-> redsissi:
Pour etre franc, non j´ai pas reflechi à la longueur des vers, en fait je n´y attache jamais beaucoup d´importance.
Devant moi se dresse cette étendu gelée
Terre inconnue qu’il reste à explorer
Mes pensées se perdent devant l’immensité
De cet endroit pas encore profané
L’aurore commence à se lever
Je vois le soleil rougeoyer
Tristesse et mélancolie de ses reflets
Grandeur et fascination de sa beauté
Bientôt la vie ici sera souillée
Et perdra toute virginité
Avant ça il faut en profiter
Tant que le mal n’est pas fait
Sans jamais se relâcher
Il faut persévérer et lutter
L’espoir persiste dans nos cœurs
Et c’est la clé de tout bonheur
Profiter sans se soucier
De l’avant et de l’après
Jouir de chaque instant
La fin est en suspend
Je te dis adieu
Notre temps est révolu
Je m’en remets à Dieu
En espérant t’avoir plu
Gros bisous mon coeur.
C´est joli ça Bourreau
juste cette rime qui vient un peu défaire l´harmonie des autres...
Tant que le mal n’est pas fait
les autres sont en "é" celle-là est en "è"
Ils s´eveillent en moi la ressouvenance
D´un souvenir chantant emplie de nostalgie
Orphein délaissés des voiliers des Hanses
Une triste enfance tombée dans l´oublie
Mais sache que jamais ne viendra le tien
Ni celui des antiques jeunesses
Baignées dans le doux reconfort de tes bras fins
Dans lesquels j´y construit ma genèse
Aujourd´hui encore, épars autour de moi
Grand-Père je t´attend prés des linceuls noire
Petit-Poucet rêveur je laisse sur ta stèle
Les doux fruit d´hiver portés par la grêle
Mais il s´etend pourtant autour de nous deux
Cinq branches enlacés, un pas vers les cieux
Ptêt qu´il a juste un accent de ouch le Bourreau
heretic j´aime beaucoup ce poème... très imagé
mais les fautes... faut corriger ça!
un si beau poême ne mérite pas d´être entaché par des fautes...
Red´ => la conversation d´hier : merci d´avoir lu Insania (si tu ne l´a pas fait jusqu´au bout, je poste actuellement une récriture, lentement). Mais suis-je donc le seul à trouver mon texte creux et ses idées stéréotypées ? Bon, je cesse à l´instant de polluer ce pic´^^
Sur ce...
Tu connais des auteurs satisfaits d´eux-mêmes toi?
Primo, ça serait par trop suffisant comme attitude... imbu de soi-même en somme...
Deuxio (ou secundo pour les puristes...) quand on veut s´améliorer on cherche toujours à faire mieux que ce que l´on a fait précédemment
Tertio, on a toujours tendance à se juger plus sévèrement que les autres ne le font en général.
Et pour finir... tu ne pollues pas mon topic... au contraire je trouve que tu es une bouffée d´air frais!!!
Slt!
Le sang s´egoutant lentement
De ses plaies beantes
Ses mains transpercés comme son ventre
Etait un spectacle peu ragoutant.
Que s´est donc dit ce saint homme?
Alors que sa vitalité le quittait
Par goutte à travers ses paumes
Et que sa famille le regardait.
Sa foi n´a-t´elle jamais flanché?
Tout comme la croix où il etait accroché?
Quel est l´objectif de chaque être
lorsqu´il vient sur cette terre?
N´est-ce pas de vivre sa vie, de se plaire?
Où de finir accroché sur du bois d´hetre?
Moralité: le christ est un con!
fleur-de-jade Posté le 04 décembre 2005 à 13:35:26
Ptêt qu´il a juste un accent de ouch le Bourreau
Merci d´avoir lu sinon. =)
Son regard de braise me tue
J’aimerais tant la voir nue
Ses lèvres si sensuelles
Qui me narguent d’un air cruel
Juste un seul baiser
Juste un seul toucher
Pour assouvir ma passion
Et faire taire mes pulsions
J’en ai tellement envie
Je donnerai toute ma vie
Juste le temps d’une nuit
Elle et moi dans un lit
Entouré de pétales de rose
Sans que jamais elle n’ose
Et que je continue à la désirer
Dans mes plus intimes pensées
Que nos corps se frottent
Dans de splendides notes
Que mon âme s’attise
Et que le rêve se brise
Avis aux amatrices
petite série de stupidités écrites en histoire avec un un compagnon:
Prince des océans
Inébranlable par la terreur que tu répands
Rôde sur les mers
Attaquant les forbans qui foulent tes terres
Terrible démon semant la terreur
Encore et toujours tu dominera les océans par la peur
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Pourquoi les hommes sont-ils coupable?
