Bon j'ai débloqué tout les compagnons avec un temps de jeu de 14h et demi (aucun rush )
Pour l'instant le jeu n'arrive pas a sortir entre le moyen et sympa sans plus (et encore je suis gentil )
Au bien sur ça a ses qualités : la DA , l'environnement qui offre de sacré panorama parfois, la technique en général ( ça fait du bien un jeu qui sort impecc) , les animations faciales, l'éditeur de perso , la plupart des quêtes liée au faction et les compagnons ne sont pas trop degueu et la mise en scène globalement
Mais sur le reste : entre le bestiaire pas terrible, les combats (même patterns a chaque fois ) répétitif (premier red flag que je craignais lorsque le gameplay a été montré pour la première fois ) en plus d'être confus mention spécial à la caméra et au lock de merde , la roue de dialogue une sacré blague (la même merde que fallout 4 ou MEA ) , niveau puzzle et level design sans commentaire, niveau ost y a vraiment pas un seul thème marquant
Bon concernant le côté woke et inclusive je me prononcerai sur ça quand je l'aurais fini
Le 10 novembre 2024 à 17:35:45 :
Alors je dépasse tranquillement les 35h de jeu. Et j'ai des choses très très bien, et d'autres qui sont vraiment mauvaises et qui se confirment.La DA des décors, la technique, c'est top
Je confirme que jusqu'à environ 30h, le gameplay est très bien, mais ensuite, la construction de l'arbre de compétence fait que tu commences petit à petit à tourner un peu en rond. Mais le gameplay est intrinsèquement très bon. Mais faut aimer l'action
La DA des personnages est une calamité
L'écriture est une calamité, et c'est tellement dommage... On a un scénario de fond qui est Dark Fantasy, un lore Dark Fantasy, mais avec une écriture pour adolescents.
Trop light RPG. Tu gère pas la mana ou la vie de tes coéquipiers, tu as pas vraiment de complémentarité très profonde hormis la détonation, la fissure et c'est tout. Le engdame RPG me semble limité voir absent.L'écriture des personnages, pour moi, c'est le pire... Et c'est tellement dommage tellement il y avait du potentiel. J'attends évidemment de terminer le jeu, mais je sais bien qu'il n'y aura pas de miracle là à mon avis.
Maintenant, bah de très très bon points qui côtoient des points très mauvais selon moi. Mais surtout l'écriture. Et je parle pas du wokisme. Je parle d'avoir un monde qui a une DA cartoon mais hyper qualitative, un lore et un scénario à base de Dieux et Dieux renégats et c'est top. Mais tu peux pas intégrer à ça des héros qui parlent comme dans une télé réalité, et qui ont comme problème de fond "je ne me sens pas femme"...
C'est vraiment tellement dommage, car j'adore y jouer, j'adore l'exploration, j'adore la construction du monde, j'adore le gameplay. Mais certaines choses viennent gâcher le tout.
Je me quote moi -même car j'ai oublié un point super décevant pour moi : les choix et les aspérités de tout le monde.
Le jeu est gentil. Il n'y a pas de bien et de mal dans les dialogues... Alors que le scénario est ultra basé là dessus. Et c'est pour cela que l'écriture est notamment très bas de gamme.
Tu peux faire un choix gentil ou super méchant, y'a pas de super méchant. Comme si les développeurs voulaient que l'on soit dans une case assez neutre pour jouer... C'est une catastrophe, car tu penses faire des choix décisifs, mais en fait, après 1 dialogue de 20s, ton compagnon te pardonnes... Mais non, c'est pas ça un RPG normalement.
Je republie ma critique ici, comme me l'a orienté le modo en MP.
Un Dragon Age spectaculaire, une écriture haletante, une trame magistrale, une ambiance glauque et sordide : le meilleur cru de BioWare.
Il y a des moments dans The Veilguard où je ne peux que m'arrêter car frappé de stupeur. Voir une aventure fantastique prendre vie autour de moi à une telle échelle et avec une telle intensité est abasourdissant. Je m'attends à ce que l'illusion s'estompe et que le jeu se lasse, mais ce n'est jamais le cas. Toujours, la barre est placée plus haut et la pièce-maîtresse s'agrandit. Je reste bouche bée. Je retiens mon souffle. BioWare, sans aucune exagération, a excellé dans son travail.
