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Sujet : Fic: L'Anneau de l'Hermite

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MP
Niveau 10
28 janvier 2006 à 19:34:28

Malade12 Posté le 28 janvier 2006 à 19:30:41
Bon, premier et seul point avec lequel je ne suis pas d´accord: Une cage, ça a des barreux, et tu peu balancer des cailloux a travers.

moi pas comprendre :doute: Quel rapport avec le fait que ça paraisse maladroit de mettre "mais il était dans une cage"?

eliwood2 eliwood2
MP
Niveau 7
28 janvier 2006 à 23:24:41

bon tu m´a mal compris ce n´est pas le probléme de lancer des cailloux de la prison c´est le double "mais" que je trouve bizare cet enchainement de mais, je connais le principe du - ne t´inquiéte pas mais je trouve quand même que ca fait bizare.
pourle "prince charmant" je pense que laisser tes lecteurs croire qu´il pourrait étre gentil, seulement un beau jeune homme qui voudrait épouser zelda. mais bon

malade12 malade12
MP
Niveau 10
28 janvier 2006 à 23:53:26

non non non, c´est un vilain, mais on ne sait pas pourquoi,et c´est la tout le mystere

malade12 malade12
MP
Niveau 10
30 janvier 2006 à 18:36:31

Aller, up. C´est la derniere fois... faudrait que je commmence ce chapitre treize. Ah un si bo nombre...

malade12 malade12
MP
Niveau 10
31 janvier 2006 à 03:00:25

:up:

Haldrik Haldrik
MP
Niveau 29
01 février 2006 à 22:11:01

Allez Malade la suite. :p)

Termos Termos
MP
Niveau 10
01 février 2006 à 23:19:25

r l´arrivé d´un modo , lui le number 1 du bouletisme

:malade: :d) :bave: ...0 = :diable: :banzai: :malade:

Termos Termos
MP
Niveau 10
01 février 2006 à 23:20:19

salete de clavier!! , le debut du messagee precedent est : le pressez pas il doit etre terrifié par..

Haldrik Haldrik
MP
Niveau 29
01 février 2006 à 23:20:25

Euh... moi pas comprendre...

malade12 malade12
MP
Niveau 10
01 février 2006 à 23:34:56

Ce qu´il veut dire c´est que je vais me faire bannir si je me comporte en boulet :sarcastic:

T´inquiete je me tiendrai tranquille. Et si on efface un de mes topic, je vais pas en faire une maladie (Malade, maladie, lol...non, peut-être pas.) Enfin, ma suite viens, et j´espere qu´elle vous plaira. Malheureusement, la baston vient dans le chapitre suivant, une de style bataille commme cele la:

:pacg: _______ :pagd:
:pacg: _______ :pacd:
:pacg: _______ :pacd:
:pacg: _______ :pacd:

Et pas

:pacg: _______ :pacd:

Enfin, une guerre pas un duel.

Termos Termos
MP
Niveau 10
02 février 2006 à 00:22:07

desolé de te le dire mais la guerre , mechante et dangeureuse je verrais plutot ca

http://img89.imageshack.us/img89/219/lagueeeeere5ib.jpg

malade12 malade12
MP
Niveau 10
02 février 2006 à 00:28:53

Bof, ils sont a peine plus nombreux que mes pacman, les rouges. Dit, tu lis ma fic ou tu squat mon topic pour rien? :lol:

malade12 malade12
MP
Niveau 10
02 février 2006 à 23:39:53

:up:

malade12 malade12
MP
Niveau 10
04 février 2006 à 15:31:52

:snif2: c´ets pas parce que la suite traine qu´il faut m´abandonner :snif2:

Haldrik Haldrik
MP
Niveau 29
04 février 2006 à 17:22:36

Moi aussi je sais chanter :)
sur l´air de "allez les bleus" de Johnny :
"Allez Malade on est tous ensemble,
ta fiction toujours nous rassemble,
allez Malade on est tous avec toi."

