De la a dire qu'un avion menace la tour eiffel
Ou une tour de la Défense.
PARIS (AFP) - Un journaliste, reporteur d'images (JRI) de France 2 a été blessé lundi à Paris par des policiers qui l'ont molesté pendant qu'il filmait sur le trajet de la flamme olympique à Paris, a-t-on appris auprès de France 2.
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Bruno Girodon, 45 ans, filmait une relayeuse handicapée peu après le départ de la flamme olympique vers 13h30 quand il a été "pris à partie par les forces de police", a indiqué le chef du service des JRI de france 2, Roger Motte.
M. Girodon, qui s'est présenté comme JRI, a été "mis à terre et frappé à la tête", a indiqué M. Mottte.
Il a "perdu connaissance une dizaine de secondes", s'est relevé et a tenté de recommencer à travailler avant d'être conduit à l'hôpital.
M. Girodon, qui va "vraisemblablement porter plainte", a été "touché à l'épaule, qui n'est pas cassée, mais a été immobilisée".
Le journaliste porte aussi "des traces sur le front", a précisé M. Motte.
Il a pu quitter l'hôpital lundi soir après avoir passé des radios.
Selon M. Motte, le journaliste doit être interrogé mardi par l'Inspection générale des services (IGS, "police des polices") qui a ouvert une enquête administrative.
selon la même source.
et des dizaines de manifestants pacifistes ont vu leurs drapeaux tibétains confisqués...
Pour faire plaisir à Pékin?
ya mm un athlète des forces de sécurité chinoises lui ont interdit de descendre du car avec le fameux badge ...
Fonction publique : "Faire sauter tous les verrous"
LE MONDE | 08.04.08 | 14h38
Officiellement, c'est un projet de loi technique sur la fonction publique qui sera présenté, mercredi 9 avril, en conseil des ministres. Officieusement, le gouvernement pense avoir conçu une "bombe" pour "faire sauter tous les verrous", selon l'un de ses concepteurs. "C'est un projet de loi anti-corporatismes", ajoute un autre.
La loi "relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique" doit permettre à tous les fonctionnaires d'accéder "à tous les corps et cadres d'emplois (...) nonobstant l'absence de disposition ou toute disposition contraire prévue par les statuts particuliers", affirme le premier article de ce texte, qui remplacera l'article 13 bis de la loi de 1983 sur la fonction publique. Autrement dit, les corps et cadres d'emplois ne doivent plus être un obstacle à la mobilité des fonctionnaires.
L'administration aura l'obligation d'accepter la décision d'un agent de partir vers un autre ministère, un organisme public ou privé. Elle devra aussi lui assurer le maintien de son revenu si la rémunération du ministère d'origine est supérieure à celle du ministère d'accueil. Les restrictions à la durée de mobilité sont aussi levées : le fonctionnaire détaché se verra proposer, au bout de cinq ans, une intégration dans le corps ou cadre d'emplois qui l'a accueilli. Aujourd'hui, faute d'avoir passé l'examen ou le concours requis, il doit réintégrer son corps d'origine.
"A terme, on vise la disparition des corps", confie l'un des rédacteurs du projet de loi. Prochaine étape de la "révolution culturelle" annoncée par Nicolas Sarkozy le 19 septembre 2007 à Nantes, la réforme du recrutement et "le carcan des concours". Enfin, la grande loi sur la fonction publique, prévue pour 2009, visera à banaliser encore plus le statut de fonctionnaire : elle devrait rendre plus facile le passage entre le public et privé, et permettre notamment la création d'"agences" où se côtoieront agents de droit public et salariés privés.
Christophe Jakubyszyn
Article paru dans l'édition du 09.04.08
C'est normal qu'après un crime, on tente de faire disparaître le corps, non ?
ben ca depend du contexte!!
regarde toutes les serie policieres , ils cherchent pas toujours le cadavre!!!
Nathalie Kosciusko-Morizet dénonce les "lâches" puis s'excuse
Mise en cause par le groupe UMP à l'Assemblée nationale et le Premier ministre, Nathalie Kosciusko-Morizet a dénoncé un concours de lâcheté autour du débat parlementaire sur le projet de loi sur les OGM avant de faire des excuses publiques.
