je vous préviens d´avance, je n´ai pas pu me relire, j´ai juste laisser faire le correcteur orthographique, donc, ne vous étonnez pas si vous voyez beaucoup de fautes...

"Les Emotions D´une Âme Pure"

Cronos descendit de sa place où il était assis. Il s’était mit à descendre les marches, la respiration calme. Tout le monde présent le regardait, ils avaient vu tellement de choses étranges, qu’une autre ne serait plus du tout une surprise...
L’homme commençait à s’avancer, encore et toujours. Mais, plus il s’avançait, plus il se transformait en un homme ressemblant assez à Kratos. Ses cheveux prirent la même forme que ceux de Kratos, mais en un gris clair. Sa tenue, contrairement aux cheveux, devint une cape complètement blanche, et un épais pantalon d’un bleu comme l’eau sous le soleil étincelant. Une dague avec une pointe de cristal long comme un tranchant d’épée, et des ailes simplement rouge.
Tout le monde le dévisageait complètement, même si il y avait eu des scènes de combats, du sang, des morts, aucune transformation ne s’était faîte.
Puis, Cronos s’arrêta de descendre les marches quand il en était au beau milieu, et fit un grand bond en avant. Il atterrit en plein milieu du colisée. Il pointa alors se main droite vers le ciel. Une poussière apparut alors devant les yeux de tout le monde, elle formait une géante boule. Puis, une image vint s’installer dans cette énorme boule blanche. L’on pouvait y avoir Anorien avec sa femme. Il était entrain d’avouer le mensonge sur Kratos, qui d’ailleurs regardait les extraits, consterné.
Mais, un problème commençait à s’installer après la révélation. La main du vieux Cronos n’arrêtait pas de trembler, puis soudainement, il la referma, et les images disparurent. Son corps commença à se diriger vers le ciel, et s’arrêta brusquement, mais resta dans les airs. De son ventre, des rayons lumineux, complètement blancs. Ensuite, Cronos se mit à tourner sur lui-même, et toute la longueur de son corps devint une tornade, mais qui resta avec lui dans les airs.
Personne ne voyait ce qui se passait dans cette tornade, car quelque chose était entrain d’arriver...
Cronos se transformait de nouveau. Ses cheveux devinrent courts et lui tomber en piques juste en dessous du cou et ils étaient d’un mauve très foncé, tellement que l’on pourrait croire que c’est du noir. Sa tenue, elle, ne changea pas, mais une flûte apparut dans la main de Cronos. Aussi, le capuchon de sa cape se plaça sur sa tête, et se fixa complètement sur sa tête car un bandage qui se fondait dans le « paysage de la cape » et s’arrêta juste au-dessus de ses yeux qui devinrent d’un bleu aussi clair que le pantalon. L’on pouvait aussi voir quelques de ses piques de cheveux dépassaient du bandage.
La tornade s’arrêta doucement, le vent disparu. Seule une petite brise était restait. Cronos ouvrit les yeux, et là, Kratos ouvra les yeux, sur la découverte de la nouvelle transformation de son frère, mais... l’était-il encore ?
Cronos venait de toucher le sol. Il ouvrit ses yeux. Il se mit à regarder Kratos fixement, chacun regardait l’autre dans les yeux. Le silence régnait entièrement dans l’arène, mais Cronos brisa ce silence.
« Tu ne me reconnais sans doute pas, mon frère, dit-il à Kratos comme si ils étaient que lui et son frère, mais je suis bel et bien ton frère, celui qui t’a toujours aidé, toujours soutenu.
-Non, tu n’es plus celui que j’ai connu... Répondit Kratos, se tenant avec peine à un petit bout de mur.
-Effectivement, tu m’as vu mourir, mais je ne l’étais pas complètement. Quand j’allais presque mourir, Mithos. Il m’a proposé de devenir un ange, et j’ai accepté. Après, la vie m’est revenue, mais Mithos ne voulait pas que je me montre au grand jour, surtout devant toi. Ensuite, je pouvais changer d’apparence comme je le voulais, mais cet homme m’a piégé : Il m’a obligé à devenir un corps de son imagination, celui que tu vois. Aussi, il m’a forcé à prendre le nom de Uta. Je n’ai même plus d’émotions, comme Colette lorsqu’elle faisait sa quête d’ange. Mais moi, cela est irréversible, à moins de me tuer...
-Ce n’est pas possible... rétorqua Kratos.
-Là, j’aimerai pleurer, pleurer de ne pas être mort au moment où je devais l’être. Pleurer pour la tristesse que je te cause, pour ta croyance en moi brisée, pour la douleur que je te cause, pour tout le mal que je t’ai fait, mon frère... »

