OMG les fautes
ttes mes excuses
LEMONDE.FR avec AFP | 14.04.08 | 15h37
je suis le seul à porter des lunettes ?
parce que la sécu ne rembourse déjà pas les frais d'optique...
enfin, si : 6€ pour la monture ET les verres...
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-52-1269889-1-0-1-0-0.htm#message_1269889
Non abannir, tu n'es pas le seul et oui ce n'est que 6 €
mais le plus affligeant reste tt de même la valuer de ta cotisation mensuelle
mais moi aussi je me demande une chose , suis je le seul a vouloir en arriver a une révolution pour que les choses changent
malheureusement, on ne peut pas faire de révolution
tu veux faire quoi ?
virer sarko et son gouvernement ?
pour les remplacer par quoi ? des élus du peuple ?...
comme sarko, en fait...
tu veux faire quoi ?
virer sarko et son gouvernement ?
pour les remplacer par quoi ? des élus du peuple ?...
comme sarko, en fait...
Non pas comme sarko , il faut montrer aux politiciens en place , comme a ceux qui s'appretent a s'y adonner, qu'il s'agit plus d'un sacerdoce que d'une carrière
et pour cela il faut frapper fort, un grand coup, quitte a être violent
je verrai bien sarko pendu haut et court
il faut des gens concerné aux pouvoirs, des gens qui sont revolté de voir la misère s'insinuer partt en france
il faut mettre fin a ca
on se croirait revenu au tps des monarque
nous avons deja lutté , nous pouvons recommencé
Tiens j'avais même pas vu que le post d'intro du topic est une provocation de Ganryu Décidément quel rebelle
Et oui Cali, du temps de la modération de Maverick en plus...
Entre le "Aimez-vous", le "Défoulez-vous" et les "pseudos-lands" de tous horizons...
la Matrice
Vi, un de mes topics préférés de l'époque.
En mm tps tu trouve que ça a bcp changé ? Beaucoups uppent leur pic préféré en arrivant , moi le premier Bon c'est vrai que tlm va chez tlm c'est un peu plus convivial
Cali, oui, je trouve que depuis quelques semaines on revient peu à peu à l'ambiance de 2003-2004. Juste quand la séparation du forum général a eu lieu.
Ganryu c'est vrai d'ailleurs qqes anciens ont refait leur apparition c'est un signe
Papa ah oué quelle plaie ce pic
je crois que je vais aller le upper
c'est clair ct vraiment ça
elle devait avoir un pouvoir d'envoutement cette fille
Des experts appellent à repenser l'agriculture de demain
LE MONDE | 15.04.08 | 13h49
Les experts n'avaient pas prévu les "émeutes de la faim" qui secouent la planète, mais leur travail ne pouvait tomber plus à propos : dans un rapport publié mardi 15 avril, la communauté scientifique des agronomes appelle à soutenir les petits paysans et à intensifier les recherches en agro-écologie. Le document, approuvé par 59 gouvernements à Johannesburg, le 12 avril, a été rédigé dans le cadre de l'IAASTD (International Assessment of Agricultural Science and Technology for Development), EISTAD en français (Evaluation internationale des sciences et technologies agricoles au service du développement).
Il est le fruit d'un processus similaire à celui suivi – pour l'analyse du changement climatique – par le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat). Engagé en 2004, l'IAASTD a réuni plus de 400 experts internationaux, chargés de définir les voies que devrait suivre la recherche agronomique pour relever le défi alimentaire dans les prochaines décennies.
Le processus a été piloté par Robert Watson, ancien président du GIEC, et soutenu par la Banque mondiale et l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Point original : les organisations non gouvernementales y ont été associées, qu'elles soient écologistes ou qu'elles représentent des entreprises. Un membre de Greenpeace figurait ainsi dans le bureau de l'IAASTD, qui comptait 55 personnes.
Le rapport affirme une "prise de conscience" de la pérennité d'une grave pauvreté rurale, liée au manque de soutien des politiques publiques pour l'agriculture, alors que de nouvelles contraintes se profilent à l'horizon : changement climatique, disponibilités en eau, concurrence des agrocarburants, érosion de la biodiversité…
"ON NE PEUT PAS JOUER SUR LE SEUL FACTEUR DE LA TECHNOLOGIE"
Achim Steiner, secrétaire du Programme des Nations unies pour l'environnement, a ainsi estimé que "si nos systèmes agricoles continuent de mettre l'accent uniquement sur la maximisation de la production au coût le plus bas, l'agriculture connaîtra une grande crise dans vingt à trente ans".
