MAJestueux !!
Encore une fois, superbe maj.
Mais RIP Kryms.
Là Françis je te tire mon chapeau pour cette magnifique maj
Et je dois te dire que tu donnes un aspect à ce jeu si travaillé avec des maj de qualités
Je te dis Bravo
Magnifique
Et je le redis Francis tu as un sacré talent pour provoquer les émotions par l'écriture
Merci aux morts qui m'ont envoyé des petits messages, ainsi que l'invité
Merci beaucoup à Flash en particulier d'avoir envoyé tous ces messages /
comme toujours c'est une magnifique MAJ
quand je dis je ne lis pas les messages c'est que je les lis mais certain je n'y prete pas plus attention mais je les relis plus tard dsl je me suis pas exprimer
Mais de rien Krymsou, ce fut un plaisir
Bon Flash, lors de la prochaine édition je massacre ceux qui te tue au premier jour
Laissez le un peu jouer ...
Oh merci hermano
Enfin c'est vrai que si je meurt tout au début, je l'aurai vraiment mauvaise
Merci à tous. Touitou et Kryms ça me fait super plaisir.
La màj était bien nulle ,t'as du travail à faire Francis :troll:
"MAJestueux !! "
J'ai explosé non-stop 2 minutes ,je sais pas pourquoi
ya pas que toi jersack c'est un effet MAZ
____________________________ HUITIEME NUIT ___________________________
Le jeu approchait irrémédiablement de sa fin. Les innocents ne cessaient de tomber un à un, les meilleures cartes du Roi Dément étaient parties en fumée : toutes sauf une. Si la conspiration avait pris un grand coup lorsque Marg, Jersack et Wawa sont morts successivement, le dernier Conjuré ainsi que le Perfide se cachaient si bien qu'ils étaient restés éloignés de tous soupçons, et ce depuis le début. Ils vivaient paisiblement au sein du Château et continuaient leur méfaits sans que rien ni personne ne les arrête ...
Cette fois-ci, le Monarque n'admira pas le crépuscule car il était déjà passé depuis un moment, son ultime discussion avec Kryms ayant bien empiété sur la nuit. Il ouvrit les yeux mais ne vit rien : c'était le noir complet, la pénombre totale, là où l'obscurité régnait en permanence. Cette fois-ci, personne ne se rendit sur le trône pour communiquer avec les Putréfiés, bien entendu, et le Roi Dément attendait le lever du jour avec impatience ...
Ailleurs dans le Château, dans la même salle qu'à l'accoutumée. Reclu depuis maintenant deux jours et privé d'audience, Ramirez était assis en tailleurs dans la salle qu'il avait occupé chaque nuit depuis la début du jeu. Profondément déçu de ne plus pouvoir faire part de ses soupçons au reste de la cour, il ne cessait de se dire que les Conjurés allaient finir par l'emporter sur le Roi et que la fin de cette histoire serait tout simplement dramatique ...
Même s'il n'avait plus le droit d'accuser qui que ce soit lors des votes, sa curiosité sans limite le poussait à continuer ses inspections tous les soirs. Ainsi, il se mit une fois encore en condition et parvint à lire comme dans un livre ouvert dans la personne à laquelle il pensait le plus. Ramirez rouvrit les yeux, tremblant, car ce qu'il avait vu était fort inquiétant.
L'homme se leva alors lentement et s'étira à s'en faire craquer tous les os du corps, puis il entendit un bruit métallique. Pour la troisième fois de sa vie ... Il en était sûr, aucune victime ne l'avait entendu tant de fois. Il se retourna alors et aperçut le Conjuré ainsi que le Perfide.
- Jamais deux sans trois ... J'aurais dû m'y attendre, lâcha-t-il à mi-voix.
- Exactement, sauf que cette fois personne ne viendra te sauver. Pas de Médecin car Kirbulle est mort, pas de Bienfaiteur car il s'occupe de quelqu'un d'autre ce soir ... Finalement nous arrivons à ce moment fatidique, où il s'agit tout simplement de toi contre la conspiration. Et nous sommes très pressés de voir comment tes talents orientaux t'aideront à sortir de cette fâcheuse situation, alors impressionne nous ! expliqua le Conjuré.
A ces mots, il dégaina son poignard et se rua vers le Fakir, tandis que celui-ci ferma les paupières et se contenta de joindre ses deux mains dans son dos. Le conspirateur ne perdit pas de temps a attaqua horizontalement comme s'il souhaitait décapiter sa cible, mais celle-ci se contenta de se baisser tout simplement. Il enchaîna alors avec une balayette que le Fakir esquiva en sautant puis avec une attaque d'estoc qui fut à nouveau évitée. Le Conjuré hurla de rage, frustré de ne pas réussir à toucher cet homme étrange comme Wawa l'avait fait.
Il revint alors à l'assaut, plus haineux qu'auparavant, et commença à attaquer à toute allure par tes attaques d'estoc, des coups horizontaux et même des coups de pieds frontaux ainsi qu'au niveau des pieds pour faire perdre son équilibre à sa cible, mais toutes les tentatives du Conjuré échouaient irrémédiablement. Essoufflé, il n'eut pas le temps d'esquiver la riposte du Fakir qui lui frappa la boîte crânienne d'un coup de pied retourné. Le conspirateur tomba au tapis, littéralement sonné sous le regard ébahi du Perfide.
