Quel promesse ?
J´ai surement du promettre de pas te lacher tant que tu renoncer pas au bouletisme

Ah malade... Grace à ton discret rappel, je me suis rendu compte que je ne décrivait pas assez mes pensées pour ta fic :
SUBLIME ! MAGNIFIQUE ! BEAU ! FANTASTIQUE ! SUPER ! ELABORE ! REFLECHI ! SAGE ! HISTORIQUE ! CHEF D´OEUVRE ! DIVIN ! HARMONIEUX !
Voilà, j´espère que c´est suffisant

Des phrases , meme courte, mais complete aurait été apprécier

up

Hum, tu as l´air d´avoir un bon style et un bon potentiel, mais je n´aime pas les parodies. J´ai lu le premier chapitre et c´était suffisant pour moi

Par contre, j´aimerais beaucoup lire une fic plus sérieuse écrite par toi ^_^

ÇA, c´est ma fiction. Ma parodie est sur le forum Star Fox: Assault. Cette fiction est sérieuse, je crois que tu as mal saisi mon indroduction de la fic. Enfin, bonne lecture

PS: si tu parlais de Vegecube, sache qu´il fera jamais de fiction et qu´il est bien incrusté dans ses (tres bones) parodies

Peut-etre qu´il parlait de ta fic tellement nulle qu´elle ressemble a une parodie

Je parlais bel et bien de cette fic ci Si c´est sérieux, je préfère ne pas voir la parodie lol

J´ai jeté un coup d´oeil au hasard dans le dernier chapitre et ...

" Elle se retourna et ne vit qu’un papillon bleu planer au dessus d’une autre vache "

Et bien mon cher malade , retourne a la maternelle si tu veux faire des fautes de ce genre

Décèle-moi les fautes, si t´es si malin! Et c´est pas pasqu´il y a un passage avec une vache que c´est digne de la maternelle. Il me semblait que tu me lachait sur ce forum?

Signe_of_truth T´as lu mon prologue, petit paragraphe reflétant peu ma fic, et encore moins autre chose et tu dit qu´elle n´est pas sérieuse? les dialogues sont sympathiques, c´est tout. Et je l´ai fait en quelques minutes, ce prologue. Vise les autres chapitre et fait toi une meilleur idée... ou ne la lis pas Sinon, si je me trompe, dis moi ce qui te fait dire que ma fic n´est pas sérieuse, j´accpeterais avec joie et calme tes commentaires.

Malade Hum ... Je parlais pas de la vache mais de Elle se retourna et ne vit qu’un papillon bleu planer Et pis corriger tes milliards de fautes d´orthographe serait trop long ...
apren a ecr1re espesse 2 boulé

Bon, la je sens une bouffée de colère monter. Je ne vois aps ce que tu trouve mauvait dans ma phrase.. Et je n´écrit point comme ta derniere phrase, je n´utilise jamais de chiffre, sauf pour les effectifs, d´ailleur je devrais le retirer. Et j´ai des fautes principalement de grammaire, pas d´ortographe. Alors laisse moi tranquille au moins sur ce topic et va m´embêter ailleur, mais ne critique pas san s avoir lu la TOTALITÉ de ma fiction.

Signe Maintenant que j´y pense, tu as lu "La malédiction de la pierre" de Haldrik, non? Et bien je me suis inspiré de lui pour cette fic, c´est lui qui m´a donné l´idée. Je lui doit plusieurs passages et chapitres, que je lui dédie. Et mis a part ses 18 ans et les connaissance qui viennent avec ces années d´études, tu peut me dire ce qu´il fait de plus que moi? Je ne cherche point la compétition avec lui et je reconnais que sa fic est tres bonne, mais je ne vois aps comment tu peut juger toute ma fic sur un seul prologue de moins d´une page.

Voilà j´ai fini. Je me suis calmé. Linkalink j´attend toujours ta critique et j´ai bientôt fini le chapitre 11. Bonne journée

mais ne critique pas san s avoir lu la TOTALITÉ de ma fiction.

Je prefere avaler des limaces
et pis dans ta phrase , c´est une faute de conjugaison ... Tu vas me faire croire que t´es si nul en conjugaison pour pas voir ca ?
( et la derniere phrase c´etait pour rire ^^ )

merci haldrik... et donne moi donc cette fautes. j´ai pas envie de chercher.

• faute sans "s" désolé... Sinon tu avais dit en fin de semaine, Linkalink, grouille, j´ai hate de recevoir la critique da ma plus fidèle lectrice.

