regard déterminé.
Effectivement, Jetzerov réapparut indemne lorsque la poussière se dissipa.
- C’est tout ? demanda-t-il arrogamment.
Il passa à la vitesse supérieure en se téléportant dans le dos d’Andreas et lui infligea un revers de sa double lame qui le blessa à la colonne vertébrale. Alors qu’il se préparait à l’achever, Sangoku para le coup d’estoc.
- Ton ennemi maintenant, c’est moi ! déclara le sayen. Laisse les tranquille !
Il déposa le blessé inconscient aux côtés de son frère et dit :
- Mathias, retournez au vaisseau ! Je vais m’en charger !
L’intéressé hocha la tête, cueillit trois Seltenen, s’empara de son frangin et s’envola en direction du Vollendete.
- Pas si vite ! protesta Jetzerov.
Il décocha une vague déferlante couleur émeraude sur les estropiés. Sangoku la détruisit d’un rapide Kaméhaméha.
- C’est entre nous que ça se passe ! prévint-il.
Le sayen mit un coup de boule à son adversaire, le faisant s’écraser face contre terre. Il détruisit la lame qui s’abattait sur lui d’un autre Kaméhaméha. Ensuite, l’ancien élève des tortues effectua son Smash Météore sur Jetzerov qui laissa échapper quelques gouttes de sang de sa bouche.
- Tu vas voir ma vraie puissance ! menaça le mercenaire.
Il se transforma en un monstre de dix mètres de haut semblable à un dinosaure, faisant apparaître un potentiel caché !
- Le vent a tourné !
Le monstre tira de sa gueule une énorme boule de feu que Sangoku esquiva aisément.
- Je ne vois qu’un moyen de battre un monstre pareil ! pensa le sayen.
Le père de Sangohan se téléporta derrière Jetzerov, l’accabla de coups de poing et de pied et conclut par une vague déferlante. Malgré toutes ces puissantes attaques subies, le tueur se retourna sans grands dommages apparents. C’est à ce moment là que Sangoku dévoila son atout.
- Taiyoken ! annonça-t-il.
Un flash de lumière aveugla le monstre et le sayen se déplaça à une centaine de mètres de lui.
- Donnez-moi votre énergie ! pria-t-il. Passez-moi un peu de votre force, êtres vivants !
Une sphère bleutée se développa au-dessus de ses mains tournées vers l’espace, atteignant des proportions effrayantes en une demi-minute. Juste après, Jetzerov retrouva ses capacités oculaires et se projeta vers son adversaire.
- Tu vas mourir ! s’avança-t-il.
- Prends ça ! dit Sangoku. Genkidama !
La boule bleue désintégra littéralement le mercenaire, ne laissant aucune trace de lui.
- Impressionnant, Sangoku ! félicita une voix qui n’était pas méconnue du fils de Baddack.

Magnifique chapitre lbj
_____________
Rien à dire

Superbe chapitre ( Dédicasse à DG pour le dernier smiley mdr )

Passe voir mon dernier chap', dsl pour la pub

Bravo

Merci les gars pour vos commentaires !

Je passerai sans doute ce soir voir vos fics !

comme eux

ps: moi aussi j'ai mit un new chap

Ta fic est bien écrite stylistiquement parlant. L'aventure est cool. J'aime bien!

Merci chantal, bienvenue sur le forum !

Apo J'y passerai !

Captain J'écrirai demain le 26ème Chapitre !

Ok

super chapitre

Merci pour ton commentaire, Elek !

N'empêche, le nombre de lecteurs à vachement augmenter depuis un mois !

Tant mieux !

jai mit mon chap

Apo Ok j'irai le voir et j'ai pas eu envie d'écrire aujourd'hui, trop pris par Dynasty Warriors 6 !

excuse tout a fait valable

Je savoure ce chap.

Tu sais lire ?

J'veux dire que je lis,mais j'aime lire surtout les fics commme celles-ci !

