Essayez un peu, et vous êtes tous !
je suis champion du monde du click qui tue..
alors fais gaffe.
( c´est pas le moment d´aller au petit coin)
Ta phrase ne serait-elle pas sujette à une contrepétrie cake?
( je parle du " click qui tue"...)^^
978 . .. ca arrive
vieuchnok: par exemple?
Pas de ça sur MON topic cake...
Déjà, je vous ai foutu le 980 dans la tronche!
un poeme avant l´heure . .... sur . ..
La beauté - ( Charles Baudelaire)
Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre,
Et mon sein, où chacun s´est meurtri tour à tour,
Est fait pour inspirer au poète un amour
Eternel et muet ainsi que la matière.
Je trône dans l´azur comme un sphinx incompris ;
J´unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes ;
Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.
Les poètes, devant mes grandes attitudes,
Que j´ai l´air d´emprunter aux plus fiers monuments,
Consumeront leurs jours en d´austères études ;
Car j´ai pour fasciner ces dociles amants,
De purs miroirs qui font toutes choses plus belles :
Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles
" clit qui pue" ? ?
C´est du propre!
bon. revenons au sujet du 1000e post. je savoure deja TA defaite...
la suite . ...
Étienne Pasquier
Né à Paris en 1529 mort à Paris le 31 août 1615
Le monde me déplaist, je vis de cette sorte,
Que je ne fais meshui que tousser et cracher,
Que de fascher autrui, et d´autrui me fascher
Je ne supporte nul et nul ne me supporte.
Un mal de corps je sens, un mal d´esprit je porte;
Foible de corps, je veux, mais je ne puis marcher;
Foible d´esprit, je n´ose à mon argent toucher :
Voilà les beaux effets que la vieillesse apporte.
Oh! combien est heureux celui qui, de ses ans,
Jeune, ne passe point la fleur de son printemps.
Ou celui qui venu s´en retourne aussi vite!
Non, je m´abuse : ainçois ces maux ce sont appas,
Qui me feront un jour trouver doux mon trépas
Quand au ciel il plait, que ce monde je quitte.
Cpt,
Tu comptes nous saouler encore longtemps avec tes copier/coller?
Le Ravissement d´Europe,
Europe, s´appuyant d´une main sur la croupe,
Et se tenant de l´autre aux cornes du taureau,
Regardait le rivage et réclamoit sa troupe,
Qui s´affligeoit de voir cet accident nouveau.
Tandis, l´amoureux dieu qui brusloit dedans l´eau
Fend son jaspe liquide et de ses pieds le coupe
Aussi légèrement que peut faire un vaisseau
Qui le vent favorable a droitement en poupe.
Mais Neptune, envieux de ce ravissement,
Disoit par moquerie à ce lascif amant
Dont l´impudique ardeur n´ a jamais eu de bornes:
" Inconstant, qu´un sujet ne sçauroit arrester,
Puisque malgré Junon tu veux avoir des cornes,
Que lie se résout-elle à t´en faire porter? "
Tristan L´Hermite
je pense qu´il essaie fort adroitement de detourner ton attention
. ..et après, on vient me reprocher d´être " grognon"...Pfffff!!!
celle là est pour vieuchnok . .....
Superbes monuments de I´orgueil des humains,
Pyramides, tombeaux, dont la vaine structure
A témoigné que l´art, que l´adresse des mains
Et l´assidu travail peut vaincre la nature;
Vieux palais ruinés, chefs-d´oeuvre des Romains,
Et les derniers efforts de leur architecture,
Colysée, où souvent ces peuples inhumains
De s´entr´assassiner se donnaient tablature
Par l´injure des ans vous êtes abolis,
Ou du moins la plupart vous êtes démolis.
Il n´est point de ciment que le temps ne dissoude ;
Si vos marbres Si durs ont senti son pouvoir,
Dois-je trouver mauvais qu´un méchant pourpoint noir
Qui m´a duré deux ans soit percé par le coude ?
Scarron