Mais autour de cela se trouve un jeu d'une ampleur et d'une profondeur surprenantes, auxquelles je m'attendais, en véritable fan de la vieille de Dragon Age, et pourtant j'ai quand même été stupéfié. C'est un monde magnifique qui s'ouvre à vous au fur et à mesure que vous jouez. C'est un jeu aussi riche, voire plus, que tous les Dragon Age précédents et un RPG à part entière, mais c'est aussi bien plus que cela.
En se rapprochant des A-RPG comme les Mass Effect avant lui, The Veilguard a intronisé le ton dans la saga avec une exaltante liberté. Il nous rapproche du monde et des événements bouleversants du jeu. Avec The Veilguard, les jeux Dragon Age qui l'ont précédé paraissent insignifiants en comparaison. La série a évolué, et sans conteste dans le bon sens. Dragon Age n'a jamais été aussi bon.
Les cinématiques se fondent dans une traversée en dents-de-scie, avec tous les détails de cape-et-d'épée et de sauter contextuellement par-dessus les obstacles, ce qui conduit ensuite au combat avec des hordes d'ennemis, à une pincée de dialogues, à des choix significatifs, à des décors et à des combats de boss. BioWare montre ainsi ce que la nouvelle approche basée sur les missions de la saga peut accomplir - une approche que nous connaissons mieux avec Mass Effect. Les missions scénarisées, avec des itinéraires bien définis, peuvent être d'une incroyable richesse. Mais le reste du jeu est-il à la hauteur ? Oui, et c'est peu de le dire.
L'ampleur et l'exubérance de certaines missions majeures de ce jeu sont stupéfiantes. Dès la fin du premier chapitre, le joueur assiste à une sorte de superproduction que d'autres jeux de BioWare n'avaient pas autant réussi. Des boss immenses, des moments forts, des surprises, du drame. Et la fin du jeu est un moment inoubliable. Elle surpasse tout ce que BioWare a osé auparavant, y compris la célèbre mission-suicide (qui pouvait ne pas en être une) de Mass Effect 2. Là, dans The Veilguard, une perte minimale est à déplorer.
Ce qui est encore plus impressionnant, c'est que ces grands moments ne sont pas réservés aux grands moments de la narration, mais se retrouvent dans les missions annexes et même dans les quêtes secondaires liées à l'exploration du joueur. Le joueur retrouve une vraie générosité dans tout le jeu à cet égard.
The Veilguard est capable de vous faire reprendre votre souffle où que vous alliez, même s'il s'agit de la plus petite course. Cela s'explique en grande partie par le nouveau style graphique qui, étonnamment, a suscité une sorte de controverse. BioWare a opté pour une approche plus stylisée, exagérant les traits et lissant les textures, comme si l'on cherchait à se rapprocher d'un film d'animation, et cela fonctionne vraiment. L'exagération permet de mettre en valeur les gestes du visage et de faire ressortir la fantaisie et l'émotion inhérentes aux scènes et aux environnements. Le travail réalisé par la direction artistique imprime une identité, fait naître une esthétique, appose une signature propre à ce titre qui le rend incontournable.
La forêt elfique d'Arlathann, par exemple, rayonne d'or et de vert et brille d'irisations arc-en-ciel. Les Docks, à Minrathie, sont grisâtres, détrempés, marqués par les exactions de l'Histoire de Tévinter, des flaques s'accumulant entre les pavés et les marres de sang. Et où que soit l'Enclin, sa putrescence est palpable, obscure, ponctuée seulement de spores rouges pulsantes et enragées. C'est sinistre, c'est sordide, c'est beau, Dragon Age. L'illustre élément, dans tout ça, c'est l'éclairage. Il n'y a pas une scène du jeu qui ne soit baignée par la lueur d'une lumière colorée, qu'elle tombe sur une joue ou qu'elle souligne le froncement de sourcils inquiet d'un compagnon. Aucun coin du monde n'est négligé ou terne : tout est habillé, tout est éclairé, et cela fait de The Veilguard un véritable spectacle graphique.
D'un autre angle de vue, ce qui m'a surpris dans The Veilguard, c'est l'ouverture de son monde. Au fur et à mesure que vous progressez et que de nouveaux compagnons vous rejoignent, ils vous présenteront une zone qui abrite une faction à laquelle ils appartiennent, dans laquelle il y aura inévitablement un marchand lié à leur faction, différentes personnes à qui parler, et une zone d'exploration plus large autour d'eux où diverses actions intéresseront le joueur - grandes quêtes, petites quêtes, énigmes liées à l'environnement. La Grande-Nécropole, la capitale impériale de Minrathie, la Cité de Trévise, la zone glauque des Anderdels des marécages de Hossberg - il y en a beaucoup, vous y reviendrez souvent, et elles sont toutes distinctes et variées.
