J´ai bien aimé Iternal
Soul... ma poésie qui précède t´es dédiée puisqu´elle est née de la conversation qu´on a eu ce soir ensemble...
Avec toute mon affection XXX
d´être présent pour tes ami(e)s
Tout est dit, tu as tout bien restrancris.
Merci d´être là toi aussi
Bonjour à tout le monde, un petit passage sur ce forum, bravo à tous pour ce que je peux lire... Je vous laisse un petit poème et j´espère d´avoir la chance de vous rencontrer mieux un de ces jours ^^
Lumière vaporeuse d´un crépuscule qui s´éveille
L´horizon blanchit, les fleurs fânées, irréelle
Vision du lointain ; envoûtement d´un doux sommeil
Bientôt ! Ces belles contrées blafardes, là-bas, m´appellent
Tout s´éteint, les flammes de l´âtre se sont consumées
Et ce vent d´adieu, murmure du temps, est glacé
Ces pages d´encre éparpillées sur le sol, vestiges
D´un monde ? Mirage d´un rêve ? Ce tournoyant vertige
M´enserre de chagrin, et la vie a disparu
Que l´enchantement vienne embaumer mon coeur fendu
Les étoiles ont tapissé mon dernier ciel noir
S´élève majestueuse, la lune d´or aux mille passés
Je suis un des éclats, éphémère dérisoire,
Je deviendrai poussière lumineuse, égarée,
Ô mon âme ! Tant de beauté, tant de poésie !
L´astre me rappelle notre baiser nocturne, en hiver,
Notre amour immense, nous, les rives d´un paradis
Avant de se fondre en mélancoliques prières
Pour ce destin ! Qui m´a arraché aux délices
De ta peau, ta chaleur, notre avenir glorieux
Ne crier que fatalité, mais dans tes yeux
Je me suis plongée ; restes du monde qui pâlissent
Devant le flambeau de passion qui brûle encore
Rien ne scintillera comme lui... En ces heures divines
Je ne songe qu´à m´envoler ailleurs ; je devine
Les cerisiers en fleurs, l´oiseau du jour qui dort
Merveilles enchantées... Le silence chante ta venue
Derrière moi, je sens ton ombre, ta main froide et nue
Qui glisse dans mes cheveux ; mes lèvres que tu embrasses
Se retrouver, se lier, reconstruire, oublier
Si facile, contre toi... Mais je n´ai plus ma place
Parfum d´un désespoir profond, je pars t´aimer
Ne me retiens pas, l´aube sous la neige immortelle
Est proche ; contemple ce toit de glace aux souvenirs,
Que je parsèmerai de mes pensées les plus belles
A la fin des temps, naîtra la joie de mourir
Pour toi, sur ces rivages aux ivresses que j´effleure
Adieu, que cette larme étincelante soit mon coeur.
"William Blake ? -Yes. Do you know my poems ?. .."
Pour toi qui a mal...
Ton âme est désespérément en peine
et la mienne pleure avec la tienne
je sens toute la souffrance
de ton coeur en profonde errance
Pourtant je ne peux rien faire
seulement rester auprès de toi
je sais que tu es perdu, tu erres
ton retranchement m´inspire de l´effroi
Mais tu verras un jour la lumière
brillante, resplendissante et fière
qui rallumera en toi la flamme
qui te transperce maintenant comme une lame
Laisse les souvenirs apaiser ta douleur
je ne veux pas que ton coeur à jamais, meure
l´espoir fait vivre et resplendir
toutes les beautés que ce monde a à offrir
Il ne faut pas se cacher derrière les oeillères
du drame qui s´est joué sur la scène de ta vie hier
tout fini par s´estomper sur le chemin qui est le tien
même les plus difficiles et immenses chagrins
Je serai là à tes côtés
pour te permettre d´y arriver
sur moi tu pourras toujours compter
et sur ma plus sincère amitié
XXX
Voilà mon poème au bonne endroit
Je saurais le nommer plutôt Remontrance au lieu de Perte enfin voilà
Remontrance
Pardonnez-moi je n´ai su saisir la vie
Par les mêmes yeux donc vous disposez
Pardonnez -moi je n´ai su prendre l´essence
De la même manière dont vous utiliser vos sens
Pardonnez-moi soyez-en certain
Je ne serez comme vous
La vie me prend par une voie inverse dans une valse
Aux pas oubliés
Même si l´orage me menaçait
Je ne pourrais me ranger
Pardonnez-moi si mes mots vous choque
Si mes écrits vous sont imcompris
Pardonnez-moi mais je ne changerai
Je saurai toujours vous faire parler
Pardonnez-moi si mes propos vous hante
Si la nuit ils vous poussent à la brocante
Je ne saurai être autre chose
Car je suis celui que le jour a oublié
Les faits pour moi sont de magnifiques prose
aux relants indigéré.
