Bon alors, commentationnage !
Tout d'abord, je tiens à dire que je ne suis pas d'accord avec mes confrères GEBs ci-dessus. Et sur deux choses (oui oui). Premièrement je trouve que le fait qu'il n'y ait pas de cadre temporel est très bien pensé, ça laisse le lecteur dans un certain flou qui permet une certaine ouverture. Ensuite, Link dans le futur, pourquoi pas ? C'est original, ça change. Et cette ambiance où tout se mélange, le passé avec le futur avec le présent (oui car Link va toujours au lycée ce qui est une notion familière avec notre époque), je la trouve géniale. En bref, moi j'adore l'atmosphère qui se dégage de ton texte.
Le style convient bien avec le fond, c'est à dire qu'il est lui aussi assez étrange et singulier. Tu décris tout avec un détail presque clinique et froid. Ce qui peut être une qualité... comme un défaut. Oui, moi ça me saoule vite ce genre d'écriture où tout est décrit avec bien trop de détail. D'ailleurs, tu fais souvent des erreurs de style, à vouloir faire des tournures classes. Bien sûr, ça réussit souvent, mais des fois ça donne quelque chose de bien trop... bizarre, comme je l'ai déjà dit. Par exemple la description du début avec les yeux, j'ai eu du mal. T'aurais pu te contenter de dire qu'il regarde l'heure, mais au lieu de ça t'emploies toute sorte de qualificatifs pour désigner les yeux et le réveil. Ca plaira peut être à certain, moi je trouve ça moyen ^^.
Pour conclure, je dirai que j'ai beaucoup aimé, car malgré tout ce que j'ai dit, la forme est quand même pas trop mal, et je trouve le fond tout simplement excellent ^^.
Ah, et :
https://www.jeuxvideo.com/boite-a-idees/00003260-ssbnoodle-aucune-boite-a-idees.php
Dois-je vous le rappeler sans cesse ? Il est important d'être autonome maintenant .
C'est toi qui parle d'être autonome ?
Bon, j'vais faire un léger commentaire sur le texte d'impact (enfin, léger, j'en sais rien, disons que j'suis fatigué mais que j'ai envie d'commenter, j'verrai bien ce que ça donne. )
Premièrement, j'dirais que je rejoins Goulou sur presque tous les points. Le cadre spatio-temporel absent n'a rien de dérangeant, c'est le principe même de Zelda d'ailleurs. Soit, on peut dire que dans les jeux, c'est une époque moyenâgeuse, jusqu'à ce que Wind Waker arrive. Là, c'est tout de même vachement différent, et pour situer le cadre temporel, bon courage. Donc, dans une fiction comme ça, où ça semble tout de même se passer dans le futur, ou dans notre présent (le dialogue entre Link et sa sœur ressemble beaucoup à un dialogue de lycéens actuels), le manque d'informations me dérange pas trop, surtout qu'il est probable qu'elles viennent plus tard.
Ensuite, ouais, un Link dans le futur... Dans une fiction, j'vois pas en quoi c'est gênant. Dans un jeu, j'comprendrais que ça rebute, mais là, dans un texte, il va pouvoir s'axer beaucoup plus sur le scénario, l'ambiance, et tout. Il peut tout à fait faire une histoire intéressant, même avec ce contexte.
La forme, j'ai tout de même moins aimé. T'as un style simple, t'as de quoi faire de très bons récits, mais j'ai un peu l'impression que tu cherches les complications, et c'est pas toujours très bon. Par exemple, j'prends une phrase :
"Comprenant alors la fonction de cette fumée, Link scella son nez et sa bouche et ferma les yeux."