Elles abritent également des quêtes accessoires, mais ne vous inquiétez pas, les leçons de l'Inquisition ont été tirées. Même lorsqu'elles sont plus modestes, elles ne sont jamais des quêtes à-la-sauvette ; elles ont toujours du sens, un sens lié aux péripéties, un sens lié à l'univers. De plus, comme pour tout dans le jeu, il y a une valeur inhérente et interconnectée, dans tout ce que vous faites, ce qui signifie qu'aucune tâche n'est superflue. Tout s'inscrit dans un vaste ensemble dont vous êtes le protagoniste.
Chaque zone étant liée à une faction, tout ce que vous y faites augmente votre cote auprès de cette faction, qui à son tour augmente sa force, car vous faites des choses pour l'aider - et ce score de force devient de plus en plus important par la suite. Cela permet également de débloquer de meilleurs équipements auprès de la boutique, et chaque quête que vous accomplissez augmente votre score de lien avec vos compagnons d'aventure, ce qui contrôle leurs points de compétence et leur loyauté envers vous, ce qui vous donne plusieurs raisons pour vouloir les aider. De plus, de nombreuses quêtes ou énigmes offrent des coffres et des récompenses, ou des points de compétence supplémentaires. Je n'ai jamais eu l'impression d'être lésé, que le jeu abusait du temps que je lui accordais ou de ne pas être récompensé dans le jeu.
La façon dont tout cela a été assemblé témoigne également d'une grande expertise : de nombreux petits moments d'attention intelligente qui facilitent grandement la vie du joueur. Les quêtes, par exemple, sont souvent regroupées dans des zones de façon à ce que vous trouviez d'autres choses à faire une fois sur place, ce qui vous évite de courir à droite et à gauche. Même les petites choses comme les échelles ou les corniches placées à la fin des énigmes à résourdre, d'une manière qui vous ramène à l'endroit où vous étiez au début, sont agréables à voir. La production a investi beaucoup de réflexion, de considération et d'expérience dans ce jeu.
En somme, la direction graphique du titre est à saluer. The Veilguard place la barre très haut en matière de fidélité visuelle dans les RPG, qu'il s'agisse des vastes paysages ou des détails complexes des villes et des donjons. Les éclairages atmosphériques et les environnements richement texturés plonge le joueur tout entier dans le lore, créant une expérience à la fois étrange et réaliste. Les environnements sont à la fois vibrants et obsédants, capturant et restituant parfaitement la dualité de la beauté et du péril qui définit Thédas.
À bien des égards, c'est un jeu qui met le focus sur vos compagnons - la Garde du Voile, votre escouade aguerrie contre les plans des dieux affranchis. C'est à travers eux que The Veilguard s'adresse à nos cœurs, et c'est ainsi que le jeu aborde des sujets complexes de notre propre monde - des sujets comme l'identité de genre, la neurodiversité, les traumatismes personnels et la parentalité - et chacun d'entre eux est traité avec douceur et discrétion, avec maturité et attention. Ne pas être crédule sur ce point : tout œuvre créative est la retranscription des enjeux de notre monde.
La romance fait bien sûr partie du jeu, mais je suis ravi de voir à quel point elle est présentée ici, et comment elle recentre les relations sur les aspects foncièrement humains, tant mentaux que bestiaux. J'ai fleureté avec tout le monde pendant des heures avant de m'engager avec également Lucanis (le personnage que j'ai vraiment adoré, tant sur le plan individuel que dans son amour torturé et passionnel avec mon Rook - leur scène d'apothéose était à ce titre sublime). Mais personne, en soi, ne se livrait facilement. Sauf Taash, sur certains aspects.