Pardonnez si je vous pousse vers la folie ou
vers un délicieux ennui
Pardonnez-moi de par les matins
De vous avoir stoppé au coin de la vie
Pardonnez-moi je peux rien faire
Je ne peux qu´écrire et rire de moi
Vos quotidien pour moi sont de jolies lune
Aux courbes écritures.
Les envies et les incompris sont à ma vue
De sulfureuses sculptures
Pardonnez-moi si ma personne ne se réduit
Qu´a un calambour sur les lèvres d´un nomade
Pardonnez-moi si vos latentes pertes
Sont dû à une de mes lectures
Pardonnez-moi j´ai tant à me pardonnez
et vous avez tant à me reprochez
Oubliez-moi de par les murs
Je ne suis plus là ou vous pensez
Je n´ai perdu n´ayez point bataille
Je reviendrai avec des écrits des plus remontés
la vieillesse
est sinonyme de sagesse
mais pourtant ces personnes agées
sont tous des encul**
ma grand-mère ma énervé aujourd´hui !!
Que veut tu dire par la vieillesse je suis pas sure de te suivre
Mon incroyable bonté me pousse à upper ce topic dans un but louable
Poésie écrite dans le cadre scolaire.
Crainte immuable de la différence
Entraîne dans ce monde tristes errances
Âmes en peine jugées à l’apparence
Envoyées au purgatoire, déliquescence
Oubli total de la vraie importance
Celle-même de la parfaite essence
Croire encore en cette coexistence
Toutes les couleurs et en une danse
Rappeler à l’esprit ces réminiscences
Le souvenir de notre descendance
L’unité est facteur de toute puissance
La fraternité sera l’incandescence
Avènement de la pure tolérance
Mettre à bas le racisme et ses déviances
Noir crépuscule de jais
Aspirant cette douce brutalité
Clair sombre, l’idyllique dualité
La lumière se dilate
L’errance de la nuit sommeil
Les terres s’assombrisses
La verdoyante flore s’abreuve autrement
Sous la nudité d’une pleine lune
Complice de ce glauque désertique
Maculé de miséricorde
Le temps est éphémère
À travers un silence éloquent
Les ombres amorphes
Guettent la funeste aurore
Qui viendra les consumer
I´ve worked so hard, felt such a pain
It´s as if I did it for none, as if I had to blame
Just myself, for being what? I reaaly don´t know.
Just wanna get the ball, and a chance to prove I can do so
This is where I wanna be, where I feel free
I lost it so many times and don´t wanna see it again
Gotta make them realize this is not just duty
But that the feeling they got, I got the same.
So please, give me a chance, just one night
To prove that I can, to show that I am
The one I wanted to be, that I am again
The one that can shine, and who wanna fight.
Voilà une de mes compositions je vous laisse juger ça parle d´adultère et de faute d´amour plusieurs fois répétés.
Les douces émancipations d´un miasme brute chimique
Fantastique fanfare d´un creu si ouvert
Ces chants cru d´arnaque
Mon seuil n´y est point porté
Mais je les voit et les ressent
Une bonne parole a tenté par les milles chemins
D´y mettre un subjonctif frein
Mais le seul résultat fut une noire tourmente
Et une esquive d´une grâce choqué
Alors mon parapluie et mon par-dessus bleu j´ai sorti
J´ai dansé la lune grise
J´ai crié l´ennui
De par ma tenaille je n´ai su agir
Par de là le vent aux mélodieuses entorses
J´ai tenté de comprendre
Mais je n´ai point compris
Dès lors je me suis foutu
Et j´ai scabré mes attentes aux brouillards oublis
Au-dessus des dunes aux parfum de conflits
Les longues suites de plumes ont érodé
Une nuit d´ivresse aux cheveux de jais
Une volonté scabreuse a fait retombé
Les pluies brumes accrochés
Dans un effet d´onix une ombre tentatrice
S´est revêtit d´une candeur volupté
Par de là les cent ans dû à la tombée
Une rose petite fleur a pleuré de joie contrarié
J´ai prié les mots je n´ai pas doucement sussuré ma vie
Mais je l´ai harmonieusement couché
Comme dans ce sourire et cie
Là n´est pas le point la bille je roulerai sur des blancs d´or
Le point est une malicieuse envie et un pieu tamis
Aux gargantuesque et fins rebords
Comme un grand a dit la neige a neige a neigé
En ce lieu ici l´amour a aimé
Malheureusement cette fois tout a renversé
Rude espérance des sens
Le but bruit d´origine est oublié
Une moquette cendre saura se soulever
Pour faire un auparavent
Et tout sous son voile effacer
Demain déjà plus rien ne sera
Et tout sera plutôt
Les sons profanes donc se commémorent
Et une joûte sombre d´argent se jouera bientôt
ce qui va suivre et un peu long, et je tiens à signaler qu´il s´agit d´écriture automatique, j´ai écris sans y penser.
