bon bah je comprends rien à rien alors je me casse pour quelque temps...
petite correction : cloisonnait---> cloisonnaient
Voici mon poème "La Salle de Classe" fini :
L’élève rie, pleure, pense et vit
Sans se soucier que sévit
Un bourreau guettant toute fuite
D’idée, de mots et de conduite
Le moindre écart est susceptible
De voir sa liberté la cible
Du tyran masqué en tuteur
Qui pour punir devient menteur
Ici on s’en méfie, s’en cache
On se tait pour que ne se sache
En rien l’ennui dont sont en proie,
Les enfants, du maître la proie !
Quand l’enseignant tourne le dos
Tombe soudain le lourd fardeau
Porté par l’élève muet
Et revient le rire désuet
Soudain la panique survient
Quand reviennent les vas et viens
Annonçant la sombre couleur
D’un poigné usé de douleur
Vite, à nouveau, il faut reprendre
Sa plume, son papier, et se rendre
Au service du chef des lettres
Qui consume nos pauvres êtres
Sans cesse défilent les lignes
Déçu, l’élève se résigne
A abandonner les hirondelles
Elles, iront loin dans le ciel
Lui, ligoté à son pupitre
Se meurt de ne point faire le pitre
Cloisonné entre quatre murs
Ainsi, il ne peut être mûre !
Dîtes moi ce que vous en pensez s´il vous plaît.
pour Tos:
rie--->rit
pour ton poème j´apprécie surtout les 2 dernières strophes.J´aime bien l´allusion a l´hirondelle.
voici un début de poème;2 petites strophes.La suite...j´y réfléchis toujours.
Dans tes bras
Dans tes bras je suis si bien, ta chaleur m´envahit,
J´aime y rester des heures et y passer les nuits
Longues et froides de l´hiver qui blanchit
La nature affaiblie et mon coeur endurci.
Dans tes bras je suis si bien, ton sein est mon nid,
Je m´y sens fort comme Hercule et vaillant comme Ulysse,
Rêvant patiemment avant que je ne puisse
Ouvrir enfin mes ailes et découvrir la vie.
Dans la paleur d´une matinée nuageuse
Oscillante entre les froides brumes hivernales
Une jeune fille à l´atttitude réveuse
Cueuillait sans frissoner la rosée matinale
Electrisé par ce spectacle je tombais
Chute qui m´entraina parmis les damnés d´antan
Eux qui aimèrent sans répis leur dulciné
Chantaient la complainte sincopé de tout temps
Inspirée par les jeunes filles de l´aurore
La douceur de leur regard leur iris chantant
Eveillerent en moi l´ardent désir de son corps
Accablé de cet amour jamais avoué
Comme la nymphe Echo le fit bien avant moi
Changé en pierre et sourd à tous mes autres -----------------souhaits
Oubliant tout jusqu´au son de ma propre voix
Ravalant soudain mes pleurs je noirci des pages
Des mots s´étalent me délivrent de l´angoisse
Eludent mes malheurs et chassent les outrages
Maudit l´homme qui pose sa prose et la froisse
Oeuvrer pour ton coeur et écrire pour ton être
Ignorant les beautés en bas sous mes fenêtres
Telle fut ma vie dédiée toute entière à la ------------tienne
Océan de peine ou jamais tu ne nagea
Nulle autre que toi ne saurais être la mienne
Car c´est en toi que reposent à jamais mes joies
Obsédante sirène du petit matin
Ensoleillante danseuse à qui je rend grâce
Unique foyer des mes désirs les plus saints
Réalise que c´est ton bonheur que j´embrasse
Elle me regarde de ses grands yeux
En mon estomac je sens ce creux
Une larme coule sur sa joue
Les gouttes perlent ce cœur fou
Un autre moyen doit exister
Ensemble nous pouvons persister
Elle secoue lentement la tête
A quoi bon devenir ascète
Cette cause n’en vaut pas la peine
Toute cette lutte est vaine
En nos âmes nous sommes liés
Cruel de vouloir le changer
Je crois mes entrailles mourir
Et ma propre chair pourrir
Si je dois continuer sans elle
Comment faire pour voler sans ailes ?
Mes mains sont nouées d’amour aux siennes
De vouloir partir qu’elle est vilaine
Brandissant vers le ciel ce pieu
Vil objet bras vengeur de Dieu
Tu veux m’enlever ma belle
L’emmener avec toi au ciel
Au grand jamais, pure folie
Laisser s’abattre la sombre nuit
Celle qui à jamais me voilera
D’une inaltérable paroi
Paroi d’éternel désespoir
Sur moi s’abat cet assommoir
Au nom de ta survie je ferai
Ce qu’autrefois tu m’interdisais
Je vais m’élever à ta place
Sur Terre de moi aucune trace
Juste en mon nom rappelle-toi
Un jeune homme fou d’amour et roi
Par dévotion pour une belle
Donna sa va vie pour qu’elle l’aime
Bourreau, c´est toi qui a fait un poème aussi long ?
Faut croire que oui. ^^´
Tos > le poème est bien mais le dernier vers me semble bizarre. je critique mais je n´ai pas d´autre proposition ^^ c´est sympa comme idée de sujet
Raging > ça mérite d´être exploité
Death > cueillait* frissonner* parmi*
ah l´amour, quel merveilleux thème qui engendre de si beaux poèmes
Bourreau > et ben voilà, quand tu veux non seulement tu fais du long mais aussi du bon
Je suis fière de vous ^^
Du très long là hein, j´ai tellement trimé pour en pondre un d´une telle longueur. J´ai pensé à toi et je me suis dit "tiens si j´allongais un peu pour une fois"
Merci d´avoir lu sinon
merci pour ta lecture
et si je puis me permettre je voudrais ajoutter que toutes les solutions ne sont pas dans l´horizontalité...
suivez mon regard
Exact, très jolie accrostiche. Ca n´a pas du etre simple Death
merci
ca fait quand même trois accrotisches de suites, et personne n´avait encore remarqué...
le plus emmerdant c´est les E faut éviter de mettre des ET partout
"Douce cecile offre moi ton coeur" sympa !
Le topic des poèmes ou la déliquescence de celui-ci
2400 !
qui s´en soucie
Ben moi patate
Cyrano_de_B Posté le 13 février 2006 à 16:24:07 Avertir un administrateur à propos de ce message !
Le topic des poèmes ou la déliquescence de celui-ci
-> En quoi vois-tu une quelconque régression ? Si tu te réfères à la qualité des poèmes, c´est purement subjectif comme avis ; certains aiment, d´autres pas.