POWER MALADE !! :banzai:

eliwood2 eliwood2
MP
Niveau 7
07 février 2006 à 17:06:40

Ouais de la baston a gogo!!!
J´en veux encore mais pas avec des pacmans de préférences. Avec de bon méchant genres les squelletes(je sais plus comment ils s´appellent)

malade12 malade12
MP
Niveau 10
07 février 2006 à 23:01:39

Stalfos, stalchild (ou un truc du genre, sakdos en francais)Merci Hald

Haldrik Haldrik
MP
Niveau 29
07 février 2006 à 23:06:22

:-)))

malade12 malade12
MP
Niveau 10
09 février 2006 à 03:54:06

La suite tant attendue! (on dirait pas, la foule se condense :hum: )

Chapitre 13 : Fhevyut

Le papillon bleu se glissa entre les barreaux de la prison. Une fraction de secondes plus tard, un homme, ou quelque chose qui y ressemblait, se tenait debout devant le Goron mal en point. Une voix inhumaine émergea des profondeur de la créature. C’était comme si deux personnes parlaient en même tant, une voix grave et une voix aigu.
-Alors, tu vas parler? Le sort de ton compagnon ne te motive pas assez?
Huorj tremblait, il avait déjà reçu les coups de pied, encaissé les coups de bâtons, mais il ne désirait pas tâter de la Langue du Démon. L’arme maléfique pendait à la ceinture de la silhouette noire.
-Alors! Où se terre le Héros?! Tu sais que je peux te tuer, mais si tu coopères, je peux te couvrir d’or. J’ai déchiffré la carte.
-Je ne sais pas où il se trouve! Épargnez-moi!
-Et si tu me disais où est mon cheval?
-Je ne le sais pas non plus…
Les yeux rougeoyants de la créature prirent un air menaçant. Le Goron espérait se sortir vivant de cette situation délicate.

***

La petite carriole fit un bond. Iorek roula sur lui même et atterrit lourdement sur le sol, hors du chariot.
-Nous devons l’abandonner, grogna le gros Goron.
-Oui, dit Vokof. Il est en très mauvais état, on doit le laisser là.
-On va tenter de prendre tous les barils d’eau et quelques provisions.
Le jeune homme se leva d’un bon.
-Vous allez m’abandonner!?
-Quoi? Dit le garde. Mais non, nous parlions du chariot. Ce n’est pas une crise de folie qui va nous résigner à vous abandonner en plein désert. Quoique, ce n’est plus vraiment que le désert, regardez par vous même.
Il désigna quelque chose du doigt. Le Héros s’approcha et aperçut d’immenses dômes dorés. Ils étaient soutenus par les tours d’un palais énorme, entouré d’une riche ville fortifiée, qui elle, possédait une ceinture de petites tentes et d’échoppes de commerçants ambulants. Ce quartier pauvre ne réussissait même pas à ternir l’éclat du palais. La mâchoire lui en tombait. Tout ce royaume semblait bien plus grandiose qu’Hyrule. Fhevyut n’était pas composé que d’une simple ville, mais aussi d’un énorme oasis où la végétation sauvage croissait constamment. Un lac cristallin se détachait de la verdure, seulement troublé par une ou deux petites embarcations de pêcheurs. Les Élites étaient alignés un peu plus loin, formant une petite allé menant jusqu’à la porte géante fixé sur la muraille. Les battants de la porte pivotèrent lentement, laissant apparaître un petit bonhomme bedonnant qui s’avançait sur ses courtes jambes. Il alla à la rencontre du Roi et de sa famille. Ils discutèrent entre eux, mais Iorek n’entendait rien. Aussi trouva-t-il sage de s’approcher au cas où le roi aurait besoin de lui.
-Alors, mon frère, comment s’est déroulé ton voyage? Dit le petit homme avec entrain.
Il avait les yeux cernés, mais plein de vie. Son nez aplatit sur son visage lui donnait l’air d’un rongeur, et ses cheveux gras lui tombait aux épaules.
-L’aller s’est bien déroulé, mais le retour à été, disons, mouvementé. Heureusement que ce jeune homme nous a tiré d’affaire à chaque fois… ou presque.
Iorek s’avança respectueusement du roi, la tête basse.
-Comme je te disait, Link, ce brave garçon, nous a été d’une grande utilité.
-C’est bien. Mais entrez donc, tu dois être épuisé.
L’homme s’avança à l’intérieur de la ville royale, entraînant la famille vers le château.
-Dois-je faire entrer Vokof et le Goron, monseigneur?
-Faites, ils méritent bien de se reposer. Dis-leurs que je leur rembourserai leur charrette, ils n’ont pas à s’en faire.
Iorek fila vers le garde Mineur qui s’avançait avec le Goron.
-Nous avons droit d’entrer? demanda le Goron, parce que je n’aimerais pas camper ici, les coins comme ça sont souvent infestés de voleurs.
À ces mots, le jeune homme tressaillit. Des voleurs… Il en était devenu un. Il était devenu un voleur parce qu’il en avait assez de vivre en Héros, d’être acclamé ou critiquer par le peuple. Que tout le monde se couche sur le sol lorsqu’il passe, tout ce que la grandeur et le pouvoir inspirait chez autrui le dégoûtait. Il voulait une vie normal. Mais il l’aurait voulu au côté de la princesse Zelda. Peu importe, le présent restait plus important. Il devait assurer la réussite de plusieurs mission en même temps, chose difficile, et il voulait y mettre fin rapidement.

