« Phantom deux, vous pouvez venir au lieu prévu … ».
Mais comment tu fais pour avoir le premier et dernier signe ?
Marre des ces trucs ( " " ) à la con !
J´ai d´ailleurs oublié que c´était génial, mais ils tuent les Spartans avec un peu trop de rapidité, non ?
Pfff, les Spartans sont invinsible en combat normal, ton recit n´est qu´incoherences ^^
Ecris un récit puisque tu te permets de critiquer...
Excellent
Et Snake_36 si tu sais mieux que tout le monde alors fais un récit.
Snake, en temps normal, un Spartan est aussi fort qu´un Elite, mais les Spartans sont plus Stratégiques
Et je trouve que Voro a raison, les Spartans se font liquidé en deux secondes. Mais bon je présume que c´étaient des Elites chevronés.
leka, mais fait attention aux repetitions, c´est recurent
bon voila la suite il y a pas pas mal de pages là !
Un calme pesant était tombé sur la ville, où plutôt sur ce qu’il en restait. L’atmosphère lourde et chargée de poussière, n’était rompue que de temps en temps par le crissement des bottes des marines, qui foulaient le sol jonché de gravats.
Pas un seul des soldats endurcis qu’étaient les TCAO, n’avait ouvert la bouche depuis des heures. Et ce n’était pas seulement par peur d’alerter l’ennemi, non. La vue de ce paysage torturé, réduit en charpies par les bombes, avait de quoi glacer le cœur du plus vaillant.
Plongée dans ses pensées, Tally réajusta sont paquetage, qui commençait à peser des tonnes sur ses épaules.
Ils devaient marcher ainsi depuis trois bonnes heures, dans les ruines de ce qui fut la deuxième plus grande ville de la région, quand soudain, sur un signe du sergent Jagger, la colonne s’immobilisa.
Tally laissa d’instinct glisser son paquetage sur le sol, et dégagea son Br55. La tension dans l’air était presque palpable. Elle progressa rapidement vers l’avant, traversant les rangs des soldats, qui vérifiaient leurs armes en scrutant les bâtiments alentours.
A la tête du groupe, le sergent Jagger était en pleine conversation avec l’ingénieur de terrain.
Il se retourna à l’approche de la TCAO.
-Sergent !
-Ha, Mcly. Dites aux hommes de se préparer à repartir. Et en silence !
-Que ce passe t-il, se risqua à demander Tally.
Le sergent tourna la tête vers un immeuble encore partiellement intact.
-L’espace d’une seconde, j’ai cru apercevoir quelque chose briller, commença t-il. Mais Bobby m’affirme que le radar ne détecte aucun signal thermique et…
Il fut brutalement interrompu quand un soldat s’effondra, le crâne perforé par un tir de plasma.
Sniper ! A couvert !
Tally se jeta au sol, imitée par la cinquantaine de soldats du détachement. Presque immédiatement, une grêle de tir se mit à pleuvoir, projetant des éclats brûlants autours d’eux. A un mètre de la TCAO, un soldat tenait sa jambe brûlée contre lui, il essaya de se mettre à couvert, avant de recevoir un deuxième tir qui lui fit cette fois exploser la poitrine.
Des tirs d’armes automatiques s’ajoutèrent au sifflement des rafales de plasma. Les marines tentaient de riposter, mais leurs tirs, fautes de cibles, ne faisaient que se perdre au loin.
Tally regarda autours d’elle. Une dizaine d’hommes étaient déjà tombé, et ils allaient tous y passer si ils ne décrochaient pas.
Le sergent Jagger non loin d’elle, sembla arriver à la même conclusion.
-Repliez vous marines ! Hurla t-il, essayant de couvrir les bruits du combat. Tir de couverture, on retourne sur nos pas !
Les TCAO se mirent à remonter la rue, tirant au hasard sur les ouvertures des immeubles. Deux hommes supplémentaires s’effondrèrent. Tally voulut tirer le plus proche derrière la carcasse d’une voiture, quand un homme se mit à crier dans son dos.
Se retournant brusquement, elle aperçut des contacts se déverser au bout de la rue.
La TCAO vit Les soldats qui tentaient de se replier, se faire accueillir par un barrage de plasma, qui les faucha à bout portant. Epaulant son fusil, elle ouvrit le feu sur les multiples cibles qui approchaient.
