J´oubliais : si possible justifiez les réponses es questions pour les persos
Layandra, je pense bien que tu es ma seule lectrice maintenant que tosheros est parti
Je vais écrire la suite demain. AVEC DE LA CHANCE, je POURRAIT PEUT ETRE la sortir.
la deuxième partie de cette info est HYPOTHETIQUE ( je ne fais plus de pronostics sur les dates de sortie )
Je vais déjà écrire un peu maintenant
la suite peut-être pour aujourd´hui
( sinon c´est pour lundi )
Au moins je ne suis pas tout seul
Un autre lecteur viendra peut-être un jour...
En regardant sur le forum, en se disant " tiens une fic, je vais lire ça" et en n´étant pas découragé par la première page pleine de chapitres...
J´aimerais bien faire une autre fic...
Mais je ne pourrais pas gérer les deux en même temps et j´aurais du mal à abandonner celle-là
En fait si j´avais plus de lecteurs je ne ressentirais pas le besoin d´en faire une autre donc je préfère continuer celle-là
les lecteurs viendront bien un jour
non c´est pas la peine, ça les dissuaderais au lieu de les attirer, je préfère avoir des lecteurs sans faire de pub
C´est juste pour dire que la sortie du prochain chapitre est reportée à demain ( )
ça arrive
Chapitre 13 : La voie d’urgence.
Depuis maintenant cinq heures, Klart et ses amies arpentaient le sentier de montagne avec Klepto Manne, pour se rendre à Torn, la cité des nains. Ils ne savaient pas s’ils verraient un jour la fin de ce chemin, tant toutes ses facettes se ressemblaient : ils avaient même parfois l’impression de tourner en rond, alors qu’ils ne devaient bifurquer en aucun endroit. Le trajet était néanmoins assez agréable, même si la charrette du marchand avançait lentement. Pendant qu’il conduisait son véhicule, Jona jouait de son instrument une musique apaisante, Klara parcourait son livre avec beaucoup de curiosité et Klart essayait désespérément de trouver un passe-temps. De temps en temps, Klepto Manne abordait un sujet de conversation, tels que les affaires, les bénéfices, le commerce, les finances… Klart essayait de trouver un intérêt à ces longues discussions quelque peu soporifiques pour se sortir de sa lassitude, mais en vain… Parfois, le commerçant racontait une histoire qui se voulait drôle, provoquant des rires forcés chez ses jeunes compagnons.
La nuit était alors tombée depuis peu, et il leur fallait maintenant monter le campement, enfin si l’on pouvait qualifier ça de campement… En fait, il s’agissait pour les trois jeunes gens de simples morceaux de tissu sur lesquels on s’allongeait. L’étoffe était quand même de première qualité, et de fabrication elfique. En étant en contact avec elle, on ressentait sa douceur agréable. Ils s’y installèrent, allongés sur le dos, et leurs regards se perdirent dans la contemplation des étoiles. Quant au marchant, il dormait déjà, dans sa charrette.
« Quelle journée fatigante » avait-il déclaré avant de sombrer dans un sommeil profond et bruyant.
Mais ses compagnons avait du mal à trouver le sommeil, peut-être à cause de ses ronflements sonores d’ailleurs…
« J’espère qu’on terminera ce sentier demain » dit Klart avec une lueur d’espoir dans les yeux.
Ils étaient restés un bon moment sans parler, essayant de trouver le sommeil, mais le demi-elfe avait compris qu’ils n’allaient pas y arriver tout de suite.
« J’en doute…, répondit sa sœur.
- Ne désespère pas, moi je suis sûre qu’on réussira » affirma Jona d’un ton décidé.
