Mais pourquoi tu uppes un sujet qui est épinglé ?
J´avalerai jamais de tout ça tant que j´aurais pas vu une image
mrkill: qu´est-ce que tu croiras pas?
mais ça m´énerve, je vais voir sur 3 sur de ps3 sur ces 3 jeux, 2 ont des screen, et un autre n´en a pas mais a une vidéo!!! c´est énervant, quand on les aura nous nos screen!
rares sont les jeux sur ps3 à ne pas avoir de screen, méme certains qui ne sortiront qu´en 2007, ben ils ont des screen, donc le fait que la play 3 ne soit pas sortie ne change rien du tout, on devrait avoir des screens en aout je pense
ps: putin, chu trop impressionné par les images de ps3, si seuleument gta4 était aussi bien graphiquement
je suis nouveau ici, on a des infos sur le jeu?
bon aurevoir mes amis
et bonne nuit
ok
Change de disque.
ba si c´est beau sur PS3 en général attends toi à une tuerie pour GTAIV. ce qui est d´office
Sur mon topic qui est sur le forum de GTA San Andreas vous trouverez toutes les idées donc si jamais vous pouvez y donner vos idées également ou simplement vérifier si vos idées ne sont pas déjà dites...
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-9154-1839990-1-0-1-0-0.htm
euh en première pâge sur le forum san andreas ya déjà un topic comme ça, et si tu relisais toutes les idées tu serais étonné
ouais un topic totalement Screwed ou des gars m´ont envoyé un mail avec toutes leurs idées pensant que je suis un gars de R*
bon c´est bon on m´a cramé une fois, plus la peine de se cacher. mais bon c´était marant, bien Screwed le truc !
SansRancunes bouton profilbouton profil Posté le 21 mai 2006 à 09:47:41 Avertir un administrateur à propos de ce message !
Mais on peut pas la graver la ps3 ?
Si à condition que tu ais acheté l´originale, tu peux te graver une copie de la ps3 uniquement pour toi. De même si tu l´as télécharge à condition que tu l´ais payé bien sur
Screw you Draxx toi et tes screwed
changement de sujet:
comment ça va?
Qu´est-ce qu´un disciple ?
Si, vous posant la question, vous avez ouvert un dictionnaire, vous aurez appris qu´un disciple est un élève; c´est le sens du latin disciplus qui est à l´origine de notre mot disciple. Un disciple, dit encore le dictionnaire, est une personne qui reçoit l´enseignement d´un maître.
Les disciples de Jésus sont ses élèves, les Evangiles relatent quelques-unes de leurs expériences. Depuis vingt siècles, les disciples de Jésus n´ont pas cessé d´être à l´école de leur Maître. Se déclarer chrétien, c´est professer croire et suivre Jésus. Dans le monde relativiste où nous sommes, il est absolument capital que tout chrétien soit au clair sur les implications d´une telle déclaration.
Jésus a très clairement énoncé les conditions à satisfaire pour être son disciple :
«Si quelqu´un vient à moi, sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple. Et quiconque ne porte pas sa croix, et ne me suit pas, ne peut être mon disciple. [...] Ainsi donc, quiconque d´entre vous ne renonce pas à tout ce qu´il possède ne peut être mon disciple» (Luc 14:26-27,33).
Entre les versets 27 et 33, Jésus donne deux exemples significatifs : celui de l´homme qui, avant de bâtir, calcule la dépense, et celui du roi qui, avant d´engager le combat, examine le rapport de force des troupes en présence; ils soulignent tous deux la nécessité d´être au clair sur le prix à payer pour être disciple.
Etre disciple de Jésus-Christ
Jésus dit la vérité, il ne berce jamais d´illusions ceux qui l´écoutent. Etre son disciple coûte le prix fort. Il ne s´agit de rien de moins que de renoncer à tout pour le suivre; c´est clair et net, il faut le savoir et nous en souvenir. Le disciple doit donner la priorité à son Maître et faire passer sa famille au second rang. Il doit renoncer à tout ce qu´il possède, même à sa propre vie. Il doit se charger chaque jour de sa croix et suivre ainsi son Maître. Etre disciple de Jésus-Christ est tout sauf une sinécure ! Si vous ne voyez pas ce qu´il a fait, vous n´allez pas suivre un tel Maître. Jésus n´a jamais prêché la facilité. Le prix fort il l´a payé avant de nous l´indiquer.
