Bon, on va pas s'engueuler, mais ça m'énerve, ce genre de raisonnement.
Pendant la Première Guerre Mondiale, des millions de types sont restés au milieu des rats, de la boue et en voyant leurs potes mourir. Bon, je prends un exemple extrême, mais on peut pas dire "lolilol je veux une vie passionnante" tant qu'on n'a pas vraiment vécu l'horreur.
Après, je te comprends quoi. ^^ Mais c'est aussi à toi de ne plus provoquer cette routine
Ben ouais, mais il semblerait jusque la que cette routine soit difficile à casser.. Et quand je veux un metier qui sorte du lot, on me dit d' aterrir... Nous sommes dans un monde ou le rêve n' existe pas, on rentre dans le rang et on ferme sa gueule
Donc je suis conscient que c' est être tombé bien bas que de la vouloir cette pandémie de merde, mais j' y peut rien
"Ce que je ne comprends pas c'est que la plupart des gens disent : C'est comme une grippe normale, pas de quoi s'inquiéter.
Mais pourquoi l'OMS élève son niveau d'alerte à 5 ? Pourquoi, si il n'y a aucun cas en France, on risque de monter en phase 5A, voir 5B ?"
Bah y'a
F]uck
Posté le 30 avril 2009 à 20:19:37
Je pars sur Mars moi,qui vient avec moi?
Moi !
Selon TF1, la pendémie arrive !
--1er---
Posté le 30 avril 2009 à 20:19:24
Chaud , ils disent que la grippa A est un virus pas très dangereux ne vous inquiétez pas jeunes gommes
C'est codé, enlève donc le "pas".
N'empêche il y a un truc magnifique par chez nous, c'est le nombre de pétochards, ça panique pour un rien, ça devient parano, et bientôt : Marie, tu as vu le voisin il a la grippe.
Appelle la Gendarmerie.
Mais le mieux c'est à l'hôpital, surtout aux urgences, bien de faire chier ce service pour un rien ? Oh my god j'ai la grippe, vite vite direction les urgences !
Bref, ça va être rigolol suivant la tournure !
+1 avec fleury mychou
L'OMS n'a pas mis le niveau 5 depuis 41 ans, et il y a 1 000 000 de morts. Alors ceux qui font lolilol c r1, moi je m'y connais, vous pouvez aller vous cacher, et vous informer
Cool on est 2
groxy
Posté le 30 avril 2009 à 20:18:14 sa va l'été arrive et selon TF1 la grippe craint l'été
Selon TF1 ? Ouah la source jamais censurééééé >.>
Biens les gens qui croient TF1 ?
L'humanité est-elle menacée par un cataclysme imprévisible ?
L'épidémie de grippe porcine apparue au Mexique et en Amérique du Nord en ce début du mois d'avril 2009 et qui semble déjà se propager au reste du monde en passant par l'Europe, est en passe de reléguer au second plan les préoccupations des gouvernements relatives à la crise économique. Bien plus que le nombre de victimes enregistrées à ce jour, c'est la déclaration de l'Organisation mondiale de la santé sur les risques d'une pandémie qui suscite des interrogations et autant d'inquiétudes.
Le Messager (Douala)
Il va sans dire, que face à une situation de crise de santé publique qui a toutes les apparences d'une nouvelle catastrophe, l'humanité est obligée de tenter un sondage crucial de l'avenir. Même si au regard des outils d'investigation académiques et purement techniques, l'on a pu après coup spéculer sur le caractère prévisible de la crise financière qui, partit des places financières américaines, a fait basculer l'ensemble de l'économie mondiale dans une profonde récession, rien en réalité ne permet véritablement d'anticiper sur les prochaines crises qui pourraient se muer en catastrophes, voire en cataclysme.
Jusqu'ici, les guerres menées directement ou indirectement par les puissances, grandes et moyennes, sont apparues comme les dangers à conjurer. Certes, l'on a spéculé invariablement sur les moyens d'offrir à l'humanité un cadre d'existence et d'évolution plus élaboré et mieux assaini, mais jamais, il n'est apparu que ceux qui font et défont notre destin par leur pouvoir, étaient capables de conjurer effectivement tous les mauvais sorts.