Figure montante de la majorité, la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie s'en était prise en termes très vifs dans le quotidien Le Monde daté du 10 avril au président du groupe UMP à l'Assemblée, Jean-François Copé, ainsi qu'à son ministre de tutelle, Jean-Louis Borloo.
"J'en ai marre d'être confrontée à une armée de lâches", déclarait-elle en réaction à la polémique sur la façon dont elle était intervenue dans le débat au Palais-Bourbon sur les OGM.
Devant le tollé provoqué dans la majorité par ces propos, François Fillon a exigé lors d'une réunion du groupe UMP, en début d'après-midi, que la secrétaire d'Etat présente ses excuses, a rapporté un membre du cabinet de Jean-François Copé.
Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a été nommée le 28 mars secrétaire général adjoint de l'UMP, a peu après publié un communiqué dans lequel elle déclare : "Je souhaite présenter des excuses à Jean-Louis Borloo et Jean-François Copé."
"Les propos qu'on me prête aujourd'hui dans le journal Le Monde ont été déformés. Je comprends d'ailleurs très bien qu'ils aient pu les heurter", ajoute-t-elle.
Elle dit se tenir à la disposition du groupe parlementaire UMP "pour m'expliquer et lui témoigner ma solidarité."
Interrogé par Reuters, Patrick Roger, le journaliste du Monde qui a réalisé l'interview de la secrétaire d'Etat, a démenti toute altération de ses propos. "Non bien sûr", a-t-il répondu à la question de savoir s'il avait modifié les déclarations de la ministre.
Compte tenu de l'ampleur de la polémique, Nathalie Kosciusko-Morizet ne participera pas à la visite que François Fillon entame jeudi au Japon. "Vu le niveau de la polémique, il n'est pas souhaitable qu'elle y participe", dit-on dans l'entourage du Premier ministre.
"CONCOURS DE LÂCHETÉ"
"Je regrette d'avoir lancé une polémique pareille", avait auparavant déclaré Nathalie Kosciusko-Morizet sur France Inter, jugeant l'article du Monde "excessif dans sa formulation."
Priée de dire si elle comptait démissionner, elle avait répondu : "Mais pourquoi ? Je suis dans une position difficile, c'est entendu, mais le texte qui sort des travaux du Parlement (...) est intéressant."
"Ce sujet, qui est un sujet difficile, méritait mieux que le choix par la secrétaire d'Etat de l'injure", a déclaré pour sa part Jean-François Copé aux journalistes.
"Les propos de Nathalie m'ont profondément attristé, d'abord à titre personnel et puis ensuite pour l'ensemble de ses amis députés parce que nous essayons de faire notre travail le mieux possible", a-t-il ajouté. "Les propos qui ont été tenus nous ont profondément peinés et blessés."
Le chef de file des députés UMP avait reproché mardi à Nathalie Kosciusko-Morizet d'être "à la source des problèmes" qui ont permis l'adoption de plusieurs amendements proposés par l'opposition lors du débat sur les OGM qui s'est clos mercredi à l'Assemblée par l'adoption du texte.
Ces amendements ont permis de rééquilibrer le texte dans un sens salué par les écologistes, qui ont apporté leur soutien à la secrétaire d'Etat, à l'instar de Greenpeace et France Nature Environnement.
Dans Le Monde, Nathalie Kosciusko-Morizet répondait vertement à Jean-François Copé, sans épargner au passage son ministre de tutelle.
"Il y a un concours de lâcheté et d'inélégance entre Jean-François Copé, qui essaie de détourner l'attention pour masquer ses propres difficultés au sein du groupe, et Jean-Louis Borloo, qui se contente d'assurer le minimum", déclarait-elle.
"Si le travail de préparation préalable avait été fait dans le groupe, cela ne se serait pas produit. Ce n'est pas normal qu'il y ait eu aussi peu de députés en séance", ajoutait-elle.
"Manifestement, Copé n'arrive pas à tenir le groupe", poursuivait Nathalie Kosciusko-Morizet. "Quant à Jean-Louis (Borloo), j'attends avec impatience qu'il vienne exprimer la 'parole unique' du gouvernement dans l'Hémicycle. Quand il veut, il vient."
http://www.lexpress.fr/info/infojour/reuters.asp?id=68710&1807
C'est l'éclate à l'ump.
