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Sujet : Laurenthread

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laurenthou61 laurenthou61
MP
Niveau 10
23 février 2013 à 18:53:30

Échelles des libertés économiques et des libertés politiques.

Pour bien comprendre nos sociétés, nous pouvons isoler deux aspects : l’économique et le politique. Ces deux spectres, nous étalons une panoplie de doctrine. Leurs deux extrêmes sont la majorité, c’est-à-dire, la multitude des Hommes. Et l’autre extrême constitue la minorité, ou un seul Homme. La liberté pure d’un des extrêmes amène l’emprisonnement de l’extrême inverse.
Pour ce qui a trait à l’aspect politique, nous pouvons étaler comme suit la panoplie des régimes. Essayer d’imager une ligne ou une demi-sphère, en situant chacun des régimes au degré voulu : +10 est situé à l’extrême droite, -10 à l’extrême gauche, et 0 au centre.
+5 : autocratie absolue dominante : Le pouvoir absolu d’un seul Homme ou un seul groupe, intégré à la société par les mœurs et la tradition. Le peuple se soumet d’emblée à se pouvoir. Souvent, cet Homme est considéré comme une divinité. La menace d’un bouleversement de régime interne à l’État (soulèvement populaire) est très faible. Ex : Corée du Nord, Ancienne Égypte, civilisation Maya.
+4 : autocratie absolue coercitive : Pouvoir absolu d’un seul Homme, par la force ou suite à un coup d’État. Le peuple se soumet plus par crainte ou parce que le souverain les traitent bien. La menace d’un bouleversement interne dépend de la capacité au souverain de gérer la situation, des voies héréditaires et de la passation du pouvoir. Ex : Empire byzantin.
+3 : Autocratie intermédiaire : Certaines régions peuvent remettent en question le pouvoir du souverain. Ex : La France du Moyen-âge.
+2 : Démocratie peu représentative à efficacité faible: L’élite à leur mot à dire dans le choix du gouvernement. Corruption des élections, démocratie illusoire.
+1 : Démocratie universelle à efficacité faible: Presque toute la population peut décider du choix de gouvernement. Corruption des élections, démocratie illusoire.
0 : Démocratie peu représentative à efficacité forte : L’élite à leur mot à dire dans le choix du gouvernement. Démocratie établie et efficace. Ex : Les sociétés occidentales du début 20e siècle ou fin 19e.
-1 : Démocratie universelle à efficacité forte, pouvoir central fort: Presque toute la population peut décider du choix de gouvernement. Le pouvoir centrale demeure fort. Démocratie établie et efficace. Ex : Royaume-Uni en en 1990.
-2 : Démocratie universelle à efficacité forte, pouvoir décentralisé: Presque toute la population peut décider du choix de gouvernement. Le pouvoir des provinces demeure fort. Démocratie établie et efficace. Ex : États-Unis
-3 : Démocratie universelle à efficacité forte, pouvoir très décentralisé: Presque toute la population peut décider du choix de gouvernement. Le pouvoir des provinces à priorité sur le pouvoir central. Démocratie établie et efficace. Ex : Union européenne.
-4 : Anarchie relative : Certains organismes peuvent réguler. Ex : Le monde en 2013.
-5 : Anarchie absolue. Le pouvoir arbitraire est libre à chacun. Ex : la jungle et la loi du plus fort.

