C'est vrai Zeike mais d'un autre coté si tu donnes comme titre :
Sayks ...
C'est ce que je disais dans un de mes postes précédent, cette fic' porte difficilement l'étiquette sex, même si c'est relatif Après ça n'empêche pas à cette histoire d'être passionnante et très bien écrite
Si il y a cette étiquette sex, c'est qu'il y en aura. Mais du propre.
"Propre", c'est synonyme de "chiant" pour moi
Assez déblatéré, je te laisse à ton ouvrage, et prends ton temps pour une suite de qualité
Non, ça sera pas chiant .
Sinon tu peut faire le coup du faux espoir
Genre comme dans la " salle de bain " , ils commencnet , ca atteint un certain point et la ..... BAM ya un bleme et ils arettent.
Une sweet ! Immediatement !
Sweet j'adore cette fic
j'ai pas lu mais c'est quoi cette fic a l'air pédophile qui as du succès?
Pédophile ?
Pour quand la suite?
Post pour retrouver cet magnifique Fic
pedophile ? c'est bizarre moi je ne voit aucun âge dans cette fic
Meilleure fic que j'ai jamais lu need une suite
La sweet
Si l'auteur ne dit pas l'âge des personnages c'est qu'il y a une raison, même si les habitués de ce genre de textes le devinent facilement Moi j'aime bien
J'essaye de garder mon cotât d'une suite par jour, là voici devant vos yeux ébahis.
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J'ai scruté le grenier. Il n'était pas vide, ni sale comme je l'aurais cru. Comme j'aurais pu aussi le croire, il n'était pas aussi grand que cela. Il était même petit. Quelques armoires ça et là renfermant sans nul doute les costumes, et un matelas posé au sol avec une couverture juste à côté. Je me suis demandé si elle avait tout prévu, si elle avait planifiée toute cette soirée jusque dans les moindres détails. Mais cela m'a semblé irréaliste, j'ai bien vite réfuté cette idée à la pensée de tous les imprévus que nous avions vécus.
"Que nous avions vécus", je le raconte comme si nous avions existé chacun ensemble depuis des années. Et pourtant non, ça ne faisait que quelques heures peut-être que nous étions liés. Et même bien moins au sens propre.
"Au départ j'étais seul. Puis elle m'a rejoint, et nous avions finalement été seuls tous les deux." Ce n'est pas très important, mais je me souviens que cette pensée m'avait amusé.
Dans cette pièce, il n y avait pas de lumière, tout comme dans la salle de bain.
Pourtant, un petit rayon passait à travers la dalle. Ce rayon était faible car il venait du couloir, la lumière de la chambre n'avait pas été allumée, pour ne pas éveiller les soupçons sans doute. Encore un coup de sa prodigieuse minutie.
Ce petit rayon permettait toutefois de voir presque convenablement les armoires noires, le parquet, tout près et le matelas, là.
J'ai soudain été entrainé sur ce dernier. J'étais assis, j'ai presque glissé jusqu'à lui, frôlant le parquet, la menotte m'a même un peu fait mal au poignet.
Elle m'a allongé sur le matelas, et s'est positionnée sur moi les genoux autour du bas de mon abdomen. J'ai pris un peu de plaisir à sentir une masse enveloppant mon sexe. Un baiser dans le cou, comme une fille assise sur soi, cela fait toujours du bien. On ne peut pas ne pas apprécier. D'autant plus que je commençais à accepter l'idée de me laisser faire, l'idée de me laisser emporter par l'allure que prenait ce périple ; car en fin de compte, enfermés dans ce grenier, je n'avais rien à craindre.
Puis, elle s'est légèrement penchée vers moi avec tendresse et m'a enlevé mon t-shirt. Mais je me suis rendu compte que c'était impossible, la menotte encore attachée à mon poignet, le t-shirt devrait rester accroché. Plus sur mon corps mais accroché à mon bras. Ca n'était pas tellement dérangeant en fin de compte.
Je n'avais pas un corps de dieu grec, je n'étais pas champion de boxe, mais j'avais de légers muscles, assez pour ne pas avoir honte de me mettre à nu devant une fille... mais sûrement pas assez pour ne pas avoir honte devant cette fille. Car cette fille, j'y pensais, elle était du niveau d'au dessus. Il lui fallait de l'extrême, elle aimait ça l'imprévu, elle aimait ça les sensations fortes.
Elle a fait ça, sans me regarder, sans le regarder, mon corps, je veux dire. Elle m'a enlevé le t-shirt et s'en est alors promptement prise à mon pantalon. Sa main droite encore parfaitement libre s'est conduite du haut de mon corps à la moitié basse de ce dernier. Elle était encore accroupie sur moi, mais ses jambes étaient un petit peu descendues vers les miennes, sans que je ne l'ai remarqué.
Elle a mis sa main sur mon tissu de jean et elle m'a touché le membre à travers. Elle ne l'a pas vraiment touché, mais plutôt palpé. Comme on ose toucher un objet de grande valeur. J'ai ressenti des sensations qui étaient délicieuses. Je n'ai pu m'empêcher de frissonner tant le temps qu'elle avait mis pendant cette soirée pour atteindre cette partie en était longue.
Finalement, j'attendais ce moment. Sans le savoir, je l'imaginais, je l'espérais, je le souhaitais. Mais je ne me l'étais pas avoué. Et là, la voyant sur moi pleine de vie, heureuse, ça m'a provoqué un frissonnement qui a couvert mon corps de cette toute première secousse disons-le, d'orgasme ; Cela m'a par ailleurs excité à un point que je juge culminant dans mon existence.
"Ce n'était sûrement que le début" ne cessais-je de penser pendant ces quelques milli-secondes qui m'ont séparé de la suite de l'aventure - car c'était une aventure.
Encore !
Sweet !!
Encore