Le verbe "sceller", ici, n'est pas utile. Disons qu'il aurait été utile pour faire une métaphore ou une quelconque autre figure de style, mais ta phrase n'en contient pas véritablement, il suffit de remplacer par le verbe "fermer" et on obtient une phrase tout à fait neutre. Autrement dit, parce que mes explications sont bancales, il aurait fallu que tu rajoutes des tournures un peu moins, j'dirais "banales", faute de mieux, pour pouvoir créer une métaphore. Mais, sinon, tu peux toujours rester dans un ton neutre, ça peut tout à fait marcher. Là, j'sais pas, t'as essayé de faire un mélange qui m'a un peu rebuté. Mais bon, y a du niveau, et tu peux facilement arriver à faire quelque chose de très bien !
J'te souhaite bon courage pour la suite !
Goulou Désolé, moi ça m'a gêné de n'avoir aucune indication alors que c'est la base de toute histoire dans la littérature française. Et non, ce n'est pas un effet à produire pour ceux qui n'ont pas lu la fiction. Le problème, c'est que s'il n'avait pas instauré "Link" et le "Château", là d'accord, on est dans l'inconnu à 100%, et c'est une bonne chose. Mais avec ces éléments, ça change complètement la compréhension du texte.
Et vois-tu, impact a été obligé par la suite de me donner la situation de l'époque. Autant mettre ça directement dans le texte.
Après, Link dans le futur, j'en savais foutrement rien puisque ce n'est pas en m'appuyant sur un dialogue que je vais pouvoir en déduire une chose aussi grosse. Les mauvais dialogues, ça existent aussi.
Donc voilà, merci de prendre en considération mes remarques
Tu sais, les châteaux, y en a toujours hein. Abandonnés, soit, mais il en reste toujours en bon état. Donc, j'suis désolé, on reste dans l'inconnu, et ça gêne pas du tout.
Ensuite, c'est même pas la peine de s'appuyer sur le dialogue. Tu vois que Link est lycéen, t'en déduis facilement que ça se passe dans le futur.
Et encore, j'dis l'inconnu, il ne donne simplement pas d'indices précis, mais il en donne qui permettent de situer l'époque, sans date précise.
"Comprenant alors la fonction de cette fumée, Link scella son nez et sa bouche et ferma les yeux."
C'est de ce genre de phrase dont je parlais dans mon commentaire. Comme l'a dit Boost, on dirait que tu cherches à te compliquer l'écriture en mettant des figures de style. Parfois sa passe mais là c'était absolument pas nécéssaire. On dirait que tu veux faire du moment un moment mystique(tu peux évidemment mais bon) alors qu'en ayant dit un autre mot plus approprié sa serait passé inaperçu.
Goulou Toi j't'aime bien
Bon, plus sérieusement. Pour le fond, j'apprécie ton engouement. Maintenant, la forme...
Je dois avouer que c'est parfois assez étrange. Mais au début, j'ai rencontré un problème : Comment ne pas dévoiler l'identité du protagoniste, tout en parvenant à le décrire ? C'est dans l'idée de résoudre cette malencontreuse complication que j'en suis venu à faire personnifier les yeux de Link. En fait, je voulais surtout insister sur la fatigue du jeune homme, tout en faisant intervenir une réalité probante : le réveil de l'adolescent
Et pour l'époque, je suis bien d'accord avec toi
De toute façon, l'époque n'a pas tellement d'importance ici, et vous comprendrez bien vite pourquoi
Ah, et ravi que ça te plaise x)
Boost Léger, moui... j'te l'accorde
Avec un petit exemple, je comprends tout de suite de quoi tu veux parler
Par la suite, j'essayerais de faire quelque chose de plus simple et de plus facile à lire...
(Pourquoi j'ai mis le verbe sceller moi ? )
Ah, et pour les indices temporels :
- Le réveil, et j'insisterais dessus, cubique
- Le dialogue entre Link et sa sœur, comme vous avez pu le remarqué, à ma grande joie
- L'androïde, le robot, ou on sait pas trop quoi... Ici, il aurait pas fallu se dire "Oh !! On est dans l'futur !!" mais plutôt "Link est étonné voire même interloqué par ça. D'ailleurs, il n'a jamais vu cette chose... Mmhmmm... J'en déduis donc que c'est un élément perturbateur et contradictoire de l'époque, ce qui nous amène à un problème."
