ouah trop cool
j'espere vite la suite ^^
Oui, mais rien que cette suite m'a pris une heure et quart de mon temps libre, alors vous comprenez pourquoi j'ai du mal à trouver une place dans mon emploi du temps pour écrire...
oui je comprend
J'attends vraiment la suite avec impatience !!
Je m'éclate vraiment !! Respect Ferocimo
ouais respect ferocimo
Le meilleur moment depuis le début de l'histoire, j'pensait que le passage où y a de l'action serai si réussi
Merci tout le monde !
La suite :
Il y eut un bref silence. Puis un coup métallique résonna contre la porte. Et un deuxième. Rechargeant vos armes, vous vous préparez à éliminer les premiers arrivants de derrière l'escalier. La porte commençait déjà à se déformer sous les impacts des assaillants. Soudain, elle céda et une marée de chair envahit l'espace. Saisissant votre M249-SAW, vous ouvrez le feu sur la masse. Un tir nourri nettoya un peu les rangs. Ameya, qui s'était prit une balle dans la jambe, tirait en rafales sur les ennemis qui commençaient à refluer.
-Reculez ! cria Baline.
Vous exécutant, vous apercevez ce dernier dégoupiller et jeter une grenade en bas de l'escalier. La détonation ne tarda pas, et les survivants furent renversés par l'onde de choc, avant d'être achevés de quelques balles. L'explosion avait fait tomber un morceau du sol, qui menaçait de céder sous le poids.
-On se tire ! avez-vous alors lancé.
Mieux valait ne pas être là quand le sol tomberait sur l'étage du dessous. Reculant lentement dans le couloir, continuant de tirer sur la foule, vous repérez du coin de l'œil un petit malin qui essayait de contourner les combats. Sortant votre MAC 10, vous l'éliminez d'une rafale. Ameya vous désigna du doigt une claymore. Celle que vous lui aviez demandé de placer un peu plus tôt. Après l'avoir enjambé, vous suivez Baline et Ameya qui se dirigeaient vers une pièce, dont le passage était obligé si l'on voulait accéder au troisième étage. La claymore explosa, anéantissant l'avant de la troupe ennemie, et vous laissant un peu de répit pour vous mettre à couvert derrière les bureaux disposés dans la pièce. Le groupe se disposa en arc de cercle autour de l'entrée de la pièce afin de la défendre de façon optimale. Les assaillants pénétrèrent en force dans la zone, mais furent rapidement repoussés. Il allait bientôt falloir recharger votre M249...
C'est alors qu'une chose que personne n'aurait pu prévoir se produisit. Le mur à votre gauche vola en éclat dans une constellation de débris, augmentant encore la confusion qui régnait sur le champ de bataille. Un ennemi armé d'un lance-grenade s'était carrément aménagé une entrée à travers le mur ! Heureusement, il fut rapidement éliminé par une rafale de M4A1. Mais à présent, la pièce était indéfendable.
-Repli ! déclara Ameya. On pourra pas tenir plus longtemps !
Et c'était vrai. Déjà, les ennemis affluaient de toute part, vous débordant en quelques instants. Vous firent demi-tour avec les autres, Baline jetant une grenade dans le tas pour assurer votre repli. Les ennemis ne la remarquèrent même pas, et furent aussi surpris que lorsque le mur avait explosé au moment ou elle tua le gros de l'avant-garde.
Saisissant votre carte magnétique, vous l'insérez dans la fente prévue à cet effet, et la porte se referma dans un chuintement métallique.
-On monte ! annonça Baline.
Les assaillants commençaient déjà à faire pression sur la porte. Tout en rechargeant votre M249, vous gravissez l'escalier avec le groupe.
-Le dernier étage autorisé, reprit Baline froidement. Il va falloir être vigilant, notre ordinateur se trouve dans une pièce un peu plus loin. Il est 19 heure 10, encore vingt minutes à tenir. N'oubliez pas : si on est submergé dans la salle de l'ordinateur, l'un de nous devra s'enfuir par la fenêtre, ordi sous le bras, et se réfugier dans le parc en bas de l'immeuble. C'est une zone autorisée.
Un craquement se fit entendre en bas de l'escalier. La porte avait cédé. Une véritable légion se précipita, arme au poing, dans l'escalier. Le feu à volonté restait encore la meilleure option...
Tirant à tous va, utilisant parfois votre SPAS 12 en cas de combat rapproché, vous défendez férocement l'accès à cet étage capital. Ameya jeta une grenade, mais cette fois-ci les ennemis la renvoyèrent.
-A couvert ! avez-vous hurlé.