Rien ne prouve qu´ils en soient capable
O toi le condamné
Cesse donc de te plaindre et de pleurer
Essuie tes larmes et prépare toi
Sous les chaînes bientot tu sombreras
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Appolinaire le grand
L´avait dit il y a longtemps
C´est la boisson qui nous agite
O toi l´ivresse qui m´habite
O toi la sève de mes vers
La compagne de mes nuits d´hiver
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Rapace du monde marin
Ecrasant les marsouins
Que de puissance pour un seul être
Uluberlu à la fenêtre
In vino veritas
Ne mange pas de rascasse
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( pour info je n´ais aucune pretention dans ce poeme, l´artiste je sais bien ke ce n´é pa moi c un txt inventé de tte piece voilà ! )
un artiste empreint de marginalité
un talent par ses reveries bercé
carresse le vent de ses pensées
Le physique se melant a l´esprit
en harmonie avec ses songes il est epris
epris de son regard sur la vie
il embrasse ses souvenirs
espere les etreintes de l´avenir
seulement ce fut un malin plaisir
celui de peindre sans peinture
Sa derniere esquisse d´un trait sûr,
Une eternel tristesse, de son sang
AnotherChance
Hellooo tout le monde
Voici un petit poème que j´ai écris ce matin en cours de maths :P :
Absynthe: (Fantaisie)
Un plein de folie- Ô breuvage abstrait
Là où se noient les couleurs dans un autre réel
Ici où l´herbe est de la couleurs des rosiers
Je me perd dans les effluves -Vermicel
Est mon ciel, chantant les hymnes du printemps
Dansant la pluie, les tempêtes, le vent
Je vois dans mes fugues les couleurs du temps
Jeune voyageur je me sens pourtant grand
Mes fuites m´aspirents à retrouver ma bohème
Parcourant le monde, j´egrenes mes rêves
Et j´ai vu vos innombrables visages :Blême!
Laissant les Lys et arborant ma Rose
Mon auberge est à la prose
Je ris, revis et aussi rapidement -Crève!-
Splendide nuit étoilée
Parfaite pour s’évader
Reflet de l’âme dans les cieux
Flamme de l’espoir dans ses yeux
Hier encore nous luttions
Aujourd’hui nous fuyons
C’est cette terrible décadence
Qui nous a plongé en transe
Où nous mènera cette déchéance
Tout droit vers les morts qui dansent
Au-delà vers l’infini univers
Où seules comptent les prières
comme avant nos rèves d´antans
et la brève éternité de l´enfance
l´insouciance et l´innocence
se sentir serein et immortel
savourer la vie, qu´on croit si belle
découvrir le monde et ses merveilles
l´arbre et les soleils
au rythme des jeux et des découvertes
les secrets de l´existence et des pommes vertes
se dévoilent et l´on s´extasie
d´un monde si bien construit
et un jour un innconnue passe et on le suit
à travers les âges maudits
et l´enfant s´enfuit
un jeune adulte entre dans la vie
perdue face à ce drame
il peste et se blâme
de ne pas avoir su dompter le temps
il se réveille les cheveux blancs
encore une bataille de perdue
il en a déja trop vu
les nuits jouent les arlésiennes
et sa vie n´est plus sienne
les boucles blondes du bambin qu´il était
on laissé place à ce crâne échevelé
et sa décendance toute éxcité
vient y voir son reflet
alors le grand père qui fut enfant
s´éteind encore flambant
heureux d´avoir légué les pommes vertes et leurs mystères
à ce marmots, chers à sa chair
à
toi
demoiselle
inconnue
que
je
vis
un
jour
dans la rue
plongé
dans
l´azur
de tes yeux
et
de
ton
visage
si anxieux
je
lu
la
naissance
d´une idylle
celle
qui
obsède
puis qui file
à
tes
longs
regards
si furtifs
je
ne
fut
assez
réceptif
et
je
t´ai
trahis
avant même
de
ne
t´avoir
dit
que je t´aime
Allez una utre ptit :
Perdu, noyé au fond de mon coeur
Avec la solitude, tout ce qu´il me reste
De cette vie remplie de peur
Maintenant il est temps que je lache du leste
Finis cette période de mensonge
Ou tout ce que je faisais était suivit d´un interrogatoire
Pensant à toute ma vie, mes rêves...mes songes
Il me reste à connaître le purgatoire
Pour tout avouer
Avouer cette blanche véritée
Que peut de gens trouvent
Que faudra-t-il faire pour que je prouve
Que je n´était qu´un vulgaire amoureux
Perdu dans ce monde et se croyant heureux
Les oiseaux chantent les bébés pleurent
les marins naviguent les soldats se battent
les aigles volent les chatons dorment
les dauphins nagent les choens aboient
et moi je t´aime
Les oiseaux chantent les bébés pleurent
les marins naviguent les soldats se battent
les aigles volent les chatons dorment
les dauphins nagent les choens aboient
et moi je t´aime