«Existant en forme de Dieu, il n´a point regardé comme une proie à arracher d´être égal avec Dieu, mais s´est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; et ayant paru comme un simple homme, il s´est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu´à la mort, même jusqu´à la mort de la croix» (Ph 2:6-8).
Avant de nous appeler à renoncer à tout, le Fils a renoncé à sa gloire, il a quitté son Père, il s´est fait simple homme et s´est rendu obéissant jusqu´à la mort. Sa croix, lieu de rencontre entre le Dieu saint et l´homme pécheur, est la porte qui donne accès au chemin de vie, un chemin étroit et droit, le seul qui permet à celui qui l´emprunte de venir au Père, selon ce qu´a dit Jésus : «Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi» (Jn 14:6).
Etre disciple de Jésus-Christ, c´est quitter le chemin large et facile que se trace l´être humain autonome, pour s´engager sur le chemin étroit et droit qui va de la croix au Père. C´est veiller constamment à ne pas s´en écarter, mettre une croix sur le monde et se savoir crucifié pour lui, tenir fermement les promesses de Dieu, ne vivre que pour lui et par lui. L´élève que nous sommes appelés à être n´est jamais plus que son Maître; ses souffrances sont aussi notre lot, elles sont incontournables, mais pour le disciple comme pour le Maître, elles précèdent la gloire (relisez ce qu´en dit Paul en Romains 8:18).
En réfléchissant au prix à payer pour être disciple de Jésus-Christ, il convient de nous souvenir de ce qu´il a affirmé au terme du Sermon sur la montagne : «Ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur! n´entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux» (Mt 7:21). Impossible d´être disciple au rabais ! Si nos actes ne sont pas conformes à la volonté du Père, il n´y a qu´une solution: nous repentir et obéir.
Faire des disciples
Etre disciple de Jésus-Christ, c´est à quoi nous sommes appelés; faire des disciples, c´est la mission que Jésus nous a confiée : «Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu´à la fin du monde» (Mt 28:19-20).
Depuis vingt siècles, la preuve est faite, il faut être disciple de Jésus-Christ pour faire des disciples de Jésus-Christ. Lorsque cette condition n´est pas remplie, il est certes possible de faire des disciples, mais ce sont. les disciples d´un homme, d´un mouvement ou d´une secte.
Aujourd´hui, les organisations non gouvernementales ont largement remplacé les missions. On part avec elles pour quelques mois ou quelques années, apporter une aide matérielle, technique, économique appréciée. L´entreprise est assurément louable, il y manque toutefois l´essentiel, l´Evangile; car seul Jésus-Christ fait de l´homme une nouvelle créature. Nos contemporains ont besoin plus que jamais de connaître Jésus-Christ. Il est le seul chemin qui relie l´homme à Dieu, la vérité qui démasque les utopies et délivre des liens occultes, la vie abondante et intarissable à laquelle aspire tout être humain. Notre unique raison d´être dans ce monde sans être de ce monde, est de refléter Jésus-Christ par nos vies, d´être l´odeur du Fils bien-aimé du Père parmi les hommes qu´il a tant aimés. Faire de toutes les nations des disciples, c´est travailler avec Jésus-Christ qui opère en nous, avec nous et par nous, pour rencontrer, accueillir, enseigner ceux qu´il place sur notre route.
Mon profond désir est de voir refleurir la vocation missionnaire que le Seigneur nous a adressée. Reconnaissons que nous sommes plus préoccupés de nos petits problèmes que des choses qui concernent le royaume de Dieu. Au lieu de nous étendre, nous nous sommes éteints. Il est grand temps de nous réveiller, de payer le prix pour suivre Jésus-Christ, et de conduire ceux qui nous entourent à le rencontrer, croire en lui et le suivre à leur tour.
