Le 17 mai 2021 à 13:13:15 :
Le nouveau thème sera donc le fantasme , mêmes règles que d'habitude (voir page 1), vous avez jusqu'au 15 juin pour participer
15 juin par contre je pourrais pas c'est sur. réouverture des bars, le bac a surveiller, bref y'aura trop de chose importantes
Le 29 avril 2021 à 17:29:45 :
Petite participation de dernière minute pour ma part. Le sujet est intéressant mais je doute de la qualité de ce que vais poster, n'ayant pas vraiment pris le temps de m'y préparer. J'espère quand-même que ça vous plaira.
L'offensive des égarés , _Niko360_
Très bon texte, je n'avais pas pensé au sujet de l'Alsace et la Moselle obligées de se battre contre la France. Excellent sujet pour la question de la nationalité en effet, et je trouve ton texte très bien écrit. C'est poignant, le sentiment ressenti à la mort du héros est prenant, on se met bien à sa place, très bien joué !
Le 21 mai 2021 à 06:55:21 :
S'il faut classer les textes sur la Nationalité, je mettrais ça :
1) La Moselle (_Niko360_)
2) Des larmes au goût de sucre (Jsp 2)
3) Sang et honneur (Veyli 1)
4) Les rides du sol (jsp 1)
5) La chevauchée pourpre (Veyli 2)
6) L'enfant Silence (WhiteWeasel)
7) A un enterrement (LéopoldBloom2)
8) La genèse d'une immigration (Aldana)
Et je participe pour Le fantasme, j'ai déjà une idée en tête .
Esclave j'attends toujours ton texte!
Et je participe pour Le fantasme, j'ai déjà une idée en tête .
Moi
Le 21 mai 2021 à 07:04:48 :
Et je participe pour Le fantasme, j'ai déjà une idée en tête .
Moi
Balavo ! Fallait pas dire tu spoiles tout !!
Enndo bellissimo. À mon avis pour le thème du fantasme tu n'as pas grand chose à écrire.. il suffit que tu poste une photo de toi et c'est bon tu auras gagné.
en tout cas pour moi tu seras l'objet de tous mes fantasmes et je ne saurais te mettre une note inférieur à 20 sur 20.
Sache le ^^
Je suis sur le coup.
J'ai commencé à y réfléchir. Ce sera une histoire formidable
¨ANDROMA¨
Tout d’abord je tiens à préciser que les écrits qui suivent sont tirés d’une histoire vraie.
Cette histoire, c’est celle d’Andréa. Une jeune femme transsexuelle de 26 ans pour qui la vie n’avait été qu’une vaste réussite. Une vie rayonnante, mais… dont le crépuscule l’aura brutalement arraché de ses éclats par une mort prématurée.
Nous sommes samedi soir, il est 22 heures, lorsqu’ Andréa sort avec ses amis fêter son enterrement de vie de jeune fille. Fiancée a son copain Hector depuis six mois, elle sait que malgré tout l’amour qu’elle lui porte, cette soirée sera aussi une épreuve.
La boite de nuit, privatisée pour l’occasion, bat son plein. Le sol tremblant sous le son des basses indiquait la tonalité de ce qui aller se dérouler.
Des gogo-danseurs faisaient couler le Cristal sur un bar incurvé, permettant au précieux liquide de ruisseler tout du long.
Un vieux barman s’occupait de prendre les commandes en tant que Charon de la soirée.
C’est dans cette ambiance lubrique qu’Andréa embarqua.
Après avoir pris une coupe au bar, elle alla s’assoir à une table rejoindre ses amis. En toile de fond de discutions autant commodes qu’inaudibles, elle scrutait les convives. Elle cherchait un regard inconnu. Ses ambitions pour ce soir n’étaient pas claires. Si elle n’avait pas l’impression d’être attirée par les hommes présents, elle se sentait malgré tout comme happée par une atmosphère impudique. Un sentiment où la tentation aller se frotter le long des verres. Comme si les traditions de ses belles années en école de commerce, lorsqu’elle était encore un homme, venaient la tirer de ses engagements. Si aucun regard viril ne l’attirait, il était possible de déceler chez elle, des moments de suspend sur certains cils relevés.
Le bruit assourdissant des enceintes pleines balles la retira momentanément de ses pensées. Puis, comme si cela n’avait pas été assez pour la faire revenir sur terre, un ami lui lança une grande tape sur l’épaule. Un de ces gars pas très discret qui aime te rappeler à quel point ton intelligence te rend asociale.