Elle avait toujours été assez optimiste depuis sa jeunesse. Et pour une elfe, c’était peu courant : ils voyaient dans le monde les souffrances avant le bonheur. Mais cela s’expliquait dans la vie qu’elle avait menée auparavant. Elle avait été trouvée alors qu’elle était encore un bébé, dans la forêt qui entourait la base désiane de Murda, avec un mot de ses parents : il y était juste écrit :
« S’il vous plaît prenez soin de la petite Jona »
Son teint étrange pour une elfe avait suscité pour beaucoup de la crainte ou de la méfiance, et on avait beaucoup hésité avant de l’emmener au village. Finalement, un famille se dévoua pour l’élever, mais elle ne fut jamais traitée comme une fille en leur foyer. Elle avait longuement vécu dans la solitude, dans son village dépourvu d’école, à la lisière de la forêt, où les enfants de son âge étaient mis en garde par leurs parents et la regardaient d’un œil distant. Elle passait alors son temps à la musique, elle jouait divinement bien, mais on se gardait de le lui dire. Et à chaque fois, quelques oiseaux voletaient autour d’elle. Au début, elle croyait qu’ils appréciaient simplement les mélodies qu’elle tirait de son instrument, mais à force de les voir exécuter tous les jours la même « chorégraphie », elle comprit qu’elle avait un don. Cette révélation ne fit hélas qu’accentuer la distance qui la séparait des autres villageois : ils la trouvaient bizarre. Néanmoins, elle avait enfin trouvé un passe-temps, et s’exerçait régulièrement à contrôler toutes sortes d’animaux.
A l’âge de douze ans, elle apprit qu’elle avait encore de la famille : son grand père résidait à Heimdall, et son oncle, sa tante et Koji, son cousin habitaient depuis peu à Triet. Elle était toute excitée à l’idée d’être mieux traitée, et d’en savoir un peu plus sur ses parents. Elle sollicita alors la « bonne grâce » du maire de son village, qui accepta sans rechigner. Il était content que son village soit débarrassé de cette elfe étrange. Elle était donc partie habiter chez son grand-père, à Heimdall.
Elle fut beaucoup mieux accueillie dans la cité elfe que dans son ancienne demeure ; comme la ville s’était développée et avait accueilli quelques humains et demi-elfes, les habitants étaient alors plus tolérants. De temps en temps, Koji venait lui rendre visite avec ses parents, et une grande complicité s’était installée entre les deux elfes. Elle avait donc coulé des jours heureux jusqu’à ce que son grand père disparaisse sans laisser de traces. L’elfe se souvenait parfaitement de cette journée ensoleillée, elle était allée se promener dans la forêt d’Ymir, et lorsqu’elle était revenue, l’Ancien en personne l’attendait aux portes de la ville. Depuis, rien de bon n’était arrivé : son ancien village avait été attaqué par les désians de Murda, les rescapés s’étaient rendus à Heimdall. Ils avaient même voulu la rendre responsable de ces évènements qui la dépassaient.
C’est ainsi qu’un jour, elle avait décidé de se promener hors du village, pour s’isoler de tous ces problèmes. Elle avait annoncé qu’elle n’irait pas plus loin que la forêt d’Ymir, mais en vérité elle était allée jusqu’au QG de Murda. Des désians montaient la garde près du bâtiment et s’étaient alors lancés à sa poursuite… Puis elle avait rejoint son cousin et ses futurs amis.
Cela faisait un bon moment que l’elfe se perdait dans ses pensées, et elle sombra assez rapidement dans le sommeil.
Klart observa autour de lui ; il était le seul à rester éveillé, sa sœur s’étant endormie plutôt rapidement. Il était vraiment trop énervé pour dormir : les évènements s’enchaînaient rapidement, tout allait trop vite mais pourtant il le fallait… Ils devaient agir rapidement, sinon les désians les prendraient de vitesse et pourraient contrôler tout Symphonia. Mais le demi-elfe était plutôt quelqu’un de posé, moins instinctif qu’Alvec. Finalement, après avoir longuement contemplé les étoiles, il s´assoupit.
« Ahhhh ! !! » s’écria Klart qui venait de recevoir une bonne quantité d’eau froide sur la tête.
Il ne fut pas surpris de voir le visage satisfait de sa sœur, tenant un seau d’eau vide.
« Je suppose que tu es contente de toi, râla le demi-elfe.
- Mais pas du touuut ! répondit Klara de façon peu naturelle. J’ai essayé une autre méthode avant, mais pas moyen de te réveiller ! Alors j’ai pensé que c’était la seule chose qu’il me restait à faire, ajouta-t-elle d’un air faussement abattu.
- Bon, vous n’allez pas encore commencer une de vos disputes ! soupira Jona. Vous êtes vraiment fatigants…
- D’autant plus que nous devrions nous mettre en route immédiatement ! Je dois livrer cette commande à Torn au plus tôt ! » expliqua Klepto.
