Les femmes, une déception
Nephthali, ma nation
Confiance des hommes
Qui fonde comme un magnum
Le monde, une histoire sans fin
Toujours aimé son prochain
Trahison des amis
Aussi laid qu'un vomi

I-Ierzhul

Perso, je ne suis pas vraiment fan du thème alors c'est difficile d'accrocher. Mais chapeau pour la longueur du texte, ça témoigne d'un certain talent quoi qu'on en dise

Le 05 août 2016 à 14:32:23 Knor_knor_knor a écrit :
Shanks> Et les tromperies s’entêtent ;
Même quand la vérité surgit
Quand l’masochiste ouvre son placard secret qui cachait des peluches

Je trouve que ces trois phrases, quand bien même peuvent-elles avoir un sens intéressant à étudier, ne sonnent pas très bien entre elles. Tu aurais pu y insérer une petite rime afin d'y mettre un certain tempo.
Quant au Loup Solitaire, on ne doit évidemment pas penser à la même chose mais cela me disait vaguement quelque chose. Tu as un style atypique, c'est bien. Mais de mon point de vue, si tu comptais un peu plus sur les rimes que sur les multiples références (pouvant donner une dimension historique parfois ce qui est tout à fait intéressant je ne le nie pas) ce serait pas mal !

Sans être forcément d'accord avec l'exemple que tu as choisi dans mon texte - puisque c'est fait exprès car chaque "et les tromperies", "mais les tromperies" servent de transition je me suis permis une ou deux déconstructions de rimes - je vois et comprends ce que tu veux dire, et te le concède pour d'autres cas dans mes textes et même celui-ci

Le 05 août 2016 à 19:47:36 3714 a écrit :
Les femmes, une déception
Nephthali, ma nation
Confiance des hommes
Qui fonde comme un magnum
Le monde, une histoire sans fin
Toujours aimé son prochain
Trahison des amis
Aussi laid qu'un vomi

Ça m'a fait penser au faux Yoda dans les Simpson

merci pour cette critique fort constructive. il est vrai que dans les propos cela rapelle un peut IAM, qui sont a mon avis bien au dessus que ce qui se fait actuellement lyricalement parlant.

Voici un texte un peu plus long que les précédents que j'ai postés

Je dévoue ma foi à tes yeux
Le premier rendez-vous on s’en rappelle en étant vieux
Je décide que la loi de l’amour est plus forte que celle de la gravité
La rareté de ton cœur dont j’ai hérité ne comporte pas d’erreur voilà une belle vérité
On aurait dit une série télé l’aspect dramatique est intacte parce que la mort est un pacte
Nous avons signé l’entracte sous la lune
Rédigé des mélodies pour en faire notre prélude
Tes cheveux s’allument quand nos lèvres se consument
Quand le soleil se lève et que de tout ton souffle tu le fumes
Les souvenirs font de nous des sous fifres
On obéit à des sentiments de culpabilité
Etablissons des tirades pour nous écarter toute incivilité
Le psychologue est évasif
Je me dis que je suis fou à t’écrire ce livre
Mes textes proviennent du cortex que t’as abîmé et dans ce cortège je recherche ta silhouette animée
Les couleurs sont vives je me sens partir à la dérive il faut que je réecrive sur le bord de la rivière les prières rendant mon attente dépressive
Parfois ma vision est immersive j’imagine notre fusion dans tes bras à ce moment là je me ressens revivre
Quand je redeviens lucide ma vie est vide je cours vite pour récupérer l’espoir d’un homme ivre