Anne Seray, représentante de la FSU au Conseil supérieur de la fonction publique de l'Etat (CSFPE)
"La FSU demande le retrait du projet de loi sur la mobilité dans la fonction publique"
LEMONDE.FR | 09.04.08 | 17h18 • Mis à jour le 09.04.08 | 17h56
Le ministre du budget, Eric Woerth, a présenté en conseil des ministres, mercredi 9 avril, un projet de loi relatif à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique. La FSU fait partie des six syndicats qui ont voté contre ce texte au sein du Conseil supérieur de la fonction publique de l'Etat – deux autres s'étant abstenus. Pourquoi êtes-vous opposé à ce projet ?
Notre premier sujet d'inquiétude, c'est le contexte : le président Sarkozy a annoncé sa volonté de supprimer 35 000 à 40 000 postes de fonctionnaires chaque année jusqu'en 2012, dans le cadre de la révision générale des politiques publiques, lors d'un comité vendredi 4 avril. Il s'agit de réorganiser en profondeur l'administration. Pour nous, cela signifie moins de services rendus au citoyen, par une moindre présence sur le territoire et l'abandon de missions exercées par la fonction publique dans l'intérêt général.
Ainsi, des aspects du projet de loi qui pourraient se comprendre paraissent lourds de menaces à l'aune des suppressions d'emplois projetées. Le dispositif de réorientation professionnelle prévu par l'article 7, par exemple. Le statut actuel prévoit que les fonctionnaires doivent et peuvent se reconvertir s'il y a lieu, mais ils bénéficient d'une certaine sécurité. Or, le projet de loi prévoit que si la réorientation n'aboutit pas – et cela risque d'être plus souvent le cas, puisque les débouchés vont diminuer –, l'agent pourra être mis en disponibilité d'office (il ne sera pas rémunéré) ou mis à la retraite.
Quels sont les autres points que vous critiquez ?
Outre l'article 7, les articles 8, 9 et 6 ont concentré l'opposition unanime des syndicats. L'article 8 prévoit une généralisation d'une situation de multi-employeur (un fonctionnaire pourrait partager son activité professionnelle entre plusieurs administrations) : cela nous semble très pénalisant pour les conditions de travail, le travail d'équipe et la qualité du service public.
L'article 9 élargit la possibilité de recours à des agents contractuels. Or, nous considérons qu'il faut réduire ce recours et qu'il faut répondre à la situation de précarité extrême vécue par ces contractuels, qui représentent 15 % des effectifs de la fonction publique. De plus, cet article donne la possibilité aux administrations d'avoir recours à l'intérim pour des remplacements ou un accroissement d'activité. Nous craignons une externalisation du remplacement des personnels absents.
L'article 6 permettrait à un agent de conserver les indemnités de son emploi antérieur quand bien même il prendrait un emploi dont le régime indemnitaire est plus faible. Or, ces indemnités sont très diverses, pouvant représenter 4 à 60 % du salaire des fonctionnaires. Plutôt qu'une telle individualisation de la rémunération souhaitée par le chef de l'Etat, et de plus en plus modulée en fonction de l'évaluation, nous demandons une remise à plat de l'ensemble des indemnités et de la grille indiciaire pour uniformiser les pratiques de rémunération.
Ce texte comporte-t-il cependant des aspects positifs ?
L'idée qu'une administration ne puisse plus s'opposer au départ d'un agent vers un autre emploi du service public ou du secteur privé, pourvu qu'il donne un préavis de trois mois, nous paraît plutôt positive. Aujourd'hui par exemple, des enseignants qui demandent une disponibilité se voient répondre par l'administration qu'elle a besoin d'enseignants dans leur discipline et que s'ils veulent rester fonctionnaires, ils doivent rester enseignants. L'autre aspect positif, c'est la possibilité donnée aux agents d'intégrer un corps où ils ont été détachés pendant 5 ans. Mais ces avancées comptent peu face à l'inquiétude extrême des fonctionnaires concernant les quatre articles que j'ai cités.
Quelles sont vos demandes ?
