Le 22 avril 2021 à 10:01:46 :
Tiens mopipopo, je vois dans la plupart de tes screens que tu as mécaniquement des stacks de 32 unités sur toutes tes parties.

Tu as leur compo et la petite explication qui va bien?

Généralement, il est souhaitable d'avoir une armée de référence qui permette d'occuper toute la largeur de front, avec autant ou un peu moins d'artillerie que d'infanterie. Elle est scindée en deux pour éviter l'attrition.
C'est très pratique d'avoir ces briques élémentaires, qui peuvent fonctionner de manière indépendante contre de petits pays, ou se regrouper sur un théâtre plus dangereux.
Ca te permet aussi d'ajuster la taille de tes flottes de transport.

https://www.youtube.com/watch?v=J0Hh0uvHhSQ
https://www.youtube.com/watch?v=O63oZQpKt_g

Ces deux vidéos expliquent très bien le raisonnement à avoir.

en gros j'utilise 3 compos (hors horde) :
Début (avant les canons) : 14 infanteries/4 cav
Arrivée des canons : 14 inf/4 cav/4 canons (canon avant tout pour les sièges et 4 car on a un bonus +2 sur les forteresses de niveau 2 et ça permet en bonus de faire une breche sur les forts 3 de certaines capitales)
tech13 à 16 (selon la richesse du pays et la capacité de ravitaillement des provinces) : 18inf/14canons, abandon de la cav (ratio cout/efficacité nul en fin de partie) et supplément d'infanterie pour ne pas avoir à attendre une reconstitution totale pour faire un autre combat (ça évite d'avoir à gérer un stack full infanterie et de faire à la main si on utilise le ratio parfait 50/50 qui est trop "glass canon" ))

j'arrête ensuite de faire évoluer ma compo parce que je joue rarement au delà de 1700 et il suffit de toute façon de faire évoluer les armées par paire pour remplir la largeur de combat (parfois je monte le stack à 40 (22/18) pour la fin de partie)

c'est pas 100% opti mais je prends aussi en compte la capacité de ravitaillement et 32 permet de passer quasi partout avec la tech 17 sans prendre trop cher en attrition 32 permet aussi de venir à bout de quasi toutes les rébellions (avec un bon général) et d'avoir un max d'armée capable d'assiéger tous les forts (sauf parfois les forts 8 des pays qui ont pris quantité et qui ont des idées nationales renforçant les garnisons) mais c'est assez rare )

Bref pour du solo c'est le bon équilibre entre opti et praticité

j'avais pas vu le message de valfary, mais il résume bien l'idée générale et je me souviens avoir vu sa 2ème vidéo quand je m'étais penché sur la question

Merci à tous les deux

J avais justement regardé la largeur de front et je me demandais pourquoi on n'occupait pas toute la première ligne avec cette compi mais ca paraît logique de renforcer quasi instantanément !

Partie commencée avec la Castille. L'objectif principal est de finir l'arbre de mission espagnol, et je voudrais aussi m'approcher de la WC.
J'ai pour vassaux l'Ethiopie, Madurai, Pégou et Ayhutaya (c'était une erreur je pense d'avoir deux vassaux si proches, ça m'a ralenti pour les faire grossir).
Ce qui est marrant, ce que je commençais à me plaindre de mon manque de chance, n'ayant jamais été contrôleur de la Curie en ayant le plus d'influence investie à chaque fois. Le jeu m'a pris en pitié et m'a donné en l'espace de 30 ans deux UP gratuites avec la Russie et la Bohème (simple mariage royal, ma lignée n'était pas sur le trône, aucune guerre ), en plus de celle que j'avais déjà obtenu avec la Hongrie.

Hors Europe, tout le monde est extrêmement faible. Ming, à cause de ses dettes, n'est jamais intervenu pour défendre ses tributaires ; je ne suis arrivé en Inde que vers 1640, mais il n'y avait encore aucune puissance dominante ni réseau d'alliances inextricable, alors j'ai tout démoli, ce qui a poussé Delhi à lâcher le rôle de défenseur du sunnisme.

Je n'ai eu que 3 guerres vraiment délicates pour le moment : la première guerre contre les Mamelouks, celle contre les Ottomans, et celle contre la Pologne.

