Salut tout le monde !
Depuis quelques temps, le forum est remplit de fic sur " Mario au lycée" ou " Les Brawleurs au collège ". J'aime beaucoup certaines de ses fic, mais voir toujours la même chose finit par lasser. J'ai donc décidé de tirer mon épingle du jeu, avec une fic " à moi " changeant radicalement d'ambiance... je vous préviens, ce n'est pas une histoire comique... mais si j'arrive à trouver de quoi vous faire rire, je n'hésiterai pas
Mais avant, je vous conseil de lire ce qui suit, pour bien comprendre l'histoire:
REPERES TEMPORELS / LIEU
L'histoire regroupe les persos de SSBB, cependant, c'est assez difficile de situer où se trouve par exemple le chateau de Zelda par rapport à celui de Peach les personnages de Starfox tenant une place importante dans l'histoire, je siturais donc les univers pas planète: une planète pour le monde de Mario, une autre pour celui de Zelda etc...
EPOQUE:
L'histoire se passe après les évènements de L'émissaire subspatial. Pour les persos de Starfox, elle se situe après le fin de StarFox Command, avec la fin où Wolf et son équipe abattent l'empereur Anglar comme ici:
http://fr.youtube.com/watch?v=h0DEpQblc9k
Réunir les différents univers est assez difficile quand on veut faire une histoire cohérente, je vous demanderez donc d'être indulgent Je poste ...
PAR VENGEANCE
Chapitre 1:
La jeune femme tremblait.
Assise à la grande table de bois qui trônait au centre de sa chambre, elle tentait tant bien que mal de se concentrer, et de maîtriser le tremblement de ses mains qui l'empêchait d'écrire... Elle repoussa une mèche de cheveux blonds que la sueur lui avait plaqué contre le front... La peur la tiraillait, lui nouant la gorge. Difficilement, elle avala sa salive, cherchant ses mots... sa main resta suspendue au-dessus du papier, hésitante. Elle secoua la tête d'un geste nerveux, l'air épuisée et abattue. Rageusement, elle jeta son stylo dont la plume s'écrasa au sol, répandant l'encre sur le plancher, formant une tâche au milieu du magnifique tapis.
La princesse Peach se laissa aller contre le dossier de son siège. C'était intenable... cette pression... ce danger ... elle tenta de se concentrer, de se raisonner, alors qu'elle sentait l' éthau de la peur se refermer peu à peu sur sa poitrine. C'était si soudain ! Cet homme était venu, et il lui avait dit :
"Quelqu'un vous tuera, ce soir."
Ces mots l'avaient frappée comme un coup de poignard...Il l'avait regardée, derrière la visière noir de son masque, et avait ajouté:
"Mais nous sommes là pour l'en empêcher."
Elle se leva et fit les cent-pas. Tout cela était le plan: le plan ! Servir d'appât; capturer le criminel... et ce serait fini... Mais si quelque chose tournait mal ? Et si...si ces hommes échouaient... si ces hommes étaient eux-même les assassins. Après tout, jamais ils ne lui avaient dévoilé leur visage... elle s'assit sur son lit, s'allongea, tenta de s'éclaircir les idées... "et si... et si"... se torturer ainsi l'esprit ne servait à rien, elle ne pouvait plus faire marche arrière de toutes façons. Elle sentait son coeur battre la chamade sous sa poitrine... Boum, boum... à rythme régulier... boum, boum... la peur l'enveloppait... boum, boum... et si ce coeur s'arrêtait de battre, ce soir, assassiné...
La princesse se leva brusquement et bût d'un trait la tasse de thé qu'elle s'était servi en début d'après-midi... C'était froid désormais, trop froid... Mais sa gorge serrée l'empêcha d'en sortir le goût amère. Elle ouvrit la grande baie vitrée et sortit sur le grand balcon qui dominait toute la cour du château. Le jeune femme contempla les arbres, les haies, les fleurs... Mais son angoisse ne diminuait pas... la peur déformait tout, altérant les sens...mais elle attendrait, seule...
Mario frappa du poing sur la table, les dent serrées par la colère:
" Pourquoi ne me laissez-vous pas y aller ?"
Le soldat que lui faisait face soupira derrière le casque qui lui couvrait le visage:
"Monsieur Mario, le capitaine vous l'a maintes fois répété... l'individu que nous traquons est particulièrement dangeureux ! Nous ne souhaitons que garantir votre sécurité !"