Après, libre à chacun de voir ça comme il le veut, mais je pense mettre tout le monde d'accord avec le prochain chapitre
Oui, c'est aussi ce que je me suis dit, qu'il pourrait y avoir une contradiction, mais j'pensais bien qu'elle était voulue, et j'm'en suis pas plus soucié que ça.
Raptor --> Le prends pas comme ça, on a pas les mêmes avis, c'est tout ^^. Pour répondre à ton post, je suis pas d'accord quand tu dis que c'est la base de toute histoire d'avoir un cadre spatio-temporel. C'est faux, j'ai lu des tas de livres d'anticipation, de science fiction, ou même de fantasy qui n'expliquaient jamais directement et concrètement au début où on était et à quelle époque on se situait. C'est justement ce qui donne envie de connaître la suite dans ce genre d'histoire. Pour Link et le château, justement, ça crée un bouleversement, ce qui est une bonne chose (pour moi ^^). Après, bien sûr, certains peuvent ne pas aimer, mais on ne peut pas dire d'un passage aussi court qu'il est moyen car il n'y a pas d'indication temporelle. Dans la plupart des textes, justement, l'indication vient après. Pour le reste, je rejoins Boost .
J'avoue que "sceller" pour une phrase du genre "Comprenant alors la fonction de cette fumée, Link scella son nez et sa bouche et ferma les yeux." , ça fait trop solennel, trop important. T'aurais dû mettre "Link ferma son nez, sa bouche, (et) ses yeux." (le "et" n'est pas obligatoire et ça aurait pu mieux marcher).
Bon, j'voudrais au moins poster un texte sur ce topic, parce que j'ai besoin d'beaucoup d'avis, étant donné qu'il a bien plus à certains, mais pas tant que ça à d'autres. Euhm, que dire... C'est à la base un exercice stylistique, bien qu'il est possible que j'y apporte un véritable fond plus tard, je ne sais pas. Ah, et je vous conseille, si vous n'avez jamais joué à Ocarina of Time, de regarder les walkthroughs sur Youtube, parce qu'il est possible que vous ayez du mal à comprendre sans avoir connaissance des évènements du jeu. Bref, je poste. xD Ah, et c'est assez court pour l'instant hein, deux pages Word.
Un château en feu, au loin. Un cheval galopant à travers les plaines par une nuit froide et pluvieuse. Et un bébé, enveloppé dans un linceul. L’eau du ciel lui fouette le visage, pourtant protégé par une personne, celle tenant les rênes de l’étalon.
Ce fut ce que vit Link en rêve, lors de ses premières années de vie. Aussi, la nuit, se réveillait-il souvent en pleurant, terrorisé par cette vision apocalyptique qui se répétait inlassablement dans son esprit, se jouant de ses sens, crochetant les portes cadenassées de sa mémoire. Il fallut attendre qu’il dépasse deux ans pour que les rêves cessent. Par la suite, plus jamais il ne rêva du château en feu, ni de la fuite à cheval.
Un sommeil agité, secoué par un cauchemar. Oui… une ombre, traversant une contrée ravagée de toute part sur son cheval de ténèbres, promenant son regard mauvais sur tout ce qui l’entoure. Cette ombre se tient devant un château, maintenant. Elle tend la main. Un scintillement y naît, y grossit, la quitte, frappe un front parsemé de mèches blondes, et meurt. Puis, tout cesse.