Nous observons que la liberté du pouvoir peut être organisé ou désorganisé : L’état peut se l’approprier (autocratie), le peuple peut s’en approprier (anarchie), ou un balancement entre les deux (démocratie). Le pouvoir peut être absolu ou non.
Nous pouvons faire le même exercice avec le pouvoir matériel, que l’on peut réduire à l’argent.
+3 : Totalitarisme économique redistribué à l’élite : L’État très fort centralise les ressources pour l’élite. Ex : Monarchie française avant la Révolution, Corée du Nord.
+2 : Totalitarisme économique redistribué à la communauté. Contrôle des ressources par l’État afin de la distribuer. Ex : Union soviétique.
+1 : Démocratique économique faible : L’État contrôle beaucoup ou régule beaucoup, mais laisse certains secteurs libres. Beaucoup de taxes. Ex : Suède.
0 : démocratie économique modérée : L’État et les individus se partages certains pouvoirs. + ou – de taxes. Ex : Canada actuel.
-1 : Démocratie économique forte. L’État s’accaparent quelques pouvoirs, mais laisse une grande liberté économique. + ou – de taxes. Ex : États-Unis, Royaume-Uni sous Thatcher.
-2 : Anarchie économique modérée. L’État à certains pouvoirs de base tel que la police et l’armée. Peu de taxes. Ex : Capitalisme Laissez-faire du 19e siècle.
-3 : Anarchie économique absolue. Aucune présence de l’État. Aucun impôt. Ex : troc ou communautés aborigènes.

L’État peut tout contrôler (communisme, totalitarisme), ou les individus peuvent tout contrôler (capitalisme laissez-faire). Entre les deux, nous avons l’État qui contrôle certains aspects, et les gens d’autres (État-providence ou interventionnisme). La liberté peut être appropriée soit par l’État, ou soit par les individus. Dans les deux cas, comme le pouvoir politique, il peut avoir du totalitarisme. L’anarchie économique aura les mêmes conséquences que l’anarchie politique si l’État n’interfèrent pas. C’est la même chose pour l’inverse. Un contrôle absolu de l’économie par l’État aura des conséquences totalitariste, comme le contrôle du pouvoir politique.
Dans tous les cas, le pouvoir aux extrêmes ne peut pas être contrebalancé, de sorte que leur monopole de libertés, leur laisse le champ libre : pour bien agir, pour agir pour le bien-commun... peu importe, cela dépends des acteurs en place. Néanmoins, nous savons que le pouvoir corrompt, et l’équilibre entre les extrêmes agirait donc comme un contre-pouvoir. L’état pouvant interférer sur les individus si ces derniers ont trop de libertés, et les individus peuvent interférer sur l’État si ce dernier à trop de libertés. Je le répète, la liberté extrême de l’un amène l’emprisonnement de l’autre, car il est impossible d’avoir la liberté absolue de deux voisins, la liberté de l’un s’arrêtant ou l’autre débute.
Cette analyse est bimodale : L’État et les particuliers. Les entreprises, les organisations non-étatiques et autres organisations sont des extensions de la société. Ainsi, une multinationale puissante peut agir sur le plan économique comme une aristocratie le fait sur le plan politique. Un Organisation non-étatique à but non-lucrative agit sur les États et sur les relations transnationales comme une démocratie peut interagir avec leur État.

laurenthou61 laurenthou61
MP
Niveau 10
23 février 2013 à 19:53:02

LA FOLIE

Pour ma part, je distingue la folie de l'anormalité.

Une personne saine dans un monde de fou est anormale. Une personne folle dans un monde de fou est normal. Ex : Un physicien au 16e siècle était considéré hérétique. Un tueur de juif à l'holocauste était normal.

Une personne + ou - saine dans un monde plus ou - normal, est normal. Une personne + ou moins saine dans un monde de fou, est + ou - anormal. Etc.

Bref, la folie ne se définit pas parce que les autres la considère folle. Cependant, si l'on tient compte du fait que l'Homme à comme objectif suprême, comme conquête spirituelle, d'échanger avec les autres, alors la normalité s'impose... de sorte qu'un personne extrêmement anormal présente certains aspects de folies, car incapable de s'adapter au monde.