-On est entourés ! Hurla un soldat dont la voix trahissait la panique.
L’espace autours de Tally était jonché des cadavres de ses frères d’armes, entourés de centaines de douilles.
Un cri de souffrance retenti derrière elle, couvert par le rire guttural d’un élite, qui taillait en pièce l’arrière garde à lui tout seul.
Tally, cherchait désespérément le regard du sergent Jagger, mais elle ne rencontra que ses yeux éteints par la mort. Se relevant, elle et voulu crier à ces hommes de se replier, de rompre la formation, avant de se rendre compte qu’il n’y avait plus personne pour lui obéir.
Elle tomba à genoux, continuant à tirer, seule, les yeux inondés de larmes, sur les ennemis qui l’entouraient de partout. Son doigt rencontra soudain la résistance de la gâchette, quand la dernière balle quitta le canon fumant de son arme.
Continuant de presser vainement la détente, Tally regarda la forme imposante de l’élite s’approcher lentement d’elle, une lame brillant de mille feux dans sa main droite.
D’un simple revers de son bras puissant, la créature lui fit voler l’arme des mains, avant de lever sa propre lame d’un mouvement impérieux.
La TCAO vit l’élite l’abattre sur elle avec une lenteur délibérée, quand…
-Caporal ? Tout va bien ?
Tally ouvrit brusquement les yeux, tremblant de tous ces membres. Elle cligna plusieurs fois des paupières, avant de distinguer la silhouette d’ O’Brian, lui tendant une tasse de café fumante.
-Désolé de vous réveiller Caporal, mais le sergent Jagger vous attend au PC pour le briefing.
Le soldat posa la tasse prés d’elle, avant de s’éloigner en lui jetant un dernier coup d’oeil inquiet. Tally se redressa tant bien que mal, sur le sol dur et inégal des ruines, dans lesquelles ils avaient passé la nuit.
Malgré sa combinaison thermo régulée, la TCAO était trempée de sueur. Elle attrapa maladroitement la tasse de café, et commença à reprendre ses esprits, sentant le liquide brûlant couler au fond de sa gorge.
Elle soupira. Ca lui avait semblé si réel… A un détail prés, pensa t-elle. Le sergent Jagger faisant confiance à la technologie, il fallait pas rêver !
Dehors, les premiers rayons de l’aube commençaient à pointer au dessus des toits déchiquetés. On les avait déposé de nuit par pélican, et c’était autre chose que de voir à la lumière du jour toute cette désolation s’étendre à perte de vue, songea Tally. Là où il y a encore quelques jours se dressait la ville où elle avait grandit.
Sa rappelant soudain que le sergent l’attendait, elle se força à se lever et à étirer son dos courbaturé. Elle avait déjà dormi dehors de multiple fois, mais jamais sur un sol en béton, parsemé de gravats. La longue journée de marche qui s’annonçait, promettait d’être joyeuse !
La TCAO vida consciencieusement sa tasse de café. Autant en profiter, c’était probablement le dernier truc frais qu’ils avalerait avant des jours…
S’arrêtant sur le seuil de la porte, elle hésita quelques secondes, avant de finalement prendre son Br55 en bandoulière. La guerre, ça change les gens, pour sur. Certains appelleraient ça de la prudence, d’autre de la paranoïa, peut importe, pensait Tally, c’était comme ça, et après cette nuit, ça n’était pas prés de s’arranger.
Elle sortit finalement du bâtiment dans lequel elle avait passé la nuit. Enfin bâtiment était un bien grand mots pour quelque chose qui n’avait pas de toit, pas de fenêtres, et pas de porte. Mais généralement, il était préférable avec les bombardements de dormir sans toit, plutôt qu’avec un toit sur la tête, au sens propre du terme.
A l’extérieur, tous les soldats vaquaient à leurs occupations habituelles comme une seule et même mécanique bien rodée. Boby fouraillant dans sa caisse d’équipement. Anton faisant son éternel footings matinal au milieu des débris, et sous le regard amusé des autres TCAO, qui la saluèrent au passage. Tout cela avait quelque chose de rassurant, un peu comme une famille où chacun aurait sa place.