Le plombier se renfrogna et lissa sa moustache:
"Vous oubliez, reprit-il, que j'ai sauvé cette princesse plus de fois que vous ne pourriez le faire durant votre existence. Moi, monsieur, j'ai combattu Bowser et... euh... des plantes carnivores... et même de champignons sur pattes pour sauver la princesse ! "
L'homme explosa d'un rire gras:
"Des chapignons... sur pattes ! "
Il reprit son souffle entre deux éclats de rire:
"Monsieur... il existe des ennemis bien pires que votre gros dragon lance-flamme... des ombres, qui se glissent furtivement vers leur proie, ne leur laissant aucune alternative autre que la mort. Bowser est peut-être gros et couvert de piques... mais avec sa taille, le moindre de mes hommes pourrait l'abattre d'un laser bien placé..."
Il plaça son doigt au-dessus du nez du plombier:
"Bam ! Entre les deux yeux, fini Bowser ! Nous connaissons bien l'homme que nous traquons... et il ne se laissera pas abattre aussi facilement..."
Mario se laissa retomber sur sa chaise, vaincu...
Peach frissonna... cela faisait des heures... combien de temps était-elle restée là, à attendre, cherchant du regard les soldats embusqués dans le jardin? Si le criminel les débusquait aussi facilement qu'elle l'avait fait, elle ne donnait pas chère de sa peau... Elle soupira -encore- et retourna dans la chambre. Elle ferma vivement la porte et ferma les rideaux... les rideaux...
Elle se baissa, le souffle court. Elle prit délicatement la soie entre ses doigts, découvrait une large empreinte de semelle... qui aurait pû... ils avaient été lavés le matin même... Elle se redressa affolée... quelqu'un était rentré à son inssue, alors qu'elle était au balcon... la peur faisait bourdonner ses oreilles... le sang battait à ses tempes... elle sentait chaque partie de son corps trembler... Il était là... l'homme que devait... non ! L'homme qui allait la tuer. Elle se jeta sur la poignée de la porte qu'elle venait juste de refermer... elle devait sortir ! Crier à l'aide... La panique la paralysait, et l'empêchait d'enfoncer la clé dans la serrure. Tétanisée, elle poussat un cri. Le coup fut bref; sec... plus rien... elle tomba... le noir; le néant...
" L'homme " se pencha vers sa victime et porta deux doigts au cou de la princesse... encore vivante... parfait ! Il se leva, les babines retroussées en un sourire de satisfaction, révélant des dents acérées et activa le communicateur ceint à son oreille, attaché au bandeau électronique qui lui couvrait l'oeil gauche:
"Ici Wolf... cible atteinte..."
Voilà, laissez vos impressions ! J'apprècie la critique, sauf quand elle n'est pas constructive J'espère que vous apprécierez, même si l'ambiance peut paraître spéciale
Flemme de lire un pavé tout de suite , je verrais demain
( Le Sage A Parlé )
Merci, du moment que j'ai des lecteur, je compte sur toi
Au moins il a joué à ToS =D
tu es un bon auteur la narration est de qualiter et l'histoire et au meme niveau pour le moment y'as rien a changé reste plus qu'as voir si la suite seras aussi bien que le debut
Ouh la , va être gai cet fic
pas mal la faut que j'ai remarqué , "l' éthau de la peur"
Mais sinon continue , c'est que le début de l'histoire , j'ai l'impression de lire un roman la
C'est pas mal , mais faut voir la suite
PS : J'ai puisé dans mes dernières ressources pour lire , la fin est proche
( Le Sage A Parlé )
La faute et non pas la faut
( Le Sage A Parlé )
ouai ta fic est vraiment bien.
continue
ça c'est de la fic. Continu.
"La princesse se leva brusquement et bût d'un trait "
--> But, sans "^"
"alors qu'elle sentait l' éthau de la peur"
--> Etau
"la tasse de thé qu'elle s'était servi"
--> Servie (Non ? XD (Autant le dire, je ne suis pas aussi douée que toi pour l'orthographe.))
"Des chapignons"
--> Faute de frappe, ça arrive ^^ Rien de grave.
"cherchant du regard les soldats embusqués dans le jardin? Si le criminel les débusquait aussi facilement qu'elle l'avait fait,"
--> Quelques répétitions comme ici avec "débusquer" rien de grave non plus, du moment qu'il n'y en ait pas à chaque ligne.