La construction de notre conscience par de la construction du monde. Ce monde a été construit bien avant nous par ceux qui nous ont précédé. Ainsi, une conscience collective nous tire vers elle. De là, à partir de ces outils, des ces constructions, de ces briques, nous formons notre propre conscience. Puis, nous pouvons agir dessus, procédant ainsi à une interrelations entre les individus propres et le monde.
Prenons par exemple l'allégorie de la caverne de Platon. Platon fait référence au philosophe qui éclaire le fou. Le fou (ou l’illusionné), croyant que l’Homme qui vient le libérer, que c’est lui le fou, il le tue. Ça réflexion est basé sur le contexte de l’époque, où les premières formes de démocraties sont remis en causes par un pouvoir autocratique : le pouvoir éclairé du philosophe. Ainsi, Platon à rassembler des aspects reliés à son époque, pour construire un idéal qui dérive quelque peu. Cette idéologie sera acceptée dans les siècles suivants, par l’entremise de régimes autocratique aux grands pouvoirs.
Les aspects concrets d’une société, leur matérialité et leur conscience collective, attire les idéaux. Comme un neutron auquel les électrons gravitent autour. Il y a interactions entre les individus et le construit collectif. Que ce soit la réalité concrètes ou les idéaux, ces dérives, ces déplacements sont tirés du construit historique, du construit de la conscience collective. Plus l’on s’éloigne des concepts propre à la réalité construite, plus il est difficile d’imaginer, d’extrapoler. Ainsi, certains concepts qui sont d’emblés acceptés aujourd’hui, n’était même pas dans les consciences des Hommes à une certaines époques. En contrepartie, une acceptation qui allait de soi à une époque lointaine, est considéré de nos jours comme archaïque.
C’est donc dire que la folie, elle peut être divisé en plusieurs aspects. Il y a la folie d’inadaptation, ou d’anormalité. Cela vient avec la prémisse de base que tout être vivants cherche la conservation de soi, que tous humains cherchent la communauté et l’épanouissement avec autrui. Nous pouvons retrouver dans cette catégorie des fous qui tente d’amener le monde «inconscient» vers le «conscient». C’est fou sont en fait des génies. Et nous pouvons retrouver dans cette catégorie ceux qui ne sont pas capable de communiquer leur savoir ou qu’il dérive d’une façon telle ou tellement éloigné de la réalité concrète, qu’ils sont considérés fou.
Il y a la folie collective, ou encore l’aliénation collective, ou les individus sont + ou - fous, mais pour l’époque ou pour une situation, ils ne le sont pas. C’est le propre de l’évolution humaine, plus la société évolue, plus les construits du passé deviennent archaïques. Si tout le monde sont des moutons, et si la réalité concrète n’évolue pas, nous stagnons. Si des fous nous éclairent, l’imagination collective sera tirée vers le progrès. Et si des fous nous éclairent vers une direction opposée au progrès, alors la société pourrait régresser. Ces des concepts très générales qui s’appliquent dans plusieurs sphères de la société.

laurenthou61 laurenthou61
MP
Niveau 10
13 mars 2013 à 04:55:20

L'aliénation de notre société.

Notre société est malade. Elle n'est pas en harmonie avec la planète, mais l'exploite, de sorte que l'humanité industrialisé s'est formé un monde artificiel. Certes au début, se monde «construit» fût utile pour se fournir un toit, du confort, de la sécurité, et toutes les commodités utiles à l'harmonie au sein de notre société.

Écologiquement cependant, nous pourrions faire mieux. Je doute de la conscience du monde urbain, complètement déconnecté de la nature.

Nous avons dérivé, le système capitaliste est là et est intégré. Nous devons donc l'utiliser avec ses propres principes, mais dans un but écologique. C'est déjà le cas, le pas est emboité.

Car en contrepartie, cette artificialité de notre société n'est pas seulement concrète par tout ce matérialisme, mais aussi abstrait (ou psychologique). Car comme j'ai dit, après un certain niveau de progrès, le reste est du superflu : L'apogée du progrès est temporaire, de sorte que la satisfaction des désirs est aussi temporaire. C,est par rapport aux autres que nous nous sentons heureux, et la publicité nous le rappel pour que l'on continue à creuser par avant à chercher un brin de bonheur temporaire dans la consommation, à creuser dans un trou sans fond car demain la société inventera un nouveau gadget, rendant le «meilleur d'aujourd'hui» pas terrible quand il sera demain. Or, mettre un frein à l'innovation est contre le principe capitaliste, puisqu'il faut de la croissance. Dès lors, sachant que l'innovation peut, peut-être, ne plus être utile pour l'objectif du bonheur, peut-on mettre en veilleuse des actions obligées en ce sens, ne pas s'obliger à aller vers cette voie pour ce concept? Le conservateur Edmund Burke l'a bien expliquer : il faut chercher à limiter les besoins, mettre l'accent sur la pratique.

