C´est pas grave j´réclame pas de suite Pacequ jesuis déçu!
Mais ce que j´aime bien C´est que t´es pas comme Ginny62 elle disparaît à chauqe fois qu´on veut une suite s´il te plait en plsu aujourd´hui c´est laid tu dois m´faire ce cadeau!
Je te reni Jim!
Alors ça vient?
t´inquiète pas Fan Jim a dis qu´il mettrai une suite pendant les vacances donc peut-être demain
Oui mais moi j´ai pas de vacances , c´est pour ça, ça change que dalle pour moi ^^ Je veux la suite!!!!!!!
On est demain!
quoi je rentre blessé et je ne vois aucune suite .
Jim dépêche toi stp
LES VACANCES !!
Je peux enfin me remettre à écrire, et la suite, si par malheur elle n´arrivait pas aujourd´hui, viendra demain, sinon, je vous autorise à flooder sur ma fic .
Je demande pardon à tous ceux qui ont été déçus, mais c´est les vacances, alors ne vous faites plus de soucis .
Fan Si tu aimes ma fic, les vacances doivent changer quelque chose pour toi vu que je vais poster plus souvent .
C´est vrai tu nous autorise à flooder dans ta fic Non je crois que ça ne se fait pas ta fic est très joli je ne vais pas flooder
Certainement pas !! Mais si après demain, ya pas de suite (parce que ça voudra dire que je n´aurais pas tenu la promesse de poster demain), alors faites-le, je le mériterai
Mais bon, juste un peu hein . Et de toutes façons je vais poster . Je peux le faire
-Que la force soit avec toi jim.
Ta conscience écoute, tes pas elle guideras.
Dark vador arrive et tu tousle monde.........
Non ! Jim Skywalker arrive à temps et empêche le massacre, car il a la force !
Mais une force , car il a le pouvoir que le Seigneur des ténèbres ignore ! Non, pas l´amour , une suite !
Bonne lecture^^ :
25
Londumor (suite, et toujours pas fin^^)
- Entrez. Ah, c’est vous ! dit-il plus joyeusement. C’est bien, vous êtes en avance – même si je ne sais pas si c’est pour éviter une retenue ou pour sauver le monde, ajouta-t-il sur un ton dégagé.
- Seulement pour avoir une chance de tuer Voldemort, répondit Harry, tout aussi calme.
- Bonne réponse, dit Abel, mon frère ne s’est pas trompé sur vous, jusqu’à maintenant.
Il contourna son bureau et fit un geste de la main pour les inviter à se réunir au centre de la pièce.
- Vous devez vous demander ce que je compte vous apprendre. Pour l’instant, rien de bien difficile pour vous, juste des sortilèges plus puissants, histoire de compléter votre répertoire, ce qui est toujours utile. Une fois que nous aurons fait cela, cependant, nous en viendrons au véritable but de tout ceci. En plus de savoir les jeter, vous devez également apprendre à dégager une puissance optimale dans vos enchantements et maléfices, déclara-t-il.
Son regard s’attarda un court instant sur Harry puis il reprit.
- Mais aujourd’hui, je vais essayer de vous enseigner quelques sortilèges utiles. Je pensais commencer par une arme très utile si vous recroisez un jour des Inferi.
Avec une synchronisation parfaite, le quatuor pâlit légèrement. Harry, l’estomac contracté par ce sinistre souvenir, hocha positivement la tête.
- Vous connaissez normalement deux sortilèges du feu : Flambios, utile pour le corps à corps, et Incendio, pour enflammer à distance. Mais il en existe un qui combine ces deux avantages : le sortilège Lance-flammes. Il s’agit d’un sort qui permet de faire jaillir un jet de flamme semblable à celui d’un dragon – à plus petite échelle, bien entendu.
Harry se souvint de la langue de feu que Dumbledore avait enroulé autour d’eux deux pour repousser les Inferi dans la caverne du faux médaillon, il y avait maintenant cinq mois de cela.
- De plus, c’est également un sortilège qui pourra vous servir contre des ennemis bien vivants, pour ne serait-ce que les écarter – ou pire, si vous n’avez pas le choix.