La grenade retomba derrière le groupe, vous obligeant à vous cacher avec les autres derrière l'escalier. Après avoir explosé, les ennemis profitèrent de ce moment d'étourdissement pour tenter une percée à travers les défenses. Malgré les efforts conjugués du groupe, les ennemis parvinrent à passer. Ameya se lança à leur poursuite pour les empêcher d'atteindre la salle de l'ordinateur. Baline, tout en tirant, vous annonça :
-Je vais rester ici pour limiter l'afflux d'assaillants. Vas protéger l'ordi !
Vous exécutant, vous abattez au passage quelques ennemis. Les murs étaient couverts de sang. Le chaos régnait dans tout l'étage. Les attaquants cherchaient l'ordinateur, et Ameya ne pouvait pas les arrêter tous. Traversant les couloirs, évitant parfois quelques rafales, vous continuez votre course vers l'objectif.
Un ennemi, dos à vous, avançait discrètement dans un couloir. Arrivant silencieusement derrière lui, vous lui brisez la nuque de sang-froid. Il mourut sur le coup.
Vous atteignit enfin la salle tant recherchée. Personne ne semblait être passé par là. Vous cachant derrière un bureau, vous commencez à attendre et à recharger vos armes. Une minute passa, les échos de la bataille se faisant entendre à travers tout le bâtiment. De temps en temps, un attaquant curieux jetait un coup d'œil dans la pièce, avant de mourir d'une rafale de MAC 10. Vos réserves de munitions était très basses : plus de munitions de M249, peu de munitions de MAC 10, mais encore un certain nombre de cartouches de SPAS 12.
Baline entra dans la pièce, couvert de sang.
-T'inquiètes, c'est pas le mien, dit-il avant même que vous ayez ouvert la bouche. Ameya est mort. Il s'est fait prendre en tenaille dans un couloir. Je suis arrivé trop tard. Les ennemis ont envahi l'étage, Il ne nous reste plus qu'à défendre au maximum cette endroit.
Il se plaça derrière une pile de sacs de sable et pointa le canon de son M4 vers la porte. Les assaillants, au début peu nombreux, commencèrent à savoir ou nous étions. Ils arrivèrent de plus en plus, en continu. Des dizaines et des dizaines d'ennemis tentaient de passer le seuil de la porte, mais étaient tués aussitôt. Ils n'essayaient même pas de vous tuer, juste de vous submerger pour détruire l'ordinateur. Après avoir tenu quelques minutes ainsi, les ennemis s'organisèrent pour essayer de vous abattre. Baline n'avait presque plus de muntions. Vous étiez désormais obligé de n'utiliser que le SPAS 12, malgré son long rechargement.
Ils commencèrent à vous submerger, lentement mais sûrement. Baline annonça :
-Prends l'ordi et enfuis-toi par la fenêtre. Je vais les faire reculer avec une grenade et fermer la porte de la pièce. Ils ne verront même pas comment tu es parti. Allez, go !
Il dégoupilla sa dernière grenade. A cette vue, les ennemis firent quelques pas en arrière. Baline sauta par dessus le bureau et se précipita vers la commande de la porte pour la refermer. Juste avant de se verrouiller, Baline, envoya sa grenade au milieu des ennemis. Une détonation assourdie se fit entendre de l'autre coté. Pendant ce temps, vous aviez commencé, ordinateur à la main, d'enjamber la fenêtre. Bon sang, ça devenait une habitude, de s'enfuir comme ça !
Trois étages plus bas, le parc se profilait avec verdeur. Verdeur ? Non. Des traces noires étaient visible au centre. L'avion ! Il était encore là. Une idée folle vous traversa l'esprit. Si folle qu'elle pouvait bien marcher. Entamant votre descente en vous accrochant à une gouttière, vous vous rapprochez inexorablement du sol. La voie de Baline se fit entendre un peu plus haut.
-Continue ! dit-il. La porte a cédé. Je passe par la fenêtre pour rentrer à nouveau ailleurs dans le bâtiment. Bonne chance !
Une fois en bas, vous levez la tête pour apercevoir celle d'un ennemi qui dépassait de la fenêtre de la salle de l'ordinateur. Il cria quelques mots dans une langue que vous ne compreniez pas, mais le sens était facile à deviner : il avertissait ses collègues de votre fuite par le parc.
Courant vers la carcasse de l'avion, vous examiner un peu les alentours. A l'arrière de la carlingue, là ou jadis se trouvait la soute, dépassait quelques caisses cabossées et noircies. Après les avoir ouvertes, vous découvrez ce que vous aviez espéré voir : une masse considérable d'explosifs. Dynamite, C4, Semtex, tout y était. Parfait ! L'avion était à peu près au centre du parc. Tout au bout de ce dernier, se trouvait une sorte de mausolée en pierre. Vous réfugiant derrière, vous pointez les explosifs du bout du pistolet que vous aviez ramassé un peu plus tôt dans la pièce.
