je vais bientôt changer aussi de cv qd j´aurai trouvé le truc Jim, tu es FANTASTIQUE!!!
Je n´ai pas tout lu(j´ai eu des pépins avec mon print) j´arrange ça dès que possible!
Jim Si, moi je t´ai mis hier dans ma CDV Puisque j´ai tout refait hier ^^
Tati Et ma fic Sinon content que tu sois de nouveau là ^^
jimpoter pour cette suite .. J´ai aimé ..
tati Je suis vraiment content que tu sois revenue^^. Ce n´est pas grave pour ma fic, prends ton temps, l´important est que tu lises et que tu aimes . Je t´adore .
Sky
Smog
Et maintenant, voici la suite et la fin du 20e chap, que je poste en 2 parties car je sais par expérience que le message serait trop long^^.
Bonne lecture^^ :
20
Rappel à l´ordre (suite et fin)
- Neville est déjà sorti avec une fille ? s’abasourdit Harry.
- Euh… non, admit Ginny. Mais il a déjà essayé au moins deux fois – à ma connaissance, en tout cas. Tu sais qu’il a voulu sortir avec Hermione pour le bal de noël ?
- Oui, mais c’était juste pour…
- Non, coupa Ginny, je peux t’assurer qu’il était amoureux d’elle – ou du moins il croyait l’être.
Harry fut extrêmement stupéfait par cette nouvelle. Jamais il n’aurait pu imaginé une seule seconde une telle chose. Neville, secrètement amoureux d’Hermione… En tout cas, une autre chose était certaine, ils n’auraient pas formé un beau couple ; Hermione et Neville n’allaient pas du tout ensembles.
- Ca alors… finit-il par dire. Je n’aurais jamais pensé…
- Mais c’est de l’histoire ancienne, assura Ginny. Il l’a vite oubliée, et c’est d’ailleurs pour ça que je crois qu’il n’était pas véritablement amoureux d’elle… enfin je crois surtout que Neville ne savait pas vraiment ce qu’était l’amour, à l’époque.
- Et maintenant, il le sait ? demanda Harry avec un sérieux doute.
- Aucune idée, répondit Ginny.
- Mais… tu as bien dit qu’il avait essayé de sortir avec deux filles ? Qui était l’autre, je la connais ?
- Et bien… hésita Ginny. C’est-à-dire que… Enfin oui, tu la connais, et même très bien, j’espère !
- Qui est-ce ?
- C’est moi.
Harry aurait pu s’étrangler avec sa propre salive tant ce qu’il venait d’entendre l’avait secoué.
- Comment !?
- C’était il y a longtemps ! précisa précipitamment la jeune fille. Bien avant que je ne sorte avec toi ! Pour tout te dire, je ne sortais même avec personne, je venais de quitter Michaël.
- Mais… bredouilla Harry, pourquoi ?
Ginny se redressa soudain et tourna son visage scandalisé vers le jeune homme.
- Tu demandes pourquoi ? s’indigna-t-elle. Tu demandes ? Si tu ne sais pas je ne vois pas trop ce qu’on fabrique ici !
- Non, je ne voulais pas dire… Tu es très belle et tu as beaucoup de qualités, tu sais bien que je ne voulais pas dire ça ! Mais je voudrais comprendre pourquoi Neville t’a demandé de sortir avec lui. En fait, je ne pensais pas qu’il aurait un jour l’audace de demander ça à une fille, quelle qu’elle soit. Avec Hermione, il avait une excuse, et surtout il était obligé pour le bal.
- Tu es pardonné, dit Ginny en souriant, apparemment contente d’elle-même, s’allongeant de nouveau contre Harry.
- En tout cas, poursuivit un Harry soulagé, je commence à penser que Ron n’avait pas tout à fait tort en voulant trouver une copine à Neville.
Ils passèrent ainsi la matinée dans une agréable somnolence, l’un contre l’autre, à l’ombre de l’arbre au bord du lac, et ils n’étaient pas les seuls à pratiquer cette « activité ». D’autres couples, ou des groupes d’amis, se détendaient sur l’herbe du parc ensoleillé. Ron et Hermione ne vinrent pas les retrouver, ce qui fit penser à Harry qu’ils avaient vraiment trouvé un coin tranquille… Malheureusement, au fur et à mesure que midi approchait, le ciel se couvrit de nuages de plus en plus noirs et le temps se rafraîchit si bien que Harry et Ginny se frottaient littéralement l’un contre l’autre. Un orage finit par éclater et ils se hâtèrent de rentrer dans le château, se protégeant de l’averse en remontant les cols de leurs robes. Ils se séchèrent en parcourant les couloirs (Harry avait dans l’idée d’imiter Ron et Hermione) et atterrirent au septième étage. Harry eut alors une idée. Il la soumit à voix basse à Ginny qui n’était pas contre. Ils tombèrent devant la tapisserie de Barnabas le Follet, et passèrent trois fois devant le mur sur lequel apparut la porte de la Salle sur Demande.