Cette fois, son regard se tourna plus ostensiblement vers Harry qui avait facilement compris où le frère de Dumbledore voulait en venir : il lui offrait déjà un moyen de tuer sans utiliser Avada Kedavra, sans utiliser de sortilège Impardonnable. Abelforth avait beau répété qu’il ne leur enseignerait que quelques sorts utiles, son premier cours en venait déjà au principal : comment éliminer Lord Voldemort lorsque viendrait leur face à face final, son dernier duel contre le Seigneur des Ténèbres.
Ils commencèrent donc l’apprentissage du sortilège Lance-flammes. Il requérait plus de puissance magique que ce qu’ils avaient l’habitude de faire, mais étant désormais majeurs, Abel leur assura qu’ils parviendraient à surmonter cette difficulté. Il leur expliqua comment faire, les conseilla quand à la méthode à adopter et leur donna enfin la formule.
Aux tous premiers essais, rien ne se produisit ; par la suite, quelques flammes s’échappèrent mais elles s’éteignaient après s’être détachées de la baguette magique de Harry, Ron, Hermione ou Neville. Hermione, suivie de près par Harry, parvint enfin à faire jaillir un jet continu de flammes, mais il ne s’agissait que d’une mince ligne de feu.
Ce fut Harry qui parvint le premier à faire quelque chose de convenable.
- Draconispyro ! lança-t-il.
Un cylindre de feu de l’épaisseur d’un tronc d’arbre sortit du bout de sa baguette magique. Peut-être Abel l’aurait-t-il félicité si Harry n’avait pas ensuite par accident atteint son bureau.
- Finite Incendio ! cria-t-il immédiatement.
Le sortilège d’Extinction fut efficace mais il ne restait déjà plus grand-chose du meuble, en grande partie constitué de bois.
- Je… Je suis désolé professeur… balbutia Harry.
Sous le choc, Abel ne répondit pas tout de suite. Ron et Neville se mordaient le poing pour réprimander leur envie de rire, mais Hermione paraissait inquiète.
- Je… Je vous rembourserai…, assura Harry, très embarrassé.
- Ce ne sera pas la peine, finit par dire Abelforth d’une voix faible, je devrais pouvoir arranger ça.
Il agita négligemment sa baguette magique en direction des restes de son bureau. Ceux-ci se rassemblèrent pour reformer le support de travail du professeur. Cependant, ce dernier paraissait bouleversé, un peu comme lorsqu’ils lui avaient parlé de R.A.B. et de Regulus Black.
Cette fois encore, Hermione le ramena à la réalité par un petit toussotement. Ils poursuivirent donc leurs « Draconispyro ! », tandis qu’Abelforth, jetant toujours en retrait de légers coups d’œil vers son bureau, veillait à intercepter les flammes, et ajoutait parfois des conseils pratiques. Au bout de deux bonnes heures, Abel jugea qu’ils avaient une maîtrise plus ou moins acceptable du sortilège pour le moment. Mais quand Neville bailla, il fit remarquer qu’il n’était que « Dix heures du soir à peine ! » et leur enseigna d’autres sorts.
- La prochaine fois, nous en viendrons aux sortilèges de blessures, annonça Abelforth quand ils partirent, bien après minuit. J’espère que vous retiendrez ce qu’on a fait ce soir, dit-il avec un regard pénétrant. Bonne nuit.
- On va être trop fatigués, demain, se plaignit Ron une fois qu’ils eurent grimpé au dortoir. Déjà que d’habitude, je ne comprends rien à ce que dit McGonagall…
En effet, le lendemain, les indications de la directrice sur la grande difficulté du sortilège d’Animatus Apparitus entrèrent dans son cerveau sans être décodées comme il l’aurait fallu, et ce, malgré tous les efforts que fit Harry pour se concentrer. Il parvint quand même à prendre des notes, et avec moins de difficultés que Ron. De toutes manières, il avait trop confiance en la faculté d’écoute d’Hermione pour s’inquiéter ; elle leur prêterait ses notes plus tard, et leur expliquerait… Il pensait surtout avec envie à Neville, qui pouvait encore rester un peu dans son lit vu qu’il avait abandonné la métamorphose pour les ASPIC. Il le retrouva au cours de Flitwick, où Harry et Ron eurent moins de mal à suivre. En revanche, Neville, malgré son heure de sommeil supplémentaire, était fatigué et comme il avait déjà du mal en tant normal, le résultat en fut presque désastreux.