Puis, Uta se mit à jouer de sa flûte. C’était une si douce mélodie, d’un son aigue, très aigue, mais aussi très doue. Tout le monde était charmé par cette aire de musique. Même Kratos, qui lui, crachait du sang, arrêta. Il retrouva même la forme, toutes les blessures qu’il avait. L’ancien malade se sentait revivre, sa jeunesse, sa force.

Uta voulait sourire, mais cela lui était complètement impossible. Mais Kratos savait les émotions qu’il ressentait. Or, le frère de l’ancien malade ne s’était pas arrêté de jouer, il continuait.
Mais soudainement, un petit poignard lui fut jeté à la main, pour qu’il arrête de jouer son morceau.

« Pour la gloire ! » Hurla Karess.
Elle était de retour, toutes les blessures qu’elle avait subit disparurent, comme quand Kratos était malade.
Toute la foule fit étonnée de voir cette fille, pourtant morte devant tout le monde, de retour.
« J’avais fais un chant de guérison, évidemment, elle devait renaître... » Murmura Uta.
La jeune Karess fit un bond dans les airs, puis essaya de donner un coup de pied sur la tête de Uta, mais qui fit un autre chant, une mélodie grave. Une onde invisible repoussa la servante d’Anorien qui tomba au sol.
Personne n’osait se mêler au combat, de peur que Uta ne veuille pas, et de se faire attaquer par un chant.

Le combat était serré, tous les deux avaient des pouvoirs très puissants, peut-être mettre que Karess était plus forte que Uta, ou l’inverse.
Uta se préparait à lancer un sort, et la jeune ninja fit de même. Ils étaient tout deux concentrés. Le chant du jeune mélodiste montait dans les aigus, descendait dans les graves, allait dans les medium. Il jouait magnifiquement bien. Les deux sorts furent prêts en même temps, donc, les attaques se lancèrent au même moment.
Une énorme vague d’eau j’allie du sol devant Karess, et devant Uta, un simple petit disque d’eau apparut. Une attaque très minable, mais contredire Uta pouvait peut-être devenir fatal. La jeune femme se mit à rire devant le pouvoir du musicien, mais celui-ci ne dit rien, et les attaques allaient se toucher.
Le disque coupa en deux morceaux égaux l’attaque de la jeune fille, et qui s’arrêta donc, et le disque continuait son chemin à une vitesse hallucinante vers Karess, mais elle sauta dans les airs, mais tomba sur le disque qui tourna, et l’envoya à terre.
Mais, Karess n’aimait pas que l’on l’humilie comme cela. Elle mit ses mains en forme de triangle, et un double d’elle apparut. Uta ne semblait pas impressionné, et il lança deus quatre boules de feu, deux pour chaque Karess, mais toutes deux coururent d’abord pour s’enfuir, mais tournèrent au final, l’une autour de l’autre, et les boules de feu s’entrechoquèrent.
« C’est tout ce que tu peux donner ? » Dirent les deux filles en duo.
Uta ne répondit pas du tout, et commença une attaque beaucoup plus puissante. La terre tremblait, les quelques mèches de cheveux qui dépassaient du bandage du flûtiste voletaient, ses habits aussi.
Les deux filles commencèrent à se méfier, elles n’avaient jamais autant ressenti une force comme celle-ci.
« Résistant comme la montagne, silencieux comme la forêt, dévorant comme un feu ardent »
Après que Uta est prononcé ces paroles, il commença à courir autour des deux filles. Elles ne comprenaient plus rien, ne le voyait pas, et lancèrent plusieurs couteaux que Uta ne manqua pas, mais il ne stoppa pas ce qu’il faisait. Les jumelles commençaient sérieusement à en avoir assez de ce spectacle, et se télé portèrent derrière Kratos. Celui-ci ne vit rien venir, et se fit attraper par une fille. Une autre fille en profita pour l’embrasser sur la bouche, et quand elle eut finie, Kratos fut aussi rouge qu’une tomate.
Les jumelles Karess ne purent pas en profiter : Uta venait vers elle à une vitesse des plus phénoménale, elle ne pouvait pas rester plus longtemps et se télé portèrent de nouveau.