Les compagnons d'un jeu BioWare n'ont jamais été aussi travaillés à travers l'angle d'équipe soudée que dans The Veilguard. Comme dans les autres titres signés BioWare, ils ont leur quartiers individuels autour de celui du joueur (le Phare), qui est le reflet de leur personnage, mais ils se déplacent pour parler à d'autres compagnons et, dans certains cas, développer des relations avec eux. Mais chaque fois que vous débriefez après un événement important, ou que vous planifiez un événement important, vous êtes tous ensemble, en train d'en parler - et pas seulement certains d'entre vous. Ça favorise le sentiment d'appartenance, le fait que vous êtes tous dans le même bateau, et non pas que certains pendant que d'autres restent les bras croisés. Le jeu souffre toujours du fait que les compagnons restent à l'écurie pendant que les autres accompagnent Rook, ce qui les empêche de monter en niveau, mais il fait ce qu'il peut pour y remédier : il impose le choix du compagnon pour certaines missions, encourage l'utilisation des compagnons lors de l'exploration de leur zone d'origine et, à certains moments importants, il fait augmenter le niveau de lien de tout le monde.
Bien sûr, il y a une raison à cela, et une raison pour laquelle le jeu déclare de manière plutôt choquante et sans ménagement (après le Siège de Weisshaupt) que vous devriez vous concentrer sur vos compagnons maintenant, malgré l'urgence des événements mondiaux, et ce pour des raisons qui deviendront évidentes au cours des dernières heures du jeu. Les histoires des compagnons offrent leurs propres récompenses en matière de qualité, mais la récompense à la fin du jeu pour votre travail ici, ou votre manque de travail ici, est directement retranscrite. Les fins du jeu sont les implications de vos choix, de votre investissement dans le lore. C'est un fait.
S'agissant du volet qui m'intéresse peut-être le moins mais que j'ai trouvé attrayant, ce sont les combats. Il s'y passe beaucoup plus de choses dans les combats de The Veilguard que dans les jeux Dragon Age précédents. The Veilguard est un A-RPG, cette limite que la saga a toujours cherché à atteindre sans jamais la dépasser, toujours entravée par ses racines de C-RPG, voire de tactical RPG. Mais maintenant, le cap a été franchi, en s'inspirant de la saga-sœur de Mass Effect.
Les boss, en particulier, sont incroyablement agressifs, me laissant parfois à peine le temps de tirer mon orbe sous leur regard. Cela rend les combats extrêmement fulgurants, et les boss aussi effroyables qu'ils devraient l'être, étant donné l'ampleur des monstruosités nées de la déraison que le joueur doit affronter.
Si l'on ajoute à cela toutes les esquives, les parades, les sprints, la visée active et les combos que vous devez exécuter, on ne peut que se réjouir de ne pas avoir à micro-gérer les combats de nos compagnons. Mais cela signifie que les combats peuvent parfois sembler durs , surtout lorsqu'ils sont menés par plusieurs ennemis à la fois. Le bestiaire, lui, aurait mérité d'être étoffé, quoique chaque ennemi est le fruit d'une certaine histoire non-anodine dans The Veilguard, et sont tous liés aux Évanuris, de près ou de loin.
C'est une longue façon de dire que le cœur de The Veilguard est excellent, qu'il est agréable à jouer et qu'il donne au joueur énormément de matière sur laquelle réfléchir. Mais là où le jeu devient vraiment exceptionnel, c'est dans l'ambition du schéma narratif et les moments dans lesquels il place le joueur. Des décisions difficiles sont à prendre, et Rook est, en ce sens, on ne peut plus attendrissant. Beaucoup d'entre elles arrivent plus tard dans le jeu, mais même au début, il y a des moments où le joueur décide du destin d'une cité tout entière, puis il appréciera les les répercussions de ce choix à la fois dans la zone elle-même et de manière originale à travers le compagnon qui y est lié, à la fois mécaniquement et narrativement.
Les vilains eux-mêmes - Ghilan'nain et Elgar'nan - forment une dyade attentatoire à la raison, qu'on ne peut qu'haïr mais qui à la toute fin m'a ému ; si malfaisants qu'ils puissent être et si motivés qu'ils sont par leurs desseins démiurgiques, la détresse dans les yeux d'Elgar'nan quand il s'aperçoit que "sa soeur" a été vaincue m'a vraiment ému. Les derniers mots qu'elle a eus pour lui m'ont aussi véritablement touché. Avoir réussi à rendre des super-vilains émouvants est une prouesse narrative venant de BioWare qu'il faut absolument évoquer. Cette dyade peut être vue comme une triade, selon votre propre lecture du personnage de Fen'Harel, dont les véritables intentions sont constamment à détricoter.
Quoi qu'il en soit, ils sont tous majestueusement animés, Ghilan'nain comme une menace insidieuse et Elgar'nan comme un vilain dont la mégalomanie est telle qu'il rivalise avec les plus grands méchants de toutes les productions de fantaisie noire. Fen'Harel, lui, est hanté par ses regrets et par le sentiment viscéral qu'il doit s'acquitter de certaines obligations morales vis-à-vis de sa défunte amante.