Un lit. Une cabane, creusée dans du bois. Une fée, qui se tient devant un jeune garçon blond. Elle crie, bafouille des choses à une vitesse telle qu’elles en deviennent incompréhensibles. Arbre Mojo… le temps presse… aller le voir… Le garçon sort. Une forêt. Une forêt, baignant dans une lumière altérée par la végétation. Le garçon descend l’échelle devant la maison perchée. D’autres enfants. Et d’autres fées. L’une des filles s’approche, semble joyeuse. Saria… ? Le reste se passe très vite. L’enfant à la fée, soudain muni d’une courte lame et d’un morceau de bois faisant office de bouclier, se trouve devant un arbre, un arbre qui parle. Que dit-il ? Homme mauvais… relique sacrée… malédiction… L’enfant se retrouve soudain à l’intérieur de cet immense être végétal. Un monstre, à l’œil unique et à l’apparence d’araignée… Il est vaincu par ce petit homme si courageux. À nouveau, celui-ci se retrouve devant l’arbre. Ce dernier parle, mais plus difficilement. Il était condamné… Hyrule… des déesses… terre sacrée… pouvoirs divins… Triforce… Force, Sagesse, Courage… des pierres magiques… une princesse… Le reste est flou. Une belle émeraude se pose dans la main du garçon. Puis, l’arbre devient gris, perd ses feuilles, la vie le quitte. Finalement, il n’est plus qu’un grand tronc de bois, sur lequel reste une expression de sagesse gravée à même son cœur. Le garçon semble attristé mais ne s’attarde pas. Il court, passe devant les lutins sans y prêter attention.
Il sort de la forêt, un ocarina à la main. Une plaine, une grande plaine. Elle s’étend, elle s’étend si loin… À l’horizon, une ville. Le garçon traverse cette étendue de verdure, puis un pont-levis. Une bourgade, une foule agitée, des bruits, des clameurs surgissent de nulle part. La joie est partout. Elle court dans les rues, surprend les passants et les entraîne avec elle dans sa danse effrénée. Un château. Le garçon blond s’y dirige. Pour voir la princesse, sans doute. Il passe par le jardin, s’infiltrant par une bouche d’évacuation de l’eau, évite les gardes avec une déconcertante facilité. Il rencontre la princesse. Elle parle des mêmes choses que le grand arbre. Puis, elle semble lui confier une mission. Trouver les pierres restantes… ouvrir la porte du Temps… Le petit être se dirige vers la sortie. Une femme à la silhouette fine s’y trouve. Elle siffle un air… le garçon le répète avec son ocarina… Puis, une explosion de fumée blanche.
Le garçon est dehors. Il fait face à un mont qu’une auréole de gaz blanc surplombe. Il s’y dirige, s’arrête dans un village, visite son cimetière. Il repart en jonglant avec le jour et la nuit, escalade la montagne, rencontre des hommes de pierre dans leur village. En empruntant différents chemins de ce hameau, il finit par déboucher dans les bois de sa forêt. Il y retrouve son amie. Il apprend d’elle un air, et repart, l’esprit léger, le cœur joyeux. L’enfant retourne chez les êtres de la montagne, s’engouffre dans une sombre caverne, et la débarrasse d’un monstre reptilien. Une autre pierre, un rubis. Un chef joyeux, soulagé, reconnaissant.
L’enfant repart, remonte un fleuve. Il se dirige vers l’amont de cette rivière si pure. Un miroir d’eau fraîche troublé par un courant perpétuel. Il arrive devant une cascade. Il joue le chant, que cette femme lui a appris. Le rideau s’ouvre, se scinde, offre une entrée. À l’intérieur de la roche, un village semble scintiller. Des êtres à la peau blanche et au physique entre l’homme et le poisson, nagent, gracieusement. Le garçon monte des escaliers, voit ce qui semble être le roi de ces êtres… Comment dit-il ? Zoras ? Il parle aussi d’une princesse disparue… Le garçon redescend, plonge dans le bassin, passe par un trou dans la roche. Il nage dans un grand lac, à présent. Il remonte à la surface, passe la tête à travers ce miroir lumineux. Au fond de l’eau, il trouve un message, contenu dans une bouteille. Il le lit, puis l’amène au roi. Que dit-il ? Il parle d’un dieu protecteur… de cette princesse… avalée ? Le garçon contourne le siège de l’imposant souverain, sort du domaine.