J'adore ton style, c'est très fluide donc bien agréable à lire. Très peu de fautes aussi, je te félicite, il est rare que je lise une fic avec une orthographe aussi parfaite. (Il y en a, certes, mais c'est chose rare.)
Tu sais gérer le suspens, nous plongeant dans l'ambiance angoissante que ressent la princesse. Bon travail, je ne sais pas combien de temps tu as passé dessus, mais c'est soigné. (Si tu me dis que tu as écris ça d'une traitre en une demi-heure à peine, fais-toi écrivain! XD)
Voilà pour mon comm'.
(En espérant que tu penses à moi et que tu me fasses une autre histoire sur ToS ^^)
"cherchant du regard les soldats embusqués dans le jardin? Si le criminel les débusquait aussi facilement qu'elle l'avait fait,"
--> Quelques répétitions comme ici avec "débusquer" rien de grave non plus, du moment qu'il n'y en ait pas à chaque ligne.
--> Non, je ne sais plus lire à cette heure là moi! XD
Sorry, oublie cela ^^
PS: Bon vocabulaire, il me semble ne pas l'avoir précisé. ^^
Merci de tous m'encourager
Je continuerai donc ma fic !
Pour répondre à ta question Yuen, j'ai prit 1 heure et demi pour l'écrire, dont 15 minutes de corrections. Quand à TOS, c'est probable que je me repenche dessus
Que des com positifs, j'espère que vous continuerez tous à suivre ma fic. Maintenant, dodo ! Je tiens à être en forme pour mes derniers jours de vacances, peut-être un autres chapitre demain soir !
D'ici là, a+
bravo très bon texte de ta part encore une fois stp continue a faire des fic pour tales of symphonia
Hello, petit UP du matin !
La suite avance, mais je suis occupé cet aprèm', donc je ne peux rien garantir, mais je devrais finir dans la soirée
Pour le prochain chapitre, vous en apprendrez un peu plus du scénario et des évènements pour l'instant flous. Le perso principal va commencer à se détacher des autres...
Voilà, de nouveaux lecteurs ( et donc de nouveaux commentaires ) seront les bienvenus !
Aller, UP, pour tenter d'attirer de nouveaux lecteurs. Je viens de rentrer chez moi, je reprend donc la suite S'il vous plaît, laissez des commentaires lorsque vous lisez...
Salut à toi
un ami a moi à organisé un concours de fiction, viens participer, on ne sait jamais^^ !
Bonne chance !
Kktoes je verrai !
Mais bon, voilà la suite !!!
Chapitre 2 :
BLAM !
La porte de la chambre s'ouvrit avec fracas, la projetant sur le sol, arrachée de ses gonds.Un flot de soldats se déversa dans la pièce, se positionnant en cercle autour du loup, leurs armes pointées sur lui, prêts à jouer de la gachette.
"Eh merde, fit Wolf en se grattant derrière l'oreille comme si de rien n'était, j'ai raté ceux du couloir, sinon j'aurais piégée la porte ! "
Mario fit irruption en bondissant ( boing boing ) comme à son habitude, et se jeta à genoux près de la princesse. Un soldat à l'uniforme blanc se pencha à son tour sur la jeune femme. Celle-ci ouvrit lentement les yeux:
"Elle n'est pas morte, déclara l'infirmier, visiblement son but était de la capturer vivante.Il semblerait que notre informateur ait exagéré les choses..."
La princesse se releva non sans peine:
" Doucement, murmura le plombier, vous avez pris un sacré coup ! Ménagez vous un peu..."
"Encore heureux que notre informateur s'est planté, hurla une voix, sinon la princesse serait morte à cet instant même et notre mission aurait été un échec critique !"
Tous les soldats tournèrent la tête vers l'homme qui venait de faire irruption dans la pièce. Il portait un uniforme flamboyant, dont le rouge vif contrastait étrangement avec les uniformes gris et ternes de ses coéquipiers. D'un pas lourd, il s'avança vers Wolf, brisant le cercle des soldats d'un geste impatient. Il se planta devant le loup, et ne bougea plus. Les deux adversaires se défiaient du regard, sans que l'un ni l'autre ne se décide à baisser les yeux.
Wolf tendit brusquement la main vers l'homme en rouge, faisant sursauter tous les soldats:
"Même derrière ton masque je te reconnait...Capitaine Lombardi, siffla t-il d'un ton torve, quel joie de vous revoir..."