- J’espère juste qu’on ne va pas tomber sur les tourtereaux à l’intérieur, dit Ginny, souriante.
Harry éclata de rire. Mais quand ils entrèrent dans la Salle, ils furent tout d’abord stupéfaits, puis blancs comme des morts, et enfin rouges cramoisis, le tout avec un synchronisme parfait. Ce n’était pas une simple pièce vide, un placard à balai tranquille dans lequel ils auraient pu s’embrasser en toute liberté, dans lequel ils se trouvaient, mais une assez grande chambre, éclairée par des torches aux flammes pourpres, avec un lit à baldaquins, draps et couvertures de même couleur, ainsi qu’une petite bibliothèque remplie de livres dont les titres ne laissaient aucun doute sur la nature de l’activité pour laquelle la Salle s’était transformée. Extrêmement embarrassé, Harry ne sut que dire.
Ce fut Ginny qui coupa le silence.
- Euh… Est-ce que tu as pensé à… ce genre de chose, quand on est passés devant la porte ? demanda-t-elle sans parvenir à dissimuler son ton accusateur.
- Non ! protesta vivement Harry. Je te jure que non ! J’ai juste demandé un coin tranquille et sûr pour… pour nous deux, bredouilla-t-il. Je… je n’avais pas l’intention de…
Il y eut un nouveau silence et Ginny éclata de rire.
- Je crois bien que j’ai rarement été aussi gênée, dit-elle.
- Dans ce cas on est deux, marmonna Harry avec un tressaillement. On… on sort d’ici ?
- Je croyais que même si tu n’avais pas demandé à ce que la Salle soit comme ça, tu en profiterais, rit Ginny.
- Quoi ?
- Et bien quoi, quoi ? Un homme est un homme, chacun ses faiblesses…
- Très drôle…
Ils sortirent, toujours écarlates.
Quand elle rouvrit la porte, Ginny manqua d’heurter de plein fouet Théodore Nott, suivi de près par Blaise Zabini, Pansy Parkinson, Millicent Bulstrode, ainsi que Crabbe et Goyle. Les trois premiers brandirent leurs baguettes en même temps que Harry et Ginny tandis que les trois autres mettaient leur corpulence en avant.
- Oubliettes ! cria Nott.
- Protego ! répliqua Harry, qui avait réagi un tantinet plus tôt que sa petite amie.
Mais lui-même avait jeté le charme du Bouclier un instant trop tard. Il y eut une lumière aveuglante et Ginny fut projetée en arrière pour tomber sur le lit à baldaquins, évanouie. Avec une rage bouillonnante, Harry stupéfixa Nott qui entraîna Zabini dans sa chute. Il se tourna vers Pansy Parkinson qui avait déjà hurlé d’une voix aigue : « Expelliarmus !! ». L’éclair de lumière rouge projeta la baguette de Harry près de l’étagère. Il voulut se jeter dessus mais Zabini avait émergé de sous le corps inerte de Nott et dit : « Impedimenta ! », ce qui le plaqua contre un mur avant de l’effondrer sur le sol.
Avec ses membres engourdis par le sortilège d’entrave, Harry avait du mal à bouger. Il parvint laborieusement à se retourner pour voir Zabini se relever et ranimer Nott.
- Enervatum, prononça-t-il.
Le stupéfixé se mit péniblement debout et ordonna aux autres Serpentard d’entrer et de fermer la porte. Juste avant que ce ne fut fait, Harry crut entendre une autre porte s’ouvrir à la volée un peu plus loin, mais c’était trop tard : la Salle sur Demande était hermétiquement close et le resterait, comme il en avait été à chaque fois que Harry avait tenté d’y entrer l’année précédente. Il se trouvait dans une très mauvaise posture, sans baguette, à terre, sans pouvoir ni bouger avec suffisamment de vigueur, ni être secouru par qui que ce soit.
Nott observa attentivement l’intérieur de la pièce et il eut un petit sourire narquois.