J’habite dans le même immeuble à Paris depuis bientôt 6 ans. Vous connaissez Paris et ses légendaires relations de voisinages : à peine se dit-on bonjour, jamais on se parle, on feint même de s’ignorer quand on se croise au supermarché..
Dans mon immeuble, il y a cette femme, une très jolie fille de 33-35 ans, grande, brune, les yeux noirs, élancée. Pas un canon, mais elle a réellement quelque chose de « chien », un vrai truc. Ce n’est pas du charme au sens conventionnel du terme, mais elle dégage quelque chose de littéralement animal.
C’est donc quelqu’un que je croise relativement souvent, environ une fois tous les 15 jours.
Jeunes Femmes Anal Gratuit Vieilles salope Fellations Lesbiennes
Il y a presque 6 mois, je la croise dans le couloir qui fait office de hall d’immeuble. C’est un vieil immeuble qui date du milieu du siècle je crois, dans les quartiers bourgeois de Paris. C’est un couloir qui fait environ 10 mètres de longs pour 1m20 de large.
Elle était habillée tout en noir : jupe et longues bottes, col roulé et imperméable.
JE la croise donc pour la première fois dans ce couloir, au niveau des boites aux lettres (elle regardait son courrier), il n’y avait que nous deux. J’étais pressé, mais innocemment, et je dois dire un peu comme un gosse de douze ans, je me dis « je vais m’arrêter, faire semblant de regarder mon courrier, elle saura mon nom ». Je commence donc mon manège, mais je remarque qu’elle ne se retourne même pas. J’essaye de tourner discrètement la tête afin de croiser son regard. Mon regard se bloque sur ses jambes pendant l’espace d’un instant. C’est évidemment le moment qu’elle choisi pour enfin tourner la tête. JE sens alors son regard posé sur moi, je lève les yeux un peu penaud, elle me plante ses yeux noirs droit dans les miens pendant 3 ou 4 secondes qui me parurent une éternité. Voyant que j’étais mal à l’aise elle me demande de but en blanc « problème de torticolis ? ». JE suis métis, donc je n’ai pas pu rougir (), mais j’étais vraiment mal à l’aise. Avant que j’ai pu répondre quoi que ce soit, elle me lança un grand sourire, tourna les talons et avança dans le couloir en direction des escaliers. Je reste là pendant quelques secondes avant de réaliser que je n’ai même pas pu regarder quelle boite aux lettres elle avait ouvert.
Chattes Rasees Sexe Arabe Mangas Sexe Videos Sexe Hommes Nus
3 semaines se passent sans que je la croise, puis de nouveau je la rencontre, dans les escaliers cette fois : elle descendait, je montais. ME reconnaissant, elle me lance un nouveau grand sourire et me dit « alors ce cou, ça va mieux ».Cette fois-ci je ne laisse pas démonter te lui répond du tac-au-tac : « mieux oui. Merci beaucoup ».Un peu surprise de ma réponse, elle laisse éclater un petit rire, descend encore deux marches, s’arrêtent sur la même marche que moi , me regarde dans les yeux et pense à haute voix « ça pourrait être marrant », et elle continua son chemin.
10 jours se passent encore et je la croise tout en bas de l’escalier. C’était un samedi après-midi, pluvieux. Quand nos regards se sont croisés, elle et moi sommes restés immobile quelques instants, en se regardant dans les yeux, en silence. Nos regards disaient : « on le fait ou pas ? ». Il y avait une électricité, une tension sexuelle quasiment palpable tellement ce moment fut intense. Comme je restais surplace, un peu pétrifié, elle s’approcha de moi, me colla la main sur le sexe, qui commença déjà à durcir et me dis « oui ça va être marrant ».
Elle me prend par la main, m’emmène derrière les escaliers où il y a un espace accessible mais complètement caché des regards.
