Est-on jamais vraiment accompagné... OkayOkay j'dérive Nan, c'est vrai, je te plussoie, les mots sont salutaires, même si la compréhension n'est pas totale, elle l'est déjà suffisament bien dès qu'on la travaille. Mais j'pensais surtout à des cours de philo passés dans un dico sans la moindre démarche de réflexion, en disant ça.
Tu sais qu'elle est pas du tout anodine la distinction ci-dessus ?
La science décrit le monde matériel mais rien ne dit que l'être est matériel. Il faut donc aussi distinguer entre l'aléa ontologique et l'aléa physique/quantique.
Pour les deux domaines que je viens de citer, tu n'hésites pas à parler de "liberté", toi ? "Aléa" passe, mais "liberté"...
Il est interdit d'interdire.
La simple proprioception narrative de la forme libérale d'une liberté abordée par confucius il y a un bon paquet d'année, pourrait nous amener a penser que la conception ursurpative d'une liberté ne peut etre obtenue dans le cas d'une personne libre physiquement. Le probleme s'aggrandit lorsqu'on parle de la liberté purement moraliste, car si la liberté quantique reste définitivement ancré dans les esprits comme étant la définition de "liberté", il n'est en aucun cas envisageable qu'une liberté existe chez des personnes saines d'esprits ou bien intentionnées.
Ah ok le up de Conseil-Tunisie.
La liberté n'en n'est pas une si l'homme ne sort pas de sa moiteur métaphysique, ceci est dit dans le sens qu'une dépersonnalisation de l'etre humain est nécessaire a l'élaboration signifiante d'une définition universelle de la liberté ne se basant pas sur la morale sociétaire. Il est facile de comprendre que chacun se base sur une forme de liberté que lui a inculqué la société, la liberté pure se base sur un etat d'esprit sauvage et non commun.