J´ai changé quelques trucs à mon premier poeme, j´espere que sa l´amméliore!(J´ai racourcis les trop longues phrases, changer quelques mots etc.)
Oh douce pluie coulant sur ton visage
Oh douce lueur me remplissant d’espoir
Tes yeux remplit de vagues se dissipe avec l’âge
Laissant ton doux regard dissiper mes nuits noires
Oh belle étoile, oh belle lueur
Ton amour, ton corps…Il me sont trop éphémère
Assis près du rivage je te vois âme sœur
Dansant sur le sable au devant de la mer
Comme je m’en veut, comme la vie maintenant me ronge
Douce lumière ou à tu caché ma colombe?
La mélancolie envahit maintenant mes songes
Ne me reste que de doux souvenirs coulant sur ma tombe
Douce mélodie qui résonne à mes oreilles
Rien ne sera jamais plus pareil
Il est maintenant temps de s´en aller
Au-délà des plaines et des rochers
Par-délà la maladie des torts
Plus loin que la vie et la mort
En se surpassant à chaque instant
Peut-être trouverons-nous un jour
Rien qu´en y pensant
Le bonheur de l´amour
En effet c´est mieux Aegis au niveau de l´écoute et de l´équilibre
il persiste quelques fautes toutefois
Super ce poème Bourreau
Je trouve que le choix des rimes ici
"En se surpassant à chaque instant
Peut-être trouverons-nous un jour
Rien qu´en y pensant
Le bonheur de l´amour"
casse le rythme
peuvent pas tous être parfaits!
merci
Voila un mini poeme de quatres vers, Je l’ai intitulé : le penseur
Dans le désert de la connaissance je me taire et pense
Bercé par la chaleur, cherchant la plénitude
Soutenu par mes principes, acquiescent mes offenses
Je n’ai pas peur, je trouverais moi même la béatitude
Attention à l´orthographe, c´est dommage de gâcher un poème à cause de ça...
je me *terre
Sinon, pour le contenu, j´avoue que j´ai pas vraiment compris, le poème m´a pas pris énormément (l´autre, le premier que tu as posté, j´ai bcp plus aimé).
Franchement, fais gaffe à l´orthographe, parce que tu fais beaucoup de fautes et que ça gâche un peu le plaisir, je trouve.
(je me répète mais c´est parce que je suis fatiguée ^^)
Chaques jours tu m´appelles
Evidemment un peu plus belle
Mon amour pour toi insondable
M´eloigne de mes semblables
Mon coeur en moi déchiré
Pour toi ne s´arrete de saigner
Attendant ,impatient, ta venue
Pour qu´enfin je dise je fus
toutes les heures sont moins roses
toutes les minutes plus moroses
et en ton honneur je fini en Prose
Mort viens vite
c´est beau mais triste
Bon je suis pas un poète née mais, j´en fais de temps a autre pour me défouler et j´aimerais bien votre avis sur mon dernier, personellement je le trouve trop brouillons et je trouve qu´il part trop de tout coté mais bon.... le voila
Équilibre
J´y pense sans fin
Que me réserve le destin?
Ne suis-je qu’un pantin entre c’est main?
Quel est donc mon chemin?
Je pense craindre Demain
Surment par peur d’être seul sur le chemin
Quel cruel ironie du destin
Surtout pour un bout-entrain
On pense changer
On veux s ’amélioré
Mais au final on ne fais que régresser
Et enfin nous finissons par nous enlisés
Pourquoi ne pas osés ce confier ?
De ou nous viens cette terreux d’être repousser?
Quel est donc cette enfer dans ma tête qui veux me déchirer?
Et mon cœur dans l’angoisses plonger?
Que dois-je rechercher de la stabilité ou de la nouveauté?
Resté ne plus bouger?
Non je me sens le goût de m’envoler et tout quitté
Donc a mort la stabilité abandonnons tout en plein liberté!
Hormis ces quelques (hum...^^) fautes, nous avons ici un magnifique ode à le liberté. Brisons les chaînes de la vie et envolons-nous vers de nouveaux horizons ! C´est très beau, ça s´enchaîne bien. Mais juste attention aux fautes.
Et voilà que je corrige en faisant aussi des fautes...
LA suite des scènes que j´avais précédemment posté.
