Oausi, je sais, quelques dialogue se passent vite, chose a améliorer. Et le prince, ben il est sensé faire mauvaise impression au lecteur, il est uin pas gentil!!!!! TATSAN! Sinon, si on a Soul Calibur2, il correspond à Raphael, l´aristocrate blond, qui est mon meilleur perso avec Link

Et donc seul notre cher Hero du temps fait confiance au Lizalfos, les autres conspirent contre lui, ils sont psossédé du démoN!!!!! bon la j´exaggere un peu tout, mais bon.... je trouvait Darunia Sympatoche alors j´ai mis ce gentil Goron dans ma fic. Ainsi que Biggoron!!!! Ainsi qu´Assasin ...oups....

Je vais tenter de rétablir les accrochages situationnel (ça se dit?) dans le prochain chapitre. Et désolé pour l´orthographe du dernier message.

Malade , tu le fais expres ?
J´ai mit un oeil sur ta fic , j´ai lu 3 mots et j´ai vu une faute

le Héro du Temps

Halala... pauvre Malade...
sinon ta fic est toujours aussi bien

bah j´ai beau regarder, je ne vois qu´une petite dizaine de fautes par chapîtres, c´est pas énorme ! Continue, c´est cool !

PS : Suite de ma fic ENFIN posté

Moi j´ai beau mal regarder , a chaque coup d´oeil j´en vois une ^^

Héros ça prend toujours un "s"
et temps aussi.

*eh merde*

Sinon j´veux es commentaires (je corrigerai cette faute atroce, je ne la referai plus désolé)

Malade12 Posté le 20 janvier 2006 à 02:05:39

Quelle ta calice d´erreur de tabarnak???? Héro du Temps, la faute doit être dans Héro, pourtant je vois pass... Sinon Temps s´écrit toujours avec un "S" si c´ets la faute que tu vois

Je tein vraiment a m´excusé pour avoir sacré, je n´aurais pas du, surtout que ma faute était aser visible et que je ne l´ai pas remarqué

up

Allez Malade pas de défaitisme, on est tous avec toi !

Merci haldrik

Tu es notre hero ( sans " s " ) a tous

Génial

Aller je poste la suite, vu que vous sembler tous la vouloir...

PS: Vege, je comprend pas pourquoi tu gaspille ton temps sur mon topic si tu ne lis pas la fic. Laisse moi deviner: Pour me faire chier! entamons ce chant mélodieux et vive les grenouille qui mange les cerise au jambon!

Chapitre 12 : Quatre jours qui mènent à la folie

Malgré la permission de circuler dans la ville que Iorek lui avait accordé, Skrilf trouva plus raisonnable de revenir dormir dans sa cage au couvre-feu. Le lendemain, il se tenait debout, frais et dispos, attendant le Héro. Ce dernier arriva quelques minutes après que le général déchu se soit levé. Il lui permit d’avaler quelques fruits, puis il le conduisit dans un long couloir reculé.
-Tu va rencontrer Biggoron, c’est un Goron géant forgeron. Il va te confectionner des nouvelles armes et une armu…
-Pourrais-je récupérer ma propre armure, que vous avez donnée au prince? Je l’ai confectionné moi-même, et j’y suis très attaché.
-Parfait, nous en ferons faire une pour le prince, alors.
-Link? Tu es là. Une grosse voix se fit entendre.
-Oui, nous arrivons.
Le Goron que Skrilf vit était plus gros qu’il s’était imaginé. Seul sa tête et ses petits bras entraient en entier dans la caverne.
-Link, j’ai ici une épée que Darunia m’a apporté, il m’a dit de te la remettre.
Il tendit la lame rougeoyante de Rewju à Iorek.
-Merci mon ami, nous venons pour commander une armure au prince, qui a les mêmes mesures que mon ami, ici.
-Ce Lizalfos? Il est ton ami?
-Ne pose pas de question, prend ses mesures et fabrique l’armure, s’il te plait.
-Parfait, parfait.
Le Goron prit les mesures du lézard et se mit à griffonner une esquisse d’armure sur un bout de papier.
-Elle sera prête dans une semaine, environ.
-Parfait, nous serons revenus.
Le Héro entraîna le reptile hors de la forge et l’emmena dans un autre tunnel. Dans celui-ci, il y avait les 15 Élites survivants en ligne, longeant le couloir. Ils dépassèrent deux chariots : Dans le premier étaient disposés des tonneaux d’eau, dans l’autre, la famille royale tentait de s’installer confortablement. Ces chariots étaient tirés par un grand Goron. Puis Iorek discuta avec Vokof, le garde Mineur.
-Mes amis, commença le jeune homme, nous nous apprêtons à partir à Fhevyut. Il n’y aura aucune escale durant ces quatre jours de marche dans le désert, pendant la nuit, plusieurs monteront à bord d’un chariot. Vous possédez déjà tous plusieurs gourdes, et il y a des tonneaux d’eau dans le chariot. Comme vous le voyez, nous avons un Goron qui nous accompagne : Il s’est porté volontaire pour venir avec nous. Un autre individu nous accompagne, Skrilf le Lizalfos, qui sera dirigeant en second.
Plusieurs murmures de désapprobation circulèrent parmi les gardes bardés de rouge.
-Je m’attendais à ces réactions, mais ne vous inquiétez pas, au moindre acte de déloyauté, il sera exécuté.