Ils repartirent donc à travers ce chemin de montagne… Au bout d’une bonne heure, le groupe sortit enfin de la montagne, ils furent surpris, et contents, de quitter ce sentier interminable.
A la fin de la matinée, ils voyaient l’énorme porte de la cité naine devant eux, à une centaine de mètres environ. Lorsqu’ils y arrivèrent, le dispositif qui permettait de solliciter à l’autorité de la ville une ouverture des portes était éclaté.
« Qu’est-ce donc ? s’étonna le marchand.
- Ca serait bien un coup des désians… marmonna Klart. Bon, vous allez rester avec votre charrette, caché derrière ces rochers, dit-il à Klepto Manne. Nous, nous nous chargerons de trouver un autre chemin et nous vous ouvrirons la porte.
- T… très bien ; de toute façon… je risquerais de v… vous handicaper » balbutia le marchand en guise de réponse.
Klart, Klara et Jona partirent à la recherche d’une autre voie. A force de longer la montagne, ils arrivèrent à une sorte de grotte, deux nains surveillaient l’entrée. Ils semblaient être assez jeunes et vigoureux, du moins pour des nains, et tenaient chacun une petite hache. D’après leur visage, il ne s’était passé rien de bon là-bas… L’un des deux courut vers eux.
« Nous avons besoin d’aide ! annonça-t-il.
- Un coup des désians, non ? supposa Jona.
- Exactement, affirma le nain. Une armée des hommes de main de Murda est confrontée à nos meilleurs guerriers à l’intérieur de la cité. Mais ces désians sont très nombreux, nous ne pourrons pas tenir indéfiniment. C’est pourquoi nous avons demandé l’aide d’Heimdall, trois des nôtres sont partis par téléportation jusqu’à la cité et doivent revenir avec cinquante elfes. Nous ne réalisons ça qu’en cas d’extrême urgence, car l’appareil de téléportation de masse consomme beaucoup de mana. La dernière voie de communication avec notre cité est celle-ci, nous devons nous assurer qu’aucun désian n’entre par là, mais une garnison désiane patrouille dans les environs, dans peu de temps, elle aura trouvé cette voie. Nous voudrions que vous alliez à l’intérieur de Torn, les renforts elfes sont sûrement là à l’heure qu’il est. Demandez l’envoi d’une patrouille aux portes de secours.
- D’accord, répondit Klart. Mais il y a cinq désians qui s’avancent dangereusement.
- J’enclenche la fermeture d’urgence » dit l’autre nain.
Les cinq désians, voyant une porte en métal qui commençait à coulisser, accélérèrent leur allure. Juste avant que la porte ne se soit entièrement fermée, ils étaient parvenus à se glisser à l’intérieur.
« Partez tout de suite ! Nous essaierons de les retenir » ordonna le premier nain.
Les deux guerriers s’interposèrent entre les désians et les jeunes gens qui détalèrent dans la voie souterraine. Laissant deux des leurs aux prises avec les nains, trois désians se lancèrent à la poursuite des fugitifs.
« Oh non ! On dirait bien qu’on a de la visite, râla Klara.
- Laissez-moi faire » conseilla Jona.
Elle joua une courte mélodie avec son instruments et une bande de chauve-souris alla voleter auprès des poursuivants.
« Bien joué ! » s’enthousiasma Klara. Mais ne traînons pas ! »
Ils continuèrent à courir jusqu’à ce qu’ils arrivent au bord d’un énorme gouffre. La seule façon de le traverser était d’emprunter des chariots qui roulaient sur un chemin de fer. Il y avait deux chariots, sur deux voies ferrées. Chacun de ces véhicules pouvait contenir jusqu’à quatre hommes.
« Il faudrait en saboter un pour empêcher les désians de nous poursuivre, dit Klart.
- Je ne pense pas qu’on aie le temps pour ça » rétorqua sa sœur.
En effet, les désians s’étaient assez vite dégagés des animaux qui les ralentissaient et arrivaient à toute vitesse sur les trois amis.
« Montez ! » cria Klart.