Il arrive devant un être, géant parmi les poissons, et se retrouve en son sein d’une manière plutôt singulière.
Tout est visqueux, rose. Des bulles volent, des méduses dansent, illuminées par des étincelles. Les murs de chair se contractent, affaiblis. Une respiration bruyante, malade, résonne dans cette cavité. Des pores s’ouvrent et se referment continuellement. Le garçon rencontre un autre des ces poissons humanoïdes. Princesse… "Quelque chose"… Soudainement, un orifice s'ouvre; elle tombe. Il la suit, la porte, la sauve du néant de la gueule d'une pieuvre.
Dans une danse folle, il taillade, tranche, lance. La méduse ne tourne plus; son ballet prend fin. Parmi les restes se trouve une pierre bleue. La princesse la ramasse, semble réprimander le jeune garçon. Les parois de chair disparaissent.
Une promesse… Un mariage ? La pierre… Le Saphir Zora. Le garçon a terminé, il veut revoir la princesse du château. Ce château…
Il est assiégé par la pluie. Ces gouttes… elles font mal. Elles répandent la douleur et la haine… Un cheval de neige passe en galopant. Non… pourquoi s'enfuit-elle ? Elle lance quelque chose… Il tombe dans l'eau de la douve… L'enfant se retourne… L'ombre. Elle est là. Que dit-elle ? Princesse… Ganondorf, c'est son nom ? Seigneur du Malin… Le garçon dégaine sa lame. Ce rire… quelle horreur. La pureté de l'air disparaît sous son joug. L'ombre tend la main, et de nouveau, ce front est heurté, ce corps projeté. Un nouveau rire, puis, elle part.
Il sait quoi faire. Il est dans un temple. Quel temple ? Un temple irréel, comme coupé du flux du temps. Il s'avance et dépose les pierres sur un autel. Alors, il sort un instrument. Pas celui de la fille aux cheveux d'émeraude. Un autre, mieux travaillé. Il joue alors un air, puis, l'air se joue seul; il est une chose à part entière. Les notes s'introduisent à travers une lourde porte, comme des clefs. Elles exécutent leur rôle. La porte n'est plus barrière. Alors l'enfant, insouciant, s'avance. Une épée de lumière, un faisceau lumineux, prisonnier d'une roche. Il la retire, il la libère. Il se libère. Le tintement de la lame emplit le temple d'un merveilleux son. Mais le rire diabolique l'écrase…
Ainsi furent constitués les rêves de Link lorsqu'il eut dix ans. Tout du moins, il se forçait à le penser, car, au fond de lui, il savait qu'il se disait cela pour se rassurer lui-même. Pourquoi ces mêmes pensées revenaient-elles incessamment le hanter ? Et pourquoi lui semblaient-elles être réelles même après qu'il se réveille ? Pourquoi ce garçon lui ressemblait-il tant ? Et pourquoi, chaque matin, son front lui faisait-il mal… ?
Ah okay, faute de frappe tout au début : "il a bien plu", sans "s". Bref...
Prem's comme tu m'a chipé ma place!
C'est dommage de trouver encore un texte qui parle de Link.
Comme je finis de poster un truc sur une autre page, je lirai dans quelques minutes et j'te mets un long commentaire après
Ah, j'suis désolé, j'pensais pas qu'tu voulais poster. ^^'
Oooooh, je lis et je commente aussitôt *o* !
Bon, je l'avais promis, j'essaye d'être un homme de parole.
Impact Je rejoins ce qu'ont dit Boost, Goulou et CrazyNaly. Surtout que cela n'apporte ici aucun plus dans la qualité. Il n'a jamais été question de remplacer un mot simple par un autre plus compliqué pour créer une figure de style.