Le général déchu ravala sa salive. On doutait encore de ses intentions, ce qui le mettait dans une situation délicate. Il se tiendrait tranquille, il se le promettait. Iorek reprit son discours :
-Le voyage sera long, alors nous devons partir tout de suite.
Sur ces mots, le convoi se mit en branle et s’engouffra dans le tunnel et déboucha dans une clairière, de l’autre côté du Mont du Péril. Plus loin, un désert s’étalait à perte de vue.
-Link, viens ici un moment.

Darunia se tenait debout dans l’entrée menant à la cité Goron. Iorek le rejoignit.
-J’aimerais que tu m’explique pourquoi tu as débarqué ici. Toute la ville croit que c’est un mauvais présage, tu sais, mon peuple est très croyant. J’aimerais les rassurer, mais je ne sais pas quoi leurs dire.
-Dis-leurs que j’ai été enrôlé dans cette aventure sans le vouloir. Il ne se passe rien de grave, enfin, rien de grave qui ne justifie ma présence ici.
-J’ai une autre question pour toi : Où étais-tu passé durant les dernières années?
-Eh bien… je… enfin, tu vois, je suis…
-Éh oh, Héros du Temps, vous venez?
C’était Skrilf qui avait prononcé ces derniers mots, sauvant le jeune homme de la question qu’on lui avait posé.
-Je dois partir, Darunia. Je te reverrai en revenant.
Sur ce, il partit rejoindre le convoi.

-Skrilf, tu peux me tutoyer et m’appeler par mon nom, ça fait une désagréable sensation de se faire appeler « Héros du Temps ».
-Parfait, Link. Au fait, je serais vraiment exécuté au moindre geste suspect?
-Je ne crois pas que tu le ferais. J’ai confiance en toi, mais pas les autres. Économisons notre salive, nous avons une longue traversée à faire.

***

Le cheval blanc était déjà loin. Kef marchait péniblement dans les Bois Perdus depuis maintenant deux jours. Il s’était réveillé quand sa monture avait rué devant une plante carnivore. Elle l’avait projeté sur le sol, heureusement hors d’atteinte de la plante. Il lui fallut un certain temps pour se défaire des liens qu’il l’avait maintenu sur le cheval. Le Kokiri se rappela son ami Huorj. C’était probablement lui qui l’avait envoyé là. Et il était resté derrière. Il avait parcouru les bois de long en large, sans trop savoir où aller. Il ne possédait aucune arme, ni protection.
Kef trébucha sur un objet mou, qui s’avérait à être une balle déchiquetée. Il tourna la tête et vit le passage qui menait à la Cité Goron. Ça ne servait à rein d’y aller, il ne connaissait aucun Goron, sauf Huorj. Penser à lui lui faisait mal au cœur. Le petit homme constata que s’apitoyer sur son sort ne le ferait pas avancé plus, et il se ressaisit. Un air déterminé se peignit sur son visage surmonté d’un crâne chauve. Il se mit à marcher d’un bon pas, cueillant au passage quelques herbes et plantes. Le Kokiri avait eu, sans le savoir, le même pressentiment que son ami. Il était probable que sa potion l’ai sauvé d’une quelconque mort. Il ne savait rien a propos de la décomposition à laquelle il entrée en contact avec son front. Il serait probablement mort d’un tel coup, mais non, il vivait. Pour la première fois depuis qu’il avait échappé à sa forêt, il ressentait une certaine joie. Kef sourit.