Le demi-elfe dégagea rapidement la pierre qui bloquait le chariot au niveau de sa roue et sauta dedans, rejoignant les deux filles. L’embarcation improvisée commença à avancer lentement, puis la pente sur laquelle elle évoluait s’intensifia, et le chariot commença à dévaler la pente. Les rails étaient suspendus, de la même sorte qu’un pont, entre les deux extrémités du gouffre, puis ils continuaient plus profond dans les galeries de l’ancienne mine. Cette petite excursion semblait plaire beaucoup à Klara. Son frère se retourna pour voir ce qu’il était advenu des désians : ils étaient sur l’autre voie de rails, et juste derrière nos fugitifs. Deux des poursuivants possédaient des arbalètes, le troisième tenait un sceptre et était en train de préparer un sortilège.
« Je ne pense pas que l’on puisse continuer tranquillement notre excursion » annonça le demi-elfe. Jona, envoie leur quelques chauves-souris !
L’elfe observa autour d’elle, aucune trace d’animaux sur cette partie du chemin.
« Je ne pense pas que ça puisse être possible » marmonna-t-elle.
- Préparez vous à vous protéger alors !
Le mage désian leva son sceptre, orné d’une gemme à chaque extrémité.
« Boules de feu ! » s’écria-t-il.
Les deux joyaux du bâton se mirent à étinceler, produisant une lumière rouge puissante, et trois sphères enflammées sortirent de chaque gemme du bâton. Non seulement le sort avait été dédoublé, mais les boules de feu étaient un peu plus grandes qu’habituellement. Klart et Klara se placèrent devant Jona de manière à la protéger et utilisèrent leurs techniques de protection. Les six boules de feu s’écrasèrent contre les bulles vertes qui entouraient les deux demi-elfes.
« On sait bien jouer, à ce que je vois » ricana le mage. Bon vous deux, couvrez-moi et tirez leur dessus !
Les arbalétriers s’exécutèrent, contrairement au sorcier qui semblait être le chef de la patrouille, ils n’étaient pas très à l’aise avec leurs armes : ils tremblotaient en visant leurs cibles et leurs carreaux ne s’abattaient finalement que sur le chariot des fuyards.
Klart décida d’établir également une stratégie avec on équipe.
« Alors Klara, tu prépares ton sort d’estocade aérienne, cible le bien pour envoler juste les désians. Jona, tu leur envoie des animaux histoire de les retarder.
- Le seul problème dans ta stratégie, répondit l’elfe d’un air abattu, c’est qu’il n’y a pas d’animaux pour l’instant »
Le demi-elfe n’eut pas le temps de répondre, le sorcier désian relevait déjà son sceptre.
« Boules de feu ! »
Le scénario fut presque le même qu’auparavant. La seule différence était que seul Klart avait protégé les autres.
Pendant ce temps là, les chariots avançaient toujours sur les rails, mais de plus en plus rapidement. Celui des désians commençait à rattraper les trois amis, en effet, les poursuivants étaient plus lourds, donc leur véhicule progressait plus vite lors de la descente.
Jona ne trouvait toujours pas d’animaux à contrôler ; elle gardait donc un œil sur la suite de leur parcours. Klara était très concentrée sur la préparation de son sortilège et son frère les protégeait toujours de leurs ennemis. Les tirs des arbalétriers manquaient toujours de précision pour être dangereux.
Soudain, Klara arbora un large sourire, puis s’écria :
« Estocade aérienne »
Le vent souleva les trois désians, le mage manifesta sa colère par une série de jurons de plus en plus grossiers.
« Une bonne chose de faite ! s’exclama la demi-elfe, triomphante.
- Heu… Je ne voudrais pas jouer les rabats-joie mais… marmonna Jona.
- Qu’est-ce qu’il y a encore ? s’inquiéta Klart.
- Eh bien… Au bout de cette longue ligne droite, il y a eu un éboulement de terrain qui bloque notre voie.
- Et là, dit Klara d’une voix peu convaincue. L’un de nous va avoir une idée géniale pour nous sortir de là !
- Inutile de désespérer, regarde juste derrière toi ! répondit son frère.
- Ah oui ! Le chariot de nos chers désians, je l’avais oublié ! Mais comment va-t-on l’atteindre.