Encore là, c'est comme dire que le bonheur est le postulat ultime de l'objectif de chaque Homme. C'est très égoïste comme vision, où le bonheur de chaque individu - qui certes s’accomplit principalement avec autrui - ne constitue qu'un but dans le présent, sans aucune vision. L'innovation comme postulat ultime de l'objectif de chaque Homme, à la prétention au moins de se projeter dans le futur. Et nous sommes «chanceux», l'innovation est intégré au système capitaliste, par la manière qu'il encourage les entrepreneurs à innover pour s’enrichir, à pousser les artistes à créer pour réussir.

Donc le problème est le dualisme bonheur-innovation, duquel nous -occidentaux industrialisés- avons déplacé le bonheur dans le matérialisme et l'individualisme, ce qui est inharmonieux avec notre anthropologie, notre nature d'homme comme animal social, et inharmonieux avec notre environnement par le fait que nous avons exploité la nature au lieu de travailler avec elle. Ces aspects, ne peut que rendre malade l'humanité ou du moins nuire à notre épanouissement, puisque c'est aller contre le flux normal et sain de notre biologie, de notre profonde spiritualité.

Ainsi, nous ne pouvons nier que notre société contribue à l'atomisation sociale, et bien que «nous somme libre de s'associer en groupe», les conditions s'y prêtent mal. La liberté nous l'avons théoriquement, mais la structure sociétale pèse sur nos mœurs et nos actions : nous ne nous exprimons pas en dehors de la société tel un point dans le néant, nous sommes en interaction avec elle, où elle influe sur nous et en retour nous agissons sur elle.

Donc, tout en maintenant l'innovation comme principe moteur de l'économie capitaliste, l'État devrait user de tactiques (subventions, coercition [amendes, pénalités], médiatisation [sensibilisation, éducation]) afin de déplacer l'économie du «futile» vers des innovations qui rendent véritablement heureux. Je dis l'État, mais il peut s'agir de groupes ou d'organismes qui emboitent le pas. Simplement dénoncer par l'entremise d'un discours clair peut aider à déplacer l'innovation.

Pour conclure, je peux affirmer que peut importe la société que l'on aura, il existera des critiques de celle-ci, ce qui est bien car démocratique. Que ces critiques sont plus faciles à faire qu'apporter des solutions non-utopistes ou révolutionnaires.

Ganjavan Ganjavan
MP
Niveau 10
20 avril 2013 à 22:37:05

Sup Laurent !

LLort_FJ_el LLort_FJ_el
MP
Niveau 3
20 avril 2013 à 23:28:34

http://vocaroo.com/i/s0Lzxt7JMS88

Ganjavan Ganjavan
MP
Niveau 10
20 avril 2013 à 23:44:09

http://vocaroo.com/i/s1q2Fv3zuoge

Ganjavan Ganjavan
MP
Niveau 10
20 avril 2013 à 23:46:49

Merde pourquoi la qualité de mon micro est rendu merdique ? Le son écho même lorsque je le place loin de moi.