Gros Seins - Petits Seins - Photos Petits Seins - Seins Naturels - Jolies Seins
C’est alors qu’elle me planta sa langue dans la bouche et m’embrassa. Elle avait une langue douce, chaude et humide, un peu comme un sexe de femme. Elle était surtout très agile et rapidement mon sexe devint énorme. Comme je suis assez doué pour les bisous dans le cou (c’est ce qu’on me dit..), je commença à lui mordiller le cou et je sentis des frissons passer dans son corps.
Elle portait un jean cette fois mais cela ne m’empêcha pas de le déboutonner rapidement et de lui caresser le clitoris. Il était déjà dur, ses lèvres écartées et son vagin humide. JE commence à lui caresser son bijou, à le frotter avec passion, douceur et dextérité. JE lui enfonça un doigt, puis deux, et commença à frotter sur le point G, tout en continuant à m’occuper de son clitoris avec mon pouce. Elle commençait à gémir doucement, à fermer les yeux. Ses joues sont devenues rouges de plaisir, ses yeux plissés me demandaient de continuer. Alors j’entrepris de lui mettre un autre doigt dans les fesses, tout en en gardant un dans son chatte maintenant trempée et en m’occupant toujours de son clitoris.
J’ai alors senti des soubresauts dans son bas-ventre, elle s’est cambré, puis m’a mordu l’épaule tout en cachant un petit cri… elle venait de jouir, juste comme ça, en quelques minutes !
Seins Nus - Beaux Seins - Seins Enormes - Gros Seins Nus - Photos Seins
Alors elle me regarda droit dans les yeux et commença à déboutonner ma braguette. Mon sexe était dur comme un roc, mon gland turgescent ! Elle le prit à pleine main sans le regarder, lâche un petit sourire et me susurra à l’oreille, « je vais te sucer comme jamais on t’as sucé ».
Elle descendit sur ses genoux tout en continuant à me regarder. Elle décalotta ma bite et l’enfoui d’un seul coup au fond de sa bouche. J’ai cru que j’allais éjaculer sur le champ !! Puis elle recula doucement la bouche et commença à jouer avec sa langue sur mon gland, tout en maintenant la bouche bien fermé sur mon sexe. Puis elle a commencé à me manger les couilles, à me lécher ma verge à l’enfouir de nouveau dans sa bouche, elle aspirait tout ce qu’elle pouvait et me branlait de toutes ses forces.
Histoires Coquines, Histoires Libertines, Histoires Porno, Histoires Hard, Histoires XXX
Au bout de 5 minutes de ce supplice divin, ne tenant plu, j’ai senti mon gland qui se gonflait de plaisir, elle s’est arrêté une seconde, m’a regardé dans les yeux et m’a dit « je veux tout dans ma bouche ». Elle mi alors toute son hardeur à me branler, la bite entière dans sa bouche, me malaxant les couilles à la limite de la douleur et je sentis que mon sperme montait inexorablement, que le plaisir allait m’envahir. Bizarrement, à ce moment là, mon esprit était concentré sur le bruit des gouttes qui tombait dans la cour, juste de l’autre côté de l’escalier. Je ne tenais plus, ma bite paraissait énorme dans sa bouche, elle accéléra encore le mouvement et j’ai éjaculé une quantité énorme de sperme au fond de sa gorge. Les paupières fermées et les yeux révulsés, je laissait le plaisir s’installer dans tout mon corps. Elle gardait ma bite encore 3 bonnes minutes en bouche, en continuant ses mouvements de va-et-vient et elle m’a complètement vidé.
Histoires Erotiques, Histoires Lesbiennes, Histoires Inceste, Histoires Sexe, Histoires Gay
Alors elle se releva, reboutonna son pantalon, me sourit et me dit « j’avais jamais vécu un truc pareil, j’espère qu’on ne se croisera plus »… Puis elle m’abandonna là, le sexe à l’air encore chaud.
JE me suis rhabiller et je suis rentré chez moi pendant qu’elle sortait de l’immeuble pour vaquer à ses occupations.
Je n’avais jamais connu d’expériences aussi spontanées, animées par autant de plaisir…
JE croise encore cette femme de temps en temps, elle ne me regarde même plus !!