***

Le prince Kermus tripotait son bouc en regardant son cortège déployer un campement. Une chance qu’il n’aurait pas à dormir dehors parmi ces crétins : Il était convié à un banquet royal et il dormirait dans une des somptueuses chambres d’invités. Ses yeux durs fixèrent la fenêtre de la chambre de la princesse, espérant la voir. Il reporta son regard sur ses laquais, qui ne semblaient pas savoir comment monter des tentes. Il avait affirmé au roi que ses hommes préféraient dormir à la belle étoile, et avait conter à ceux si que le maître des lieux ne voulait pas d’eux. Kermus pénétra dans le château, se répétant qu’il était un excellent manipulateur. Il s’entraînait depuis tout petit. Le prince avait un don pour obtenir ce qu’il voulait par des bas moyens. Ses propres intérêts passaient avant tout, et ç’avait toujours été ainsi. Dans la salle de banquet, tous les domestiques s’affairaient à organiser la salle. Kermus s’offrit une pomme dans le buffet et regagna ses appartements.

***

Le premier jour, le voyage se passa sans encombres. La nuit, une partie des soldats se reposait dans le chariot de provision, les autres marchant à côté. Le Goron ne prenait aucune pause. Iorek non plus d’ailleurs. Il était hanté par l’idée d’arriver trop tard et que Ruto ne meurt sous l’effet du maléfice qu’elle subissait. Skrilf, quant à lui, n’osait pas embarquer dans la charrette, voulant se montrer à la hauteur du Héros.

Le deuxième jour, le cortège tomba dans une petite embuscade menée par quatre bandits morts de faim. Deux furent tranchés par les énormes lames des Élites, un prit la fuite et le dernier fut capturé.

Le troisième jour, deux gardes rouges, ainsi que le captif, moururent de soif, les réserves d’eau épuisées. Ils furent obligés d’établir un campement pendant la nuit.

Le soleil se levait en ce quatrième jour de marche dans le désert. Iorek ne désespérait pas, mais ses forces le quittaient peu à peu. Le Lizalfos noir tentait de lui remonter le moral, mais le jeune homme ne l’écoutait pas tellement. Il imposa une pause à ses hommes, mais seul les soldats se reposaient. Lui, il continuait de marcher dans le sable, se laissant parfois tomber sur le sol. Le prince, inquiet, marchait avec lui malgré le soleil qui tapait sur leur tête, infligeant une puissante migraine.
-Pourquoi ne te reposes-tu pas dans la charrette? Tu vas mourir de fatigue si tu continu comme ça!
-Je ne… je ne peux pas abandonner! Ils comptent sur moi, ta famille… ta famille aussi. Je ne peux me permettre de m’arrêter…
Iorek tomba encore une fois.
-Tu vois, tu ne peux plus marcher! Gardes! Mettez le dans le chariot!
-NON! Cria l’homme affalé sur le sol.
Trois Élites s’emparèrent du Héros, qui les repoussa violemment. Il banda son arc, visant le garde le plus proche. La corde se détendit, la flèche transperça une jambe. La victime s’effondra, tentant de retirer la flèche de son membre endolori. Un deuxième Élite se lança sur Iorek, qui l’assomma avec la garde de son épée. Le dernier utilisa sa tête, plutôt que de foncer sur l’homme prit de délire. Il déposa calmement son épée gargantuesque sur le sable fin, leva les mains en signe de paix et avança lentement vers l’autre. Ce dernier, prit de panique, saisi sa dague et entailla le bras de sa victime. Il commença à se calmer, puis il s’écroula par terre. Il ferma les yeux, des paroles lui revinrent en tête : « Elle est dotée d’un poison mortel, qui peut se soigner à l’aide de l’anneau fixé à la garde de l’arme ». C’était la voix d’Eltrof. Le Héros arracha l’anneau doré en question et le mit au doigt de l’homme qu’il avait blessé. Il serra sa main sur celle de l’homme à terre, souhaitant de tout son cœur qu’il vive. La magie opérait, sa plaie se refermait. Iorek reprit l’anneau, rangea sa garde et tenta de se lever. Il sentit les bras puissants du Goron le lever, puis le projeté sans ménagement dans un chariot. Il sourit, sachant qu’il avait sauvé un homme de la mort. Grâce à l’Anneau de l’Ermite. Non, son anneau, c’était le sien maintenant.