Voici enfin le 26ème Chapitre ! C'est un chapitre de combat assez inédit je pense ! Bonne lecture !

Chapitre 26 : Sangoku était consterné par l’apparition d’un ennemi qui lui rappelait de très mauvais souvenirs : Thalès !
- Que fais-tu là ?! interrogea le père de Sangohan.
- J’ai su me procurer des informations sur vos déplacements par le biais de rencontres bienvenues. C’est ainsi que je vous ai retrouvé, toi et ton fils.
Le sayen maléfique fit augmenter son aura et lança :
- Tu ne peux pas connaître l’étendue de ma soif de vengeance !
Il se volatilisa derrière Sangoku et tenta de lui porter une violente manchette. Son adversaire para l’attaque avant de riposter d’un coup de pied dans les côtes du criminel. Il poursuivit en projetant dans le ciel le bandit et lui infligea une vague déferlante qui l’atteignit de plein fouet. Malgré ces assauts subis, Thalès retomba, indemne, sur ses pieds.
-Nous avons tous les deux progressés, constata l’adepte du Mal. Hélas pour toi, je te réserve une surprise de taille !
L’aura du sayen explosa et ses cheveux commencèrent à devenir blonds !
- Super Sayen !? n’en crut pas ses yeux Sangoku. C’est impossible, il faut avoir le cœur pur pour se transformer !
L’intéressé éclata de rire puis répondit arrogamment :
- Mon cœur est pur de vengeance, je veux te tuer Sangoku ! Tu m’entends, tu vas mourir !
Il se téléporta sous le nez du père de Sangohan et lui asséna un violent coup de boule qui cassa le menton du fils de Baddack. Ce dernier ne voyait que le Mal briller dans les yeux de son opposant.
- Prends ça ! annonça Thalès. Bear Attack !
Il se mit à serrer de toutes ses forces Sangoku, comme s’il voulait l’étouffer. Malgré de nombreux efforts, le malheureux prisonnier ne parvenait pas à se défaire de la terrible prise.
- Je vais devoir passer au stade supérieur ! décida le mari de Chichi.
Une lueur claire et nette éblouit Thalès et le sayen maléfique sentit sa Bear Attack céder sous la puissance de son opposant. Une fois libre, l’ancien élève des Tortues expédia dans le flanc d’une montagne son ennemi à l’aide d’un Kaméhaméha.
- Toi aussi, Sangoku ? Toi aussi tu as atteint cette transformation ? Cela ne fera que décupler mes envies de vengeance !

Deux Supers Sayens se faisaient face, représentants d’un combat divin entre le Bien et le Mal. Ils se rendaient coup pour coup, semblant du même acabit. Après avoir esquivé une manchette de Sangoku, Thalès provoqua :
- Tu ne m’auras pas comme la dernière fois, avec ta technique minable ! Tout simplement car tu ne pourras pas l’utiliser !
Le maléfique extraterrestre s’éloigna de son adversaire et sortit d’une de ses poches une petite boîte marqué d’un sceau. Il prononça une incantation et l’on vit s’extraire de l’objet un squelette ! Le mort-vivant possédait encore ses habits et même une épée !
- Qui est-ce ?! demanda, effrayé, le fils de Baddack.
- Tu ne le connais pas, au contraire de ton fils ! Ce squelette est la dépouille de Kalerak, le chasseur de primes que Sangohan a tué !
Thalès formula une nouvelle sorcellerie qui anima le mort et son épée ! Ses orbites devinrent rouges et il fut entouré d’une aura de la même couleur. Et ce n’était pas tout : sa lame retrouva sa magie !
- Cette épée, ce n’est pas Kouril ? questionna Sangoku.
L’adepte du Mal rit de satisfaction et l’informa :
- En effet, ce n’est pas l’arme de Sangohan : c’est la seconde favorite de Kalerak, Lerdal ! Vas-y, Kalerak, fais-lui une petite démonstration !
Le guerrier de l’Au-delà fondit à une vitesse impressionnante sur le père de son assassin et abattit sa puissante lame. Sangoku eut toutes les peines du monde à arrêter l’attaque et riposta d’une balayette bien placée. Le mort-vivant tomba au sol et fut désintégré par une Vague Déferlante. Le fils de Baddack pensait s’être débarrassé de cette nouvelle menace mais non : le squelette renaquit de ses cendres !
- Son patron lui avait donné un sérum « d’immortalité dans la mort », et c’est très efficace !