- Il est à une distance qui peut nous permettre de sauter dedans, enfin il faudra bien le faire. Mais au pire on retombe sur la voie ferrée et on finit le chemin à pied. Enfin…
- Désolée d’interrompre votre discussion, coupa Jona. Mais il faudrait se dépêcher de sauter, on commence à approcher dangereusement des rochers !
- Klara, saute en premier ! ordonna Klart.
- Je vais essayer… »
Heureusement, depuis un moment, la pente était plutôt douce, il y avait même parfois de petites montées ; cela avait pu ralentir l’allure des véhicules. La demi-elfe prit une bonne bouffée d’air, histoire de se donner du courage, elle monta sur le rebord du chariot ; il était relativement épais mais Klart préféra aider sa sœur à garder l’équilibre. Celle-ci n’arrêtait pas de trembler.
« Allez vas-y, c’est pas grand chose… » encouragea Klart.
Finalement, elle se décida, prit son impulsion à l’aide de son frère, puis réatterrit dans le chariot de l’autre voie.
« Allez, à ton tour Jona » ordonna Klart.
L’elfe ne se fit pas prier, elle saisit son luth, monta à son tour sur le rebord du véhicule, puis sauta avec légèreté avant d’arriver avec légèreté dans l’autre chariot.
Maintenant, les rochers étaient imminents, Klart n’avait plus que quelques secondes pour sauter de l’autre côté.
« Dépêche-toi » lui cria sa sœur.
Elle tenait beaucoup à son frère ( malgré leurs disputes fréquentes ) et commençait sérieusement à paniquer. Ce dernier ne prit pas le temps de regarder vers les éboulis et bondit, tel un félin, vers l’autre chariot où sa sœur et son amie l’attendaient. Au moment où il se retrouva dans le véhicule, celui qu’il avait quitté se heurta aux rochers.
La suite de leur excursion se déroula sans gros problème, mais ils furent quand même soulagés d’arriver aux portes de la cité naine, enfin c’étaient plutôt des ouvertures creusées dans la roche que des portes. Leur première vision de Torn fut un grand champ de bataille. Une bonne centaine de guerriers nains étaient aux prises avec environ deux cent désians. A l’arrière des rangs de l’armée de la cité se trouvaient une quarantaine d’archers elfes, et une quinzaine de mages. Malgré leur infériorité numérique, les nains et les elfes se débrouillaient plutôt bien contre leurs agresseurs : les guerriers armés de haches et de pics de guerre se contentaient de tenir les désians à distance, tandis que les archers et sorciers elfes les attaquaient à distance. Bien sûr cette stratégie ne leur empêchait pas d’essuyer plusieurs pertes mais elle leur conférait un petit avantage. Klart, Klara et Jona se glissèrent discrètement, pour ne pas être pris entre deux feux.
Un petit index, au cas où de nouveaux lecteurs arriveraient
Page 1 Chapitre 1 : La réunion secrète
Chapitre 2 : Les désians
Chapitre 3 : Le désert de Triet
Chapitre 4 : Course-poursuite dans l´oasis
Chapitre 5 : Nouvelles rencontres
Chapitre 6 : Le chevalier dragon
Chapitre 7 : Prisonniers
Chapitre 8 : Fuites
Chapitre 9 : La cité des elfes
Chapitre 10 : L´attaque du port
Chapitre 11 : Un marhand sympathique
Page 5 Chapitre 12 : La traversée
Page 10 Chapitre 13 : La voie d´urgence
ouaisssssssss!!!!! moi j´adore vraiment ta fic!!!! j´ai commencé à lire le début, et c´est vraiment de la balle( si je peux m´exprimer ainsi ) !!
Un conseil pour toi: n´abandonne pas et continue à nous faire rêver!!!! allez un p´tit pour toi!!
Ne t´arrête surtout pas parce que je suis de ta fic!!!!
Aller
Si tu as des critiques ou de remarques à faire, n´hésite pas
Bref, un très bon chapitre, comme toujours
ça fait longtemps que je n´ai pas vu Supervangaa, pour me dire le contraire
Le prochain chapitre sera sûrement le dernier avant la rentrée car je pars en vacances samedi jusque fin août
ouais la suite et un pour t´encourager!!
heu...
mais je viens d´apprendre que je pars vendredi et comme demain je risque de ne pas avoir l´ordinateur je n´aurais pas le temps d´écrire la suite