Ps : Uta : mot Japonais signifiant .:. chant, poésie. ^^

Alors K´n´D, vous êtes contente d´avoir embrassé Kratos ?

• ç* C´est super! par contre un petit probleme à l´heure actuelle La Lloyd´s team c´est gentiment fait massacré par Hayatte.

Lloyd est inconsient, le bras fracturé.
Colette, se vide de son sang.
Génis ET Kratos sont enfermés dans des cristaux de glace.
Sheena et Zélos sont dans les vapes.
Mais autrement tres bon chapitre!

Faudrait peut-être faire un résumé général de ce qui s´est passé, nop ? =3

Star Ah mince, donc pour le bisous...

Poualalalah, pas doué moi, xD

J´peux vous refaire ça si vous voulez ^^ (y´aurai juste quelques petits pessages à modifier ^^)

Et voila la suite. Le prochain chapitre est assuré par dess et celui d´apres par moi!
Bonne lecture!

"Juste un sourire"

« Ils m’ignorent. Comme les autres.
Ma présence ne leur fait aucun effet.
C’est quoi cet endroit, Je m’arrête, j’attends. Pourquoi même mon meilleur ami m’ignore-t-il? Je ne sais pas. Je ne dois pas oublier.
Quand je suis arrivé tout le monde était autour de Chris. Il était assis, les yeux dans le vide mais une marque de peur sur son si beau visage.
Beaucoup lui disait que tout allé bien se passait. Mais qu’est-ce qui s’est passé ? J’ai demandé au personne présente de s’écarter. Que je voulais le voir. Mais ils ne m’entendaient pas. Ma mère pleurait. Chris l’imita quelques secondes plus tard.
Vu qu’ils ne voulaient pas me laisser passer j’ai entrepris de les pousser. Mais quand j’ai essayé j’ai eu peur. Mes mains passaient à travers leur corps.
Etais-je un fantôme ? Est-ce encore une mauvaise blague ? Non. C’était impossible de faire ce genre de blague, même Mithos n’aurait pas pu. Je me suis éloigné. J’avais peur.
Plus tard, j’ai suivi Chris dans cet endroit et j’ai vu un corps allongé.
C’est étrange, seule cette petite fille semble ne pas m’ignorer, elle me parle, alors pourquoi Chris ne répond t il pas quand je lui parle ?
Il y a un jeune homme pâle, très pâle, une pâleur de mort. Ses cheveux de jais sont rattaché en une queue cheval. Et c’est à cet instant que je m’aperçus que c’est moi.

Comment cela c’est passé ?C e combat ...c’est lui Pourtant je n’ai rien senti. J’étais si léger. Je n’ai ressenti aucune douleur. Je n’ai pas compris l’accident.
Je ne suis pas mort, je dors, j’attends.
Je m’approche de ce corps, mon corps mais il est… sans vie.
Je m’approche de Chris qui est à mon chevet. Je l’entends qui me murmure : « Allez Sai-chan, ce n’est qu’une question de volonté…».