La flamme émanante de ce blue jean
rencontre le tabac d´une cigarette
bientot une délicate fumée bourrée de toxine
galopera dans les confins des mes veines
la cendre tombe sur le sol
et dans un autre univers, une avalanche ensevelit de malheureux skieurs.
hargne et haine, cris et pleurs
Des ondes de la radio
surgissent des algorythmes
agitent mes neuronnes
masturbent avc affection
le système nerveux d´un homme
couché dans un igloo d´amérique centrale
mais en océanie un chant guerrier
reveille les affres d´une guerre de tranchées
la cahute de "n´a qu´une burne"
burn
comme le dise les anglophones
et si le téléphone sonne?
qui répondra et qui prendra conscience
de l´homme, des cafards et de leur science?
certainement personne, puisque les mots
seuls ont le contrôle de cette pensée
écrite fugitivement un soir d´hiver.
Quand reviendront les feux de forêt?
Demain et hier aussi,
puisque tout n´est qu´un cercle vicieux
qui se consume lentement, eu centre
de la conscience d´un être supérieur
que personne ne nommera jamais.
Les étagères croulent de mots et d´images
de princes de gendarmes de mages
et des montagnes
tous vivent sans pour autant exister
manipulés par le désir
d´un sombre dictateur,
lui aussi manipulé par un autre dictateur
qui n´est pas même responsable de ses propres actions.
Vous avez dit liberté? peut être bien
libre de secouer
des chaines invisibles,
libre de renverser
un empereur inexistant
De prague à Christchurch
du mexique à la france
de la dordogne à l´oklahoma,
partout le chant de l´espèce humaine
retentit, disharmonique
tiré par les démons du consumérisme
et des bancs du savoir.
Si savoir il y a .
car rien n´est moins sur
certains croient savoir
d´autres savent qu´ils croient.
MAis personne ne sait qu´il sait
mis à part quelques illuminés
subissant l´oppression
d´une quelconque dépendance
Danse, danse, saute, roule, déboule, tourbillone et papillone
oublie donc tu vis, oublie ce briquet, cette table et tout le reste,
oublie même la tiédeur que te procure un lit ,
lorsque l´aube te murmure que la copie d´hier
s´annonce meilleur que demain.
Deux mains, c´est tout ce que tu possède,
et encore il se peut que la nature te les ai enlevées.
Dans ce cas, tu pourras toujours te consoler
en embrassant tes pieds
en supposant que tu les ai encore.
Au pire, tu es un tronc
sans branches et sans racines:
rien d´autre qu´un cadavre de forêt
abandonné par les écureuils et les faons.
Eléphant! mais qu´est-ce qu´un élephant?
Un énorme mamiphère gris, muni d´une énorme trompe.
Certes mais encore?
Qu´est-ce qu´un éléphant si l´on omet sa masse corporelle?
son enveloppe charnelle?
Rien. N´est-ce pas?
Et c´est un peu la même chose pour un homme,
ou une pomme.
De la chair, strictement de la chair.
Une fois mangée, il ne reste qu´un vulgaire trognon,
qui sera bientôt dévoré par la pourriture.
Et les pépins alors? et la semence?
Les pépins ne sont pas la pomme.
Un pommier en devenir si l´on prend le soin de l´arroser.
Encore faut-il trouver un arrosoir.