Je dévoue ma flamme à tes yeux
Depuis que t’es partis je suis révérencieux
Je crie et j’écris des paragraphes en guise de tragédie
Et puis le lendemain silencieux j’érige la préface de nos péripéties
L’alcool est colérique à l’intérieur de ces briques je fais mine de rien quand les potes viennent sonner je leur dis que je vais bien l’horloge tourne la mort loge les souvenirs c’est l’énième round et dans celui-ci j’espérai avoir le sourire
Aujourd’hui ma littérature livre mes ratures à autrui je tente d’être avenant malgré les pentes dont les virages sont permanents
Je suis partant pour voyager observer les paysages avoir pour idée de supprimer les clivages repartager un corps afin d’en faire des ravages
Mes pensées sont faibles et sur ce papier pas fiable je liste le bonheur sachant qu’il se constitue d’un je t’aime
Les rues sont étroites sans toi ton rire lézardait les murs j’avais l’impression d’être ton roi la vie est dure depuis que t’as quitté le toit je sais plus ce signifie confiance en soi
Les soirées en ton absence sont monotones toujours des jours ressemblant à ceux d’autonome l’ambiance est morne mon cœur est mort quoique je fasse je repense sans cesse à tes grimaces à ton visage ta façon de marcher je me remémore encore celle que t’as avais au moment de me lâcher comme un lynchage dont on ne se remet jamais
Effacé de le surface de la planète Terre j’en ai plus rien à faire l’amour était mon seul filtre à la vie tu incarnais la figure de la sagesse pour moi mes larmes te confesse ô combien je suis triste sans toi

c'est rare de voir des textes de rap qui sortent des clichés et tu le réussis très bien knor knor knor
sinon tu poses un peu ou tu fais que écrire ?
j'ai vu que tu es passé sur le café, c'est sympa

Merci bien, ça me fait plaisir ! J'écris depuis environ 4 ans. Mais j'ai commencé à écrire des textes de rap en début d'année. Ce que tu dis par rapport au tant redouté "cliché du rap" ça me fait encore plus plaisir car c'est ce que j'essaie justement de faire.
Pour répondre à ta question, oui il m'arrive de poser. En soirées, surtout ! Puis j'ai la chance d'avoir accès à un studio d'enregistrement, donc je me fais très plaisir avec des potes.

Merci pour ta lecture

j'enregistre aussi quelques trucs en studio.
T'es de quel coin mec ?

Lille !

ça sent le featuring

pour une fois que j'aime bien ce que fais un mec, il est de lille

les lillois ont vraiment du talent

Balance ce que tu as, ça me ferait plaisir de te lire

Pour le feat, y a pas de soucis, je suis parfaitement ouvert. C'est d'ailleurs ce que je recherche depuis un moment

Allez, un truc qui date de l'été passé ! ( Ah et Knor j'aime bien oui )

"Encore un peu et je m'alarme au rose, ma larme, ma rose
Mes larmes m'arrosent, le fourreau triste et lame morose,
Helas je n'ose, faire le show de Mersault
Etranger à moi même et même mes sautes d'humeur saute

Je t'avoue, parfois ne plus avoir d'inspi, soupir, j'expire
M'exprime, m'inspire de ma personne, au pire Shakespear
Au pire, j'expire
Consomme-moi avant que je perime
Au prix que je m'estime
Console-moi avant que je périsse

Console-moi avant que je ne le fasse dans des consoles..retro
Envole-moi tu sais je n'attends qu'on me sorte...métro
Je vois la vie à l'envers j'étais O.K... K.O
Esteban à Zia qu'est-ce qu'il me reste, Tao ?"

Shanks> Tout d'abord, je suis content que mon texte t'ait plu ! Pour ce qui est du tien, tu vas me trouver probablement grognon mais cette fois-ci, je trouve qu'il y a trop de rimes. C'est bien d'avoir un rythme mais il faut parfois savoir le ralentir. Puis, je n'ai pas compris cette phrase, je dois être un peu bête mais j'aimerai que tu m'expliques : "Encore un peu et je m'alarme au rose" tu sous entends quoi par là ?
Néanmoins, dans le lot, il y a de bonnes trouvailles. Je retrouve bien à travers ce texte cet aspect atypique, ça me plaît. A l'occasion, ce serait cool de t'entendre rapper sur ce genre de texte car je dois t'avouer que j'ai un peu de mal à visualiser ce que ça donnerait.
Continue !

Je veux faire du rap mais j'arrive pas à manipuler les rimes, aidez-moi

Faites pas attention aux probables fautes

On représente le crew
L’apaisante fée me souffle dans le cou
Je fais un vœu je rêve un peu comme un lépreux rêve d’une guérison
La guerre est longue la marche est ronde je sonde mes souvenirs j’esquisse un sourire en guise de soupire
Je souffle les poussières en étant gamin c’était les bougies je balaye les soucis en étant gamin c’était les ennuis
Je m’enfuis avec le groupe la vie est sans suite s’en suit un geste debout signifiant l’emblème du crew
On espère viser la lune l’atmosphère est pas sûre on respire en patience sauver l’apparence dans les succès comme dans les échecs ET MATHS
On attrape l’hameçon tire dessus avec passion puis avec un peu d’alcool dans le sang demandons la rançon

Grosse frappe dans les féministes,
Coup d'éclat, gros dégâts j'les minimise.

