Sky futur auteur de fic Pr0n
Salut
Je vais (enfin) ecrire mon pavé pour Oman
Idrissides via Califat de Cordoue
Je suis navré de constater le malentendu dont nous sommes victimes. Tout d'abord, je ne considère pas les chrétiens comme une menace. Certains vivent même au sein de notre paisible communauté, et parviennent à s'intégrer sans peine. Loin de moi toute haine de ces croyants, bien qu'ils n'adhèrent pas à la foi d'Allah. J'admet cependant avoir mal formulé ma requête. Il me semblait en fait nécessaire de se prémunir contre les royaumes du Nord, qui sont, j'en suis convaincu, un danger potentiel.
D'autre part, je n'accepterai jamais que l'on traite mon fils d' "avorton" comme vous l'avez fait, et vous préviens des risques que l'on encourt à insulter les membres de ma noble famille. Toutefois, je ne voudrai pas déclencher une guerre entre peuples frères, partageant la croyance en Allah, et il me semble inutile de causer ainsi la mort de tant d'innocentes âmes pour un si dérisoire motif. Je vous réaffirme donc ma volonté de paix entre nos royaumes, et me réjouis de la conclusion de ces accords qui s’avéreront, incha Allah, très fructueux pour nos deux pays. Je vous propose donc de faire de Gibraltar la plaque tournante de nos échanges, par l'installation de nos, ainsi que de vos, marchands là-bas.
Que Dieu vous accorde richesse et santé.
Idrissides via Bouyides
J'assisterai à votre mariage, ô altesse califale du Machrek, bien que le calife de Cordoue ait insulté ma famille en repoussant les prétentions qu'avaient mon fils sur sa fille.
Je suis ravi de pouvoir assister à votre mariage, calife. Mais, vous le savez, toute occasion de se voir est une occasion de parler affaires, et votre bienheureuse hyménée est pour moi une occasion en or de vous adresser directement la parole, et sans messager intermédiaire.
Votre proposition d'ouvrir un comptoir à Fès est très intéressante pour nos deux pays, pour nous car nous disposons ainsi de marchandises qui nous étaient jusqu'alors inconnues, et pour vous car cela vous fournit des revenus. Mais ce marché ne me semblé équitable que si nous aussi ouvrons un comptoir à Bagdad. La décision vous revient donc d'allier financièrement nos deux pays.
Idrissides via Fatimides
Ô voisin de l'Est, souverain du Maghreb, nos deux peuples sont, comme vous le savez, liés par le sang et l'Histoire. C'est pourquoi je souhaite, pour notre bien commun, que vous cessiez les multiples attaques de votre armée à notre encontre. Je vous propose, afin de sceller définitivement l'amitié et la paix entre nos peuples, de marier mon fils Tariq, qui n'a toujours pas trouvé chaussure à son pied, à votre fille aînée Aïcha.
Que Dieu vous donne la force et la raison de méditer sur ma proposition.
Idrissides via Sérénissime République de Venise
Enfin arrivé en terre maghrébine, après un éreintant voyage en bateau, le diplomate envoyé par Venise fut accueilli fastueusement à Fès par le sultan Hassan en personne. Celui-ci, après son couronnement, fit venir le marchand :
"Qu'êtes-vous venu chercher en mes terres, descendant de César ?
- Mes supérieurs m'ont envoyé ici négocier un accord commercial avec vous et votre peuple, votre altesse.
- Bien. Mais ne craignez-vous pas l'excommunication, vous chrétiens ? Négocier avec des musulmans pourrait vous attirer la colère de celui que l'on appelle le "pape".
- Les profits que nous pouvons tirer de ces échanges valent bien le risque, n'est-ce pas ?
- En effet. Bien, écoutez : cette proposition m'intéresse sincèrement, et il me semble tout à fait raisonnable d'ouvrir des voies commerciales maritimes entre nos terres. Nous pourrons ainsi vous vendre des marchandises africaines, qu'à votre tour vous vendrez aux peuples d'Europe. C'est un marché tout à fait équitable."
Ravi de ce succès qui propulserait sa carrière vers les sommets, le diplomate s'en retourna le sourire aux lèvres dans la cale du bateau, pour annoncer la bonne nouvelle à ses compatriotes vénitiens.