Mes deux prochaines cibles sont les Mandchous et Ming, surtout lorsque j'aurai la technologie administrative 23. La seule crainte qui me reste concerne l'Europe, avec une alliance Pologne/Royaume-Uni/Brandebourg, ce dernier étant empereur, et pas très loin de former la Prusse. Mon alliance avec la Pologne a pour but de m'ouvrir un créneau pour prendre le Brandebourg en 1v1 et le faire bouffer à la Bohème.

Ma plus grosse erreur pour le moment est de m'être trop concentré sur l'Afrique du Nord et de l'Ouest, au lieu d'utiliser l'arbre aragonais en Europe. A cause de ça, je suis arrivé trop tard en Perse (déjà formée en plus). Heureusement, l'achat de provinces en Asie m'a permis de manger rapidement les nœuds des Moluques, des Philippines, et surtout de Malacca. Mes cycles de conquête ne sont pas optimaux pour le moment, mais je pense que mon objectif de WC reste atteignable, surtout si je garde la Russie comme UP jusqu'au bout.

D'ailleurs, le plus gros défi sera de finir la partie avant que le patch du 27 détruise ma sauvegarde

il suffit de désactiver la MàJ automatique

Le 23 avril 2021 à 10:38:00 Valfary2 a écrit :
D'ailleurs, le plus gros défi sera de finir la partie avant que le patch du 27 détruise ma sauvegarde

J'ai aussi ce souci, je fais une partie Albanie là, ça va être coton
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Maredioa

Je ne suis pas pressé avec le patch éclaté, donc j'avance tranquillement laborieusement vers la conquête planétaire.

Le centre de révolution a rapidement disparu, et la dernière institution semble ne pas vouloir apparaître. Je voulais d'abord intégrer la Russie, mais j'ai remarqué qu'elle était très efficace pour convertir les provinces (contrairement aux Etats-clients qui sont attentistes), alors j'ai décidé de bien la faire grossir et de la garder jusqu'au bout (tant pis si ce n'est pas une conquête propre).
De la même manière, et parce qu'ils me détestent, je vais sans doute garder la Bohème, mon vassal indien et Lippe (une autre UP obtenue quand j'essayais en vain d'être élu empereur).

Voilà ce que ça donne avec la carte des joueurs. Les deux dernières colonies sont presque terminées, et je pourrai enfin virer les idées d'exploration pour prendre les deux premiers niveaux des doctrines administratives.

J'ai un peu merdé avec la Pologne, que j'ai laissé grossir au-delà du raisonnable. Je vais sans doute devoir briser une trêve ou deux sur la fin à cause de ça. Du reste, ce tableau des grandes puissances est bien pratique pour choisir la prochaine cible à réduire à néant.

J'ai l'impression que le succès "One faith" est jouable. Je garde sous le coude la politique +3% de puissance des missionnaires pour convertir les hérétiques à la chaîne dans les dernières années.

J'ai quand même trois grosses interrogations pour la fin de la partie :

-Est-ce qu'il y a encore quelque chose à faire de cet argent ? J'ai déjà construit les canaux (sauf Suez que je ne contrôle pas), et je mets des hôtels de ville partout pour rester dans les limites de ma capacité de gouvernance.
-Pareil pour les points militaires. A part prendre les tech à 999, je ne vois plus trop à quoi ça peut servir.
-Est-ce que ça vaut le coup de prendre les dernières technologies admin et diplo ? Je sors de 50 ans de règne d'un foutu 1/3/5, avec tout juste les points admin pour légitimer les provinces conquises en restant à 100% de surexpansion et les points diplo pour annexer mes vassaux, alors c'est devenu une ressource très précieuse.

Quoi qu'il en soit, je suis content d'approcher de la fin, je commence à devenir fou (surtout que je micro-gère presque tout depuis le début de la partie).

tu peux faire des cathédrales pour convertir plus vite avec ton argent et subside les vassaux qui convertissent pas
les points militaires, tu peux réprimer les révoltes avec à ce stade
tu peux OSEF des tech admin après la 27 et diplo après la 25

J'ai bien fait de demander, j'avais complètement oublié pour les cathédrales.

Je vais voir ce que ça donne avec les vassaux, je croyais que leur tendance à ne pas convertir venait plutôt de leurs idées qui donnent des bonus de tolérance.