La j´ai pas lu le chapitre ...
mais j´ai vu ca !

les cerise

Quand meme oublié un " s " quand on met un " les " devant le mot c´est du tres grand niveau

Ps = J´ai pas resisté a lire le premier paragraphe et regarde sur quoi je tombe !

attendant le Héro.

Dit toi que les cerises, ce n´est pas inclu dans ma fic, donc ne compte pas vraiment. Sinon, j´avais déjà écrit "Héro" et j´ai oublié de corriger. J´en suis désolé. Mais dit, toi, tu fait mieux peut-être dans tes parodies? tu fait plus de fautes de grammaires que moi, tu ne peux le nier.

je confirme...
Bon, je laisse passer les quelques fautes (de moins en moins)pour me consacrer à un élément qui me gène assez:
"-Eh oh, Héros du Temps, vous venez?
C’était Skrilf qui avait prononcé ces derniers mots"

Bon, je m´explique: notre ami lizalfos s´est fait capturé puis, grace à une confiance de link inatendu, a intégré l´équipe, et en tant que comandant en second qui puis est!
Ensuite, Link l´a "menacé" de le tuer à la moindre incartade.
Je m´étonne donc de le voir s´adresser ainsi à son sauveur.Il devrait faire preuve d´un grand respect et d´une grande reserve.Il devrait se contenter d´executer les ordres et les procédures d´usage du mieux qu´il peut.On a plus l´impression qu´il est un ami de longue date de Link plutot que son prisonnier.Bref, je trouve ça bizare, j´aurais attendu quelques chapitres avant cette familiarité.

Euh, je trouve également assez étrange le comportement de Link avec ses hommes, ou plutot des élites vis à vis de leur comandant.
Enfin, ça passe quand meme.

Bref, a part ça, c´est toujours sympa .

C´est vrai qu´il y a encore quelques fautes mais ça va.
Comme le dit linkalink le comportement des protagonistes entre eux est assez étrange mais bon l´histoire n´en souffre pas et c´est bien là le principal

Non, en fait si, en fait je sais pas a quoi c´est sensé répondre ces Non et ces si. enfin, oubliez ça!

Donc, pour l´attitude de Skrilf, c´est justement avec une certaine respectitude (le titre, le vouvoiement) mais j´Avou maintenant que j´ai manqué mon coup... SInon, qu´est-ce que vous voulez dire par l´attitude étrange de Link envers les Élites? Donner moi un example. Sinon si c´est pour sa crise de délire, c´est parce qu´il est ouf, il n´est plus lui même, et serrer l´anneau a soigné sa lésion mental, a réparé la coche qu´il avait sauté suite au désespoir, au manque de nourriture d´eau et d´energie. (il se refuse tout répit parce qu´i veut continuer). Enfin, je suis désolé pour ces point, je tenterais de reformulé le passage de "l´insolence" de Skrilf (lol) et je le posterai apres. Pour les garde, je n´y touche plus.
Bonnne 9 eme page