J’habite dans le même immeuble à Paris depuis bientôt 6 ans. Vous connaissez Paris et ses légendaires relations de voisinages : à peine se dit-on bonjour, jamais on se parle, on feint même de s’ignorer quand on se croise au supermarché..
Dans mon immeuble, il y a cette femme, une très jolie fille de 33-35 ans, grande, brune, les yeux noirs, élancée. Pas un canon, mais elle a réellement quelque chose de « chien », un vrai truc. Ce n’est pas du charme au sens conventionnel du terme, mais elle dégage quelque chose de littéralement animal.
C’est donc quelqu’un que je croise relativement souvent, environ une fois tous les 15 jours.
Jeunes Femmes Anal Gratuit Vieilles salope Fellations Lesbiennes
Il y a presque 6 mois, je la croise dans le couloir qui fait office de hall d’immeuble. C’est un vieil immeuble qui date du milieu du siècle je crois, dans les quartiers bourgeois de Paris. C’est un couloir qui fait environ 10 mètres de longs pour 1m20 de large.
Elle était habillée tout en noir : jupe et longues bottes, col roulé et imperméable.
JE la croise donc pour la première fois dans ce couloir, au niveau des boites aux lettres (elle regardait son courrier), il n’y avait que nous deux. J’étais pressé, mais innocemment, et je dois dire un peu comme un gosse de douze ans, je me dis « je vais m’arrêter, faire semblant de regarder mon courrier, elle saura mon nom ». Je commence donc mon manège, mais je remarque qu’elle ne se retourne même pas. J’essaye de tourner discrètement la tête afin de croiser son regard. Mon regard se bloque sur ses jambes pendant l’espace d’un instant. C’est évidemment le moment qu’elle choisi pour enfin tourner la tête. JE sens alors son regard posé sur moi, je lève les yeux un peu penaud, elle me plante ses yeux noirs droit dans les miens pendant 3 ou 4 secondes qui me parurent une éternité. Voyant que j’étais mal à l’aise elle me demande de but en blanc « problème de torticolis ? ». JE suis métis, donc je n’ai pas pu rougir (), mais j’étais vraiment mal à l’aise. Avant que j’ai pu répondre quoi que ce soit, elle me lança un grand sourire, tourna les talons et avança dans le couloir en direction des escaliers. Je reste là pendant quelques secondes avant de réaliser que je n’ai même pas pu regarder quelle boite aux lettres elle avait ouvert.
Chattes Rasees Sexe Arabe Mangas Sexe Videos Sexe Hommes Nus
3 semaines se passent sans que je la croise, puis de nouveau je la rencontre, dans les escaliers cette fois : elle descendait, je montais. ME reconnaissant, elle me lance un nouveau grand sourire et me dit « alors ce cou, ça va mieux ».Cette fois-ci je ne laisse pas démonter te lui répond du tac-au-tac : « mieux oui. Merci beaucoup ».Un peu surprise de ma réponse, elle laisse éclater un petit rire, descend encore deux marches, s’arrêtent sur la même marche que moi , me regarde dans les yeux et pense à haute voix « ça pourrait être marrant », et elle continua son chemin.
10 jours se passent encore et je la croise tout en bas de l’escalier. C’était un samedi après-midi, pluvieux. Quand nos regards se sont croisés, elle et moi sommes restés immobile quelques instants, en se regardant dans les yeux, en silence. Nos regards disaient : « on le fait ou pas ? ». Il y avait une électricité, une tension sexuelle quasiment palpable tellement ce moment fut intense. Comme je restais surplace, un peu pétrifié, elle s’approcha de moi, me colla la main sur le sexe, qui commença déjà à durcir et me dis « oui ça va être marrant ».
Elle me prend par la main, m’emmène derrière les escaliers où il y a un espace accessible mais complètement caché des regards.