Le Super Sayen de la Terre affrontait désormais deux ennemis et non des moindres : Thalès, l’ancien ravisseur de sa progéniture, et Kalerak, un criminel quasiment du même niveau que Freezer, qui plus est immortel !
- Je dois d’abord éliminer Kalerak ! jugea Sangoku. Mais comment ?
Il désossa pour la quatrième fois le mort-vivant d’un Smash Météore rapidement exécuté avant de bloquer une droite de Thalès. Il enchaîna en l’éloignant d’un puissant coup de pied mais fut surpris par le « réveil » de son autre ennemi qui lui entailla profondément le bras gauche.
- Ta fin est proche, Sangoku ! s’enthousiasma le sayen maléfique.
Le blessé savait que son adversaire n’avait pas tort et choisit la plus judicieuse des solutions possibles : la fuite.
- Taiyoken ! s’écria-t-il.
Ses opposants ne s’attendaient pas à cette technique et plus grande fut leur surprise lorsque, ayant retrouvés la vue, ils constatèrent la disparition du fils de Baddack.
- Quel dommage que je n’ai pas mon détecteur ! se lamenta le ravisseur.
Il se lança à la poursuite de l’éclopé, suivi par le squelette de Kalerak. Il se dirigea vers le Nord où s’étendait une vaste forêt d’arbres gigantesques.

Sangoku s’était réfugié dans une clairière, au beau milieu d’étendues boisées, blessé et traqué. Il devait trouver une solution pour se débarrasser du mort-vivant, sans quoi il serait certainement tué. Alors qu’il réfléchissait à une solution, son attention fut troublée par le bruit d’une explosion proche.
- Sors de ta cachette, Sangoku ! beugla Thalès.
Le traqué quitta prestement sa cachette, non pas de peur d’être anéanti mais par crainte d’être découvert. Il slalomait à grande vitesse entre les arbres géants, tentant de s’éloigner des bruits de déforestations. Finalement, il stoppa sa course à trois kilomètres environ des criminels : il s’était envolé sur la cime d’un feuillu et les apercevaient haut dans le ciel. Il vit Thalès ressortir sa petite boîte et enfermer Kalerak, ce qui provoqua un déclic dans son esprit.
- C’est ça la solution ! en déduit le père de Sangohan.
Deux minutes pendant lesquelles le sayen maléfique scrutait les bois pour trouver Sangoku passèrent et le nouveau maître de Kalerak cria en guise d’avertissement :
- Puisque tu ne veux pas te montrer, je vais te faire sortir !
Une gigantesque boule de ki noire fut crée au-dessus de l’index droit de l’apôtre du Mal et, une fois qu’elle eut attient sa taille maximale, Thalès décida de la lancer : une explosion gargantuesque détruisit totalement la forêt.
- Où es-tu ? demanda-t-il, excité.
Sangoku surgit dans le dos de l’ancien kidnappeur de son fils et lui porta un Smash Météore, lui assénant de sérieux dommages.
- Un dernier sursaut ? ricana de façon narquoise Thalès. Peu importe, tu es proche de ta fin !
Il sortit sa précieuse boîte et commença son rituel d’incantation : ce fut le moment que choisit Sangoku pour la détruire d’un kikoha.
- J’aurais dû y penser ! rumina le bandit intergalactique. Enfin, ça ne changera rien à l’issue finale !
- Tu te trompes, Thalès ! La situation s’est rééquilibrée !
- Non, elle s’est retournée ! corrigea une voix aigüe.