Une relativisation de la puissance
Ce que la succession des crises établit définitivement comme ligne éthique générale, est sans aucun doute l'exigence d'humilité devant l'impuissance de l'être humain, la défaite de tous les pouvoirs et de tous les esprits, bref leur incapacité à apprivoiser les contours du destin de l'univers. Nous ne sommes pas en présence de situations, s'agissant des crises comme celle de la grippe porcine, sur lesquelles l'intelligence humaine peut exercer un contrôle absolu.
Il s'agit de dérèglements subites dont les sources peuvent se situer aussi loin qu'à la date de l'apparition du premier homme sur la terre voire de la formation du système solaire. En moins d'un demi-siècle, la pandémie du sida s'est imposée comme une préoccupation nouvelle de santé à laquelle aucune solution thérapeutique radicale n'a été trouvée. Les pathologies liées à la tuberculose, le paludisme, le diabète, la maladie d'Alzheimer, le cancer, et bien d'autres demeurent après tout, malgré des avancées notoires dans la recherche, des phénomènes de nuisance gênants et incapacitants pour le bien-être des habitants de la planète terre.
La question simple que pourrait se poser tout être humain aujourd'hui à l'écoute de cette nouvelle pandémie, c'est de savoir à quoi il sera exposé dans les jours, les mois, ou les années à venir. La puissance des gouvernants produit ses limites dans ce contexte d'absence de toute réponse sur les menaces des lendemains et les nuisances lointaines. L'Amérique en est encore à réfléchir sur la meilleure façon de discipliner ses banques pour prévenir toute nouvelle mise en danger de son économie.
General Motor, le premier constructeur automobile, ne sait plus où donner la tête et annonce la fermeture de plusieurs usines, le chômage monte partout, et les travailleurs fragilisés dans leur existence tendent à perdre la raison. Ceux qui se croyaient puissants et riches craignent à leur tour l'épidémie et la montée des colères. L'Afrique qui assiste impuissante et muette, doit encore résoudre des problèmes primaires d'expression et d'organisation politique, dans un contexte dominé par des dictatures criminelles insensibles à toutes les pandémies.
Mais comment envisager l'avenir de l'humanité dans cette situation sans trembler de toutes ses forces ? Il y a moins de deux décennies, les adultes craignaient moins pour eux-mêmes que pour leurs progénitures. Aujourd'hui les choses ont radicalement changé. La succession des crises politiques, sanitaires, et économiques a ruiné tous les privilèges et tous les acquis du présent pour ne plus laisser en ligne de mire que la faillite, la misère, la mort certaine et la désolation que traduisent bien la suractivité des morgues.
Penser à un autre gouvernement de l'intelligence
Tous les discours sur la science, la puissance, la maîtrise des techniques et des procédés, aboutissent dorénavant à créer plus de doutes qu'ils ne rassurent effectivement les citoyens du monde. Rien ne montre que dans un mois ou deux, une brusque montée de la mer due au réchauffement climatique, ne va pas engloutir des espaces terrestres énormes et rayer plusieurs pays de la carte de la planète. Les écologistes qui étaient de piètres marginaux dans les années 1970, entrent petit à petit dans le champ des visionnaires respectés pour la survie de l'espèce et la préservation du patrimoine commun de l'humanité.
Il est bien dommage que la presse parle du Mexique sans jamais mettre en évidence que la capitale Mexico qui compte plus de vingt millions d'habitants, est la ville la plus polluée au monde. Notre objectif n'est point de fonder une relation de cause à effet entre ce tableau sombre et l'épidémie, mais nous soutenons clairement l'idée selon laquelle, la qualité de notre cadre de vie nous expose facilement à des surprises qui dans certains cas, ne manqueront pas de se transformer en catastrophe d'ampleur insoupçonnée.
En fait, l'intelligence de l'humanité n'a pas secrété assez de réflexion prospective collective pour construire un gouvernement social de l'éthique. La course à l'expression de la puissance, le besoin de domination et d'exploitation, la volonté de commander les principaux leviers décisionnels de la planète, ont réduit les détenteurs du pouvoir à de vulgaires bêtes insensées, limitées dans leur capacité de projection et de protection. Voici exposée la preuve de l'inutilité des armes de destruction massive, des porte-avions, des missiles nucléaires, des chars d'assaut de dernier cri, des bombes à neutrons, des avions furtifs, de toute cette quincaillerie maléfique faite pour donner la mort.