Alors qu’est-ce que j’attends pour revenir ? Ce n’est qu’une volonté, je le sais.

La fillette se mets à pleurer. »
« Non Sairen ! Arrête ! Tu n’as pas le droit de mourir. Non je veux pas ! Sairen non fait pas ça. »
« Elle me dit que je n’ai pas le droit de mourir pourtant je le suis déjà. Je dois errer dans les limbes ou quelque chose comme ça.
J’hésite encore.
Je ne sais pas. Je suis bien là. Je n’ai pas à supporter les insultes et le regards des autres. Je me sens libre. Mais en même temps…il y a mes parents, et Chris. C’est vraiment l’un des seul qui me comprend. Et puis en plus il est gentil même trop parfois ...
Linna est encore en larmes, tout en pleurant elle se met a chanter, un air à fendre l’âme.
Chris prends la fillette dans ses bras en lui demandant doucement de se calmer. Que cela ne sert a rien, que je ne reviendrait pas. Dans sa voix je perçoit du désespoir. Deux larmes roulent le longs de ses joues. La blondinette se débat elle supplie. »
« Non !G rand frère , laisse moi ! Sairen à besoin d’aide ! Non part pas , je veux pas, non, t’as pas le droit…Sairen. »
« Donc Linna est sa sœur mais pourquoi est elle si attaché à moi ? Elle se remet à nouveau a chanter, mais pourquoi pleure t’elle ?
Non, il ne faut pas que je reste. Je suis comme ça depuis déjà quelques heures ou quelques jours je n’en sais rien. Depuis trop longtemps. Je dois revenir.
Une lumière entoure la petite fille, au fur est a mesure la lumière s’intensifie.
Plus son chant devenait mélancolique plus la lumière devenait forte.
Son frère resserre son étreinte pour l’empêchait de bouger mais tout devient si aveuglant qu’il est obligé de fermer les yeux.
Tout à coup tout devient trouble. Et puis tout blanc. L’air est lourd autour de moi. Je dois être revenu dans mon corps. C’est bizarre. J’ai choisi une vie de souffrance, une vie de combat. Mais en même temps, la vie, n’est-ce pas cela ?
Si je me réveille je vais souffrir parfois.
J’ai encore beaucoup à apprendre sur la vie. J’aimerai continuer. C’est bête mais, je crois que c’est ce que je veux vraiment.
J’entends mon nom.
Alors il est resté là pendant tout ce temps. J’ouvre les yeux. Mes paupières sont lourdes. Je sais que je n’aurai pas fini de me battre contre la vie dès que j’aurai fini de réaliser ce geste.
Il répète mon nom. C’est de plus en plus clair. Je les vois. Ils s’approchent tous de moi »
« -Sairen…Sairen tu nous entends ? »
C’est Chris. Encore, toujours…
« Je les vois mais je ne peux pas encore répondre. Ils sourient. Tous. Alors je leur ai manqué ? Ils me tiennent la main…
Il va falloir vivre.
La vie est pleines de choses horribles, de choses biens. La vie ne pourrait pas être sans tristesse. Et si un jour, quelqu’un me dit qu’il n’a jamais été triste ou que la tristesse n’existe pas alors qui me le prouve. Quand quelqu’un vous quitte pour l’autre monde. Quand il fait ce voyage sans lendemain, n’êtes vous pas triste ? La vie se résume sûrement à : tristesse, bonheur, peur et vie. Tout simplement. La vie est tellement éphémère. La craindre ne sert à rien. Il faut la vivre.
C’est ce que j’ai su quand je me suis « réveillé »
Chris me serre dans ses bras. Je murmure juste
« -Chris tu vas m’étouffer. »