Chapitre 26 : Sangoku était consterné par l’apparition d’un ennemi qui lui rappelait de très mauvais souvenirs : Thalès !
- Que fais-tu là ?! interrogea le père de Sangohan.
- J’ai su me procurer des informations sur vos déplacements par le biais de rencontres bienvenues. C’est ainsi que je vous ai retrouvé, toi et ton fils.
Le sayen maléfique fit augmenter son aura et lança :
- Tu ne peux pas connaître l’étendue de ma soif de vengeance !
Il se volatilisa derrière Sangoku et tenta de lui porter une violente manchette. Son adversaire para l’attaque avant de riposter d’un coup de pied dans les côtes du criminel. Il poursuivit en projetant dans le ciel le bandit et lui infligea une vague déferlante qui l’atteignit de plein fouet. Malgré ces assauts subis, Thalès retomba, indemne, sur ses pieds.
-Nous avons tous les deux progressés, constata l’adepte du Mal. Hélas pour toi, je te réserve une surprise de taille !
L’aura du sayen explosa et ses cheveux commencèrent à devenir blonds !
- Super Sayen !? n’en crut pas ses yeux Sangoku. C’est impossible, il faut avoir le cœur pur pour se transformer !
L’intéressé éclata de rire puis répondit arrogamment :
- Mon cœur est pur de vengeance, je veux te tuer Sangoku ! Tu m’entends, tu vas mourir !
Il se téléporta sous le nez du père de Sangohan et lui asséna un violent coup de boule qui cassa le menton du fils de Baddack. Ce dernier ne voyait que le Mal briller dans les yeux de son opposant.
- Prends ça ! annonça Thalès. Bear Attack !
Il se mit à serrer de toutes ses forces Sangoku, comme s’il voulait l’étouffer. Malgré de nombreux efforts, le malheureux prisonnier ne parvenait pas à se défaire de la terrible prise.
- Je vais devoir passer au stade supérieur ! décida le mari de Chichi.
Une lueur claire et nette éblouit Thalès et le sayen maléfique sentit sa Bear Attack céder sous la puissance de son opposant. Une fois libre, l’ancien élève des Tortues expédia dans le flanc d’une montagne son ennemi à l’aide d’un Kaméhaméha.
- Toi aussi, Sangoku ? Toi aussi tu as atteint cette transformation ? Cela ne fera que décupler mes envies de vengeance !

Deux Supers Sayens se faisaient face, représentants d’un combat divin entre le Bien et le Mal. Ils se rendaient coup pour coup, semblant du même acabit. Après avoir esquivé une manchette de Sangoku, Thalès provoqua :
- Tu ne m’auras pas comme la dernière fois, avec ta technique minable ! Tout simplement car tu ne pourras pas l’utiliser !
Le maléfique extraterrestre s’éloigna de son adversaire et sortit d’une de ses poches une petite boîte marqué d’un sceau. Il prononça une incantation et l’on vit s’extraire de l’objet un squelette ! Le mort-vivant possédait encore ses habits et même une épée !
- Qui est-ce ?! demanda, effrayé, le fils de Baddack.
- Tu ne le connais pas, au contraire de ton fils ! Ce squelette est la dépouille de Kalerak, le chasseur de primes que Sangohan a tué !
Thalès formula une nouvelle sorcellerie qui anima le mort et son épée ! Ses orbites devinrent rouges et il fut entouré d’une aura de la même couleur. Et ce n’était pas tout : sa lame retrouva sa magie !
- Cette épée, ce n’est pas Kouril ? questionna Sangoku.
L’adepte du Mal rit de satisfaction et l’informa :
- En effet, ce n’est pas l’arme de Sangohan : c’est la seconde favorite de Kalerak, Lerdal ! Vas-y, Kalerak, fais-lui une petite démonstration !
Le guerrier de l’Au-delà fondit à une vitesse impressionnante sur le père de son assassin et abattit sa puissante lame. Sangoku eut toutes les peines du monde à arrêter l’attaque et riposta d’une balayette bien placée. Le mort-vivant tomba au sol et fut désintégré par une Vague Déferlante. Le fils de Baddack pensait s’être débarrassé de cette nouvelle menace mais non : le squelette renaquit de ses cendres !
- Son patron lui avait donné un sérum « d’immortalité dans la mort », et c’est très efficace !