Finnois
Ensioari Jalo poussa lentement la peau de loup qui lui servait de couverture et enfila son armure de cuir bouilli, il attacha une hache de pierre à une boucle de cuir de son armure et sortit de la cabane de bois qui lui servait de gîte. Il se trouvait à présent sur le littoral (au niveau de l'actuel Helsinki) à l'endroit où il avait choisis de bâtir Syntymä, sa première ville. Actuellement la ville n'était constituée que de quelques centaines de cabanes de bois, celles les plus au centre abritaient Ensioari et ses généraux (les différents chefs de clans), les autres abritaient les membres des différents clans, et les cabanes les plus proches du littoral abritaient les pêcheurs, ce qui leur permettait d'accéder rapidement au petits ports qui avaient étés construits sur le littoral, et qui abritaient une dizaine de bateau de pêche et un bateau un peu plus grand destiné au commerce et aux voyages diplomatiques.
Ensioari dépêcha cinq messagers dans sa cabane, ils étaient vêtus d'une légère tenue de cuir et portaient chacun un manteau en fourrure afin de les protéger des températures les plus rudes. Les messagers s'assirent à la table d'Ensioari et prirent un peu de pain pour nourrir le serpent qui s'enroulait autour d'une branche alentour, car telles étaient les coutumes finnoises. Le jeune homme prit sa coupe et en avala le contenu d'un seul coup avant de s'adresser aux cinq messagers.
"Vous prendrez chacun un cheval que je vous ai fait préparer, ils font partis des plus rapides que je possède. Chevaucher chacun dans une direction et rallier à notre cause tout les clans que vous croiserez en leur délivrant ce message: Ensioari Jalo, unificateur des clans du Nord, chef légitime des Finnois, bâtisseur de la première ville, invite tout clan qui entendra ce message par le biais des messagers mandés à se rendre à Syntymä afin de prêter allégeance à Ensioari Jalo dans sa quête de modernisation du territoire finnois. Tout clan refusant cette proposition sera considéré comme un clan ennemi et attaqué à vu par n'importe quel membre des nombreux clans unifiés par Ensioari. Chaque chef de clan qui amènera son clan à Syntymä et jurera allégeance au chef légitime des Finnois se verra offrir une place importante en fonction de la taille de son clan. Respect et hommages aux clans qui entendront ce message. "
Les messagers roulèrent les morceaux de cuirs sur lesquels ils venaient d'écrire le message et saluèrent Ensioari avant de sortir de la cabane pour se diriger vers l'écurie qui se trouvait au nord du campement. Ils firent le plein de vivre et prirent rapidement la route en quête de clans à unifier.
Emir de Mossoul Abdelkader
L'émir Monta sur son étalon et partit avec son fils et quelque garde royaux à Bagdad voir le mariage du calife Salman.
Il découvrit une ville avec des batiments magnifique et des mosquée d'un raffinement sans mot.
L'émir se rendit à la mosquée et y récita des versets du coran.
Le mariage fut merveilleux et l'émir était subjuguée par la beautée du palais où était donné la réception
Aprés la fête, l'émir remercia le calife et repartit vers mossoul ou l'enterrement de son fils l'attendait.
Khazarie
Le missionnaire
Il arriva il y a peu de temps à la cour du Khan un homme censé apporté un message véridique pour sortir les nomades de leur prétendue ignorance. On ne retint pas quel était ce message tant il était stupide, mais il s'agissait soit d'un chrétien, soit d'un musulman à coup sûr. Le Khan s'intéressa de très près à ce missionnaire. Il s'exprima en ces mots :
« Fais venir tous ceux qui comme toi répandent ta parole, ici à ma cour. Dès lors, si vous parvenez à me convaincre, j'agirai en conséquence. »
Le Khan ne mentait jamais, et le missionnaire le savait. Il fit parvenir alors à la cour du Khan plus de deux cents hommes, tous instruits dans les sciences qu'ils tentaient de répandre. Tous ensembles, ils s'exprimèrent ainsi :
« Toi le Khan, vois la vérité ! »
Et il la vit. Il rétorqua ainsi.