LLort_FJ_el LLort_FJ_el
MP
Niveau 3
20 avril 2013 à 23:49:20

http://vocaroo.com/i/s0NV0OTZzT9F

Ganjavan Ganjavan
MP
Niveau 10
20 avril 2013 à 23:52:31

http://vocaroo.com/i/s0uXHNGum9go

LLort_FJ_el LLort_FJ_el
MP
Niveau 3
21 avril 2013 à 00:08:05

http://vocaroo.com/i/s0V9ZyKTjc6R

laurenthou52 laurenthou52
MP
Niveau 9
21 avril 2013 à 00:50:11

Bravo pour votre belle représentation étudiante, on voie que promouvez les intérêts des chefs des associations étudiantes, ceux qui prennent un cour par session depuis 15 ans, bien avant de prendre en considération la pluralité des voix. Bravo pour cette belle propagande syndicale. Bravo d'utiliser nos fonds pour établir une position politique d'une petite clique.Continuez comme les syndicats le fond si bien, cette belle corruption nourrit par cette belle utilisation de côtiseurs obligés. À quand une position neutre, à quand un retour au source de la vrai mission d'une association étudiante, à savoir, la représentation de l’intérêt de tous ou de la majorité des étudiants? Votre vision gauchiste est acceptable dans la mesure ou vous ne prenez pas position, dans la mesure ou il n'y a pas dix milles affiches et publicités créer avec nos fonds, dans la mesure où vous ne refuseriez plus d’initiative étudiante légitime, mais trop capitaliste ou à droite pour votre clique, dans la mesure ou les «faux comités » cesseront d'obtenir des fonds généreux pour s'en mettent dans les poches, et dans la mesure ou, le vol d'argent directement dans les coffres cesseront. Les parasites au pouvoir des associations étudiantes, c'est le temps de débarrasser maintenant!

laurenthou52 laurenthou52
MP
Niveau 9
21 avril 2013 à 00:58:01

ark les fautes...

Aux associations étudiantes:

Bravo pour votre belle représentation étudiante, on voit que vous promouvez les intérêts des chefs des associations étudiantes, ceux qui prennent un cour par session depuis 15 ans, bien avant de prendre en considération la pluralité des voix. Bravo pour cette belle propagande syndicale. Bravo d'utiliser nos fonds pour établir une position politique d'une petite clique. Continuez comme les syndicats le fond si bien, cette belle corruption nourrit par cette belle utilisation de côtiseurs obligés. À quand une position neutre, à quand un retour au source de la vrai mission d'une association étudiante, à savoir, la représentation de l’intérêt de tous ou de la majorité des étudiants? Votre vision gauchiste est acceptable dans la mesure ou elle ne s'impose pas comme la doctrine à adopter, dans la mesure où il n'y a pas dix milles affiches et publicités créer avec nos fonds, dans la mesure où vous ne refuseriez plus d’initiative étudiante légitime, mais trop capitaliste ou à droite pour votre clique, dans la mesure où les «faux comités » cesseront d'obtenir des fonds généreux pour s'en mettent dans les poches, et dans la mesure où, le vol d'argent direct à même les coffres cesseront. Les parasites au pouvoir des associations étudiantes, c'est le temps de débarrasser maintenant!

---

un peu mieux

Nintendo2012 Nintendo2012
MP
Niveau 9
28 avril 2013 à 23:17:00

laurenthou52
Posté le 28 avril 2013 à 06:01:42
Suite à une récente accumulation d'événements plus ou moins stressants dans ma vie, tels qu'un déménagement, une ouverture de saison de hockey ainsi qu'une fin de session, j'ai plus tendance à laisser tomber mon rôle de Président de ma ligue pour celui de simple individu. Ainsi, cette irritabilité éveillé laisse la porte ouverte à un manque de professionnalisme de ma part lorsque certains clients/joueurs insatisfaits m'expriment leur insatisfaction par un point de vue loin d'être constructif. Bref, j'ai répliqué aux insultes d'un individu par la messagerie Facebook, mais cela prit une tournure inattendu : il fréquente les Hell's Angels, et menace mon intégrité physique.

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-83-843734-986-0-1-0-vos-tranches-de-vie.htm#message_980100

:d) On en veut plus, mon beau laurent! Des détails? On veut t'aider!

