? c'etait une question
J'adore vraiment ta fic et tu sais quoi ? tu ferais un bon ecrivain
je tiens plus en place je suis trop impatient
demain c'est la fin du monde LOOOOOOOOOOOOL!!!
Mince alors, vous aurez pas la suite
je veux pas mourir je veux la suite
Je m'y mets dés demain
tu en est ou
Je vais faire intervenir de nouveaux personnages, je vais donc mettre un peu de temps le temps que je mette mes idées en place.
si c'est aussi bien que les autres chapitres ca vaut le coup d'attendre
Lucaria,j'adore ta fic j'avais jamais vraiment apprécier une fic car je me lasser facilement mais la elle est excelente j'ai lu les 31 chapitres , je suis impatient de lire la suite.
Félicitation tu gère
J'ai trop hâte
pitié je peux plus attendre
Je pense ( et j'espère !) l'avoir fini demain.
Voilà enfin la suite !
Chapitre 32 : Le petit Esperia
Aïto se réveilla, au beau milieu de la forêt. C’était une habitude chez lui, il adorait dormir ici, si près des arbres et des animaux, il avait l’impression de ne faire qu’un avec son milieu. Malgré tout les dangers présents, il aimait cet endroit et le connaissait comme sa poche, c’était comme un second foyer pour lui. C’était un jeune garçon d’une dizaine d’années qui portait, noué à la taille, un pagne fait de feuilles tressées, ses cheveux noirs en bataille coupés court retombaient sur son front et le bleu de ses yeux était si clair que lorsqu’on les fixait, on croyait regarder un ciel dégagé. Aïto adorait la nature, mais cela n’avait rien de spécial, sa tribu avait toujours vécu dans le plus strict respect de l’environnement. Pour eux, chaque vie comptait, de la fourmi jusqu’à l’ours en passant par l’être humain, elles étaient toutes aussi importantes les unes que les autres. Mais le garçon était différent, il avait un lien particulier avec la faune présente sur son île, il pouvait s’approcher des animaux les plus féroces sans aucun danger, ils ne l’attaquaient pas et le laissait même les toucher. Ses parents lui laissaient une grande liberté de mouvement, car il savait que leur fils ne risquait rien. Bien qu’il fût très tôt, il commença à s’activer, il se mit très vite à grimper aux arbres, afin de cueillir des fruits, en guise de petit déjeuner. Ca aussi c’était une activité qu’il adorait, depuis tout petit, il escaladait la cime des plus hauts arbres, avec l’agilité d’un petit lézard. Bref, Aïto était très heureux de sa vie, paisible et agréable à souhait, il n’avait jamais eu de problème de toute son existence.
Mais cela n’allait pas tarder à changer.
L’existence de son île, Sperida, a toujours été ignorée de tous les habitants de la planète, indétectable par n’importe quelle technologie, elle était entourée d’une grande zone de turbulences maritimes et aériennes, qu’aucun vaisseau ou bateau n’avait réussi à traverser. Les rares hommes à avoir tenté le coup ne sont plus de ce monde pour en parler. C’était une veine pour les habitants, dotés du nom des Esperias, car leur sol était rempli de minerais rares et précieux, tels que l’or ou l’argent, qui aurait fait la joie des avides prospecteurs qui n’auraient pas hésité à chasser le peuple qui habitait ces terres depuis plusieurs générations. Les Esperias attribuaient ces phénomènes à des divinités reptiliennes, qu’ils appelaient « Les Meracxs »qui les protégeaient, et à qui ils vouaient un culte profond, mais dépourvu de cruauté, il n’était pas dans leur nature de faire des sacrifices, qu’ils soient humains ou animaux. Après avoir bien mangé, Aïto rentra à son village, où, là aussi, on voyait l’attachement profond de ce peuple pour la nature, les maisons étaient rustiques, faites avec des feuilles et du bois attachés par des lianes. Elles étaient construites dans ou à côtés des arbres, mais on voyait qu’il n’y avait jamais eu besoin de les couper pour avoir de la place, certaines huttes étaient même traversés par de grandes tiges ! Le jeune garçon se dirigea vers la hutte du doyen, Leditros, en saluant au passage tous les villageois qu’il croisait, car tout le monde se connaissait ici. Une fois arrivé à destination, il écarta le rideau de feuilles tressées qui servit d’entrée et dit :
«Leditros ? Quand-est ce que Merio reviendra ? »
Le vieil homme sursauta, c’était devenu une habitude chez Aïto d’entrer chez lui sans prévenir, mais cela amusait le doyen. Il portait une barbe et des cheveux gris qui lui descendaient jusqu’aux épaules, ainsi qu’une grande toge en tissu, dans sa main droite, se trouvant un grand bâton, symbole de son autorité.
« Petit farceur ! ricana-t-il, quand est-ce que tu arrêteras de me faire peur comme ça ?
- Quand tu arrêteras de sursauter à chaque fois de sursauter, t’es marrant tu sais !
Cette fois ils rigolèrent tous les deux à l’unisson.
- Et pour répondre à ta question, reprit Leditros, tu sais bien que c’est l’ambassadeur des dieux lézards, il doit être très occupé tu sais, et puis cela fait seulement une semaine qu’il est parti. Mais il y a autre chose qui te préoccupe, n’est-ce pas ?
Le sourire du petit Esperia s’évanouit d’un seul coup, apparemment le doyen avait vu juste.
- Tu n’as pas à t’en faire petit, je sais bien qu’il t’arrive de faire des rêves prémonitoires, mais celui-là est un peu gros quand même.
- Pourtant j’en ai parlé à Merio et il m’a pris au sérieux, il m’a même dit que je lui avais donné de précieux renseignements !
- C’est donc pour ça que tu es si pressé qu’il revienne. Tu vois qu’il n’y a rien à craindre, si nous sommes en danger, il va surement intervenir ou en parler aux autres divinités. Calmes-donc tes craintes, tu veux que je te raconte une légende de notre peuple ? »
Aïto acquiesça en souriant, mais ce n’était qu’une façade, au fond de lui il était toujours aussi terrifié par son rêve. Mais il y avait de quoi, la vision d’un poulpe monstrueux saccageant son village avait de quoi terroriser n’importe quel enfant de dix ans.
A suivre...
Ps : si vous remarquer un nom qui vous dit quelque chose, ne le dites pas ici, envoyer moi un mp.
Jolie chapitre !
Je lirai plus tard, je n'ai que quelques minutes a tout les 10 minutes.... quand Skyrim bug..
Bien trouvé, il est très bien
brrrrrrrravo!aller vive lucario
Bon chapitre