« En effet, je la vois. Celle-ci est claire, limpide comme de l'eau de roche. Vous méritez tous la décapitation. »
Et d'un geste de la main, les gardes capturèrent les mécréants, ces chiens qui venaient répandre leur poison sur les terres du magnifique, du plus grand des hommes sur Terre. Il se leva alors et prit un sabre et coupa la tête du premier missionnaire. Il coupa ensuite celle de l'homme à sa droite, et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'il soit lasser après une dizaine de têtes tranchées. Il dit alors :
« Vous tous ! Je vous épargne ... »
« Merci ! » répondirent tous les missionnaires.
« … de la mort par le sabre, qu'on les fasse brûler vif ! »
Et ils le firent. L'odeur caractéristique de la chair humaine carbonisée se répandit dans toute la steppe avoisinante.
Un grand banquet fut dès lors organisé pour fêter cette victoire sur l'envahisseur.
lettre au Califat
L'art de parler est maîtrisé par le Khan, mais son talent d'écriture est tout autre. Cela est sûrement dû à sa voix caractéristique qui lui donne ce charisme que tous les hommes envient. Malheureusement, il ne peut user de ce talent pour répondre à la lettre du Calife, mais tentera malgré tout d'écrire du mieux qu'il puisse.
Votre religion ne nous intéresse guère, et nous décapitons ceux qui viennent la prêcher chez nous, mais nous laissons le berger et le paysan qui la pratique s'il n'interfère pas dans les affaires du Khanat. Voilà la réponse la plus exhaustive que puisse offrir le Khan au Calife d'au-delà des montagnes.
Duchés de Gwynedd
La légende de la création de Gwynedd veut qu’un peuple était en exil et ne trouvait donc ni terre hospitalière ni province accueillante. Une journée, alors qu’ils fuyaient une fois de plus des lieux où la malchance leur avait souri, ils aperçurent sur une armée en déroute, une bataille avait eu lieu il y a quelques jours en Northumbrie, elle semblait l’avoir perdu. Et au vu de ce qu’ils avaient déjà enduré pendant leur longue période d’exil, ils savaient que s’approcher de cette dernière n’augurait rien de bon. Leur chef, Caradog, décida donc d’accélérer la marche, ils devaient à tout prix éviter cette armée.
Sa décision était pleine de bonnes intentions mais comme on dit l’enfer en est pavé, et dans leur précipitation, ce peuple fit énormément de bruits et laissait quelques personnes derrière car elles étaient, selon certains, trop lentes. Le malheur fit aussi que le vent poussait l’odeur vers cette armée en perdition.
Tout ceci eu des conséquences désastreuses ; avec l’odeur plus que forte du peuple les chevaux de l’armée hénissait et se cambraient, ceux laissés derrière se firent vite rattraper et torturer pour savoir ce qu’ils faisaient là. Beaucoup, fiers, ayant un grand sens de l’honneur et de la famille et ayant enduré des douleurs bien plus vives ne lâchèrent pas le morceau. Beaucoup. Mais pas tous. C’est ainsi que les restes de la cavalerie de cette armée se lança aux trousses du reste du peuple.
Ce jeu du chat et de la souris dura quelques jours. Caradog eut vent de ceci et prépara un ingénieux plan. Arrivé près d’un bois, il arrêta sa troupe et lui ordonna de se cacher à l’intérieur. Avant de faire ceci il prit soin de leur demander que chaque personne aille faire ses besoins dans une route menant vers le sud.
Les cavaliers, leurés ainsi par l’odeur s’en allèrent droit vers le sud. Caradog venait de gagner un temps précieux et partit donc en direction du sud-ouest.
Caradog se croyait sauvé une fois arrivé au Cown mais au moment où lui et sa clique compagnie allaient traverser cette rivière, les cavaliers, fous de rage d’avoir été trompé, arrivèrent bien décidé cette fois à tuer le maximum de personne en signe de vengeance.
Caradog était dans la merde en bien mauvaise posture, ils n’avaient quasiment pas d’arme pour se défendre face à un ennemi décidé et bien mieux armé qu’eux.
C’est alors qu’il arriva, lui, le miracle, le dragon Y ddraig goch, il avait apparemment été alerté par les cris de peur, de souffrance et de soif de vengeance du peuple.