Admettons qu´il n´y en ai pas. La pluie?
Oui, la pluie
Maisdans le désert de ta sollitude,
cela parait peu probable que l´on t´arrose.
Sauf si tu es homme de pouvoir,
les pots de vin, risquent de pleuvoir.
Mais ce genre de liquide n´est pas très bon
pour une plante verte.
La boucle se bouclerait-elle d´elle même?
Ou faut-il qu´une âme bien veillante
prenne le temps de le faire?
Pour l´instant cette âme,
s´est absentée,
certainement occupée à autre chose.
il serait amusant de jetter un coup d´oeil à ses activitées.
Pour la seconde fois, une sombre fumée recouvre tout,
et tous
on appele ça la polution,
y a t´il une solution?
une émulsion? une répression? une dépression? une oppression? une répulsion? une révolution?
Une revolte légitimée par un concept de justice,
qui sera révolutionné par une contre-révolte?
005710748, c´est le code que lui attribura,
l´administration pénitenciaire,
si pénitence il y a. Si jamais tu te repends
Pourquoi la rependaison? pourquoi se pendre
une seconde fois?
Et si tu n´étais qu´une simple marionnette,
mue par une seule et unique corde solidement nouée autour de ce coup si frêle: un pantin qui attend que quelqu´un manipule la chaise qui te soutiens.
Enfin un peu d´animation sous tes pieds,
un quidam remu les bases de ta vie.
Tu etouffe,
que l´on repousse la chaise sous tes pieds,
Tu respire.
Seulement, tu n´oubliera, plus jamais,
que la vie te tient à la gorge,
elle seule à le pouvoir de te précipiter dans le gouffre néantique de la mort.
Si seulement tu avais la force de grimper
le long de cette corde,
histoire de jetter un coup d´oeil
au dela de la poutre céleste à laquelle elle est nouée.
Une poutre, une corde, un homme.
Schéma simple, mais néanmoins difficile
à assimiler; si l´on y jette un coup d´oeil attentif.
L´attention voila ce qui manque à l´homme.
Chacun se concentrera sur la chaise,
la poussant et la repoussant au gré de ses envies,
l´idée de dénouer la corde lui viendra-t´il à l´esprit?
Niet!
Rien de plus, rien de plus que le vide.
Et si la corde vennait à de se dénouer, qu´adviendrait-il de l´homme?
Pourrait-il déambuler tel un zombie,
entre les hommes pendant au bout d´autres cordes.
Pourrait-il être le contestataire à l´origine d´un nouvel ordre mondial?
Assurément non, puisque personne ne pourra le délier.
Voila la condition humaine, un troupeau de corps, se balancant au bout de cordes invisibles.
Qui en est le gardien, qui en est le Maitre?
Qui est le marionnettiste?
APORIE.
Qui est le coupable? Qui est à la base de l´apoplexie humaine?
L´anorexie de connaissance dont souffre l´espèce pourrait être mise en cause, mais qui s´aventurerait à crier sur les toits que l´homme aime à être un imbécile? Qui a suffisament d´influence pour convaincre l´espèce humaine qu´elle doit se sortir de sa misérable dépendance, à l´ignorance?
Ignorance de la science, ignorance de l´économie, ignorance de la question politiques, ignorance de l´art poétique, ignorance de la beauté et ignorance des grandes pensées.
Non pas que tous les hommes soient ignorants, mais tous sont au mieux spécialistes dans un domaine précis: Télé Z ou biologie.
quand reverrons nous léonard?
L´homme au 1000 et 1 savoirs?
Pourquoi la connaissance est-elle ainsi limitée?
qui prend donc plaisir à jouer, avec l´homme est ses pensées?
Qui aurait interêt à limiter les connaissances de l´hommes?
Pourquoi l´homme se force-t´il à ingurgiter les bétises du tube cathodique, quand il pourrait dévorer les savoirs accumulés de 3000 ans de civilisation?
Pourquoi l´homme est-il aussi réticent vis-à-vis de la culture?
Pourquoi le surhomme est-il aussi élitiste, lorsque l´homme du peuple, s´approche de cette culture?
Pourquoi ce même homme du peuple, préfere-t´il regarder deux lutteurs se comporter comme des animaux, au lieu de s´adonner à la musculation cérébrale?
Pourquoi s´émerveiller du progrès scientifique, quand on peut contempler les merveilles de nôtre mère la Terre?