ACTE 2
Scène 1
Eugène est allongé sur un lit. En face de lui se tiens une femme blanche.
Femme:
Ainsi vous avez fait un choix.
celui de tout abandonner,
tout ce que la vie à donner:
des amis, des femmes et la foi.
Tout ceci était-il de trop?
Eugène:
Qui etes vous pour critiquer?
La mort ou un de ses échos?
Femme:
Rien de ce que vous espérez.
Je suis votre noble conscience,
et je vous suis depuis l´enfance.
je connais tout de vos douleurs,
je connais tout de votre coeur
je connais tout de votre vie
et je connais tout de vos cris.
Vous ne pourez rien me cacher,
jusqu´à l´heure de votre décès.
Eugène:
Mais pourquoi discourrir ainsi?
Alors que toutes mes souffrances,
peuvent se résumer en un cri?
En mon coeur l´angoisse est si dense.
Femme:
hé bien criez, mon cher ami
puisque seule la bestialité
pourrait vous guérrir de la vie
fuyez donc la réalité,
mais sachez que vos bas instincts,
n´éclipseront pas le destin.
Eugène:
J´ai choisis d´écrire le dernier
Chapitre qui me soit lié,
avec le sans qui coule en moi
celui-la qui criait pour moi
Femme:
Donc vous avez choisis la mort,
abandonnant vos proches à leur sort.
Vous avez agis comme un lâche,
Voyez les larmes qu´ils s´arrachent.
Vôtre attitude nihiliste,
Vôtre seul désir égoïste,
Telles sont vos motivations,
Vôtre mort n´est que perversion.
Et je ne la souffrirais pas,
Retournez en bas de ce pas.
la splendeur des jours passés
la gloire des heures écoulés
tout cela s´était enfuie
sans une larme sans un bruit
et passe le temps
sans meme un cabestan
et tourne la roue
de ces jours fous
il ne reste rien
plus rien qui ne soit mien
plus rien de toi
ni meme de nous
ni meme de moi
et je suis fou
fou de ce désespoir
et de cette nostalgie
qui quand viens le soir
me ronge la vie
jusqu´au tréfond des mes entrailles
et je braille
je cri mes souffrances
et j´admet mes errances
devant mes erreurs passées
devant ces sourrires brisés
par des mers de larmes
par des écueils sans charmes
les images des amis d´alors
l´époque de la vie sans efforts
l´époque ou nous vivions en paix
dans ce bonheur à demi-niais
la splendeur des jours passés
la gloire des heures écoulés
tout cela s´était enfuie
sans une larme sans un bruit
et passe le temps
sans meme un cabestan
et tourne la roue
de ces jours fous
il ne reste rien
plus rien qui ne soit mien
plus rien de toi
ni meme de nous
ni meme de moi
et je suis fou
fou de ce désespoir
et de cette nostalgie
qui quand viens le soir
me ronge la vie
jusqu´au tréfond des mes entrailles
et je braille
je cri mes souffrances
et j´admet mes errances
devant mes erreurs passées
devant ces sourrires brisés
par des mers de larmes
par des écueils sans charmes
les images des amis d´alors
l´époque de la vie sans efforts
l´époque ou nous vivions en paix
dans ce bonheur à demi-niais
L’amour s’empare de moi en un instant
La magie opère sans avertissement
Je me laisse tenter à ce jeu dangereux
Je n’en connais que trop bien les enjeux
Elle me sourit quel beau sourire
Elle est devenue ma lyre
Je ne peux m’empêcher de l’admirer
Mais cela reste de l’amitié
Triste hiver qui s’achève
Pas de temps pour une trêve
Je repars à l’assaut de son cœur
Ça ne peut être un leurre
Doux printemps qui commence
Enivrant parfum de romance
Nous nous serrons tendrement
Nous nous aimons follement
Elle a embrasé mon âme
Elle m’a transpercé d’une lame
Plus jamais je n’aimerai
Juste à m’enfermer
Dans les abysses de l’amour
Qui ne permettent aucun retour
je trouve très bon skysoft.
un peu de vulgarité ne fait pas de mal au contraire
"Tu sais, depuis le début, j´te trouve vachement intéressant..."
Et avec un 9mm sur la tempe, j´ai l´air aussi intrigant?
ce passage ma fait hurler de rire
excellent
Arf Softy