Il avala tout ceci et se mit à cracher le feu salvateur, fruit de ce qui l’a alerté. Les cavaliers effrayés par ce qui venait de se passer s’enfuirent (pour ceux qui n’étaient pas mort) et jurèrent de ne plus jamais importuner ce peuple.
Caradog comprit alors que cette terre où ils avaient été guidés devait devenir celle où ils devaient vivre, grandir et voir leurs enfants faire de même.
Il installa alors toute la horde là où apparemment très peu de gens vivaient déjà et ceux qui l’étaient se montrèrent hospitaliers, accueillants et amicaux.
Il y avait malgré tout un nuage dans ce ciel trop bleu que pour être réel, ce nuage se nommait Iago, c’était le frère de Caradog, il considérait que le peuple devait s’établir plus au sud, vers là où Ddraig s’en était allé. Leurs discussions à ce propos étaient souvent houleuses et la saison fleurie d’après l’établissement de notre peuple Iago s’en alla avec les gens qu’il avait convaincus.
C’est ainsi qu’un cinquième de notre peuple partit. On entendit plus parler d’eux pendants 5 générations et on les croyait morts.
C’est alors que le descendant direct de Iago apparu et plein vanités, fit un discours à notre chef comme quoi nous n’étions qu’un ramassis de cloportes puant, fuyant et que notre bien était dans une vassalité avec son royaume.
Notre chef devant tant de vanité lui marava la gueule lui montra ce dont les ramassis de cloportes savaient faire et le descendant de Iago repartit la queue entre les jambes mais en vociférant des insultes.
C’est pourquoi nos relations avec le peuple de Dheurbarth sont si mauvaises même si avec le temps elles tendent à se normaliser.
Posté avant minuit
Merde
Normandie via SERG & Bourgogne
Salutations.
Le Duc de Normandie vous informe de sa volonté d'effectuer dans les mois à venir un pèlerinage à Rome. Il devra pour ce faire passer sur vos terres, accompagné d'une escorte réduite.
Nous souhaitons donc par la présente missive nous assurer de votre bonne volonté, afin que rien de fâcheux ne survienne lors de ce périple sacré.
Soyez assurés que des prières pour votre salut ne manqueront pas d'être adressées une fois la Ville Sainte atteinte.
Avec tout le respect que nous vous pouvons porter
Le Duché de Normandie.
Wah le mec c'est Khal Drogo, sans pression
Et alors? Qu'est ce qu'ils en pensent à Venise de ma proposition?
Le 01 juillet 2015 à 00:04:08 LordJoestar a écrit :
Wah le mec c'est Khal Drogo, sans pression
Surtout qu'il a pas du tout la tête d'un mec de la région khazare.
Le 01 juillet 2015 à 00:06:38 TheSupernova a écrit :
Le 01 juillet 2015 à 00:04:08 LordJoestar a écrit :
Wah le mec c'est Khal Drogo, sans pressionSurtout qu'il a pas du tout la tête d'un mec de la région khazare.
Pour toi un Khazar ça ressemble à quoi qu'on rigole?
"Nomadebigboss"
J'adore tes liens
Le marchand
Apres cette soirée et ce mariage
Le calife sortit pour offrir un collier a sa femme sur son chemin il arrêta toute sa garde et fut interpellé par un homme aux traits étranges et a la langue inconnue
-Halte La , Tawwaquuuf !!
-Marco vienlo doman? , hein ? che ?
-Qui es-tu ?
L’homme était accompagné par un arabe qui traduisait
-c’est un marchand vénitien votre grâce , il vient d’un pays ou…
-ca suffit je sais d’où il vient suivez nous
Le calife remonta sur son cheval et amena les deux hommes aux palais , se mit sur son trone et écouta leur dires ….