Mover Mover
MP
Niveau 10
28 avril 2013 à 23:18:56

Fou man pareil! On pourrait menacer le gars pour toi!

laurenthou61 laurenthou61
MP
Niveau 10
30 avril 2013 à 06:06:41

Comme fallait s'y attendre, il ne s'est rien passé en lien avec l'incident. Bluff, accalmie soudaine? Peu importe, qui en a à foutre? Non, rien ne s'est passé en lien avec l'événement, mais un autre incident c'est réellement passé : j'ai appliqué un règlement à des joueurs remplaçants qui ne connaissaient pas cette règle. Leur groupes de remplaçants étaient désabusés. Leur frustration a surtout été déversé par un individu en particulier, d'on ce fût la première fois que je le voyais. En résumé, insultes, menaces et intimidation fût son cocktail qu'il m'a réservé après la partie, lorsque je vais dans les chambres collecter l'argent et vendre des boissons. Il m'a volé une bière et comble du manque de respect, la jetée à mes pieds une fois terminée. Je me suis bien-sûr défendu durant tout le long de cette amas d'insulte et d'injures de la part de lui, mais fortement appuyé par ses cinq amis. Néanmoins, en deux ans d'expérience en tant que Président, jamais je n'ai été témoin d'un manque aussi grand de respect. Et en deux ans j'ai été dans le coeur de l'action : altercations physiques, engueulades, présences policières, insultes.

Choqué, j'ai offert 100$ à un gars pour qu'il lui arrange le portrait, mais il a sagement refusé cette offre.

Malgré se manque de politesse, ce groupe ne m'a rien voler (mise à part ladite bière), ce qui est le côté positif. Personnellement, je trouve qu'il vaut mieux être rude, mais respectueux, qu'être un hypocrite de voleur ou qui nuit à l'image de l'entreprise en vomissant sa haine sur les réseaux sociaux, par exemple.

Nintendo2012 Nintendo2012
MP
Niveau 9
30 avril 2013 à 06:10:30

:rire:

laurenthou52 laurenthou52
MP
Niveau 9
16 mai 2013 à 18:55:28

Ne manquer pas ma première chronique à 16h15 sur les ondes de 88,3 FM à CFAK! : http://cfak883.usherbrooke.ca/en_direct.html

on va bien rire!

laurenthou52 laurenthou52
MP
Niveau 9
16 mai 2013 à 19:10:36

J'ai lu l'ouvrage d'Éric Duhaime et je suggère à tous ceux qui le diabolise, en le traitant d'anti-travailleurs ou de personne qui n'aime pas le Québec, de lire son livre pour avoir l'heure juste. C'est mal le connaître d'affirmer de telles âneries. Dans les années 70, les politiciens ont accordés, sous la menace de grèves, beaucoup de pouvoir aux syndicats, mais aucun contre-pouvoir. Les acteurs changent mais le système est mal foutu et perdure : corruption et utilisation des fonds pour de l'activisme politique au lieu d'améliorer les intérêts des travailleurs, c'est rendu la norme. Si on veut augmenter la richesse collective, il faut revoir les lois syndicales

laurenthou52 laurenthou52
MP
Niveau 9
16 mai 2013 à 20:35:04

Introduction
Dans le cadre d’un cours universitaire, nous interpréterons un événement en fonction de la pensée de deux auteurs : Nicolas Machiavel et Karl Marx. Le phénomène choisi est la crise étudiante qui secoua le Québec au printemps 2012, lequel sera brièvement résumé. Par la suite, nous présenterons les concepts des deux auteurs. Puis, les notions seront mises en relation avec l’événement, pour ainsi transposer les pensées de ces philosophes d’antan aux circonstances actuelles.