Chapitre 11 : Un nouvel ami

« N’agit pas bêtement, pour une fois. Tu as laissé seul ton petit frère par ta gourmandise, tu te ramasse en prison par ta gourmandise, tu fais plein de bêtises. Pense, pour une fois, tu as eu une idée brillante, met ton plan a exécution sans faire de gaffe. »
Huorj se parlait à lui-même. Son geôlier était parti sans sa monture, la porte de la prison ouverte sans usage de force. Le Goron était fier de son coup. Il fixait Kef sur le dos de l’étalon blanc. Son plan était simple : Il avait crocheté la serrure avec un fil de fer que le Kokiri possédait, il était parvenu à déplacer le tas de bois décomposé (les restes du mannequin), dans la cellule, puis avait attaché son compagnon sur le cheval pour qu’il puisse s’échapper. Il ne lui restait plus qu’a trouver la sortie pour évacuer son ami. Ensuite, il retournerait dans sa prison, purgent la peine de sa stupidité.

Il ne voulait pas éveiller les soupçons chez le clone maléfique de Iorek, déjà que la perte de l’animal le ferait probablement enrager. Mais il ne se rendrait pas compte de la disparition de Kef, puisqu’il croirait que le monticule de moisissures était son prisonnier. Huorj était arrivé à la conclusion que son ami n’avait pas été contaminé par la Langue du Démon grâce à la même immunité qui lui avait permis de sortir de sa forêt natale. Il lui avait confié un jour que la solution résidait dans une potion conçue à base d’herbe rares. Les effets secondaires auraient apparemment donner au Kokiri une protection contre certaines maladies et malédictions, dans le cas présent. Et ça, la créature noire ne le savait pas!

***

Ses vêtements recousus, le ventre rempli, équipé comme un riche seigneur, Iorek huma l’air frais du Bois de son enfance. La douce mélodie des Skull Kid, la végétation luxuriante, les innombrables heures, et parfois une vie entière, qu’on pouvait passer à chercher la sortie. Il avait débouché près d’une mare où quelques poissons naviguaient paresseusement. Il l’enjamba et marcha d’un pas vif : Il devait négocier le passage de l’escorte, voir Zelda afin de sauver Ruto, récupéré son cheval et trouver ses compagnons. Il se rendit compte à quelle point il les avait négligés ces temps-ci. Il n’avait pas prêter beaucoup d’attention à leur disparition, mais il n’avait pas eu le temps non plus. Enfin, une chose à la fois. Il arpenta les souches, devant parfois éliminer des plans entiers de plantes Boko Baba, ces fleurs meurtrières, puis il finit par reconnaître le chemin. Il se mit à accélérer, puis il courut, ses mollets ne lui faisait plus mal, un tronc creux un peu plus grand que les autres se dressait devant lui. Il le traversa sans avoir à se pencher, il ferma les yeux.
« PAF! »
Il s’affala sur le dos, se massant le front. Il avait le souffle court. Il avait du percuter le pourtour d’un passage plus étroit. Pourtant, il souffrait aussi au niveau de l’estomac. Il se releva lentement et vit un petit garçon roux en armure noire étendu sur ses jambes. Le prince Lewis lui était rentré tête première dans le ventre.
-Qu’est-ce que tu fais là? Tu ne fais plus d’escalade? Le garçon avait posé cette question avec un air sombre. Ses yeux étaient rouge, il avait du pleurer.
-C’est moi qui devrait te demander ça. Que fais-tu dans ces bois?
-Je me suis perdu, dit le prince, honteux. Je jouais avec Gruj quand une grosse brute nous à volé notre balle. Il l’a lancé dans un tunnel noir et il est partit. J’ai voulu aller chercher ma balle, mais je suis arrivé ici.
Gruj, ce nom était familier aux oreilles de Iorek. Mais il devait ramener le prince à ses parents.
-Suis-moi, on va trouver la sortie ensemble et retrouver les autres. En attendant, raconte-moi donc ce qui s’est passé depuis que je vous ai quitté.
Et le jeune héritier de la couronne entreprit un discours récitant les évènements récent. La présence du héro le réconfortait, et il se mit à décrire la ville Goron avec excitation. Sa voix était empli de fascination, et à en croire ses dires, la cité avait augmenté ses dimensions. Le cœur plein, Iorek décida de le vider en racontant ses propres aventures au prince. Ce dernier insista pour connaître tout les détails, même les plus gore. Il voulait toujours connaître plus de détails. Ils marchaient tout en discutant, sautant par dessus les racines par réflexe, trucidant des plantes maléfiques sans détourner leur regard de l’autre. Au bout d’un moment, ils débouchèrent devant une des issues différentes des autres. Effectivement, une roche reposait sur le bord de la souche.
-Je suis sur que c’était celle-ci! La roche, je me rappelle de l’avoir vu. Ma balle se trouvait un peu plus loin.
-En effet, c’est ce passage qui mène à la Ville Goron. Tu es très observateur…
-Eh! Ma balle, je l’avait échappé ici après avoir fui, elle n’est plus là.
-Pourquoi as-tu fui au juste? Tu aurais pu…
Le prince blêmi. Ses lèvres tremblaient. Réfléchissant vite, Iorek fit volte-face en dégainant son épée, mais une fraction de seconde trop tard : Une plante Boko Baba géante tenait dans sa gueule Murdep. Iorek poussa Lewis hors de porté du dangereux végétal, puis tira son arc. Il visa la tête, mais la flèche ricocha sur l’écorce violacée et se perdit dans le ciel clair. Quand à la tige, inutile d’y penser, il ne possédait pas la dextérité nécessaire pour l’atteindre. Il fit rapidement l’inventaire de ses armes en évitant les attaques de son ennemi, qui planta la Lame des Eaux dans la parois derrière elle, hors de portée du jeune homme. Ce dernier saisi sa dague, qui se recouvrit de la substance semblable aux rubis de Rewju. Il fonça sur la fleur carnivore, qui lui asséna un coup de tête qui l’envoya sur le mur d’arbre. Il recommença, mais cette fois-ci, il effectua une roulade et se releva d’un bon, plantant son arme à la base de la tête du végétal. Celle-ci sauta et roula sur le sol, inanimée. Un sorte d’amas de cuir et de laine sortit de la bouche de la plante.
-Ma balle… laissa échapper le prince roux.
-Vite, rentrons! Cette forêt recèle d’autre ennemi encore plus cruels que cette plante Boko Baba.