- Alors, Potter, tu voulais un peu d’intimité avec la petite Weasley ? lança-t-il. J’aurais bien aimé être là, elle n’est pas mal dans le genre allumeuse…
- Tais-toi, marmonna Harry.
Nott éclata de rire ; un rire froid, sans joie, qui aurait pu rappeler Lord Voldemort s’il avait été plus aigu.
- Et qu’est-ce que tu vas me faire, si je ne me tais pas, hein ? demanda-t-il. Tu vas me donner un coup si fort que ça me chatouillera ?
Crabbe, Goyle et Millicent Bulstrode rirent bêtement tandis que Zabini gardait un visage neutre, mais un tressaillement trahissait cruellement son approbation. Pansy Parkinson paressait nerveuse.
- En tout cas, poursuivit Nott, tu ne pourras plus faire de galipette avec cette traîtresse à son sang, désolé…
La fureur de Harry devint telle qu’il parvint à hurler.
- LA FERME, NOTT !! ! Tu n’es qu’un minable…
- … parce que je lui ai effacé tous ses souvenirs de toi, et de qui ou quoi que ce soit, d’ailleurs, acheva Nott. C’est dur, n’est-ce pas ? Mais je ne pouvais pas vous laissez de quoi dire qu’on était venu là. Crabbe, Goyle, que diriez-vous de vous occuper d’apprendre la politesse à Potter ?
Les deux meilleurs amis de Malefoy, qui semblaient s’être mis au service de quelqu’un d’autre, s’avancèrent lentement vers Harry. Crabbe le prit par le col et le plaqua violemment contre le mur, avant de lui décocher un énorme coup de genou qui cassa certaines côtes de Harry, qui poussa un hurlement de douleur. Crabbe le retourna ensuite, lui maintint les bras derrière le dos et dirigea Harry vers Goyle qui lui asséna plusieurs crochets du droit et du gauche, dans l’estomac (et aussi plus bas, ce qui donna l’impression à Harry que la douleur se propageait et circulait comme un poison dans cet endroit si sensible), des deux côtés de la mâchoire, ce qui fit vaciller dangereusement les dents de Harry, lui donnant un goût de sang dans la bouche, et sur le nez qui se cassa dans un flot sanguinaire.
Après ce douloureux passage à tabac, Crabbe laissa retomber Harry sans ménagement sur le ventre. Ce dernier avait terriblement mal, ses côtes cassées le faisaient souffrir et son nez ensanglanté se pliait un peu plus sous le poids de sa tête sur le sol dur.
- Qu’est-ce qu’il y a, Pansy ? entendit-il en reconnaissant la voix de Zabini. Serais-tu trop sensible ?
- Je… Je ne suis pas habituée à voir ça, c’est tout, répondit faiblement Parkinson. Et tout ça me fait peur. C’est normal, non ? Drago aussi avait peur !
- C’est vrai, admit Nott. Et pourtant il est devenu un mangemort efficace… Enfin, hormis la fois où il a laissé partir les jumeaux Weasley, rectifia-t-il. Maintenant, ils ont rouvert leur stupide magasin… Mais je vais t’aider, Pansy, ricana Nott ; je vais te montrer l’exemple. Endoloris !
Nott ne fit pas de mystère quand à la personne visée. La douleur de Harry s’intensifia au point qu’il avait l’impression que tous ses nerfs étaient en feux. Il se tordit sur le sol en poussant des hurlements assourdissants.
Nott n’avait aucune réticence dans ce qu’il faisait… Il n’avait rien de la peur de Malefoy, Harry le sentait très bien… C’était un vrai Doloris qu’on lui soumettait. Et cela dura… dura… Cela ne s’arrêtait plus, cela continuait ; une longue minute s’était déjà écoulée, une minute insupportable…
Et soudain, tout s’arrêta. Enfin pas tout, il y avait toujours les blessures infligées par Crabbe et Goyle. Des bruits secs et violents avaient alerté Nott. Harry se trouvait désormais sur le dos, haletant et tremblant, et il pouvait voir Crabbe, Goyle, et Millicent Bulstrode qui retenaient la porte. Visiblement, quelqu’un avait un besoin urgent d’entrer et frappait de toutes ses forces contre le panneau.
- REDUCTO !! ! rugit quelqu’un.