Ils continuaient à étudier les sortilèges de Guérison. Après le sort général, ils abordaient désormais la guérison spécialisée de la chair, plus efficace sur les blessures profondes. Les élèves ne pouvant plus se blesser eux-mêmes pour se guérir (« Vous seriez obligés de vous entailler trop profondément vous-même pour que l’on puisse vraiment tester vos capacités, et vous auriez beaucoup trop mal pour jeter le moindre sort » avait couiné le professeur d’Enchantements), Flitwick leur distribua d’étranges feuilles de parchemin bleu. Les élèves échangèrent des regards perplexes.
- Qui peut me dire ce que c’est ? questionna-t-il de sa voix flûtée.
- C’est un test de sorcellerie, répondit aussitôt Hermione qui donnait l’impression de vouloir détruire le plafond avec son poing. On l’utilise pour tester la fiabilité de produits ou d’actes magiques quand il est trop dangereux de le tester en des conditions plus appropriées.
- C’est tout à fait ça, Miss Granger, dix points pour Gryffondor. Le test consiste à appliquer une potion ou un acte magique sur la feuille de parchemin. Plus la couleur se rapprochera du rouge, plus le produit ou l’acte magique – dans ce cas il s’agira bien sûr de jeter le sortilège sur la feuille – est fiable. L’inconvénient, c’est que la fiabilité du test lui-même n’est pas toujours certaine, il y a beaucoup de risque d’erreur. Mais pour ce que nous ferons en classe, cela devrait convenir.
Chaque élève passa donc trois quarts d’heure à jeter le sortilège de Cicatrisation sur son parchemin. Certains, comme Neville, n’obtinrent qu’un léger violet. Hermione colora dès les premiers essais sa feuille en mauve. Ron mit plus de temps à faire de même.
Harry se concentra. Puis il prit sa baguette magique, tapota son parchemin et prononça distinctement :
- Caro Cicatrix.
Rien ne se produisit. Il refit plusieurs essais mais même s’il lui parut légèrement moins vif, le bleu restait effrontément bleu. Se souvenant qu’il en aurait certainement besoin plus tôt que les autres élèves, Harry se focalisa sur son objectif, s’imprimant la volonté de guérir, mais les résultats ne furent guère plus brillants. A la fin du cours, sa feuille était encore plus proche du bleu que celle de Neville.
Tout le monde – sauf Hermione, comme d’habitude – reçut le devoir supplémentaire de s’exercer au sortilège de Guérison.
- C’est complètement idiot de s’entraîner sur ce bout de papier ! s’emporta Harry à la sortie du cours.
- Je trouve que c’est un système très ingénieux, dit Hermione – bien sûr, comme l’a dit Flitwick, il n’est pas toujours fiable, ajouta-t-elle en croisant son regard.
- Tu y serais peut-être mieux arrivé avec un cobaye humain, dit Ron en éclatant de rire, mais Poudlard ne trucide pas ses élèves pour leur apprendre à se guérir : ils ont une méthode plus douce, et je dois dire que je préfère largement jeter un sort à une feuille plutôt que de m’ouvrir les veines.
Harry eut un sourire forcé.
Mais il s’effaça immédiatement quand il vit Nott, Zabini et Parkinson passer près d’eux avec un sourire mauvais. C’était déjà plus qu’il ne pouvait supporter, mais il ne fit rien. S’il avait raison – et c’était forcément le cas –, Nott lui donnerait lui-même une occasion de se venger au cours de l’année. Le tout était de le faire avant qu’il n’arrive quelque chose de grave à un autre élève…
Mais le sourire de Nott lui rappela encore une fois la recherche de Horcruxes. Il n’avait pas encore parlé à Ron, Hermione et Neville de la réaction qu’avait eue Zacharias Smith à l’évocation du nom d’Hepzibah. Il se décida enfin à le leur dire une fois arrivé dans la salle commune.
Quand il eut terminé son récit, Hermione, les sourcils froncés, demanda :
- Et il n’a rien dit d’autre ?
- Si, répondit sombrement Harry. J’ai essayé de le retenir, mais il m’a dit que si je le « harcelais » avec cette histoire, je le regretterai.
- Tu es en train de me dire qu’il t’a menacé ? dit Hermione, choquée.
- Il ne manque pas d’air, celui-là ! s’exclama Ron. Un jour il parle de t’aider, et le lendemain il joue les durs !
Même s’il était à moitié d’accord avec son meilleur ami, et partageait en partie l’indignation d’Hermione, Harry ne pouvait s’empêcher d’envisager une autre possibilité. Il hésita :
- En fait… je me demande si…
- Quoi ? questionna Neville.