***

Skrilf, le général Lizalfos, avait de la nourriture à volonté, de l’eau, et même une poigné de petites roches qu’il pouvait discrètement jetée aux Goron –mais il résistait avec difficulté à cette tentation- mais il était dans une cage. Une vaste cage, certes, et avec une bonne vue sur la ville, suspendu au dessus, mais il demeurait captif. Il avait pourtant accepté de se convertir, il avait remis armes et armure, mais les humains et les Goron ne semblaient pas lui faire confiance. Pourtant il était sincère, il voulait vraiment tout faire pour devenir l’un des leurs. Du haut de sa geôle, il aperçu le Héro du Temps le premier, et ne se priva pas de crier cette bonne nouvelle.
-Le Héro est de retour! Il ramène le Prince!
Iorek leva les yeux vers le Lizalfos, qui le regarda avec des yeux pleins de pitié. Puis le jeune homme reporta son regard vers la grande ville, qui devait entamer une bonne partie de la montagne pour ses fondations. Lorsque ses yeux fixèrent de nouveau le reptile, il était encore en train de le regardé avec une supplication peinte sur le visage. « Peut-être qu’il va me libéré si je lui montre que je suis maltraité. » pensa Skrilf. « Enfin, je ne peux pas tomber plus bas. » Vingt minutes s’écoulèrent, où la famille royale et Darunia parlaient avec le Héro, le soignaient. Ils écoutèrent son récits, puis le prince raconta avec entrain la partie où ils se trouvaient dans la forêt. Le lézard noir but une rasade d’eau fraîche, puis il aperçu avec étonnement le fameux Link qui se hissait jusqu’à sa cellule. Il adressa quelques mots aux gardes, qui ouvrirent la porte de la prison. Le Lizalfos pencha sa tête sur le côté. « Ça à marché! Je suis libre, ou au moins je sort de ma prison. »
-Ton nom est bien Skrilf?
Le reptile hocha.
-Alors tu va être le dirigeant en second de l’expédition. Tu vas nous accompagné en tant que soldat, et non en tant que prisonnier. Honore la faveur que je te fais, montre t’en digne. Je t’ai obtenu carte blanche pour circuler dans la ville. Demain matin, tu devras me retrouver ici. Promet-tu d’être fidèle?
-Oui, déclara le général avec empressement. Je ferai tout pour vous satisfaire! Je serais fidèle, je le promet!
Une mimique souriante s’afficha sur le regard de Iorek, qui aida le lézard à se relever. Le visage de ce dernier s’illumina de gratitude. Il lui tendit une patte griffue, que l’autre serra avec vigueur. Le Lizalfos deviendrait plus qu’un allié, il serait un compagnon de voyage, un ami. Et Iorek le lisait dans les yeux de la créature qui se trouvait devant lui, une créature qui voulait passer du bon côté, qui voulait être sympathique.