Que l'humanité n'ait pas encore mis au point un vaccin contre le paludisme est une honte insoutenable, une démonstration de l'intransigeance de l'égoïsme des puissants et des nantis. La crise de la grippe porcine annonce plutôt d'autres crises plus graves et des pandémies encore plus mortelles que personne dans le contexte actuel ne sera en mesure de contrôler. Le monde a besoin d'une nouvelle intelligence plus prolifique et mieux partagée entre les fantaisies individualistes d'une part, et les aspirations à la sécurité alimentaire et sanitaire d'autre part.
L'urgence d'une adaptation des méthodes, des outils et des moyens
Ce ne sont ni les armes de l'Iran, ni celles de la Corée du Nord, ni les petites roquettes du Hamas, ni les déclarations de El Béchir du Soudan qui menacent réellement le monde et contrarient le destin de l'humanité aujourd'hui. Le problème est ailleurs, dans une impréparation collective à construire les outils d'anticipation, de vision, de contrôle et de maîtrise des crises qui surviendront sans préavis.
Rien de la grippe aviaire, du poulet à la dioxine, de la vache folle, du Sida, du lait à la mélanine, des déchets toxiques, et autres avatars de l'évolution de l'espèce, ne sort de l'imagination d'un être mystérieux qui tirerait les ficelles dans l'ombre. L'humanité n'a pas su, pu, ou tout simplement voulu adapter ses méthodes, ses moyens et son intelligence aux exigences effectives de son environnement. Vécues dans l'urgence et dans une certaine précipitation, les crises apparaissent comme des excroissances inattendues.
Pourtant, rien qu'en s'en tenant à la substance des débats au sein de l'Organisation mondiale du commerce sur les subventions, l'on découvre à la fois que l'humanité a largement les moyens de se nourrir convenablement, et de concevoir un cadre général de référence pour l'élimination des principales distorsions qui handicapent les échanges marchands entre les peuples, génèrent moult conflits, et menacent notre écosystème.
L'urgence dorénavant, c'est qu'à défaut d'une aptitude à anticiper sur toutes les crises, l'humanité s'attèle au moins à réorienter son intelligence, son travail quotidien et ses outils vers la formulation de nouvelles règles éthiques. C'est à partir de là que la construction des capacités réelles à maîtriser les crises brutales et imprévisibles, serait envisageable. Comment comprendre que l'Afrique consacre moins de 5% de ses ressources budgétaires à l'agriculture, alors que sa population rurale est de 60% ?
Comment expliquer tous ces budgets militaires faramineux alors qu'il manque de l'argent pour conduire la recherche sur les vaccins ? Comment admettre que des petits pays pauvres achètent plus de véhicules de luxe et des bouteilles de vins fins qu'ils ne construisent des salles de classe ? La menace des crises graves réside dans cette distorsion cruelle que la cupidité de quelques spéculateurs ajoutée à la vanité de certains voyous de la mauvaise gouvernance, engendrent permanemment.
Source: http://www.lexpressplus.com/L-humanite-est-elle-menacee-par-un-cataclysme-imprevisible_a2145.html
Selon TF1, la pendémie arrive !
On esque que l'ont parle de nous ?
je trouve pas le text, en haut ou en bas ? merci
Appelle la Gendarmerie.
Mais le mieux c'est à l'hôpital, surtout aux urgences, bien de faire chier ce service pour un rien ? Oh my god j'ai la grippe, vite vite direction les urgences !
Bref, ça va être rigolol suivant la tournure !
+1
Si vous ne croyez pas en TF1, vous ne croyez pas en notre president
OMGLOLOLOLOLOLOLOOOOOL TF1
je trouve pas le text, en haut ou en bas ? merci
Vers le milieu, après les images.
TF1 n'a pas l'air au courant que quand on est en été en Europe, dans l'hémisphère sud c'est l'hiver
Selon TF1, la pendémie arrive !
GOGETA853
Posté le 30 avril 2009 à 20:22:07 Si vous ne croyez pas en TF1, vous ne croyez pas en notre president
Jerry.
Alors, la France est en 4A ou est passé 5A ?
Le virus à peur de l'été ? Tu viens de m'apprendre un truc, je pensais qu'il avait peur de la gueule de la France L'été favorise les pandémies, car les gens sont beaucoup plus en contacte, c'est facile de dire ce genre de chose sans savoir si c'est vrai.