salus je voudrais parler a quelqu un posible
Vitalis, hé bien, si t´as pas ri, c´est que t´as vraiment bon fond
Coucou, quand tu cherches quelqu´un, plutôt que de poster toujours sur le même topic, ce que la Mère et les autres d´ailleurs appelle du flood : plusieurs posts courts et qui se suivent ( faut pas, mais c´est pô grave, j´ai fait la même erreur à mes débuts, comprenais rien au vocabulaire) surf et laisse un message à plusieurs endroits cela augmente tes chances de rencontrer un insomniaque ou un canadien et tu ne te feras pas traiter de floodeur ! !
au fait, je t´ai répondu sur le topic de Vieuxchnock, le trucs des mmalveillants
A + ma Grande
Salut je viens d´arriver.
C´est chouette tous les forumeurs ont l´air géniaux ici
Voilà
a tous
Pareil que Cake!
Pareil que cake et freddy!
Bon, ben, peut être un jour récupérerais-je mon pseudo " Vieuchnok" injustement banni aujourd´hui...
En attendant...
Le Cid - Pierre Corneille
Acte I scène IV
Don Diègue
Ô rage! ô Désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N´ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir an un jour flétrir tant de lauriers ?
Mon bras, qu´avec respect toute l´Espagne admire,
Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire,
Tant de fois affermis le trône de son roi
Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?
Ô cruel souvenir de ma gloire passée!
Oeuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle dignité, fatale à mon bonheur !
Précipice élevé d´où tombe mon honneur !
Faut-il de votre éclat voir triompher le Comte,
Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?
Comte, sois de mon prince à présent gouverneur;
Ce haut rang n´admet point un homme sans honneur;
Et ton jaloux orgueil, par cet affront insigne,
Malgré le choix du roi, m´en a su rendre indigne.
Et toi, de mes exploits glorieux instrument,
Mais d´un corps tout de glace inutile ornement,
Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense
M´as servi de parade, et non pas de défense,
Va, quitte désormais le dernier des humains,
Passe, pour me venger, en de meilleures mains.
@ +
vieuspok> en lisant ton poeme je me dis que finalement ceux de vieuchnock etaient pas si mal apres tout
t´inquiete pas vieuchnock n´est pas encore mort.
Ô rage! ô Désespoir ! ô topic ennemie!
N´ai-je donc tant pleuré que pour être banni ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux utiles
Que pour voir d´ un triangle pourrir tant de bons mots ?
Mon doigt, qu´avec respect toute la France admire,
Mon doigt, qui tant de fois a sauvé ces topics,
Tant de fois affermis le trône de mère-Denis
Trahit donc ma douleur, et ne fait rien pour moi ?
Ô cruel injustice à ma gloire passée!
Oeuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle indignité, fatale à mon image !
Précipice élevé d´où tombe mon plumage!
Délateur de ton jaloux orgueil, par cet affront insigne,
Malgré le choix de la mère, m´en a su rendre indigne.
Clavier, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense
M´as servi de parade, et non pas de défense,
Va, quitte désormais le dernier des ordis,
Reste pour ma vengeance, dans les mains de SpockY.
Allez, bonne nuit quand même!
Pas de problême mon freddy, on va tous dormir comme des huitres...
Bon bin c´est l´heure ! ! j´attends . ..
Tu veux que je t´appelle un taxi levetot?
bah ! un poême fera l´affaire
Beauté, mon beau souci, de qui l´âme incertaine
A, comme l´Océan, son flux et son reflux,
Pensez de vous résoudre à soulager ma peine,
Ou je me vais résoudre à ne le souffrir plus.
Vos yeux ont des appas que j´aime et que je prise,
Et qui peuvent beaucoup dessus ma liberté;
Mais pour me retenir, s´ils font cas de ma prise,
Il leur faut de l´amour autant que de beauté.
Quand je pense être au point que cela s´accomplisse
Quelque excuse toujours en empêche l´effet;
C´est la toile sans fin de la femme d´Ulysse,
Dont l´ouvrage du soir au matin se défait.
Madame, avisez-y, vous perdez votre gloire
De me l´avoir promis, et vous rire de moi;
S´il ne vous en souvient, vous manquez de mémoire,
Et s´il vous en souvient, vous n´avez point de foi.
J´avais toujours fait compte, aimant chose si haute,
De ne m´en séparer qu´avecque le trépas;
S´il arrive autrement, ce sera votre faute
De faire des serments et ne les tenir pas.
François De Malherbe
@ +
réflexion faite , j´aurai du prendre le taxi que tu me proposais...
. ..
. ..chui un mec ...
Vous parlez en quelle langue là, je suis perdue ?
En voilà un que levetot va comprendre...
Premier amour - Boris Vian
Quand un homme aime une femme
D´abord, il la prend sur ses genoux
Il a soin de relever la robe
Pour ne pas abîmer son pantalon
Car une étoffe sur une étoffe,
Ça use l´étoffe.
Ensuite, il vérifie avec sa langue
Si on lui a bien enlevé les amygdales
Sinon, en effet ce serait contagieux.
Et puis, comme il faut occuper ses mains,
Il cherche, aussi loin qu´il peut chercher
Il a vite fait de constater
La présence effective et réelle de la queue
D´une souris blanche tachée de sang
Et il tire, tendrement, sur la petite ficelle
Pour avaler le tampax.
@ +
. .. et surtout,
. ..soyez
Qu´est-ce qu´il est ce Vieuchnok, c´est pas croyable
Autant Vieuchnok était et et :%$!!#§: par moment
Autant Vieuchnok est