ce chapitre est magnifique Star... j´en ai les larmes aux yeux

Malgré la téléportation des deux filles, Uta ne stoppa pas sa course. Il fonçait vers le milieu colisée. C’est à cet instant qu’une des deux Karess réapparu juste devant lui. Il plant alors sa flûte dans le cœur de celle qui semblait n’être qu’un sosie.
Pendant ce temps, Kratos, libéré de sa prison de glace, entreprenait de soigner tout le monde. Il fut vite relayer par une Raine rétablie.
Saura quant à lui était tranquillement assis sur les gradins, regardant nonchalamment nos héros se démener contre Karess qui ne cessait de créer des sosie. Il n’y eut que lui qui remarqua l’éclair qui zébra le ciel. Il se releva brusquement, une expression de panique sur son visage.
-c’est pas vrai, gronda-t-il. Anorien... Il pouvait pas rester mort celui-là ?
Une ombre apparut derrière Saura. Il était grand, brun, les yeux d’un vert profond, et il avait plusieurs bandages, ce qui laissait supposer qu’il avait été gravement blessé quelque temps auparavant.
-tu sais que tu dois faire, Saura.
-ça va Kakeru ! s’écria-til en frappant du point sur la rambarde. Je vais me charger de faire retourner ce Saïren en enfer.
L’ombre de Kakeru disparut en lâchant un « bien » qui manquait de conviction. Il s’était attaché à ce Christopher, et il savait que la mort de Saïren allait une fois de plus le détruire. Mais ils n’avaient pas le choix.
Saura se mit a courir vers l’infirmerie.
« Finalement, Callista a peut-être raison... ces maudits nous tuent ! »

~*~

Karess était en très mauvaise posture. Elle était blessé de partout, et n’avait plus assez d’énergie à sa disposition pour créer des clones.
Elle se rua vers Colette, mais avant que cette dernière ait pu faire quoi que ce soit, Zélos s’était interposé, son épée traversant la poitrine de Karess de part en part.
-Pour mon fils, murmura-t-il alors que le sang coulait de sa lame sur ses mains.
Soudain, Uta tomba à genoux, reprenant peu à peu l’apparence de Cronos. Kratos se précipita vers lui.
-Cronos !
-Je suis content que tu sois guéri, petit frère, fit-il faiblement.
Il avait dit ça pour la forme. Il lui était impossible de ressentir ce contentement.
-Je te remercie du fond du cœur d’avoir sauver mon père, se réjuit Lloyd, et pour te remercier, on va tout faire pour te rendre tes émotions !
Devant le regard interloqué de Cronos, Colette expliqua.
-Quand j’ai perdu mon cœur il y a longtemps, mes amis m’ont aidé à le retrouver.
Après un instant de silence, Cronos murmura un « merci »

~*~
Dans son bureau, le faux Yggdrasill se préparait au combat. Il parlait avec un capitaine désians, Vestalie assise dans l’ombre.
-Je veux que vous récupériez Saïren ! On a perdu trop de temps ! Maître Anorien a besoin de son enveloppe corporelle maintenant ! S’il le faut, utiliser les soldats que nous avons implantés dans la population.
-Bien monsieur !

voilà la suite! elle est courte je sais, mais c´est pour avoir la suite de star *_*

Je me léve le matin et je meurt le soir
Je ne peut vivre sans avoir quelqu´un
Je suis sans vie mais je me mouvoie

Qui suis-je ?

ton chapitre est trop génial
et pour la devinette je pense le soleil

Seika1 Dsl ce n´était pas ça mais tu y été presque !!

Yggdrasill ?

Qui a parlé de japonais ici ?

nintendog euh, je sais pas si ça a un rapport, mais je fais japonais à l´école... euh, voilà

Je vais en faire, aussi l´année prochaine. ^^

On a gagner!!!
On a gagner!!!

viva la france !! !!!!!

Tu sors

OkOk mes si on va en finale ...*retien un crie de joie*

bon fini le HS avec moi

Ou est la suiteuh maieuh moi jateneuh !!

La suite est en cours ( me tuez pas ) je me dépeche je vous jure!

On l´aura pour quand je suis en manqeuh

http://artpad.art.com/?j2132q4mi24

c en retard je c mais bon je vien juste de les avoir