Les ennemis débarquèrent dans le parc et vous aperçurent aussitôt. Une armée d'attaquants courut droit vers vous, contournant la carcasse. Juste avant qu'ils ne bloquent votre angle de tir, vous ouvrez le feu sur la première caisse d'explosifs. Une fois. Deux fois. La troisième fut la bonne.
Une explosion considérable ravagea la totalité du parc. L'onde de choc brisa les fenêtre supposées anti-explosion, fendit le mur du bâtiment, et fit s'écrouler l'entrée de ce dernier qui menait au parc. Tous les arbres qui ne furent pas calcinés sur le champ furent déracinés et projetés aux alentours. La colonne de feu monta à plusieurs dizaines de mettre du sol. L'explosion anéantit également le mausolée derrière lequel vous vous étiez réfugié, mais qui vous avez tout de même protégé du choc. Tous les assaillants du parc étaient morts. Sans exceptions. Pas un seul survivant ne pouvait prétendre être plus fort que les autres. Au loin, la foule rugit d'excitation, mais vos oreilles sifflantes vous permettaient tout juste d'entre les débris retomber un peu partout.
Vous étiez blessé, brûlé, contusionné, mais au moins vous étiez en vie. C'était sans doute l'action la plus épique que vous aviez accompli de votre vie. Quelques instants plus tard, un signal suffisamment fort pour que vous l'entendiez retentit. La fin des combats. Enfin. Le reste de la soirée vous échappa puisque vous vous étiez évanoui.
CHAPITRE 5 : RECHERCHES ET EXÉCUTIONS
Le réveil fut douloureux. Un mal de crâne à faire gémir un bulldog vous transperçait la tête. Une infirmière vint vous faire avaler des cachets. La douleur s'estompa légèrement, et Baline pénétra dans la pièce.
-Bon sang, tu sais que c'est le truc le plus incroyable, le plus démentiel, et le plus insensé que j'ai jamais vu dans ma vie ? C'était vraiment très impressionnant. J'ai tout vu depuis une fenêtre au troisième étage. Au début, je n'ai pas compris pourquoi tu les laissais approcher sans rien faire, et après... Ils sont tous morts. Bon sang, il y en avait plus de soixante, et tu les as tous tués en une seconde. C'était soit du génie, soit de la folie. Puisque ça a marché, on dira que c'était du génie... Bon. On a gagné. Maintenant, on aura droit à une audience privée avec Kalimna. Tu veux y aller maintenant, ou...?
Vous tenant la tête d'une main, vous décidez :
1-)De rester vous reposer et de demander à Baline d'y aller.
2-)D'y aller maintenant, avec Baline, malgré votre état de santé.
3-)De n'y aller qu'après vous être reposé, en espérant que Kalimna acceptera se retard.
Ouah la vache!!! Super idée d'avoir utiliser l'avion avec les C4
Sinon je choisit la 3)
ouahhhh trop trop cool encore mieux que toutes les autres et trop cool l'idée de l'avion avec les dynamites, c4 et semtex ( tu ne jourai pas a cod mw 2^^ )
et j'ai oublier de mettre que je choisisais la 3
Vraiment d'accord avec mes deux voisin du dessus
Sinon je prendrai la 3 aussi !!
Merci, cette idée avait germé dans ma tête pendant le passage avec l'avion.
ok cool
Tu as une idée de quand tu pourras nous faire la suite Ferocimo
Bien sûr. Quand il y aura un peu plus de réponses...
la 2) stp
Je ferais la suite très prochainement, sans doute demain.
Comme promis, la suite, avec la 3-).
Après une journée complète de repos, vous parvenez enfin à récupérer suffisamment pour être en état de marcher. Vous et Baline se dirigèrent vers la villa de Kalimna, escortés d'un petit contingent de gardes armés de M4.
Baline se pencha à votre oreille.
-On dirait qu'ils ne plaisantent pas avec la sécurité, par ici, chuchota-t-il.
Effectivement, la demeure était une véritable forteresse entourée de barbelés. Plusieurs tours de garde défiaient l'horizon, avec au sommet ce qui devait être un escadron de tireurs d'élite. Des caméras étaient postées un peu partout dans les endroits clés. Plusieurs patrouilles accompagnées de chiens de garde faisaient des rondes méthodiques sur le terrain vague entourant la villa. Kalimna était de toute évidence un homme méfiant. Et les hommes méfiants ont toujours quelque chose à cacher.
L'escorte vous fit entrer dans la maison. Le hall était luxueux et moderne, avec un design futuriste. Un escalier de verre montait en spirale à l'étage du dessus. Ici aussi, des gardes et des caméras couvraient la pièce.
