j´ai lu que les 3 premiers chapitres mais l´histoire me plait, laisse moi le temps de lire et arrête pas ta fic hein
c´est bon,j´ai pu aller sur le net et j´ai lu ton chapitre il est cool,j´aime bien,j´espere que vegeta va le defoncer,mais surtout,ne t´arretes pas!!!!
bon chapitre!
vas y végéta butte le!!!! et intègre les forces spéciales!!!
ps: brolybest j´ai mis le chap24 de ma fic et demain il y aura le 25!! je souhaite vraiment ton avis sur le 24 car tu écris bien!! les autres m´ont dis que c´était le meilleur chap alors je voudrais savoir si tu pense comme eux!!!
ps2: arrête pas ta fic, t´as pas le droit de me faire ça!!!
on poste vu qu´on veut la suite!
BON SANG PENSEZ A UPPER O.O
Salut à tous!
J´ à fond pour ta fiction!
Je l´adore... (et aussi Vegeta)
Bonne continuation.
A bientôt!
Merci à vous tous d´avoir upper ma fiction, c´est gentil de votre, et ça prouve que vous portez ma fiction dans votre âme et votre coeur. Je vous envoie donc la suite, certes très longue, mais très plaisante à lire. Les termes employés seront moins soutenus que d´habitude afin de vous faciliter la compréhension de la lecture! Voila, bonne lecture à vous tous et bons commentaires! N´oubliez pas de me dire comment vous envisagez la suite s´il vous plaît!
Chapitre 29 : La déception !
Guldo, pantois, tomba des nues et ne sut que dire ; jamais, il n’aurait imaginé combattre un adversaire d’une telle envergure. Végéta, lui, se tenait debout, figé sur place, quelque peu dubitatif à une distance d’environ cinq mètres de sa position. Il toisait son opposant d’un regard persifleur et gouailleur qui témoignait de son envie et de sa motivation suprême à remporter la rixe. Au premier abord, la placidité, la quiétude dont il faisait preuve laissait supposer qu’il semblait sûr de lui. Toutefois, il demeurait songeur et sa mine austère, légèrement blême aussi, trahissait son comportement serein. En fait, il se méfiait de son antagoniste, certes faible, mais tout de même roublard. Ce dernier, ayant en effet auparavant adopté une stratégie, elle aussi, perfide, consistant à stopper le temps, le troubla. Non, le prince Sayen n’était, en somme, pas très posé. D’ailleurs, ses multiples gesticulations impétueuses de temps à autre démontraient même le contraire. Cependant, il se pouvait aussi qu’il se sentît dans le besoin immédiat de méditer en vue d’occire son rival en peu de temps, qui sait !? Sans doute, pensait-il même à autre chose aussi, dont qui que ce soit n’aurait pu s’imaginer ?! Subitement, il se dit :
<< Non ! Il faut à tout prix passer cette épreuve ! Je ne veux pas passer pour quelqu’un de frêle, faible aux yeux du capitaine ! Je n’ai pas le droit à l’erreur !> >
Soudain, un feulement de tigre l’interrompit dans ses songeries et le contraignit à regagner ses esprits, jusqu’alors, évadés dans sa mémoire. Celui-ci fut bien entendu exécuté en personne par l’être potelet et menu comme un bambin :
<< Sans cesse tu te moques de moi ! Lança Guldo, exaspéré, d’une voix chevrotante et un peu saccadée. Je ne peux plus supporter un tel comportement, je trouverai un moyen pour te vaincre !> >
L’autre se mit alors à rire aux éclats, les châsses brunes et étincelantes, et d’un sourire narquois, il répondit flegmatiquement :
<< Ne deviens pas plus niais et dadais que tu ne l’es déjà ! Voyons, je suis le prince Sayen ! Comment un minus de ton espèce pourrait t-il m’impressionner, hein !? Tu n’as aucune chance contre moi, je t’avertis déjà ! Tout ce que tu vas faire, c’est abréger ta vie de minute en minute, pauvre fou et demeuré !> >
Les joues de l’être remède contre l’amour devinrent tout à coup rougeâtres, laissant s’effacer peu à peu, ses couleurs originelles et primaires. Le sang lui montant à la tête, sa colère et sa fureur se manifestèrent sur le champs :
<< Comment !? s’exclama alors son interlocuteur d’un ton sec, froid et austère. Tu oses encore te moquer de moi ! Tu m’injure et m’outrages à nouveau ! Jamais, je ne pourrai digérer cet affront enfoiré ! Jamais, je ne te pardonnerai, tu m’entends !? JAMAIS !! !!!!!