Gros Seins - Petits Seins - Photos Petits Seins - Seins Naturels - Jolies Seins
C’est alors qu’elle me planta sa langue dans la bouche et m’embrassa. Elle avait une langue douce, chaude et humide, un peu comme un sexe de femme. Elle était surtout très agile et rapidement mon sexe devint énorme. Comme je suis assez doué pour les bisous dans le cou (c’est ce qu’on me dit..), je commença à lui mordiller le cou et je sentis des frissons passer dans son corps.
Elle portait un jean cette fois mais cela ne m’empêcha pas de le déboutonner rapidement et de lui caresser le clitoris. Il était déjà dur, ses lèvres écartées et son vagin humide. JE commence à lui caresser son bijou, à le frotter avec passion, douceur et dextérité. JE lui enfonça un doigt, puis deux, et commença à frotter sur le point G, tout en continuant à m’occuper de son clitoris avec mon pouce. Elle commençait à gémir doucement, à fermer les yeux. Ses joues sont devenues rouges de plaisir, ses yeux plissés me demandaient de continuer. Alors j’entrepris de lui mettre un autre doigt dans les fesses, tout en en gardant un dans son chatte maintenant trempée et en m’occupant toujours de son clitoris.
J’ai alors senti des soubresauts dans son bas-ventre, elle s’est cambré, puis m’a mordu l’épaule tout en cachant un petit cri… elle venait de jouir, juste comme ça, en quelques minutes !
Seins Nus - Beaux Seins - Seins Enormes - Gros Seins Nus - Photos Seins
Alors elle me regarda droit dans les yeux et commença à déboutonner ma braguette. Mon sexe était dur comme un roc, mon gland turgescent ! Elle le prit à pleine main sans le regarder, lâche un petit sourire et me susurra à l’oreille, « je vais te sucer comme jamais on t’as sucé ».
Elle descendit sur ses genoux tout en continuant à me regarder. Elle décalotta ma bite et l’enfoui d’un seul coup au fond de sa bouche. J’ai cru que j’allais éjaculer sur le champ !! Puis elle recula doucement la bouche et commença à jouer avec sa langue sur mon gland, tout en maintenant la bouche bien fermé sur mon sexe. Puis elle a commencé à me manger les couilles, à me lécher ma verge à l’enfouir de nouveau dans sa bouche, elle aspirait tout ce qu’elle pouvait et me branlait de toutes ses forces.
Histoires Coquines, Histoires Libertines, Histoires Porno, Histoires Hard, Histoires XXX
Au bout de 5 minutes de ce supplice divin, ne tenant plu, j’ai senti mon gland qui se gonflait de plaisir, elle s’est arrêté une seconde, m’a regardé dans les yeux et m’a dit « je veux tout dans ma bouche ». Elle mi alors toute son hardeur à me branler, la bite entière dans sa bouche, me malaxant les couilles à la limite de la douleur et je sentis que mon sperme montait inexorablement, que le plaisir allait m’envahir. Bizarrement, à ce moment là, mon esprit était concentré sur le bruit des gouttes qui tombait dans la cour, juste de l’autre côté de l’escalier. Je ne tenais plus, ma bite paraissait énorme dans sa bouche, elle accéléra encore le mouvement et j’ai éjaculé une quantité énorme de sperme au fond de sa gorge. Les paupières fermées et les yeux révulsés, je laissait le plaisir s’installer dans tout mon corps. Elle gardait ma bite encore 3 bonnes minutes en bouche, en continuant ses mouvements de va-et-vient et elle m’a complètement vidé.
Histoires Erotiques, Histoires Lesbiennes, Histoires Inceste, Histoires Sexe, Histoires Gay
Alors elle se releva, reboutonna son pantalon, me sourit et me dit « j’avais jamais vécu un truc pareil, j’espère qu’on ne se croisera plus »… Puis elle m’abandonna là, le sexe à l’air encore chaud.
JE me suis rhabiller et je suis rentré chez moi pendant qu’elle sortait de l’immeuble pour vaquer à ses occupations.
Je n’avais jamais connu d’expériences aussi spontanées, animées par autant de plaisir…
JE croise encore cette femme de temps en temps, elle ne me regarde même plus !!
lonnnnnnnnnnnngggggggggg ^^ pas ltemps ^^