Grâce à eux, et à d'autres éléments du jeu, le joueur sonde les profondeurs de l'histoire de Dragon Age et découvre des secrets savamment disséminés çà-et-là depuis Origins.
Subjectivement, Dragon Age The Veilguard a redéfini mes attentes en matière de RPG, en réunissant les meilleurs éléments de narration, de développement des personnages et de jeu immersif d'une manière qui m'a non seulement époustouflé, mais qui m'a aussi touché en plein cœur. La profondeur et les détails tissés à chaque instant rendent le jeu inoubliable. Ce qui ressort vraiment de ce titre, c'est la richesse et la densité des strates narratives de la trame, qui donne vie à chaque personnage avec une authenticité stupéfiante. Chaque compagnon est pleinement pensé, avec des personnalités uniques, des motivations et des relations qui évoluent de façon dynamique en fonction des choix de Rook. L'histoire d'amour homosexuel, en particulier, est magnifiquement élaborée et fait preuve d'un niveau d'intégration qui fait souvent défaut dans les jeux grand-public. Cette attention portée à la diversité des relations entre les personnages rend le jeu non seulement rafraîchissant, mais aussi incroyablement significatif pour les joueurs de tous horizons. Le gameplay et les combats m'ont aussi bouleversé, alors que je ne suis pas initialement un joueur attaché à ces aspects.
Objectivement et à titre de conclusion, The Veilguard est un très bon jeu. Il a établi un nouveau standard pour les RPG, en combinant la narration, les visuels et le gameplay dans une expérience sans faille. Pour tous ceux qui apprécient les jeux immersifs et narratifs qui célèbrent la diversité de la réalité humaine dans toute sa complexité, The Veilguard est un jeu incontournable. C'est un triomphe qui restera dans les mémoires comme l'un des meilleurs jeux du genre de dark fantasy.
19/20
Bref, un chef-d’œuvre estampillé Dragon Age.
- Elite22Arbiter
Le 10 novembre 2024 à 19:22:47 :
Je republie ma critique ici, comme me l'a orienté le modo en MP.
Au moins ici elle se perdra dans toutes les autres.
Pour le bien de tous ceux qui se feraient avoir(60 balles quand même) par cette critique absolument orienté et sans une once d'objectivité merci au modo.
Après c est juste normal, ce topic fonctionne très bien en plus. Tout le monde partage son avis sans jugement ni drama.
Si chacun crée son petit topic pour donner son avis, qui n a pas plus de valeur qu un autre d ailleurs, on s en sort pas. Le modo a juste bien fait son taff.
... Redéfini des attentes en matière de RPG... Ha bon... Ca c'est une blague. Il y a littérallement 3 choix qui ont un impact sur l'histoire, pas un de plus. Et en terme d’interaction entre compagnons DA:Origin fait beaucoup beaucoup beaucoup mieux. Les relations n'évolue pas en fonction des interactions du joueur dans ce titre, ils évoluent... point.
C"est un exécrable RPG. Que ce soit dans les relations interpersonnel, dans le gameplays dans le build du personnage, il n'y a rien qui est a la hauteur d'un RPG de base. C'est un jeu qui est fait pour un joueur qui n'a jamais fait de RPG de sa vie. Une entrée en matière sans plus.
Et la narration... il y a tellement d'incohérences. Tout est littérallement placé sur la route du joueur. Tout... C'est d'un triste. On arrive dans une ville, LA personne que l'on doit "trouvé" nous attend gentilement dès l'entré dans la ville. Elle n'a rien d'autre a faire que de nous attendre. En fait aucun PNJ n'existe en dehors de son interaction avec notre personnage... c'est d'un triste. C"est Bioware qui a fait ce jeu! C'est inacceptable pour les développeurs qui ont fait KOTOR, BG 1 et 2, NWN et ME.
Mais bon... Si vous cherchez un jeu a la Marvel ou tout va vite sans cohérence ni profondeur alors c'est probablement pour vous.
Je suis toujours étonné de voir des joueurs surpris de voir un jeu bioware mal écrit alors que ça fait 15 ans que tous leurs jeux le sont
Vous êtes vraiment bizarre les joueurs sur les forums
Je viens de me faire spoiler sans sommation l'un des gros moment de la fin du jeu.