Pourquoi la Terre, alors que l´Eau est le centre de tout?
Pourquoi un corps constitué à 75% d´eau, reste aussi sec et rigide?
Pourquoi certains s´évertuent à briser ce corps?
Pourquoi ce corps ne serait qu´une envellope vide?
Pourquoi la substance de ce corps ne pourrait-elle pas s´en échapper une bonne fois pour toute?
Pourquoi l´homme ne pourrait-il pas échapper aux douleurs que ce corps lui fait endurer?
Pourquoi ne sommes nous pas de simples brises?
Pourquoi ne pouvons-nous pas virevolter , tout en soufflant la connaissance et la justice?
Pourquoi la justice ne s´applique qu´à ceux qui ont la connaissance?
Pourquoi ceux qui possèdent la connaissance sont également possesseurs de tant de pouvoir?
Pourquoi le pouvoir n´est qu´en possession des plus grands faiseurs d´injustice?
Pourquoi l´homme se complait-il dans l´esclavage?
Pourquoi l´homme ne peut-il se passer d´un maître?
Pourquoi l´homme ne fait-il pas preuve plus de discernement quand il s´agit de choisir son Maitre?
Pourquoi ces Maitres ne s´appliquent-ils pas à faire preuve de plus de reconnaissanceà leurs esclaves?
Pourquoi ces esclaves ne se résoudent-ils point à enfin percer les bulles dans lesquels ils sont enfermés?
Pourquoi se laissent-ils sucer la moelle?
Pourquoi préfèrent-ils se laisser mourrir, plutot que de se révolter?
Pourquoi ce nihilisme?
Pourquoi l´homme ne savoure-t´il pas enfin sa vie à juste titre?
Pourquoi se laisse-t´il séduire par les chimères de la croix et du croissant?
Pourquoi espérer une vie meilleure, ailleur?
Pourquoi attendre et ne pas agir?
Qu´attendons-nous pour être heureux?
un petit pour que le topic ne tombe pas dans l´oubli
C´est pas difficile
De devenir un assassin
De devenir cruel et vil
D´assouvir ses noirs besoins
L´homme a pour nature
De faire souffrir son frère
Et celui qui dans ce boulot assure
N´a pas de quoi être vraiment fier
Un tueur se croyant original
Se révèlera minable au final
Vous aurez beau essayer
Tenter de vous surpasser
Votre expérience sera ratée
Dés que vous aurez commencé
Car il n´y a rien de glorieux
A jouer au tueur
C´est ce qu´on essayé d´abord les vieux
Puis leurs Fils, leurs Frères, leurs Soeurs
Et qu´est ce que ça a donné?
Aucune gloire
Dans le monde nous sommes montrés
Comme des types illusoires
Réveillez-vous un peu
Assassins de tous les pays
Prenez conscience, bande de morveux
Que cette voie ne menne à rien içi
Les meurtres dans les parcs
C´est bien sympa
Puis quand les médias matraquent
Vous explosez de joie
Mais cela ne sert rien
A part votre désir personnel
Au diable les assassins
Qui n´ont rien eu de tel...
Qui n´ont rien eu de tel qu´une révélation
Qui suivent une logique avec raison
Assassinez vos ennemis
Ceux qui vous empêchent de bosser
Traquez-les jusque dans leur lit
Et mettez fin à leur vie
Là, vous serez dignes de vous dire assassins. Et je vous respecterais. Suivez mes consignes, assassins, et vous verrez.
(Ouais je sais c´est pas génial, mais c´est un vieux texte de moi-même qui m´éclate bien, je l´ai écrit y´a deux ans environ).
Je n´aime pas les flingues
Ces objets débiles
Avec ça, adieu aux dingues
Et v´là les abrutis fragiles
Aucun honneur
Facile labeur
Maintenant notre métier est confié
A des débutants lourdements armés
N´importe qui peut prendre une arme et tirer
Le meurtre ne demande plus de difficultés
Le mérite du travail n´existe plus
Les lâches s´éclatent sallissant tout
Et nous on l´a dans le cul
Dieu maudisse les armes à feu...
(Je viens de l´inventer lol)
Tu te fais Roi
On te massacre
Compte pas sur moi
Pour aller à ton sacre
J´aime pas ta mentalité
Tu vas te faire assassiner
Les dictateurs ont cette destinée
Mourir par les armes des combattants de la vérité