Nous demandons que ce projet de loi soit retiré, au profit d'un débat démocratique avec les agents et les usagers du service public, sur le point de départ, c'est-à-dire la réforme de l'Etat. Le comité de modernisation des politiques publiques que Nicolas Sarkozy a présidé vendredi est un comité d'experts très proches du président, comprenant plusieurs ministres, qui prennent les décisions. Alors qu'il faut débattre du rôle de l'Etat dans notre société aujourd'hui, ce comité a une approche uniquement comptable.
Propos recueillis par Claire Ané
Un bébé à deux visages en Inde
Un bébé fille est né avec deux visages en Inde il y a un mois. Le bébé est normal, avec deux bras deux jambes, deux oreilles mais elle a deux bouches, deux nez et quatres yeux.
Ce bébé est maintenant vénéré et considéré comme la réincarnation de la déesse Ganesha dans le village d'où elle vient (Nagar district de Uttar Pradesh).
Ses jeunes parents ont touché le jackpot: de nombreuses personnes se déplacent pour toucher le bébé aux deux visages et font des offrandes ou donnent de l'argent…
http://fr.youtube.com/watch?v=g2Kmv-cg6Uc&eurl=http://www.infosjeunes.com/Un-bebe-a-deux-visages-en-Inde_a83112.html
Je te suis.
En tout bien tout honneur, bien sur.
La grève s'enlise chez Dacia, la filiale roumaine de Renault
LE MONDE | 10.04.08
La situation en Roumanie se complique pour Renault. La grève commencée le 24 mars par les salariés de Dacia, la filiale roumaine du constructeur français, a été déclarée "légale", mercredi 9 avril, par le tribunal de Pitesti, une petite ville à une centaine de kilomètres de Bucarest où se trouve la principale usine qui fabrique la Logan, la voiture à bas coût de Renault.
Les ouvriers réclament une hausse de 65 % de leurs salaires, et le conflit risque de s'enliser. En effet, un peu plus tôt dans l'après-midi, mercredi, le Syndicat automobile Dacia (SAD) avait repoussé les dernières propositions de la direction, qui allaient jusqu'à 26 % d'augmentation.
Renault misait beaucoup sur cette décision de justice pour mettre fin à ce mouvement qui a déjà coûté la non-production d'un peu moins de 17 000 Logan. Après avoir repoussé deux fois sa décision, le tribunal roumain a finalement estimé que les procédures de négociation ont été respectées et que plus de la moitié des 13 000 salariés de Dacia sont grévistes, minimum pour que le mouvement soit déclaré légal.
HAUSSE DU COÛT DE LA VIE
Renault va faire appel de la décision de justice. En attendant, le mouvement pourrait se durcir : un rassemblement des grévistes devait avoir lieu jeudi dans le centre de Pitesti. Ils devaient être rejoints par deux représentants syndicaux de Renault de la CGT et de la CFDT, qui ont prévu de remettre aux grévistes le produit de la collecte de solidarité organisée en France dans les usines de Cléon et Sandouville (Seine-Maritime) et du centre technique du Lardy (Essonne).
La direction a beau marteler que les salaires chez Dacia sont largement supérieurs à ceux du reste de l'industrie roumaine et que les augmentations proposées représentent près du double de celles obtenues récemment par les cheminots, les grévistes campent sur leurs positions. Ils estiment que leurs salaires n'ont pas suivi la hausse du coût de la vie, qui s'est envolé depuis l'intégration de la Roumanie dans l'Union européenne.
"Entre 2003 et 2007, les salaires de Dacia ont augmenté de 140 % contre 32 % dans le reste de la Roumanie, souligne une porte-parole de Renault. Nous avons négocié entre janvier et mars à raison de trois réunions par semaine. Mais nous ne pouvons pas mettre la rentabilité du site en danger."
La maîtrise de la situation reste très difficile pour Renault. Dacia était en ruine quand le constructeur français l'a rachetée en 1999. Mais la marque roumaine, dans laquelle Renault a investi 1milliard d'euros, fait désormais la fierté du pays et pèse près de 2 % du produit intérieur brut du pays.
Les syndicats roumains ont bien compris que l'usine de Pitesti est essentielle dans le dispositif Renault. La Logan tire non seulement les ventes du groupe, mais aussi ses marges. La voiture à bas coût dégage une marge opérationnelle de 6 %, contre 3,3 % pour l'ensemble du groupe. Pas question pour Renault qu'un dérapage salarial en Roumanie remette en cause cette rentabilité.