J'ai la mort, ça me donne plus du tout envie de continuer le jeu... 😭
Le 11 novembre 2024 à 21:14:11 :
Je suis toujours étonné de voir des joueurs surpris de voir un jeu bioware mal écrit alors que ça fait 15 ans que tous leurs jeux le sontVous êtes vraiment bizarre les joueurs sur les forums
Tu n'as pas le jeu on se passera de ton intervention sanjeu
Bon ba après 50h de jeu, je le trouve top.
L’histoire est prenante, le lore assez génial malgré qu’il me manque pas mal de bases.
Le gameplay et l’arbre de compétence est top, je kiffe vrmt les combats meme si je pense relever la difficulté car je roule un peu sur le jeu.
Le monde et ses différents biomes sont vrmt sympas à explorer j’appréhendais le monde pas ouvert et finalement c’est très bien foutu.
Le point noir c’est vrmt les dialogues. Rook et sa voix de niais je peux plus. Le niveau d’écriture entre les personnages c’est vrmt le niveau zéro de la conversation.
Taash alias iel est insupportable, mal écrit au possible, malaisant, ca force vrmt pour poser la des idées et de la politique ca ruine franchement le jeu de ce côté là autant dire que les dialogues j’appuie allègrement sur B sinon j’aurai arrêté le jeu.
Mais au delà de ce côté, le jeu m’a bien coulé.
Bizarre je suis qu'au debut avec taash et j'ai pas du tout ce ressenti après peut-être a voir si je fais ses quetes etc..
Elle me saoulera peut-être je sais pas...
Le 11 novembre 2024 à 21:14:11 :
Je suis toujours étonné de voir des joueurs surpris de voir un jeu bioware mal écrit alors que ça fait 15 ans que tous leurs jeux le sontVous êtes vraiment bizarre les joueurs sur les forums
Il y a des choses qui étaient acceptables dans les années 2000 qui ne le sont plus aujourd'hui, ça me semble évident pourtant. Qui plus est ME2 (auquel DAV est souvent comparé) était mieux écrit et narré (sans être un chef d'oeuvre de littérature).
Ouah Elite22Arbiter le maxeur, j'en ai eu une émotion esthétique
Le 13 novembre 2024 à 10:57:23 :
Le 11 novembre 2024 à 21:14:11 :
Je suis toujours étonné de voir des joueurs surpris de voir un jeu bioware mal écrit alors que ça fait 15 ans que tous leurs jeux le sontVous êtes vraiment bizarre les joueurs sur les forums
Il y a des choses qui étaient acceptables dans les années 2000 qui ne le sont plus aujourd'hui, ça me semble évident pourtant. Qui plus est ME2 (auquel DAV est souvent comparé) était mieux écrit et narré (sans être un chef d'oeuvre de littérature).
Tu feed un gars qui n'a pas le jeu
Le jeu est très bon, un retour de Bioware sur la scène du vidéo game
Il n'a presque aucun défaut pour un ARPG :
-cinematiques superbes et bien chorégraphiés
-gameplay simple mais efficace, c'est ce qu'on veut pour un ARPG
-histoire qui nous tient en haleine et qui s'intensifie sur le dernier tier, une vibe à la mission suicide de me2
-des compagnons attachants et bien doublés, chacun a sa propre histoire et plusieurs quêtes personnelles se greffant à l'histoire principale
-de super bons graphismes et surtout hyper bien optimisés, je tourne en ultra 1080p sur une 1070...
-respécialisation illimitée et disponible à tout instant pour bien pouvoir personnaliser son build avec ses equipements
Bioware nous montre une fois de plus toute son expertise et son talent sur comment créer un très bon A-rpg, comme il l'a fait dans le passé avec la trilogie MASS EFFECT
Bref si vous êtes indécis, foncez acheter le jeu vous ne le regretterez pas
Bon ben fini.
Au final j'ai passé un très bon moment sur ce jeu. C'est un bon jeu.
Est ce que c'est un jeu exceptionnel ? Ben non, comme l'était DAO, DA2 et DAI.
Aujourd'hui on a le droit d'avoir des bons jeux aussi. On ne peut pas avoir masterclass sur masterclass. Noir ou blanc, excellent ou a chié.
Mais bon : continuons la "monétisation de la haine"
Je me suis laissé allé à la découverte, et j'en attendais rien. Et assez surprenant de voir que j'ai aimé un jeu que tant de monde déteste.