- Je me demande s’il ne voulait pas plutôt dire qu’il y avait des dangers dans les affaires d’Hepzibah Smith, acheva Harry.
- Tu crois qu’il te donnait un « conseil d’ami » ? moqua Ron.
- On aurait dit qu’il avait peur, insista Harry. Quand je lui ai parlé d’un objet que je voulais retrouver, il m’a dit : « Et bien moi je te souhaite de ne jamais le retrouver », comme s’il savait de quel objet je parlais… et que cet objet était dangereux.
- Harry, si ça concerne un Horcruxe, il y a de fortes chances pour que ce soit vrai, dit Hermione sur un ton grave. Je pense que tu dois avoir raison – et je pense aussi que nous sommes sur la bonne voie. Tu devrais reparler à Smith, et te débrouiller pour qu’il te révèle son secret.
- Dommage que je n’ai pas un peu de Felix Felicis sur moi, ironisa Harry.
- Ne me dis pas que tu trouves Smith plus difficile à aborder que Slughorn ? dit Ron.
- Bien sûr que non ! assura Harry, scandalisé. Bon, dit-il en se tournant vers Hermione, je veux bien essayer de lui tirer les vers du nez, mais on doit quand même essayer de chercher autre part au cas où. Quand on aura le temps, on devra passer à la bibliothèque, et aussi demander de l’aide à Abel. On avait déjà demandé aux autres membres de l’Ordre, je crois, mais ils sont sûrement trop occupés avec leurs propres missions…
- Et les notes de Voldemort ? dit Neville, qui parlait des morceaux de parchemins qu’ils avaient découverts dans la Salle sur Demande lors de leur première visite avec l’Ordre.
- Elles ne concernent que les recherches qu’il a faites sur sa famille, répondit Harry, ça ne parle pas des Horcruxes.
Il avait eu le temps de jeter des coups d’œil plus longs sur ces notes étranges, et il n’y avait en effet rien vu de plus que des notes sur la famille Gaunt, sur Serpentard, et aussi sur une personne dont il n’avait jamais entendu parler : « Grindelwald ». Mais rien qui aurait pu concerner de près ou de loin les Horcruxes.
Ils se mirent donc d’accord.
Mais avant d’aller à la bibliothèque pour Hepzibah Smith, ils devaient s’y rendre, comme toujours, pour les devoirs. Harry s’étonnait encore que cette habitude soit restée chez lui, mais le plus étonnant, c’était que Ron en fasse autant. Même le désir de se rapprocher de sa petite amie expliquait difficilement la nouvelle capacité du rouquin à combattre sa paresse légendaire. En tout cas, il y parvint encore une fois et le quatuor passa une matinée de plus sous l’œil sévère et extrêmement désagréable de Mrs Pince.
Super suite Jim j´éspère que tu feras apparaitre Ginny dans ta prochaine suite merçi encore de nous donner toutes ces magnifiques suite!!!
très bien. Toujours cette légère tendance à la répétition regarde le mot "utile" mais cela n´enlève rien à la qualité du texte qui ne demande qu´une chose... la suite
Alors :
- Seulement pour avoir une chance de tuer Voldemort, répondit Harry, tout aussi calme.
Cette réplique j´adore
- C’est un test de sorcellerie, répondit aussitôt Hermione qui donnait l’impression de vouloir détruire le plafond avec son poing.
Excellent xD
J´aime bien ton chapitre, avec des nouveaux sorts, comme je te l´avais dit, j´aime bien la découverte du monde magique
Excellente suite, mais comme le dit granger, où est ma Ginny? Ou plutôt ta Ginny ^^
LA SUITE
une suite maintenant lol
Oh, merci mes vos coms me font très plaisir^^.
granger Je ne sais pas si elle apparaîtra physiquement, mais je peux t´assurer qu´elle aura son importance dans la prochaine suite
tati mais quand je vois les répétitions que JKR elle-même peut faire, j´ai pas envie de me fouler . Mais ce mode de pensée n´est pas en accord avec un écrivain sérieux, je vais tenter de faire attention, même si je ne promets rien . Merci pour tes sages conseils tati^^.
Fan Ca c´est un com qui motive^^.
Metallica et Godric_6 MDR^^
Merçi Jim tu me rassure sur Ginny!!!