***

Zelda faisait de la broderie, assise sur son lit. Son œuvre représentait le Héro du Temps, pour qui elle éprouvait une puissante amitié. Elle s’arrêta de broder et observa sa production. La princesse se demanda alors comment allait Link. Peu-être revenait-il déjà de Fhevyut? Ou qu’il était encore sur la route. Ou même qu’il soit mort. Elle chassa de sa tête ces pensés sombres et se remit à broder. Elle entendit cogner à la porte.
-Entrez… dit elle d’une voix lasse.
La porte s’ouvrit sur un jeune homme aux longs cheveux blonds, qui portait des vêtements de seigneur. Une élégante rapière pendait à sa ceinture. Ses profonds yeux bleus fixait la princesse. Il souriait de ses dents blanches.
-Bonjour, est-ce que je vous dérange?
-N-non, qui êtes vous?
-Je me nomme Kermus, je viens vous demander votre main.
La princesse n’en revenait pas, elle allait s’évanouir. Le jeune aristocrate lui tapota la main pour qu’elle demeure consciente. Ses mains étaient douces et chaudes. Zelda se demandait si elle rêvait ou si cet homme était réel.
-Je suis un prince des royaumes nordiques, déclara le jeune homme. J’ai entendu parler de vous, et vous me semblez ravissante. Je désire vous épouser. Si vous êtes d’accord, bien sûr.
-Et bien, je… je vais y penser. Est-ce que le roi est avisé de votre visite?
-Bien sûr, je l’ai averti de ma venue et une escorte attend en bas. Quand pourrais-je obtenir une réponse de votre part?
-Je dois y réfléchir au moins quelques semaines. Vous pourriez rester encore un peu au château…
-Soit, j’attendrai.
Sur ces mots, le prince quitta la pièce. Encore étourdie par cette brusque rencontre, la princesse, s’étendit sur son lit. « Le baldaquin est toujours en piteuse état » remarqua Zelda. Cette pensée lui rappela Link, ce qui la mit mal alaise. Son esprit perturbé s’embrouillait. Elle s’affala sur sa couche et s’endormie aussitôt.

UP! Ou est tu Linkalink?

ici! bah j´ai pas eu le temps de lire mais je m´y mets tout de suite, je te dis ce que j´en pense après

Vegecube Posté le 16 janvier 2006 à 22:08:22
J´ai jeté un coup d´oeil au hasard dans le dernier chapitre et ...
" Elle se retourna et ne vit qu’un papillon bleu planer au dessus d’une autre vache "
Et bien mon cher malade , retourne a la maternelle si tu veux faire des fautes de ce genre

Il n´y a pas de faute dans cette phrase...

Merci, tu compte poster dans combien de temps? quelques minutes, heure jour, mois, année? Enfin, je l´attend avec impatience. C´Est mieux de faire des mètre de long

il fallait que ej rattrape pas mal de chapitre! et j´ai du m´absenter un bon quart d´heure.
Enfin, mon impresion ne change pas:
C´est une très bonne histoire,avec de bonnes idées et des descriptions assez précises. Sans compter une bonne dose d´humour, chose que l´on trouve rarement dans ce genre de fic. Par contre, on s eperd un peu dan sles noms. Enfin ça, c´est peut etre parce que je me souvenais plus bien du début.
Par contre, je trouve un peu rapide la "conversion" de notre ami lizalfos et la confiance que les autres lui portent. Ce qui marche aussi avec Darunia: il ne s´étonne pas de rencntrer des humains qui disent conaitre le héros du temps, lequel n´a pas fait parlé de lui depuis bon nombre d´années, dans ses montagnes...
Et pour finir, un magnifique stéréotype de prince charmant a la fin du dernier chapitre

Pour l´écriture: a part des fautes de syntaxe (encore et toujours la syntaxe, ) c´est agréable à lire.