La porte vola en éclat, projetant les trois imposantes carrures sur le sol. Deux éclairs de stupéfixion frappèrent immédiatement Nott et Zabini de plein fouet et ils s’affalèrent l’un sur l’autre. Ron et Hermione se tenaient tous deux dans l’encadrement, baguettes brandies. Sans avoir eu le temps de réagir, Pansy Parkinson se retrouva sous un maléfice du saucisson informulé de Ron. Mais Crabbe, Goyle et Bulstrode bondirent et le plaquèrent au sol. Heureusement, Hermione avait eu la bonne idée de rentrer dans la pièce et d’enjamber les gros bras.
- Impedimenta ! lança-t-elle.
Il y eut une lumière puis Ron parvint à se dégager et il s’empressa de se placer à côté de sa sauveuse. Ils jetèrent le maléfice du saucisson à toute la bande des Serpentard (même ceux qui étaient stupéfixés, au cas où ils se réveilleraient, chose rare mais pas impossible). Paniqué, Ron se pencha ensuite sur Ginny, et Hermione s’occupa de Harry.
- Episkey, murmura-t-elle.
Harry sentit les blessures de son visage se refermer, bien qu’il eût toujours très mal. Quant à ses côtes, elles restèrent fracturées. Il se releva tant bien que mal, le bras passé autour des épaules d’Hermione qui le soutenait.
- Ca va, Ginny ? demanda Ron avec inquiétude.
- Oui, ça peut aller, répondit-t-elle, encore plus pâle que Ron.
- Qu’est-ce qui s’est passé ? interrogea Hermione.
- On vous racontera tout plus tard, ou sur le chemin de l’infirmerie, répondit faiblement Harry.
- D’accord.
Ils descendirent donc péniblement les quatre étages qui les séparaient de l’infirmerie de Poudlard et Harry leur raconta toute l’histoire.
- Ils préparaient quelque chose, c’est sûr, dit Harry.
Il avait achevé son récit et ils venaient d’atteindre le quatrième étage. Harry était toujours soutenu par Hermione et Ron tenait fermement l’épaule gauche de Ginny, qui n’avait plus dit un seul mot. Elle était pâle et semblait terrifiée.
- Nott voulait que ça reste secret, expliqua Harry. Ce n’est pas par hasard qu’il avait réuni toute une bande pour aller dans la Salle sur Demande. La première réaction qu’il a eue…
Il avait tu un détail.
- … c’est de jeter un sortilège d’amnésie.
Il y eut un bref silence anxieux puis…
- Mais j’ai utilisé le charme du Bouclier. Je ne pensais pas que ça avait marché mais apparemment, tu te souviens de nous, Ginny ?
Cette dernière confirma d’un signe de tête, mais son silence obstiné inquiéta beaucoup Harry.
Ils parvinrent à l’infirmerie où Mrs Pomfresh les accueillit de mauvaise humeur.
- Qu’est-ce que vous êtes encore allé faire, Potter ? demanda-t-elle. Une bagarre, c’est ça ?
- On peut dire ça comme ça, dit Harry, le souffle court.
Hermione l’aida à s’installer sur un lit.
- Où avez-vous mal ?
- Aux ventre… répondit Harry, ou à l’estomac, plutôt. Je crois que j’ai des côtes cassées.
- Je vois. Allongez-vous. Doucement… voilà. Et maintenant, ne bougez plus. Souddoss, prononça-t-elle en pointant sa baguette sur la cage thoracique de Harry.
Ce dernier sentit aussitôt ses os reprendre leur place habituelle et se recoller et la douleur disparut lentement.
- Je pense qu’on peut aussi peaufiner ça, ajouta Mrs Pomfresh en montrant le visage de Harry. Episkey.
La douleur de son visage s’en alla également mais il se sentait encore faible.
- Il faut aller voir McGonagall, déclara alors Hermione.
- Vous voulez déranger la directrice pour une bagarre ? questionna Mrs Pomfresh, choquée.
- Vous ne connaissez pas toute l’histoire, dit Harry. On a été attaqués…
- Très bien, dit l’infirmière, douteuse, mais vous avez besoin de vous reposer, pour l’instant.
- Alors je vais y aller, dit Hermione.
Elle se hâta de sortir de l’infirmerie. Il y eut un silence pesant.
- Et Miss Weasley, qu’avez-vous ? finit par demander Mrs Pomfresh, qui avait également remarqué le teint de Ginny.
- Euh… rien, répondit la jeune fille.
- Vous êtes bien sûre ?
- Oui.
- Très bien.
L’infirmière repartit dans son bureau. Ron se retourna brusquement et regarda Ginny et Harry à tour de rôle.
- Qu’est-ce que vous faisiez là-bas, tous les deux ? interrogea-t-il, les sourcils froncés. Pourquoi la Salle était… comme ça ?