Stéphane Lauer
Von devoir délocaliser l"usine au kenya
'jour
c'etait a prevoir au moment du debut des delocalisations les economistes le disaient que ca durerait pas surtout avec l'emmergence de l'UE...ils vont devoir se depecher de créer des usines sur la lune a ce rythme
Fin de la grève à l'usine Dacia, la filiale roumaine de Renault
LEMONDE.FR avec AFP | 11.04.08 | 14h06
A Pitesti, dans le sud de la Roumanie, les salariés de l'usine Dacia, filiale du groupe Renault, ont mis fin, vendredi 11 avril, à leur grève entamée le 24 mars. Plus de la moitié des 13 000 salariés de Dacia participaient au mouvement qui visait à obtenir une revalorisation salariale, un ouvrier de Dacia gagnant environ 1 900 lei brut par mois (530 euros).
Les grévistes ont repris le travail après avoir accepté une nouvelle proposition de la direction qui prévoit une augmentation mensuelle de 360 lei (environ 100 euros) brut en deux tranches à laquelle s'ajoutera une prime annuelle d'un minimum de 900 lei (environ 251 euros). "C'est un compromis pour chaque camp", a estimé Nicolae Pavelescu, l'un des leaders des représentants syndicaux. Les grévistes réclamaient une revalorisation salariale représentant une somme fixe de 550 lei (environ 153 euros), et une majoration des primes accordées à Pâques et à Noël.
17 000 LOGAN NON-PRODUITES
L'accord est intervenu au lendemain d'une manifestation qui a réuni plusieurs milliers de salariés à Pitesti. Mercredi 9 avril, le Syndicat automobile Dacia avait repoussé des propositions de la direction qui allaient jusqu'à 26 % d'augmentation. La même journée, le tribunal de Pitesti avait reconnu la légalité de la grève, jugeant que les procédures de négociation avaient été respectées et que plus de la moitié des salariés de Dacia étaient grévistes.
Premier constructeur automobile roumain, racheté en 1999 par le groupe français Renault, Dacia a établi un nouveau record de ventes en 2007, avec plus de 230 000 unités commercialisées en Roumanie et à l'étranger, soit une hausse de 17,4 % par rapport à l'exercice 2006. Le mouvement aura coûté à Renault la non-production d'environ 17 000 Logan, sa voiture à bas coût.
ouf... J'aurai bientôt ma voiture...
...d'ici 5 à 6 mois.
les otages du navires de luxe ont ete liberes contre rancons 6 pirates se sont fait choper par l'armee fr et rejoignant la terre ferme....elle a l'air louche cette hitoire pas super mediatique et cest ptete bien ca le hic
ps la rancon a ete payer par le proprio du navire
La France plongée dans un régime présidentiel pur !
Claude Goasguen fait état "d'un profond malaise" au sein des députés de la majorité
LeMonde.fr avec AFP | 12.04.08 | 20h38
Dans un entretien à paraître dimanche 13 avril dans le Journal du Dimanche, le député UMP de Paris, Claude Goasguen, s'en prend à l'attitude de l'exécutif, déplorant que "la vie politique se résume à un face-à-face entre l'Elysée et l'opinion", et revient sur le différend qui a opposé le gouvernement à la secrétaire d'Etat à l'écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, un épisode qui a contribué à renforcer, selon lui, le "profond malaise" qui existe au sein de la majorité.
Après cette mini-crise et le cafouillage autour de la carte famille nombreuse, M. Goasguen n'hésite pas à prédire "de nouveaux couacs" au sein du gouvernement. "On va aborder des sujets sensibles comme l'ouverture des magasins le dimanche, le Revenu de solidarité active, la loi sur le Grenelle de l'environnement, le redéploiement de l'armée, la carte hospitalière dans un contexte budgétaire difficile", explique-t-il, estimant qu'il sera nécessaire de "faire de la pédagogie, et non balancer les mesures les unes après les autres comme un bombardement".