Il marchèrent ensemble jusqu’à la porte qui commençait à se refermer, puis coururent rejoindre le roi et son frère. La petite troupe pénétra dans le palais majestueux. Un gigantesque escalier montait devant eux, recouvert d’un tapis vert. D’immenses colonnes de marbre soutenaient les étages supérieurs. Des servantes s’affairaient à transporter des jarres de vin et d’eau.
-Link, une servante va te montrer tes appartements, ainsi qu’au guide Vokof et au Goron.
Une petite dame drapée de noir s’approcha et les emmena en haut de l’escalier. La chambre réservée pour Iorek était immense! Un bassin d’eau chaude se trouvait au fond, près d’un lit au niveau du sol, mais recouvert de coussins colorés. De l’encens brûlait un peu partout. La lumière du soleil couchant, qui entrait par la fenêtre du balcon, projetait dans la pièce une lueur contrastante. Des coupes de fruits reposait sur le sol.
-Merci. Dit machinalement le jeune homme, ébloui.
Il débordait d’énergie, et les fruits lui en redonnait encore plus. Il décida d’aller faire un tour dans le palais. Après avoir déposé toutes ses armes, sauf sa dague, il alla se balader.

***

Zelda se réveilla de bonne humeur. Un plateau chargé de nourriture reposait près d’elle. Après avoir engloutit son petit déjeuner, elle enfila une robe pastelle et descendit dans la salle de banquet. La grande table avait été réaménagé pour des festivités. Tout ça lui faisait oublier Link. Elle allait peut-être se marier avec un beau jeune homme, et elle ne voulait pas manquer cette chance. La princesse voulait que le Héros soit présent à la cérémonie, car c’était son meilleur -et seul- ami. Mais il n’était toujours pas revenu. Ce jour là, elle avait un horaire chargé. Premièrement, elle devait se décider si le mariage était vraiment une bonne idée, car elle avait l’impression de trahir Link en ne lui en parlant pas. Puis, elle devait l’annoncer à Kermus lorsqu’elle aurait prit sa décision. Elle devait aussi recevoir des paysans qui demandait à ce qu’on règle leurs conflits. Son père malade, elle se devait de faire son travail à sa place. Zelda demanda aux servantes, car elle connaissaient toutes les rumeurs qui circulaient, où se trouvait le prince. Elle apprit qu’il était dans l’arène, où se déroulait régulièrement des tournois d’escrime. La jeune femme s’en alla rejoindre le prince du Nord, s’interrogeant sur sa décision fatidique.

L’arène, qui se trouvait en dehors du château, à l’arrière, possédait en son centre un rectangle de sable où se mêlait sang et sueur délimité par des cordes. Des gradins se dressaient de chaque côté, face à face. Une petite infirmerie attendait les vaincus, en retrait. Si on ne les sauvait pas, un cimetière terne accueillerait les défunts. Ce jour là, la pluie inondait la place. Des auvents se déployaient au dessus des estrades, mais les combattant s’affrontaient trempés. La princesse rejoignit vite un abri et se renseigna sur ce qui s’était passé jusqu’à maintenant. Une femme lui dit que l’étranger blond à la fine rapière avait déjà défait sept adversaires, et aucun n’avait survécu. Tous s’était vu faire couper la tête ou transpercé le cœur. La piste sablonneuse était non seulement mélangée au sang des victimes, mais certains membres jonchait le sol malgré l’efficacité de l’équipe de nettoyage.