Je ne pense pas avoir lu l'Organisation AC, donc je n'ai aucune idée du scénario, mais on a vraiment l'impression de voir un exercice de style là. TROP LOURD. Si tu veux passer un message, déballer ton récit, bah c'est très difficile avec autant de descriptions. Tu haches la lecture.
J'ai eu la même reproche, et encore je pense que je faisais moins. On appelle ça le syndrome de Tolkien. Tu décris tout et n'importe quoi, et on s'y perd.
Franchement, le réveil de Link, on en a rien à carrer quoi. Si tu t'attardes autant sur chaque détail, ça va pas le faire. Certains aiment ça, mais je peux t'assurer que tu va rebuter la majorité des lecteurs. Sans compter que le vocabulaire développé n'est pas un pré-requis à la qualité. on peu faire très simple et très attachant. Le truc c'est de s'attarder sur l'essentiel. Des sentiments à un instant crucial, une mort, une situation insolite... Là, un réveil on sait tous comment ça se passe quoi.
Enfin ça ne reste que mon avis, mais faudrait mettre un holà aux textes dégoulinant de lourdeurs.
Boost, j'en profite. Bon alors, je t'ai déjà fait part de mon avis. Tu fais bien de préciser que c'est un exercice stylistique, parce qu'un OOT in a nutshell, y a pas énormément d'intérêt. Les phrases courtes comme ça, c'est marrant un instant mais ça devient très pesant à la longue, j'espère que tu va prendre une autre orientation pour l'âge adulte.
Et puis même du point de vue stylistique... y a pas grand chose à tirer de cet exercice, tu peux pas en faire un style.
Tu devrais plutôt t'affranchir du cadre Zelda-esque à mon avis.
M'enfin, tu verra ça
Bon alors tout d'abord, j'ai aimé, c'était vraiment bien, bravo !
Bon alors, tout d'abord, je n'ai JAMAIS joué a Ocarina of times, mais j'ai reconnu les Gorons, les Zoras....Bon ça va de ce côtés, ça veut dire que toute tes descriptions était parfaites !
Oui c'est un style très particulier, on aime ou on aime pas. personnellement, je pense qu'il convient a un texte plutôt court, au bout d'un moment, ces phrase si courte on tendance a ennuyer un peu . Mais tu as su doser correctement, donc ça aller a quelque chose près, ça restait fluide. Bon, je me suis quand même ennuyé pendant le passage où Link rencontrait Zelda, les phrase était un peu lourdes. Quelques liens logiques dans l'ensemble en plus n'aurait pas été de trop.
Au niveau des fautes, j'en ai vu une, inadmissible .....En fait non ! La ponctuation est un peu difficile, et je me rappelle d'avoir trouvé une virgule assez mal placé qui cassez le rythme du texte. Rien de bien grave.
L'histoire ? Ba c'est celle de Ocarina of times non ? . L'intérêt du texte réside dans le style original et dans la façons dont tu conte le rêve de Link. J'ai bien aimé ce passage particulièrement: "Et pourquoi lui semblaient-elles être réelles même après qu'il se réveille ? Pourquoi ce garçon lui ressemblait-il tant ? Et pourquoi, chaque matin, son front lui faisait-il mal… ? "
Je trouve que c'est très beau, bravo !
Merci Eagle pour ton commentaire. Mais j'suis pas d'accord, un exercice comme celui-là, qui m'entraîne à utiliser un peu plus de formes poétiques, figures de style, etc., c'est bénéfique. Enfin...
Moon Ouais, les phrases courtes, je sais bien que ça ennuie, et je ne compte d'ailleurs pas faire ça pendant tout le récit. En fait, ce que j'ai donné est un peu trop court pour que vous puissiez vraiment interpréter ce que j'ai fait, et donc, je comprends que les phrases courtes comme ça finissent par rebuter. Enfin, t'as l'air d'avoir apprécié quand même ! Merci pour cet avis si favorable. Quant au passage où il rencontre Zelda, je vais voir si je peux remodeler un peu, merci d'm'avoir prévenu.