Et c'est moi qui te réponds .
Ah superbe cette suite comme le dit Zeike tout est bien mis en places pour les prochains chapitres c'est cool continue comme sa j'adore!
C'est vrai que tignasse m'a choqué aussi. Sinon, sweet
Sweet
Ps: Je suis -AntiRageux- , j'ai déja poster sur ce topic au début, mais après je retrouvais plus ta fic donc c'est pour ça que j'ai plus poster pendant un moment
Ps2: Je post avec ce pseudo car -AntiRageux- est ban def'
Ps3: Console de mer*e
Je suis certain que la suite vous plaira .
Antirageux Oh, vraiment ? Pauvre pseudo. Je te voyais souvent poster sur le topic de NJ.
NEED LE CHAP 4 !!
Non mais Sovex, tout se fait sur le topic .
Sur mobile c'est chiant... tu te souvien de la page ?
Need la sweet
Un peu d'argent, 19h00... Ca collerait bien avec un ciné!
J'pense plus a l'hotel moi
Post pour garder le sujet
need la sweet!
DonnieBrasconch +1
Suite dès que je suis de retour chez moi.
Vite la sweet
Partie II - Second chapitre
Je suis allé finalement parti de chez moi, vers sa maison. J'ai préféré prendre un peu d'avance, afin de pouvoir me conditionner. En arrivant, j'ai tout de suite remarqué la voiture de ses parents, garée. J'ai été pris d'un frissonnement glacial. Ils étaient donc là.
Ce n'était pas de très bonne augure, fallait-il que j'entre par la porte située derrière la maison ? Devais-je attendre dehors ?
Je n'ai pas eu à réfléchir bien longtemps, une ravissante femme, sa mère m'est apparue, arrivant dans la direction inverse de la mienne. Je n'avais absolument aucune raison d'être ici. Je n'avais pas d'ami dans cette zone là, sûrement le savait-elle. J'étais extrêmement gêné, quel fâcheux hasard. Quelle excuse pouvais-je lui donner ? Aucune.
Mais, à ma grande stupéfaction, alors que mon visage était tuméfié et sûrement blanc pâle, elle m'a envoyé :
"Ah salut, tu es en avance !"
En avance pour quoi ? Je ne savais pas du tout de quoi il s'agissait, qu'est-ce que lui avait bien dit sa fille. J'ai joué de mon talentueux talent d'improvisation en lui répondant que j'avais préféré venir un peu plus tôt au cas où..
"C'est pas grave, entre donc ."
Cette femme, remarquablement bien conservée pour son statut d'adulte mariée et de beaucoup mon ainée m'a souri. Lorsque son sourire s'est dévoilé, j'ai cru voir celui de sa fille. Mais contrairement à sa fille, c'était une expression bien plus sereine. En elle, reposait la quiétude. C'était le genre de femme auquel parler est agréable, auquel il est réconfortant de l'avoir à ses côtés. Je ne me faisais plus trop de soucis, cette première approche se passait relativement bien.
Elle a ouvert le portillon, nous avons parcouru une partie du jardin, et puis on est entré dans la maison. Aussitôt que la porte s'est ouverte, elle a annoncé de sa voix guillerette :
"Chérie, ton baby-sitter est arrivé !"
Baby-sitter. C'était donc ça mon rôle. Je devais garder cette fille pendant la soirée pendant que les parents seraient absents. Nous aurions donc la maison pour nous pendant toute la soirée. Cette fille était ingénieuse. L'obligation de venir, présentée dans le message du matin, prenait tout son sens.
Pourtant elle savait que de toute manière je serais venu.
Elle a descendu les escaliers, m'a salué d'un bonsoir poli ajouté d'un maigre sourire et puis est remontée, comme si de rien n'était. Quelque peu déconcertant, de la voir ainsi, si fraîche et toute mignonne.
La mère souriait. Elle m'a expliqué combien j'étais payé de l'heure, et ça me satisfaisait grandement. - J'étais payé pour passer du temps avec une fée.
Elle m'a indiqué approximativement l'heure à laquelle elle reviendrait, j'ai calculé que ça me laissait une longue soirée. Ensuite elle m'a donné son numéro de téléphone que je devais composer pour n'importe quel problème surviendrait. J'ai été invité à me servir à ma guise dans le frigidaire et à utiliser comme bon me semble le jacuzzi.
Son mari est descendu, il m'a salué en me serrant sa poigne. Lui avait sûrement le caractère de sa fille, il était assez impulsif. Il osait dire les choses. C'était un homme de goût, un homme intéressant pour qui il valait mieux le connaitre en toute amitié. J'espérais ne jamais avoir à connaitre son tempérament vif dont on parlait beaucoup.
Je ne l'appréciais pas particulièrement, il me semblait bourru et austère. Il ne m'inspirait aucun charme, et je me demandais souvent comment il avait pu épouser cette femme gracieuse et pleine de vie.
Il a mis ses chaussures, elle son manteau. Il s'est levé et il est parti sans une parole, sans me regarder. Elle m'a adressé une grand sourire, m'a souhaité une bonne soirée et a claqué la porte.
Ca y est, j'étais libre. Libre ? Dans une cage. Une grande cage. Une prison dorée...
"Je suis allé finalement parti de chez moi"
Excusez la faute de frappe dés la première phrase Modification de dernière minute.
(Go NF ... )
Magnifique
+ Sweet