Le Super Sayen de la Terre affrontait désormais deux ennemis et non des moindres : Thalès, l’ancien ravisseur de sa progéniture, et Kalerak, un criminel quasiment du même niveau que Freezer, qui plus est immortel !
- Je dois d’abord éliminer Kalerak ! jugea Sangoku. Mais comment ?
Il désossa pour la quatrième fois le mort-vivant d’un Smash Météore rapidement exécuté avant de bloquer une droite de Thalès. Il enchaîna en l’éloignant d’un puissant coup de pied mais fut surpris par le « réveil » de son autre ennemi qui lui entailla profondément le bras gauche.
- Ta fin est proche, Sangoku ! s’enthousiasma le sayen maléfique.
Le blessé savait que son adversaire n’avait pas tort et choisit la plus judicieuse des solutions possibles : la fuite.
- Taiyoken ! s’écria-t-il.
Ses opposants ne s’attendaient pas à cette technique et plus grande fut leur surprise lorsque, ayant retrouvés la vue, ils constatèrent la disparition du fils de Baddack.
- Quel dommage que je n’ai pas mon détecteur ! se lamenta le ravisseur.
Il se lança à la poursuite de l’éclopé, suivi par le squelette de Kalerak. Il se dirigea vers le Nord où s’étendait une vaste forêt d’arbres gigantesques.

Sangoku s’était réfugié dans une clairière, au beau milieu d’étendues boisées, blessé et traqué. Il devait trouver une solution pour se débarrasser du mort-vivant, sans quoi il serait certainement tué. Alors qu’il réfléchissait à une solution, son attention fut troublée par le bruit d’une explosion proche.
- Sors de ta cachette, Sangoku ! beugla Thalès.
Le traqué quitta prestement sa cachette, non pas de peur d’être anéanti mais par crainte d’être découvert. Il slalomait à grande vitesse entre les arbres géants, tentant de s’éloigner des bruits de déforestations. Finalement, il stoppa sa course à trois kilomètres environ des criminels : il s’était envolé sur la cime d’un feuillu et les apercevaient haut dans le ciel. Il vit Thalès ressortir sa petite boîte et enfermer Kalerak, ce qui provoqua un déclic dans son esprit.
- C’est ça la solution ! en déduit le père de Sangohan.
Deux minutes pendant lesquelles le sayen maléfique scrutait les bois pour trouver Sangoku passèrent et le nouveau maître de Kalerak cria en guise d’avertissement :
- Puisque tu ne veux pas te montrer, je vais te faire sortir !
Une gigantesque boule de ki noire fut crée au-dessus de l’index droit de l’apôtre du Mal et, une fois qu’elle eut attient sa taille maximale, Thalès décida de la lancer : une explosion gargantuesque détruisit totalement la forêt.
- Où es-tu ? demanda-t-il, excité.
Sangoku surgit dans le dos de l’ancien kidnappeur de son fils et lui porta un Smash Météore, lui assénant de sérieux dommages.
- Un dernier sursaut ? ricana de façon narquoise Thalès. Peu importe, tu es proche de ta fin !
Il sortit sa précieuse boîte et commença son rituel d’incantation : ce fut le moment que choisit Sangoku pour la détruire d’un kikoha.
- J’aurais dû y penser ! rumina le bandit intergalactique. Enfin, ça ne changera rien à l’issue finale !
- Tu te trompes, Thalès ! La situation s’est rééquilibrée !
- Non, elle s’est retournée ! corrigea une voix aigüe.