Après j'ai plus rien a dire

J'écris et j'écris,
Jusqu'à devenir aigri,
Pendant ce temps gris,
Tout est en crise,
Médicaments en guise de calmants,
Ma vie n'est point facile,
Emprisonner dans moi même comme dans un asile.

C'est pas trop mal Je trouvais le début un peu trop... répétitif mais finalement ça donne un certain style, du moins lorsqu'on pose ça tranquillement. Les rimes sont plus ou moins sympa même si parfois un peu faciles comme "devenir aigri-temps gris".
Néanmoins la suite est intéressante, je pense que tu peux faire quelque chose de cool !

J'me sens étroitement mal à l'aise dans ces endroits,
Depuis l'temps, j'suis passais en fac de droit
Vu qu'ici, tout se consume comme de l'encens
En espérant, qu'tout redevienne comme à l'époque de notre enfance
Avant, que tu n'sois abattu sans fois ni loi
De ce maudit cancer qui t'rattrapa
On avait nos propres loisirs,
On se prenait pas la tête,
toujours sur la même longueur d'onde
Toujours ensemble jusqu'à ce que tu ne quittes ce monde
Mais si tu savais
J'le prend comme une trahison,
Même si je sais, que cn'est pas l'cas,
Maintenant j'my suis fait une raison
Tu répétais sans cesse, que la vie coûte cher,
Maintenant, j'peux t'répondre quel n'a pas d'prix.

J'l'ai posé et j'ai trouvé ça pas mal.
Une ébauche l'idée est bonne mais pas assez développé je peine vraiment à transcrire ce que je veux réellement retranscrire

J'poste juste ça ici pour voir mes futurs progrès vue que j'ai commencé à écrire sérieusement qu'il y a deux semaines.

Yo ! Merci pour les avis, j'en prends définitivment bonne note. Pour répondre à knor knor knor (:hap:), effecttiement certains passages ne sont pas très acessibles puisque référentiels ou raccourcis (le "rose" voulait dire "rosé"/le vin...)
Un petit texte écrit y'a un mois et demi :oui;

Titre : Hable con ella

Alors on s'empoisonne, on s'en toise, on s'épouse on s'époumone c'est fou
C'est tous ce qu'on a trouvé, la faute à eux, à vous, et "nous" c'est "tous"
Tousse et pousse, époussette tous ces poussés tournés si poussiéreux
Si tout est possible, enlève et bouge cette poutre dans l'œil et vois-la.
On s'empoisonne, s'emprisonne, se sent prisonnier d'une vision
Sept milliards de solitude, paratonnerre sous pluie de fiction
Puis, prothèse en place, la chaire à la poubelle partir au front
la main au front, revenir grand sans fièvre ? Et repartir au front ???
Protège ma place ! Le feu est froid ce soir, profane ma glace.
Au camarade ! Affranchis-moi de ce quota d'malade !
Est-ce, que t'as de la "Marge" -pour moi- j'en deviens Simpson ! Si seul !
Passer de Mario et sa princesse aux "Sims Seum" !
L'asile m'attend que si Arkham est vraie, Gotham m'arrache.
Scooter en poche et toi tu squattes ce côté d'ma lame...
Et je fais blasphème d'oser penser qu'elle te ressemble à toi
Ses, lèvres en plasma sont pathétiques et ne te remplace pas, No !
Do-Ré-Mi-Fa, Fallait que ça parte en drama. Lost et projet DHARMA
Zarma. Rêve d'amour sans dollars désormais.
Désarmé sans le savoir car le savoir était une arme.
La feuille mouillée sans encre noir...était-ce une larme ?
Tu m'es prodige et, je le vois pendant qu'on est là
Projection d'un égotrip, deux Enfants-Roi : Hable con ella !