Les soldats qui vous accompagnaient vous emmenèrent au deuxième étage, jusqu'au bureau de Kalimna. La porte étaient blindée et ceinturée de deux colosses à la mine patibulaire. Au milieu de la porte brillait en lettres d'or le nom du magnat de l'arène. Surveillé par deux gardes, vous pénétrez dans le fameux bureau. L'aboutissement de ce plan insensé aboutirait dans cette pièce.
Kalimna, assit sur un confortable fauteuil en cuir noir, annonça de bonne humeur :
-Tiens donc ! Voilà nos deux héros ! Un peu en retard, mais je ne vous en tiendrais pas rigueur. C'est compréhensible, après ce qui s'est passé, pas vrai ? dit-il en riant.
Baline sourit à son tour.
-Et bien je...
-Vous avez fait dans le spectaculaire, c'est le moins qu'on puisse dire ! le coupa Kalimna. Le publique à adoré. Vous m'avez fait là une publicité d'enfer, qui va me rapporter bien plus que ce que je vais vous donner en récompense. Et pourtant, c'est une somme ! Trente diamants bruts pour chacun d'entre vous !
Vous avançant, vous remerciez Eponis et empochez votre part de la récompense, tendant l'autre partie à Baline.
L'homme se tourna vers les gardes postés à l'entrée du bureau.
-Laissez-nous ! leur lança-t-il. Je suis sûr qu'ils n'y aura pas de problèmes.
Après que les gardes eurent-prit congé avec réticence, Kalimna reprit :
-Ha ha ! Je vais sortir une petite bouteille de champagne que je me réservais pour l'occasion.
Tandis qu'il se retournait pour fouiller dans un petit frigo, Baline se rapprocha discrètement de la porte et vous fit un signe de la main. Lui répondant d'un hochement de tête, vous sortez votre MAC 10 et le pointez sur Kalimna.
-La fête est finie, Eponis, lui lancez-vous.
Au moment ou Baline verrouilla la porte de l'intérieur, Kalimna se retourna, bouteille de champagne à la main.
-Oh, c'est pas vrai, gémit-il. Alors tout ça, c'était du cinéma. Bon sang, ce que j'en ai marre de ces tentatives d'assassinat...
-Et c'est pas fini, lui dit Baline.
-Qu'est ce que vous voulez ? De l'argent ? Des informations ? Me tuer ?
-Simplement des informations, pour l'instant, lui assurez-vous. On verra plus tard pour le reste.
Les gardes tambourinèrent à la porte. Tout cela vous rappelait drôlement l'affaire avec Gueyeran... Qui s'était assez mal terminée.
-Ou est le repaire de Matador ? questionna Baline. Et t'as pas intérêt à nous mentir, j'ai un contact qui vérifiera.
-Ah, c'est donc ça, soupira Kalimna. Des fois, je m'en mord les doigts, de cet arrangement avec ce vieux filou. (Il montra un endroit sur la carte). C'est juste là, près d'une route peu utilisée. Pas très loin de l'aéroport de Emekesta.
Baline sortit un téléphone portable de sa poche et composa un numéro. Une voix métallique jaillit de l'appareil, et Baline demanda à son contact :
-Vérifie ce que t'as sur la zone C7 de la carte 34. Près d'une vieille route, à mi-chemin entre Emekesta et Symine.
Après la réponse, Baline hocha la tête et referma le téléphone. Il annonça :
-D'après les archives, c'est une base militaire, mais selon le dossier, le général de la base s'appellerait Marodata... Un anagramme de Matador. C'est bien là.
Soudain, un souvenir rejaillit de votre mémoire. La base ! Celle que vous aviez croisée sur la route de l'aéroport ! C'était donc là... Vous étiez passé devant sans même vous douter de quoi que ce soit... une base militaire secrète, c'était la couverture parfaite. Cela n'était pas vraiment surprenant... Mais alors, il était possible que l'armée soit de mèche avec Matador, ce qui compliquait sacrément les choses.
-Bon, vous avez votre information. Vous pouvez me laisser maintenant ? Mes gardes ne vont pas tarder à forcer cette porte. Me tuer serait une mauvaise idée. Si j'étais vous, je m'enfuirais...
C'était une option. Une option parmi d'autres.
1-)S'enfuir en lui laissant la vie.
2-)Le laisser en vie pour l'obliger à révéler le code de son coffre fort, puis affronter les gardes pour tenter de partir en force de la villa.
3-)Le tuer, puis affronter les gardes pour tenter de partir en force de la villa.
Je dirai la 2-)
Tant qu'a faire autant piquer son fric !
Aller la 2-/ !!