Ramirez rouvrit alors les yeux et prit la parole sur un ton très calme.
- C'est tout de même amusant. La première fois que vous êtes venus m'attaquer, Jersack était mort et c'est Wawa, votre nouveau chef, qui a tenté d'attenter à ma vie. Il s'est suicidé le lendemain. La nuit suivante, vous êtes venus et avez été repoussés par les pouvoirs divins et mystérieux du Bienfaiteur. Et ce soir, vous venez encore une fois pour me tuer mais vous n'y arrivez pas ... Pourtant, je sais pertinemment que je ne survivrai pas à cette nuit. Alors allez-y, ne faiblissez pas, hommes de l'ombre, expliqua-t-il en prenant l'air le plus sérieux du monde.
- Jersack n'a jamais été notre chef, et Wawa encore moins. Lui là, ça n'est pas le chef non plus, c'est un vulgaire pion que je tuerai dès que je n'en aurai plus besoin ! s'exclama le Perfide, profitant du coma de son acolyte. C'est toujours moi qui ait tiré les ficelles, la vie de chaque personne au sein de ce Château dépend de mon humeur, et il en va de même pour la vie de chacun des conspirateurs que vous autres craignez tant ! JE suis le chef. JE suis celui qui aura la Courronne et la gardera pour lui ! Et JE suis celui qui prendra ta vie !
Plus courroucé que jamais, le Perfide dégaina sa rapière d'un geste vif et fonça tête baissée vers sa cible. Ramirez ferma à nouveau les yeux, et prit une grande inspiration. Son adversaire tenta alors d'attaquer d'estoc, mais il fit un bond en arrière pour éviter l'attaque. Il frappa ensuite horizontalement pour le heurter au niveau du flanc, mais la souplesse extrême du Fakir lui permit de se baisser exagérément au point de poser son menton à même le sol. Le Perfide essaya alors de lui asséner un coup de pied au niveau du crâne mais Ramirez s'était déjà relevé. Littéralement à bout, le conspirateur grogna bruyamment et passa sa rapière à gauche ; il attrapa le Fakir par la gorge en hurlant et le plaqua contre le mur le plus proche avant de lui frapper le visage à plusieurs reprises à coups de pommeau.
Le visage de sa cible saignait abondamment mais il n'avait toujours pas ouvert les yeux, et ça n'est que lorsque le Perfide l'empala sur sa rapière qu'il les rouvra. Ils étaient exorbités et injectés de sang. Il transperça alors son meurtrier du regard, et lui cracha le sang qui s'était accumulé dans sa bouche au visage. Le conspirateur vit cela comme un affront inacceptable et retira sa rapière d'un geste sec pour la renfoncer dans la trachée même du Fakir.
Même dans la mort, celui-ci ne quitta pas son meurtrier du regard et resta humble.
Il s'éteignit sans effectuer le moindre bruit et en gardant les paupières ouvertes.
Le Perfide retira alors sa rapière du crâne de sa cible, la laissant s'écrouler au sol dans un bruit sourd. Il se retourna alors vers son acolyte qu'il fixa longuement, avant de décider une fois de plus qu'il était plus judicieux de le garder en vie pour le moment. Il réveilla alors le Conjuré en le frappant avec son pied, puis il retournèrent tous les deux dans leur propre chambre.
Le lendemain, le corps de Ramirez fut retrouvé, transpercé de part en part. Membre de la cour depuis moins de dix jour car il avait été invité par le Roi pour ajouter de l'exotisme au jeu, il n'aura décidément pas fait long feu dans le Château bien qu'il ait survécu à deux attaques des Conjurés. Ceux-ci furent profondément soulagés par sa mort, bien qu'il s'efforcèrent de camoufler leur joie. Tout le monde était là et l'audience pu commencer. Mais ...
- Un malade vous dis-je, un dangereux psychopathe ! Assasin, non mais vous avez vu son nom ? ça en dit long ! J'ai déjà vu cet homme tirer à vue sur des pauvres gamins des quatriers malfamés de Thiercelieux, ce monstre ne mérite paz de vivre ! héla le Délateur.
Le Roi Dément acquiesça silencieusement et déclara les votes ouverts.
Ramirez le Fakir a été assassiné ; Assasin a deux voix contre lui. A vos votes !
C'est vrai que survivre à autant d'attaque c'est pas mal
Joulie màj Francis, jolie parallèle entre le calme du fakir et là haine des conjurés
Merci Jetou. C'est vrai que j'ai bien voulu faire ressortir cette opposition, le Fakir étant généralement une personne très calme, posée et spirituelle tandis que les Conjurés ont une haine très forte et profonde envers le Roi et tous ceux qui le servent. Je trouve que c'est vraiment les deux rôles les plus opposés au niveau de leur "énergie" ...
Quoique le Bienfaiteur est un peu dans le style du Fakir, mais en plus divin, niveau karma.
Bah... Hadouken et kamehameha quoi
Le prochain tu nous fais un fus roh da
Jet J'avais pensé à un genkidama pour détruire une aile du Château.
\ /
Hap donne son énergie !
+
Bonne maj
quand j'ai tue des petits enfants
j'ai des soupsons sur kiki je vote kiki
quelqu'un peut me faire une liste des vivants et des roles svp