Le document de l'IAASTD marque un renversement d'optique par rapport à la politique qui a favorisé depuis un demi-siècle les cultures d'exportation au détriment des cultures vivrières (cacao en Côte d'Ivoire, arachide au Sénégal, soja en Argentine, etc.). "L'IAASTD propose une réorientation autour des savoirs locaux et communautaires, afin de retrouver une autosuffisance alimentaire, explique le Français Michel Dodet, de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra), membre du bureau de l'IAASTD. On ne peut pas jouer sur le seul facteur de la technologie."
La discussion a achoppé sur la question du rôle des organismes génétiquement modifiés (OGM). L'organisation Crop Life International, qui regroupe des entreprises comme Monsanto et Syngenta, s'est ainsi retirée de la discussion en octobre 2007. Le processus n'en a pas moins continué, conduisant à "une vision de compromis entre deux visions dures de l'agriculture : celle qui place la technologie au centre de tout progrès et celle privilégiant les savoirs locaux", selon Marianne Lefort, agronome et coauteur d'un des rapports.
Par ailleurs, l'"agro-écologie", qui est la prise en compte des processus écologiques dans le système agricole, se voit pleinement reconnue par l'IAASTD.
Le rapport de synthèse a été approuvé par 59 des 63 Etats représentés au sein de l'IAASTD. Etats-Unis, Australie, Canada et Royaume-Uni ont indiqué "ne pas pouvoir [l']approuver complètement". Mais, dans une déclaration liminaire, ces pays ont apporté leur soutien à la démarche engagée. De son côté, la Chine a approuvé l'ensemble des textes, exprimant cependant des "réserves" sur le chapitre relatif aux biotechnologies.
La position de l'IAASTD vient conforter un changement d'orientation amorcé par la Banque mondiale, dont le dernier rapport annuel constatait qu'"alors que 75 % de la population pauvre mondiale vit dans les espaces ruraux, seulement 4 % de l'aide publique au développement va à l'agriculture". En fait, observe Michel Dodet, "on redécouvre que la production est une condition du développement".
Les mouvements de paysans, de mieux en mieux organisés, contribuent aussi à cette nouvelle perception. De passage à Paris, Rajagopal P.V., leader du mouvement indien des sans-terre, qui a conduit en octobre une marche de 25 000 paysans sur New Delhi, résumait, lundi 14 avril : "Pendant des années, on a entendu dire que les petits paysans n'étaient pas viables, qu'il fallait laisser faire les grandes exploitations. Aujourd'hui, avec les pénuries alimentaires, les gens comprennent que cette production centralisée ne marche pas."
Hervé Kempf
"Les experts n'avaient pas prévu les "émeutes de la faim"..."
il parait qu'actuellement, on peut produire mondialement à manger pour 10 milliards de personnes
donc si des gens meurent de faim, c'est parce que les autres n'en ont rien à foutre et les laissent crever
"deux tiers de la population meurent de faim quand le troisième tiers souffre d'un excès de cholestérol" :desproges:
Aujourd'hui Haïti, le Sénégal, l'Egypte...
Demain le Maghreb, l'Indonésie, le Brésil...
Après... ce sera la guerre... normal.
Pas de baisse prévue des allocations familiales, dit Luc Chatel
Reuters 16.04.08 | 18h47
PARIS (Reuters) - Le porte-parole du gouvernement a assuré mercredi qu'aucune baisse des allocations familiales n'était envisagée, alors qu'un projet de décret prévoit la modification du montant perçu par les parents d'adolescents.
Ce texte repousse à partir du 1er mai à 14 ans contre 11 actuellement l'âge à partir duquel l'allocation pour les enfants est majorée. Cette modification représenterait une économie de 138 millions d'euros, selon la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf).
"Il se trouve que j'ai eu un échange avec (la secrétaire d'Etat à la Famille) Mme Morano ce matin sur ce sujet, qui m'a indiqué que rien n'était prévu en la matière", a dit Luc Chatel lors du compte rendu du conseil des ministres mercredi.
Le conseil d'administration de la Cnaf a rejeté début février à une large majorité ce projet de décret, 21 administrateurs votant contre et trois pour.
Dans un communiqué commun, les administrateurs avaient exprimé "une vive insatisfaction concernant des projets de décrets qui s'intègrent dans un contexte de perte de pouvoir d'achat s'aggravant pour les familles".
Selon le projet de décret, l'allocation pour un enfant serait augmentée de 60 euros lorsqu'il atteint 14 ans. Elle est actuellement augmentée de 34 euros à 11 ans et de 60 à 16 ans.
Les syndicats composant le conseil d'administration de la Cnaf estiment à près de 600 euros la perte pour les familles.
La Cnaf comptait plus de 4,6 millions de bénéficiaires des allocations familiales en France fin 2006.
Jean-Baptiste Vey
"pas de baisse prévue..." pour le moment.