Pour toute réponse, le capitaine dégaina son arme et la pointa devant le museau du loup. Triple chambre à air, balles de gros calibres... l'objet avait de quoi faire peur, en somme...
"Les mains en l'air...et au moindre geste..."
Wolf posa ses pattes sur le blaster ( le pistolet ) pointé sur lui:
"Ouh, joli ! Où est-ce que tu l'as...
-Les mains en l'air j'ai dit !"
Wolf s'empressa d'obéir, dans une lenteur délibérée:
"Okay okay, fit-il, pas d'embrouilles !"
L'homme abaissa son blaster:
"Maintenant, ordonna t-il, dépose tes armes au sol."
Un sourire se peignit sur le visage du loup:
"Je veux bien... le problème, c'est qu'avec les mains en l'air, ça va pas être simple !
-Fais le, trancha l'autre, ne pose pas de questions !"
Wolf retira son propre blaster et le jeta aux pieds du capitaine. Vinrent s'ajouter un poignard, un crocheteur de serrure, une chaîne, des couteaux de lancer, des fumigènes...
"C'est pas croyable, murmura un soldat à son voisin, on l'a même pas remarqué alors qu'il transportait tout cet arsenal.
-Ouais, on est vraiment nuls... enfin, ceux qui montaient la garde dehors..."
Le loup se pencha vers sa botte pour en tirer un deuxième poignard:
"Roh... j'avais presque oublié celui là !
-Fouillez le maintenant, lança le capitaine"
Deux soldats s'exécutèrent, tantant de trouver un potentielle arme cachée. Mario et la princesse regardait l'assassin d'un air abasourdi. Jamais il n'avaient vu chose pareil...Hormis ses poils et sa tête, le loup possédait une anatomie en tout point semblable à celle d'un humain, comme en temoignait le corps musculeux qu'ils découvrirent lorsque les deux soldat lui retirèrent sa veste.
"Rien mon capitaine, fit un soldat..."
Quels idiots... Wolf jubilait. Même Lombardi n'avait songé à lui faire retirer son oreillette, dissimulée dans son bandeau. Il fixait le blaster du capitaine, méfiant... c'était risqué, mais il fallait tenter le coup ! Après tout, depuis quand se souciait-il du danger... il prit sa respiration, et déclara à haute voix:
"POSITION : PARALELLE 145.6. LATITUDE 45. LONGITUDE 87.2 URGENT. INITIALISEZ LANCEMENT. CECI EST UN ORDRE."
Les soldats se regardèrent, hébétés. Le capitaine fut le premier à réagir:
"Son oreillette ! Dans son bandeau ! Vite !"
Wolf resta de marbre lorsque un soldat se jeta sur lui et lui retira son oreillette...qu'importe ! Il avait gagné... Lombardi s'approcha et lui asséna un violent coup de poing en pleine machoire avant de le saisir par le col... L'oeil gauche de Wolf était parcouru d'une large entaille rosâtre, et était voîlé d'un blanc nacré derrière lequel on distinguait une iris d'un violet pâle, contrastant radicalement avec le bordeaux sanglant de son oeil intact.
"Qu'as tu fais espèce de..."
Un rire muet secoua les épaules du loup... Lorsqu'il parla, sa voix sembla différente, froide et ironique... lui-même semblait différent...
"Jouer les idiots... pfff... mais me tourner au ridicule a été un mal nécessaire... Même toi, tu es tombé dans le panneau... c'est dingue à quel point les gens peuvent se montrer incapable de faire la différence entre comédie et réalité... Quand on se sent supérieur, on sous-estime parfois trop son adversaire... au point d'oublier de lui retirer son oreillette... n'est-ce pas ?"
Les mains du capitaine tremblait sous l'effet de la colère.
"Jetez moi ça au cachot... la princesse doit bien avoir une cellule libre jusqu'à notre départ..."
Un soldat entra en catastrophe dans la pièce:
"Cap'taine... quelque chose d'énorme se dirige vers nous. C'est encore loin mais ça se dirige à une telle vitesse que ce sera bientôt sur nous ! "
Le capitaine se tourna vers Wolf alors que celui-ci était traîné vers les geôles par deux soldats. Le loup darda sur lui son regard effrayant:
"Eh bien Falco ? Tu n'as pas l'air heureux de ma petite surprise..."