Un autre duel commençait. Le nouvel adversaire tremblait de peur, un grand maigre assez jeune. Il s’avança et le signal retentit. Kermus s’appuya insolemment sur son épée, plantée dans la terre. L’autre chargea sans grande conviction, et se fit décoché un rapide coup à la cuisse. Il ne saignait pas beaucoup, mais il vacilla. Son teint blêmit à la vu d’un autre coup qui lui fit perdre un avant-bras. Il se figea, et le prince en profita pour lui asséner un coup en pivotant sur lui même. Tournant le dos à sa victime, il effectua un coup fatal non dénué d’une grâce morbide : Il planta sa lame dans l’abdomen du gringalet, qui se plia de douleur et mourut sans un mot. Le prince rengaina son arme et leva les bras en signe de victoire. Les applaudissement fusèrent d’un côté et les pleurs de l’autre, ceux de la famille du vaincu. Le prince rentra au château, et Zelda le suivit.
-Votre dernier combat était fantastique, déclara la princesse. Un peu glauque, mais votre technique était superbe.
-Ce n’était point le meilleur, chère Zelda. Vous ne devriez pas assister à de tels boucheries, de rudes combats ne devraient pas intéresser une si délicate femme que vous.
-Arrêtez, vous aller me faire rougir. Vous êtes si attentionné.
-Nous devrions nous abriter, la pluie redouble d’intensité et vous allez être trempée.
Ils entrèrent dans le château, puis le prince alla se changer. Ses vêtements mouillés commençaient à sentir mauvais.
« Il est beau, sympathique, il sait manier l’épée mieux que quiconque, et il paraît assez intelligent. Pourtant, je n’arrive pas à me décider .» Zelda pensait constamment à Kermus, mais aussi à Link. Ce dernier aussi possédait toutes ces qualités. Elle choisit donc de se laisser un peu plus de temps.

***

Kef avait plusieurs tiges et noix Boko Baba, quelques petits fruits bleus et la sève d’une plante rare. Sa potion requérait encore beaucoup d’ingrédients, mais il savait où les trouver. À travers les Bois, il débouchait souvent dans des endroits où il ne devait pas être, et il revenait en arrière. Il avait atteint la cité Goron, mais il ne devait pas y aller, il avait autre chose à faire. Le kokiri trouverait une grosse partie des éléments dans son ancienne hutte, et les derniers, la dépouille de l’arbre Mojo les lui fournirait.

Il atteignit enfin sa forêt natale, où quelques kokiri entretenait joyeusement leurs maisonnettes en sifflant. Sa cabane se trouvait à l’écart, et personne ne devrait avoir oublié son emplacement.. Ses vêtements étaient en lambeaux, et de plus, Kef n’était plus le bienvenue dans les parages. Lorsqu’il avait déserté, il n’avait pas dit au revoir à ses amis, il avait fui, trop pressé de sortir sa prison. Il n’avait eu que le temps d’entendre des kokiri l’insulter de loin. Enfin, il n’était plus un kokiri, ni un Hylien, il n’était qu’un hors-la-loi qui échappait à ses origines. Après un chemin où il dut se dissimuler constamment dans les arbres, dans des terriers et derrière des rochers, Kef atteignit sa vieille hutte délabré. Son toit de branches était parsemé de trou, la boiserie des fenêtre réduite en miette, la porte balancée par le vent. Bref, c’était une ruine. Il entra prudemment, et constata avec nostalgie que tout était comme avant. Cinq ans, ce n’était pas assez pour lui enlever le souvenir de sa maison. Un coffre en chêne trônait sur une table basse. Le voleur l’ouvrit, et il huma l’arôme de toutes les plantes et herbacées qui y reposait sagement, attendant d’être mixée dans un chaudron ou écrasé entre le pilon et le mortier.

Il examina un tableau fixé au mur sur lequel était inscrit une liste de noms de végétaux. Il possédait les ingrédients récoltés dans la forêt, tous les produits du coffre, mais il lui manquait encore quelque chose : Le Bourgeon Mojo. Cette petite pousse verte contenait une bonne dose de magie, et elle était l’élément clé de l’élixir. Mais c’était aussi le plus dur à obtenir, car ce bourgeon se trouvait sur la plus haute branche de l’arbre Mojo, mort depuis longtemps. Et ce qui rendait son accès encore plus difficile, c’était son gardien. Une créature redoutable habitait le feuillage du végétal, s’assurant que ses trésors restent entre ses mains. Kef commença alors à élaborer un plan afin de parvenir à substituer le Bourgeon sans y laisser un bras.

malade12 malade12
MP
Niveau 10
09 février 2006 à 13:33:47

moi qui croyait que mon dernier chapitre attirrait du monde :-(

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