Harry avait redouté cette question, surtout de la part de Ron.
- Ecoute, dit-il, ne t’imagine pas des choses, d’accord ? Ginny et moi, on cherchait juste un coin tranquille pour… Enfin, tu vois ce que je veux dire. Je me suis dit que la Salle sur Demande était idéale pour ça, alors on y est allé et… disons que la salle a un peu exagéré la notion d’intimité et la nature de nos besoins. On a voulu sortir et on est tombés sur Nott et les autres. La suite tu la connais.
Il y eut un silence, le soulagement commençait à se lire sur le visage de Ronald Weasley. Mais il fut interrompu par des reniflements. C’est alors que Harry remarqua que Ginny pleurait.
- Qu’est-ce qu’il y a ? s’inquiéta-t-il.
Ginny ne répondit rien, elle se contenta de sangloter.
- Qu’est-ce qui se passe, Ginny ? chuchota Ron.
Elle resta silencieuse encore quelques secondes puis…
- Ron, je… j’avais l’esprit embrouillé quand tu m’as réveillée tout à l’heure, gémit-elle. Je… Je croyais me souvenir que j’avais été attaquée. Mais quand on est descendus… quand vous avez parlé, j’ai compris… j’ai compris qui c’était.
- De qui tu parles ? s’étonna Harry.
Ginny se retourna vers son petit ami et elle le dévisagea comme si elle le voyait pour la première fois.
- Je me souviens que j’aime quelqu’un, que je l’aime vraiment très fort, de tout mon cœur, mais… je ne sais pas qui. Je… Je n’ai aucun souvenir de toi ! cria-t-elle.
Elle cacha alors son visage dans ses mains.
Harry se tassa sur son lit. Non, c’était impossible… Mais si. Il le voyait à son regard. Il voyait qu’elle ne le reconnaissait pas. Une immense tristesse s’exprimait dans son regard. Finalement, c’était arrivé…
On lui avait enlevé Ginny Weasley.
tu n´as pas le droit jim de nous lassez comme ca !! !! non !! !!! laaaa suiiiite jim vite !!
super suite jim mais là tu nous laisse sur notre faim alors la suite vite!!!!!!!!!!!!!!
Super suite mais c´est cruel de couper là ..
Que j´aime être sadique !
vous 3 !
Perso, je n´avais pas prévu du tout ce qui s´est passé dans la Salle, mais j´ai eu une soudaine montée d´inspiration . Et je me suis rendu compte que cette phrase était parfaite pour achever le chapitre, absolument parfaite (après je ne dis pas que le CHAP entier était parfait ).
J´aime beaucoup laisser du suspense, pour la simple et bonne raison que même si cela me fait souffrir à un moment, au final, c´est ce qui me procure le plus de plaisir chez JK Rowling, dans les vrais Hp .
super suite jim ! continue comme sa !! c´est très très bien ! ms c´es vrai que c´est cruel de couper comme ca....
oui c´est tres cruel jim
j´espere que harry va lui balancer a ce co***rd un avada kedavra dans la ge**e
laaaa suuuiiiite!!!!
Jim tu penses quand mettre la suite parce que je cpommence a m´impatienté là je veux savoir ce que harry va faire !! ! quand la suite ?
pour vos coms encourageants, vous tous.
becks C´est-à-dire que je suis en train de l´écrire, là . Mais il n´est pas impossible qu´une première partie du 21e chapitre arrive ce soir .
Au fait, je voulais vous dire qu´il était parfois possible qu´un titre que j´ai donné dans une 1ere partie change quand je termine le chapitre. Jusqu´à maintenant j´ai tout fait pour l´évitermais comme ça a sérieusement failli se produire pour le chapitre 20, je voudrai vous demander de ne pas m´en vouloir si ça arrivait, voilà, .
c´est pas grave c´est qu´un détail ta fic est géniale ne change rien et ce serait vrément trop si on avit une suite ce soir en attendant je vais la relire si je retrouve les passages dans tous ces coms
pour la suite, c´est encore très bien
pour la suite, c´est encore très bien
pour la suite, c´est encore très bien
supeeeerrr suite !! !! elle est géniale mais ca daye ( pour l´expression)qu´on en sache pas plus sur se qui ce passe entre harry et ginny et c´est pour ca que je dit a quand laaaaa suuuiiiiteee ?
mais juste un petit truc dans le titre il y a "un anniversaire" et on en entend pas parler c´est quoi le rapport ?