__ Alors t’as pris perpette ?! ce soir c’est le repas de la condamnée hahaha
Cette phrase fit pâlir Andréa. Elle bredouilla un rire gêné.
Que faisait-t-elle là ? Pourquoi avait-elle accepté cette fête ? Rapidement un malaise profond s’empara d’elle. Ce mariage, c’était la suite logique de son couple. Mais… c’était aussi la promesse d’une vie écrite. Et qui souhaite vraiment connaitre la fin d’un livre avant de s’y plonger ?
Elle lança un dernier regard vers la piste de danse, pour vérifier une dernière fois, et elle quitta sa table pour aller fumer une clope dehors.
Pourquoi ce coup de bade maintenant ?
Elle s’accola contre le mur et sorti une cigarette de sa poche. La cigarette était tordue et elle l’observait entre ses doigts. Tordue mais l’intérieur était toujours le même, alors elle sorti son briquet.
La musique de la boite de nuit qui était omniprésent jusqu’à présent disparaissait petit à petit, laissant les criquetis d’un briquet défectueux prendre place. Un bruit de talon perçait celui de son briquet. Elle mit instinctivement la cigarette tordue dans sa bouche et fit abstraction des talons qui s’approchaient à une cadence régulière. Les talons s'arrêtèrent tout près d’elle.
Un bras élégant rentra dans son champ de vision pour allumer la cigarette. La jeune femme, perdue dans ses pensées, tira sur sa cigarette sans lever la tête.
__Merci
La paire de jambes inconnue s’en alla, faisant à nouveau résonner ses talons sur les murs.
Andréa leva la tête subitement, la musique se fit entendre d’un coup un seul, le temps que la porte de la boite s’entrouvre et laisse passer une chevelure blonde.
__ATTENDEZ !
Trop tard, la porte se referma.
Elle laissa tomber sa cigarette tordue pour retourner à la hâte dans la salle et retrouver ce qui lui apparut être une échappatoire. Mais tout ne se passa pas comme prévu.
Au moment d’entrer, un bras la retenu. Un coup à l’arrière du crâne, suivi d’une balayette, eu raison de son équilibre. A terre, la jeune femme tenta instinctivement de se protéger la tête avec les mains, lorsqu’elle fu trainer par les cheveux le long du trottoir pour l’éloigner de la boite de nuit.
Il est minuit, Andréa est rouée de coup. Insultées et humiliée à cinquante mètre de la fête ; elle comprend alors qu’elle est la cible d’une attaque transophobe. Les coups étaient secs et durs. Un homme lui attacha les deux mains dans le dos avec un lien solide, avant de lui mettre un sac sur la tête.
Si elle sentait le vent frais du mois de Mars par une brève brise qui lui plaquait son chemisier contre son ventre, la douleur de son visage tuméfié la réchauffait étrangement. La main rugueuse qui la guidait la fit rentrer dans ce qui semblait être une voiture.
Oui c’était bien le moteur d’une voiture qui venait de démarrer.
__Où on est ?? on va où ?
__Tu le verras bien assez tôt ! dit d’un air moqueur la voix qui se trouvait à sa gauche.
Après une bonne demi-heure de voiture, il entendit la porte s’ouvrir.
__Aller sort on y est.
Elle traversa un sentier toujours sous la houlette de son fil d’Ariane.
On la fit s’allonger dans un contre sol en bois sur lequel on coupa ses liens. Des sensations assez étranges.
__Qu’est-ce que c’est ?
__C’est bon tu peux retirer ton foulard.
La vue retrouvée elle examina ses kidnappeurs. C’était trois hommes et une femme, vêtus simplement. Chemises blanche de boulot et jean pour les hommes, une robe fleurie mal taillée pour la femme. Ils ne semblaient pas très effrayants, plutôt quelconque même. Ils avaient toutefois pris le soin de mettre un masque pour ne pas révéler leur identité. Un Loup noir, occultait leurs yeux.
Si elle aurait pu continuer toute une heure durant, à contempler ses malfaiteurs tant l’inédit de la situation happait son attention, elle fut néanmoins ramenée à la rude durée de sa vie. La sensation pressante du boit dure sous ses fesses lui faisait fourmiller les jambes.
Elle était allongée dans un cercueil. Sur cet instant qui lui parut un battement d’ailes, le sarcophage se referma sur elle.