Les avoir vu disparaître ainsi durant la nuit, lui avait montré qu’elle tenait beaucoup plus à eux tous qu’elle ne le croyait. Et plus particulièrement à la personne à laquelle elle essayait de réfléchir le moins, mais qui finissait toujours par occuper quatre vingt quinze pourcent de ses pensées… Elle écarta tant bien que mal les incertitudes qui la rongeaient, afin de se concentrer sur le présent.
Le sergent Jagger c’était installé à l’écart du reste de la compagnie, afin de pouvoir expliquer aux différents chefs de groupe, les objectifs de missions.
-Ha ! Mcly ! Fit il de son habituel ton faussement surpris, en la voyant arriver. La grâce matinée vous réussit ont dirait !
-Oui, sergent ! Heu, je veux dire non sergent ! Il est 5 heures du matin sergent !
-Oui c’est ça, rétorqua t-il d’un ton amusé. Si vous pensez en savoir plus que votre sergent, allez vous asseoir là bas, ça vous permettra de finir votre nuit !
-A vos ordre sergent !
Le sergent Jagger aimait les soldats placés sous ses ordres, et ça se voyait. Ancien TCAO lui-même, il semblait avoir reprit du service, depuis sa retraite au poste d’instructeur pour la Navy. Tout ceux qui le connaissaient, savaient qu’il détestait plus que tout le manque d’esprit et d’initiative chez ses hommes, allant jusqu´à les encourager à critiquer l’absurdité de certains ordres donnés par les autres gradés.
C’est ça qui discerne un simple soldat d’un bon officier, affirmait il. L’esprit critique ! Même si vous devez obéir a vos supérieurs, ne gardez jamais à l’esprit qu’il ne sont pas infaibles, et qu’il peuvent se tromper plus sottement que n’importe lequel d’entres vous !
-Bon puisque tout le monde est là, nous pouvons commencer ! Les informations qui vont suivre, ne devront pas sortir d’ici, je me suis fait bien comprendre ?
La mission qui nous a étés confiée est classé code rouge par le SRN, je n’ai pas besoin de vous faire un dessin je crois.
La tension était subitement montée d’un cran. Code rouge, le plus redouté. Songea Tally Aucun repli, aucune évacuation jusqu´à réalisation de l’objectif. Par tout les moyen...
-Les huiles considèrent cette intervention comme capitale, reprit Jagger. Encore une fois, ça va être à nous de réparer leurs conneries. A onze kilomètres à l’est, se dresse le QG du haut commandement, évacué avant l’arrivée des covenants.
-Si il a était évacué qu’est ce qu’on va foutre là bas ? Intervint un soldat.
-Justement Rosety, reprit le sergent. Durant leur évacuation précipitée, l’état major a enclenché le processus de destruction de toutes les données informatique. Et c’est là que ça a foiré. Comme vous le savez, le CSNU aime bien refourguer son matos usagé sur Théranis, et les IA ne font pas exception à la règle.
L’intelligence artificielle de la station était en « fin de vie », surchargé par toutes les données acquise durant son existence. Elle a développé de ce fait une personnalité propre, et a refuser de se soumettre au protocole Cole. Le SRN s’en ait aperçut trop tard après l’évacuation, et la zone est tombée sous le contrôle des covies.
Des murmures se firent entendre parmi les TCAO présents.
-Vous imaginez aisément la suite ? Continua Jagger. Si cette IA tombe entres leurs mains, les conséquences pourraient être catastrophiques. Personne ne connaît l’étendue des données qu’elle possède, mais si ses programmes de mémoire contiennent des coordonnées de sous espace, des colonies pourrais êtres compromise, voir dans le pire des cas la terre…
-Notre mission, sera d’infiltrer le complexe militaire du haut commandement en passant derrière les lignes ennemies, de trouver cette IA, et de la détruire. Par tout les moyens…
Pas mal du tout cette alternatve Flood.
Sinon ==> "Enfin bâtiment était un bien grand mots pour..."
Pas de "S" à mot...
Bon récit Soldier
Snake et Voro, le combat ne dure pas une éternité parce qu´à 3H du matin, j´avais pas envie de prolonger l´écriture jusqu´à 4H pour vous pondre un combat titanesque
Je suis déja bien content de voir que vous avez deviné contre qui ´Landaree se bat.
Je te signalerais qu´en temps qu´Ossoona, un Elite est tout aussi invisible en combat comme tu dit qu´un spartan
Il serait bon d´arrêter de prendre les Spartans pour des créature infernale et impossible à tuer ...
