Douminou, t´as d´la chance que je repasse dans le coin. ´Vais m´faire choper ( mmmhhhhh... quel bonheur!) par Madame Freddy!
tlm = tout le monde. ( tout bêtement).
Enfin, y´a aussi Tlm, qu´est mon vieux pote... Nan!, J´déconne!
Mais, Doowmee, tu devrais peut-être lire la charte... il y a qq uns ( tu vois, j´recommence!) de ces trucs, dedans.
C´est quoi qui se passe ? hein ? plus de poême
de vieuchnock ! !!!!
Quelqu´un a oublié de remettre un jeton ou quoi?
Moi, chuis quasi nouveau
Puisque notre bon Vieuchnock ne donne pas de poeme
voila de la part du patriarche
Une chantefable du XII siecle
Aucassin et Nicolette
La gaite fu mout vaillanz,
Proz et cortois et sachanz,
Si a comencié un chant
Qui beausfu et avenanz:
" Meschinete o le cuer franc,
Cors as gent et avenant,
Le poil blont et les denz blans,
Vairs les ieuz, chiere riant.
Bien le voi a ton semblant:
Parlé as a ton amant,
Qui por toi se va morant.
Jel te di, et tu lentent:
Garde toi de souduianz
Qui par ci te vont querant,
soz les chapes les nuz branz
Forment te vont menaçant,
Tost te ferant messeant,
S´or ne t´i gardes."
Pour info
gaite = veilleur de nuit
vairs = mobile, changeant
chape=manteau
orthographe respectée
et l´on continue dans ce moyen age de l´amour courtois
A vos Amors, plus qu’ nule autre gent,
Est bien raison que ma dolor complaigne,
Car il m’estuet partir outreement
Et dessevrer de ma loial compaigne
Et quant la pert, n’est riens qui me remaigne,
Et sachiez bien, Amors, seürement,
S’onc nus moru por avoir cuer dolent,
Ja mais par moi n’iert meüz vers ne lais.
Chanson du Chatelain de Coucy ( 1150-1203)
Premier couplet
suite au prochain post et traduction si demandé
Ze veus la musique aussi
un concert Vitalis ! !!
Je veux ! !!ce clavier fait ce qu´il veut au clavier !
la musique risque un peu d´etre lenifiante. y avait pas la techno a l´epoque
Oh non, moi j´aime le temps des trouvères et des troubadours.
Dieu fait les questions pour que l´enfant réponde - Victor Hugo
" Les deux bêtes les plus gracieuses du monde,
Le chat et la souris, se haïssent. Pourquoi ?
Explique-moi cela, Jeanne. " Non sans effroi
Devant l´énormité de l´ombre et du mystère,
Jeanne se mit à rire. " Eh bien ? - Petit grand-père,
je ne sais pas. jouons. " Et Jeanne repartit :
" Vois-tu, le chat c´est gros, la souris c´est petit.
- Eh bien ? " Et Jeanne alors, en se grattant la tête,
Reprit : " Si la souris était la grosse bête,
À moins que le bon Dieu là-haut ne se fâchât,
Ce serait la souris qui mangerait le chat.
Y a bien longtemps que je n´suis venu le soir...
et la j´suis surpris de ton apparition Vieuchnock!?
alors..en passant dans l´coin..
j´te salut..!..
vieuchnock et les autre
Traduction du premier couplet.
A vous, Amour, plus qu’à personne d’autre, il est bien juste que je me plaigne de ma douleur, car il me faut absolument partir et me séparer de ma loyale compagne, et quand je la perds, il ne me reste plus rien. Sachez bien, Amour, que si jamais quelqu’un mourut pour avoir le cœur triste, il ne partira plus de moi ni couplet ni lai.
Deuxième couplet.
Beaus sire Dieus, qu’iert il donc, et coment ?
Convenra il qu’en la fin congié preigne ?
Oïl, par Dieu, ne puet estre autrement.
Senz li m’estuet aller en terre estraigne.
Or ne cuit mais que granz maus me sofraigne,
Quant de li n’ai confort n’alegement,
Ne de nule autre amor joie n’atent,
Fors que de li ; ne sai se c’iert ja mais.
A la prochaine et bonne journée
La traduction du premier couplet,
ras, mais le deuxième, y´a un blème
J´ai a peu près tout compris, sauf pourquoi il doit cuire
cuit croire
mais la traduc sera donné avec le troisieme couplet
Dommage, j´aime bien les grillades, je cuis
traduit et envoie moi la traduc pour voir
je te retrouve sur le pic de puce
LA CIGALE - Marcel Pagnol
Le soleil fendille la terre,
Aucun bruit ne trouble les champs ;
On n´entend plus les joyeux chants
Des oiseaux qui chantaient naguère.
Tous par la chaleur assoupis
Sous les buissons se sont tapis.
Seule une cigale est sur l´aire.
Son ventre sonore se meut ;
Sur une gerbe elle est posée ;
Seule elle n´est point épuisée
Par l´astre à l´haleine de feu.
Et la chanteuse infatigable
Jette dans l´air brûlant et bleu
Sa ritournelle interminable.
@ +
930!
hé, chnocky, c´est tout les 100, non
je suis plus moi
Vitalis, voilà la traduction
je sais je me vautre
mais interdit de rire
je me suis prie une grue sur le crâne tout de même hein ! !
Beau sire Dieu qui erre donc et comment
Qu´on verra a la fin prendre congé
Entend, par Dieu, il ne peut en être autrement
Sans Lui il m´est astreigant d´aller en terre
or ne crois que grand maux ne me souffrent
Quand je n´ai pas le réconfort d´allègement
d´aucun autre amour joie m´attend
que de lie ( fumier, douleur)
savoir ne sert jamais
traduction et tu compares. je ne ris pas car meme moi j´ai des probleme pour tout traduire. heuresement que j´ai le livre d´ecole
Beau sire Dieu, qu’en sera-t-il donc ? Comment ferais-je ? Faudra-t-il que je prenne enfin congé d’elle ? Oui, hélas ! Il n’en peut être autrement. Il me faut aller sans elle en terre étrangère. Je ne crois pas qu’à l’avenir de grandes douleurs me manquent, puisque je n’aurais d’elle ni consolation ni soulagement, et que je n’attends de joie d’aucun autre amour que du sien ; j’ignore si je ne l’aurai jamais.