Ses cries n’y fut rien. Elle sentait la terre ensevelir peu à peu son toit.
__On reviendra dans 1h ou peut-être plus hahaha
Mais une nouvelle fois, tout ne se passa pas comme prévu. Évidemment.
En reprenant la route les trois hommes et la femme eurent un accident. Tous succombèrent au choc.
…
Il est 2h du matin et Andréa est toujours prisonnière au milieu d’une foret abandonnée, loin de toute humanité. Son sort était scellé dans ce caveau. Personne ne pourrait la retrouver. Personne n’avait idée qu’elle avait été kidnappée.
Au fond du trou, dans l’obscurité la plus total, elle pensait. Elle pensait si bien, si recluse de tout que… elle visualisait dans un mélange de conscience et d’inconscience des formes de plus en plus précises. Bientôt la chevelure blonde de la jeune femme qui lui avait allumer sa clope quelques heure plutôt, se dresser en flottant devant elle. Un corps magnifique prolongeait ses cheveux d’or. Elle avait la peau douce de ces femmes méditerranéenne qui aiment nourrir leur peau d’huile aux senteurs fruités. Sa poitrine ferme et généreuse invitait les regards à se poser tendrement sur ses tétons. Minuscules tétines roses sur ces larges reliefs. Elle se retourna pour observer Andréa, son visage lui sembla familier. Mais ce coup d’œil ne lui était pas destiner. Un homme entra dans son champ de vision. Grand et fin, il s’approcha en flottant vers la blonde.
Il lui caressait les cheveux. Ses doigts descendaient le long de son dos pour aller attraper ses fesses rebondies. Il les serra fortement jusqu’à les sentir bien contenues entre ses mains.
Rapidement la jeune femme se rendu compte de son infortune posture et rougit.
Cet impudique était très fortement proportionné et la nature se révoltait en lui. Ses désirs prodigieusement exaltés ne pouvaient plus se retenir, et donner l’idée d’un tigre prêt à dévorer sa victime.
Il la plaça sur un canapé dans l’attitude propice à ses redoutables projets. Il essayait de se satisfaire d’elle de cette façon criminelle et perverse, mais son atroce et massif bélier demandait bien des manœuvres pour vaincre les obstacles. A peine se présenta-t-il, qu’il eut été aussitôt repoussé… Il écarte, il presse, il déchire, et frappe. Du sein de ces brutalités ; les chairs ramollies se prêtent, le sentier s’entrouvre et le bélier pénètre. Elle poussa des cris épouvantables ; mais bientôt la masse entière était engloutie, et la couleuvre lançant aussitôt un venin qui lui ravit ses forces, céda enfin, en pleurant de rage, aux mouvements qu’elle faisait pour s’en dégager.
Il est 4h35 du matin, Andréa venait de sortir de son tombeau. Debout avec une érection saignante, elle avait réussi à encastrer le bois solide qui la retenait. Son pénis était sorti de terre comme la main d’un mort cherchant à rejoindre le monde des vivants. Andréa venait de comprendre qu'elle était revenue à la vie et elle le devait à son gros zizi. Elle chercha à l’arrière de son jean son paquet de clope. Un peu écrasé elle sortit une clope tordue et la mis dans sa bouche. Elle prit un instant, et enleva la cigarette de sa bouche. Elle l'étira avec son pouce et son index afin de lui redonner une forme droite et pressa le filtre entre ses lèvres comme si elle l’embrassait. Elle tira une longue taffe et sourit.
Le jour commençait à se lever.
Ultra chiant : t'as perdu l'originalité du folklore de tes anciens dialogues.
Le 10 juin 2021 à 23:05:14 :
Ultra chiant : t'as perdu l'originalité du folklore de tes anciens dialogues.
Des que ça parle de sexe tu es à la rue.
Cimer de la lecture ce faisant
Allez hop hop hop
Le 13 juin 2021 à 20:14:15 :
Allez hop hop hop
Ouiiiiii j'arriiiive !
Refais-là en anglais
Le délai était un peu court pour moi. Il se peut que mon texte arrive demain.
Le mien arrivera sûrement dans la soirée ou demain aussi
Pareil, je bûche je bûche mais ce n'est pas certain que je réussisse à finir de manière satisfaisante pour ce soir, quoique je fasse de mon mieux pour que ce soit le cas.
Privilégiez la qualité à la vitesse, un travail rendu trop tôt sera forcément mauvais.