Invisible ?
Enfin bref, les Spartans sont tout de même des machines à tuer, ils inspirent la peur sur un champ de bataille
C´était super power, au début ca me rappelait ma fic avec tout ses batiments défoncés ( surtout avec Mcly )
je me demandait si quelqu´un allait le remarquer c´est sa soeur
Power Comme d´hab´, c´est génial.
Chapitre 2 : Une course désagréable :
- << Cinq heures du mat’ et déjà en train de m’entraîner. Je me demande à quoi ça sert. Tu le sais toi puisque les covies n’arriveront sans doute jamais dans le coin ?
- J’en sais rien ,me répondit Axel, mais je sais que le sergent va nous botter les fesses si on se bouge pas.
- Ouais t’as sans doute raison. >>
Sur cette discussion nous continuâmes l’exercice de tir prévu à l’aube, histoire de bien réveiller les autres membres de la section avant la course d’une dizaine de kilomètres prévue au programme.
- << Bon bougez-vous un peu pour cette exercice d’endurance qui se déroulera jusqu’à ce que tous le monde franchisse l’arrivée, nous dit le sergent, et je sais que tous le monde y arrivera puisque personne ne mangera tant que chaque membre de l’unité n’aura pas terminé.
- Il est pas un peu sadique sur les bords non ? Me demanda Axel alors que nous nous pressions sur la ligne de départ.
- A ton avis lui rétorquais-je avec un sourire au coin des lèvres. >>
Le départ fût donné quelques minutes après cette discussion et tous deux allions à la même allure. Ce que je détestais dans ce genre de course, ce n’était pas le fait de courir lui-même mais plutôt les conditions dans lesquelles cela se passait : Une chaleur qui se faisait de plus en plus présente, des gouttes de sueur qui perlaient sur mon front, cette sensation de soif qui me tenaillait depuis longtemps et cette jambe qui me faisait mal depuis quelques jours.
- << Fait chaud non ? lui-demandait-je
- Tu l’as dit >>
Je me souvient de cette course pendant laquelle on pouvait entendre la respiration chaque seconde plus présente de chacun des quarante-cinq membres de l’escouade à laquelle j’appartenais. Et cette chaleur de plus en plus présente. La seule chose qui me poussait à continuer était la connaissance de la présence du sergent quelques dizaines de mètres derrières nous. Il fallait luter contre cette maudite chaleur, cet air étouffant..
- << Trente-neuf degrés, me dis-je en regardant mon indicateur de température reliée à ma montre. C’est pas humain de nous faire courir avec un paquetage d’un peu moins de cinquante kilos sur le dos. C’est pas humain me répétais-je. Et toujours cette maudite chaleur qui se faisait de plus en plus présente. Il n’était que dix heures et dix-sept minutes après tout.
Environ une vingtaine de minutes se passèrent avant que la voix du sergent ne retentissent dans le haut-parleur de mon casque. A entendre sa voix, si calme, personne n’aurait pu prédire ce qui allait se passer.
- << Soldat ! Personne ne sait comment ils ont fait mais ils sont là mais le capitaine vient de me transmettre la nouvelle à l’instant. Les covies viennent d’apparaître avec une deux croiseurs et six frégates et envoient des navettes d’abordage.
- Ok soldats ! Continua t’il. Cinq pélicans sont en route pour nous emmener dans la ville la plus proche. On va tenir ces enfoirés à l’écart de ces pauvres civils >>.
Je regardais Axel avec de gros yeux et lui fît de même. On se fichait de savoir comment les covies étaient arrivés ici mais le plus important était de savoir comment on allait les repousser. Ce n’était pas la maigre garnison de cette planète qui allait permettre de les repousser.
C’est à ce moment là, comme toute personne sensée et au courant de ce qui se passait quand les covenants attaquaient, que la planète était perdue, et nous avec.
On voit que tu t´est surpassé mon petit.
C´est la mise en situation...
Ceci n´est pas un exercice !!
Bon poste ta fic toi...
Je vois que ma remarque a ete mal prise, je plaisantais, je ne critiquais pas le boulot de marcoom
Par contre, je le redis, un Spartan est invinsible(et pas invisible) en combat normal (bon okay j´arrete ^^)