- Comme tu es susceptible, dis donc ! Je ne savais pas que les moucherons pouvons en vouloir aux grands ! Enfin, bon, peu importe, je vais te fermer ton clapet ! Cesse tes trêves de bavardages inutiles et viens m’affronter à nouveau ! >>
Le zig disgracieux, laid se rua alors sur celui qui lui faisait face et tenta de lui porter des horions, mais en vain. Le prince les esquivait en effet tous d’une aisance remarquable et incontestable en se déplaçant de part et d’autre sur les côtés. Son rival, haletant, baissait la tête vers le sol et attendait de reprendre son souffle pour regagner à nouveau le combat, combat dont il commençait à désespérer l’issue. Toutefois, le Sayen restait froid, les bras croisés à contempler sa victime qui s’affolait et persistait à vouloir le lyncher et il reprit en esquissant à nouveau un sourire dadais et fat :
<< C’est tout ce dont tu es capable ! À ce rythme là, le combat va vite être terminé ! >>
L’acolyte de Gynue ne repartit point, comme si les paroles indécentes et blessantes de Végéta ne le touchaient, à présent, plus au plus profond de son âme. Tout ce dont il voulait, c’était de saisir son opposant par le coup et de le battre à coup de poing au visage, à la tête afin qu’il cesse de le mépriser hautainement. Néanmoins, il savait au plus profond de lui-même que la rixe était perdue d’avance et qu’il serait difficile de prendre le dessus sur son antagoniste. Des gouttes de sueur se mirent inopinément à couler sur sa face livide et morne, mais elles n’eurent point le temps de s’affaler sur la terre ferme car le prince Sayen lui donna à brûle-pourpoint un coup de pied, d’une violence inouïe, au ventre et l’envoya de ce fait se projeter au loin contre un guéridon portant un bock empli de bière. Mais au moment ou ce dernier s’apprêtait à lui lancer une boule déferlante en vue de le faire disparaître, tuer, la voix grave et puissante du capitaine l’interrompit dans l’exécution de son geste vif et alerte :
<< Non ! S’écria alors ce dernier, adossé contre la porte d’entrée. Ce n’est pas la peine de le supprimer Végéta ! Ce combat ne doit pas se terminer en tragédie ! Freezer ne peut le pardonnerait pas !
- bon, puisqu’il en est ainsi, je lui laisse la vie sauve, mais sachez tout de même que je déteste que l’on me donne des ordres ! À l’avenir, parlez moi sur un autre ton, je vous prie !
- Je suis le capitaine des forces spéciales, crapule ! Alors, soit tu m’obéis, soit je te donne une correction, même sans l’accord de mon maître ! >>
Le prince, sans doute offusqué par ces propos, ne protesta tout de même point et se tut illico, tandis que Guldo, se frottant le crâne de ses menottes fétides et menues de bambin, tentait désespéramment de se relever avec grande peine.
<< Bien ! Lança à nouveau Gynue, d’une voix autoritaire, vaniteuse et puissante. Végéta, je t’avoue avoir été rudement surpris de voir la façon dont tu aurais pu te débarrasser de Guldo ! Freezer a foi en vous et il a raison ! Vous êtes un valeureux guerrier, indubitablement doué pour le combat ! J’accepte donc que vous intégriez mon escouade ! Toutefois, au risque de vous décevoir, je vous avertis déjà qu’hormis moi, les autres membres du commando Gynue vous sont supérieurs ! De ce fait, vous serez le cinquième meilleur élément de mon bataillant et les tâches les plus ingrates vous seront confiées en premier lieu !
- Comment !? Protesta l’autre en criant et en fixant les yeux de celui qui serait à l’avenir son futur supérieur.
- Il en sera ainsi, point barre ! Que vous le vouliez ou non ! Si vous désirez grimper dans la hiérarchie, exercez vous !
- Ainsi ! Vous me considérez comme ce minable de Guldo, je suis en quelque sorte logé à la même enseigne que lui, c’est cela !? Je ne suis tout compte fait qu’un faible individu, auquel on ordonnera à l’avenir et même au moment présent, d’exécuter les tâches les plus barbantes ! Attendez, je vais vous montrer ce qu’il en coûte de me rabaisser pareillement ! Je n’ai point besoin d’intégrer votre armée dans ce cas ! >>
Sur ces mots, il s’en alla furtivement d’un pas résolu, ferme et rapide et s’apprêta à se rendre dans la salle du trône, revoir Freezer, lorsque l’apparition inattendue et instantanée de Gynue devant lui ôta ce désir et le contraignit, du moins pour l’instant, à accepter de gré la proposition de ce dernier.
que les moucherons pouvons en vouloir aux grands
corr : pouvaient
bataillant : bataillon
Il y a d´autres petites erreurs de frappe! Je suis désolé, j´étais fatigué les amis.
"Freezer ne peut le pardonnerait pas !" faute d´étourderie!!!
c´est génial!!!!!!!! mais j´espère que végéta va changer d´avis et intégrer les forces spéciales!!!!!! ça serait super!!!!!
après comme ça il fera des missions avec les cinqs autres!!!! ça va gérer!!!
au diable Nappa oublis le un peu!!! plus tard végéta va démissionner des forces spéciales à cause d´une embrouille et il reprendra les missions avec nappa!!!