1. Présentation de l’événement
La grève (ou boycott) générale étudiante de 2012, aussi appelée « printemps érable » ou « printemps québécois », est un mouvement social qui a eu lieu au Québec du 13 février au 7 septembre 2012. Son déclenchement est causé par la hausse de 75 % des frais de scolarité sur cinq ans par le gouvernement libéral de Jean Charest. Or, d’un débat sur les frais de scolarité, elle déborda rapidement de ce sujet avec comme point de mire le système économique actuel : « Que notre grève sert de tremplin à une contestation beaucoup plus large, beaucoup plus profonde et beaucoup plus — oui — radicale que la direction que prends le Québec depuis les dernières années . » Les manifestations causèrent des problèmes de circulation quotidienne, au grand dam de la population ordinaire. Certaines ont viré en émeutes, laissant place à diverses actions brutales : vandalisme, lançage d’objets sur les forces de l’ordre, violence policière, utilisation de la cavalerie par les gardiens de la paix. Le regroupement de types black block a commencé à devenir omniprésent. Des actes radicaux ont été perpétrés, tels que des bombes fumigènes projetées plusieurs fois en quelques semaines sur les rames du métro de Montréal. Ce conflit qui divisait la population québécoise se transposa en plusieurs débats tels que : ceux contre les hausses des frais contre ceux en faveur, les révolutionnaires idéalistes opposés à ceux qui prônent l’ordre social, les égalitaires versus les libertaires, les étudiants qui — par l’entremise des votes lors d’assemblées générales — prônaient leur démocratie opposés à ceux qui — par la voie des d’injonctions — préconisaient l’importance des institutions dans un État de droit, etc. Cette division entre les « carrés rouges » et la « majorité silencieuse » prit une énorme place médiatique propulsant ainsi les leaders étudiants vers le statut de vedettariat : Martine Desjardins de la FEUQ, Léo-Bruno Blouin succédé par Éliane Laberge présidents de la FECQ, mais surtout Gabriel Nadeau-Dubois qui fût le coporte-parole de la CLASSE, le mouvement considéré comme le plus radical des trois associations étudiantes. Le rôle des médias a ainsi joué un rôle important dans l’interprétation des événements. Ces derniers étaient considérés comme davantage contre les étudiants (à l’exception du Devoir), alors que les médias sociaux, qui prirent une place tout aussi importante, proposaient de l’information plutôt en faveur de la cause estudiantine . Internet fut donc une tribune des événements du Québec, auquel le mouvement hacktiviste « anonymous » se mêla au mouvement en dénonçant le gouvernement, puis par diverses attaques pirates de sites gouvernementaux. Les décisions des associations étudiantes sont construites à partir d’assemblées générales par lequel des votes se font par un processus de démocratie directe, qui pour faire suite, sont proposées à la table des discussions pour négocier une entente avec le gouvernement. Pourtant, les pouparlers avancent que très lentement. Le 14 mai, la ministre de l’Éducation chargée du dossier, Line Beauchamp, démissionne de ses fonctions n’estimant plus faire « partie de la solution » . Vers la fin des classes, la menace soutenue d’annulation de la session d’hiver incite le gouvernement à édicter la loi 78, qui consiste à un retour immédiat en classe et à diverses restrictions des libertés (surtout liées aux manifestations). Cette loi a déclenché de la colère au sein de la population, alors que « 500 juristes [...] ont manifesté [...] contre la loi spéciale (78), qu’ils considèrent comme une grave atteinte aux droits et libertés» . De là naît le mouvement pacifiste des casseroles, qui inclut des personnes, étudiantes ou non, frappant sur des poêlons, caquelons et autres ustensiles de cuisine en guise de protestation à la loi ou au gouvernement Charest. Les vacances estivales atténuèrent quelque peu la crise étudiante. Des élections sont déclenchées le 1er août. Le gouvernement péquiste, élu le 5 septembre, abrogea dans les jours qui suivent la loi 12 (anciennement loi 78) et annula la hausse des frais de scolarité, mettant fin à la crise. Celle-ci aura été marquée par le nombre considérable de manifestations (dont les plus grandes atteignaient environ 300 000 personnes), aura menés à 3418 arrestations et coûta quarante millions de dollars aux universités, autour de douze millions en temps supplémentaire de la SPVM et affecta l’économie en général.

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