"Les ministres ont acté que le Parlement n'avait plus de pouvoir, déplore-t-il par ailleurs. "Ils assistent de moins en moins aux séances, ne répondent plus à nos questions, et vont chercher le satisfecit auprès du président". Or, affirme le député de Paris, ses collègues de la majorité "ne veulent plus être traités comme de simples bulletins de vote". "Beaucoup ont le sentiment que le volontarisme de Sarkozy s'étiole", ajoute-t-il.
"Il est urgent de réformer les institutions et de rétablir la souveraineté parlementaire", fait enfin valoir M. Goasguen, qui assure que "le face-à-face entre Sarkozy et l'opinion publique ne peut pas durer cinq ans". "Il faudra bien qu'il y ait un premier ministre et un Parlement", constate-t-il.
Le possible désengagement de la Sécu pour les frais d'optique provoque colère et incompréhension
LEMONDE.FR avec AFP | 14.04.08 | 15h37
La ministre de la santé, Roselyne Bachelot, n'a pas écarté, dimanche 13 avril, la possibilité que la Sécurité sociale se désengage complètement de certains secteurs, notamment l'optique, au profit des assurances complémentaires, provoquant l'incompréhension des responsables de la Mutualité française et la colère de l'opposition, qui dénonce "une privatisation annoncée" du système de santé.
Interrogée sur Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro, Mme Bachelot a estimé ques "des marges de manoeuvre" existent pour que des secteurs comme l'optique soit pris en charge "uniquement" par des complémentaires santé. "Dans les quatre ans qui viennent de s'écouler, la marge bénéficiaire de ces organismes complémentaires est passée de 12 % à 23 %", a notamment souligné la ministre. Elle pose néanmoins une condition : que la concurrence augmente entre assurances complémentaires pour que cela crée un "vrai outil de régulation" et apporte "une valeur ajoutée par rapport au régime obligatoire".
"LES FRANCHISES MÉDICALES ÉTAIENT LE HORS-D'OEUVRE"
Pour Jean-Pierre Davant, président de la Mutualité française, le profit des mutuelles ne signifie aucunement qu'elles s'enrichissent sur le dos des cotisants. "Les mutuelles redistribuent quasiment tout ce qu'elles encaissent en matière de cotisation, elles le redistribuent en prestations. Je connais les grandes mutuelles qui équilibrent 'juste', et je n'ai pas le sentiment [qu'elles] font des bénéfices", a-t-il expliqué, lundi, sur RTL. Il regrette les déclarations hâtives de Mme Bachelot, estimant qu'il était "plus raisonnable de négocier d'abord".
Plus virulente, l'opposition socialiste n'a pas hésité a évoquer un début de "privatisation" de la Sécurité sociale. "C''est un transfert sur les familles parce qu'évidemment personne ne peut croire une seconde que devant ces charges nouvelles, les organismes complémentaires, mutuelles ou assurances, n'augmenteront pas leurs cotisations", a dénoncé Jean-Marie Le Guen, député de Paris.
Le Parti socialiste accuse le gouvernement de "chercher à faire des économies au détriment de la santé des Français, alors que 14 % de la population renonce déjà à se soigner pour des raisons financières". C 'est "un reniement de la parole donnée par le pouvoir, une absence d'imagination et de générosité", a lancé M. Le Guen. Son collègue Pascal Terrasse, secrétaire national à la santé, juge que "les franchises médicales étaient le hors-d'oeuvre". "Nous sommes passés au plat principal avec la fin de la Sécurité cociale pour tous", accuse-t-il.
Sarko, Fillon DE-MI-SSION !!!
moi ce qui me met le pois chiche en ébullition , c'est de me demander quand est ce que le peuple en aura assez
nous somme d'accord que les politiciens ont bon nombre de privilège, mais c'est privilège ne vivent que parce que nous le voulons bien
ils leurs ont été accordé dans le seul but de servir les intérêts de tous les français et pas seulement d'eux
ce n'est pas la démission qu'il faut réclamer, c'est la RÉVOLUTION
par le passé nous avons montré que le peuple francais était capable de se soulevé
1789 , la monarchie est tombé
aujourd'hui , il me semble que cette révolution n'a pas tenu tte les promesses qu'elle s'engageait a tenir
qu'avons nous a la place d'un roi, un empereur (nain de surcroit) entouré par une bande de sangsues dont le seul bute et de faire valoir ses privilèges
RÉVOLUTION camarades , des têtes doivent tomber