Califat bouyides via République sérénissime de venise
-Je vous écoute, que proposez vous ?
califat bouyides via idrissides
Mon ami je vois que vous ne perdez pas de temps et je sais ou vous voulez en venir j’accepte j’installerais un comptoire a bagdad et bous un comptoir a fés !!
califat bouyides via fatimides
Les Khazars
Ohh majesté vous etes la ..jee
-Sors d’ici
-oui maitre
Le vizir sorta et laissa le calife
- o omar o , mon ami , mon grand ami s’en est fini de toi , tu es mort pour notre peuple et avec toi quelques fidèles , je vais lui envoyer un courriel a ce roi , je vais lui envoyer une lettre
le calife secha ses larmes et se mit a écrire
- De salman 1er au Khan des Khazars , je vois que vous ne voulez pas vous soumettre a l’islam et c’est votre droit neanmoins que vous tuyez mes amis ne me dissuade pas pour vous parlez
Si vous n’avez peur de rien , sachez que je partage ce sentiment
Pour vous montrer ma bonne foi je vous propose un jeu
Faisons une course vous viendrez chez moi ou je viendrais chez vous si je gagne nous signerons un accord et si je perds je ne vous parlerais plus
J’ai envoyé cette lettre par pigeon voyageur , pour que sa mort ne m’attriste pas au cas ou
Royaume Omanais - dit Nizwa
En l'an 967, le territoire omanais s'étends jusqu'à l'extrême sud-est de la péninsule d'Arabie. Tandis que les cités les plus florissantes sont bercés sur le golfe d'Oman. Tandis que la partie nord est surtout montagneuse et elevée sur de hautes montagnes, notamment la ceinture d'El Hajar qui divise le désert des cités et de la forte concentration de population. Néanmoins, une certaine partie sur la longue côte au sud du sultanat est recouverte d'arbres, mais ce n'est qu'une infime superficie qui est encore inhabitée par l'espèce supérieure.
La ville de Nizwa est décrite comme la belle et moderne capitale du sultanat, habitée par près de vingt-quatre milles feux à ce jour. Dans cette cité où le commerce est fort présent, on retrouve des souks couverts par les palmiers ainsi que des marchés où se vendent fruits et miel, avec quelques rares marchands d'anis et de cardamome fraîchement ceuillies. On témoigne que les habitants vivent pour la majorité avec le même mode de vie et les mêmes folies. La population nizwaya est pour sa grande partie riche et prospère, et le cycle économique y roule à merveille.
Nizwa est un royaume, et il est gouverné par sa Majesté le roi Tayyib 1er depuis le coup d'état lâché sur le sultan qui faisait prôner la médiocrité des autres et la prospérité des siens. Sa Majesté possède en ce moment un héritier obtenu avec une inconnue et défunte dame nizwaya, nommé Ihab, âgé de quatorze ans, près de vingt-sept années sous celles de son aîné. Vassaux de Sa Majesté le prince, l'on trouve onze vaillants guerriers et généraux, tous ayant une armada d'une quarantaine d'épéistes. Leur équipement n'est pas varié, mais certains d'entre eux possèdent de véloces nimchas, sabres utilisées notamment à Zanzibar parvenu via le commerce d'huiles et d'épices vers l'Afrique orientale.
Richesse nizwaya est fondée sur le commerce d'épices tels que la cardamome, l'anis, le sumac ou le zaâtar. La culture des dates, figues et autres produits du désert sont aussi très convoités. L'élevage ne représente qu'une fine partie de la nutrition des habitants de Nizwa. Il est aussi à savoir que l'apiculture et la viticulture sont faites principalement faites vers le sud dans les environs de Salalah, en hauts plateauxÀ noter que la monnaie officielle du royaume est la bâaisa.
Possible de rebaptiser le sultanat en royaume? Je preferais un royaume ca ouvre plus de portes de RP
Le 01 juillet 2015 à 00:08:08 CachecCache a écrit :
Le 01 juillet 2015 à 00:06:38 TheSupernova a écrit :
Le 01 juillet 2015 à 00:04:08 LordJoestar a écrit :
Wah le mec c'est Khal Drogo, sans pressionSurtout qu'il a pas du tout la tête d'un mec de la région khazare.
Pour toi un Khazar ça ressemble à quoi qu'on rigole?
Bah je me suis informé, toussa, genre les khazars c'est des turcs, alors ça doit ressembler à ça :
Ça le dégouté vous prenez trop d'avance mdrrr je vais être a la ramasse demain ... Enfin aujourd'hui ( * vois heure * )
skyblitz "courriel" Ils sont bien avancés à Bagdad dis donc !
c'est un mot bref
Donc c'est pareil que Khal Drogo
Si tu connais pas ses origines, il fait turc hein