J'ai envie de me pendre...

tu peux toujours esperer un event de conversion

C'est normal ou c'est un bug ça ?

c'est l'ia qui laisse un colonisateur dev la province, tu peux interdire ça dans les options de la colonie, mais ça marche pas toujours

la seule solution est alors de relacher la colonie et la réannexer pour convertir la province ça manquait déjà pas de bug avant la 1.31

Partie Albanie 1.30.6

J'ai commencé la partie par une attaque préventive sur les Ottomans avec l'aide de Byzance et des Mamelouks
Au cours de cette guerre sans réelle bataille, j'ai réussi à récupérer mon core, la province bloquant le détroit des Dardanelles et une province ayant un core bulgare.
Libération de la Bulgarie comme vassal juste après la paix.
Brunswick hérite de la Bourgogne en 1462.
Deuxième guerre contre les Ottomans en 1464 pour défendre la Hongrie avec l'aide de l'Autriche. La guerre prend fin plus de 4 ans plus tard avec une paix quasi-blanche.
Début de l'âge de la Réforme en 1494. Alliance avec Hongrie, France, Brunswick et Autriche.
Attaque contre Venise en 1499 avec l'aide de la Hongrie et de Brunswick. Guerre remportée en 1503 sans réelle bataille et prises de multiples provinces.
Libération de Byzance et de la Dalmatie juste après la paix.
Guerre contre la Bohème et la Moscovie pour aider l'Autriche de 1511 à 1515.
Récupération des provinces légitimes dalmatiennes en 1523, ainsi qu'une province en Italie.
La Dalmatie est intégrée en 1527.
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Le monde en 1531 :

En 1540, l'Ottomans attaque Gênes allié à Venise et l'Espagne, juste après une longue guerre contre les Mamelouks. J'en profite pour l'attaquer en ammenant l'Autriche, la Hongrie, la France et aussi la Pologne-Lituanie.
Une croisade est déclarée quelques mois plus tard.
Malgré le quadruple des pertes musulmanes, l'alliance catholique prend le contrôle des Balkans en 1541. Une importante bataille est gagnée en Mai à Gelilobu.
Suite à la prise de contrôle de la partie européenne de l'Empire, la guerre tourna rapidement en défaveur des Turcs.
La paix fut signée en 1549 avec la prise de toutes les provinces côtières européennes par Byzance et la Bulgarie, ainsi que la prise de 2 provinces criméennes par la Pologne, et surtout la prise de Constantinople par l'Albanie.
Constantinople est converti à la foi catholique en 1561.
Peu après, une seconde guerre sera déclarée à l'Empire Ottomans et permis de récupérer toutes les provinces légitimes byzantines et bulgares.
En 1569, la guerre des ligues éclate. L'Albanie se joint aux catholiques, ce qui mis fin à l'alliance avec la Pologne-Lituanie.
Paix majeurs côté Catholique : Autriche, Albanie, Hongrie, Moscovie, Brunswick, Naples
Paix majeurs côté Protestant : Landshut, Toscane, Danemark-Suède, République des Deux-Nations, Ottomans
Dans une paix séparée, l'Autriche offre la province toscane de Bologne à l'Albanie en 1572 ainsi que deux provinces à Naples, qui s'est libérée d'une union personnelle sur la France quelques décennies plus tôt.
La paix finale est signée en 1577, l'Ottomans perd 2 provinces au profit de la Hongrie et le Catholiscisme est la foi officielle de l'Empire.
Byzance est intégrée en 1579.
Un conseil de régence est mis en place en 1588 mais il est destitué en 1589 suite à un changement de réforme gouvernementale.
La Bulgarie est intégrée en 1591. L'Albanie devient une grande puissance.
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Le monde en 1591 :

L'Ottomans est à nouveau amputée d'une partie de son territoire en 1594.
L'Albanie perd pourtant sa place de grande puissance en 1597 alors qu'une guerre l'oppose à la Grande Horde, Uzbek et la République des Deux-Nations.
Les Mandchous s'emparent du trône céleste en 1598.
L'Albanie devient un Royaume en 1603.
Theodoro est vassalisé diplomatiquement en 1605.
L'Albanie redevient une grande puissance en 1606.
L'Arménie et Theodoro sont intégrés en 1618.
Obtention d'une union personnelle sur Hesse en 1634.
L'Albanie devient contrôleur pontifical pour la première fois en 1651.
Le Royaume d'Albanie entre dans son âge d'or en 1653, et atteint le professionnalisme maximal en 1654.
La première guerre opposant l'Albanie aux Mamelouks est remportée en 1655.
L'Empire d'Albanie est proclamé dans la foulée.
Obtention d'une union personnelle sur le Brandebourg en 1674.
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Le monde en 1674 :

Obtention d'une union personnelle sur Bayreuth en 1678.
La même année, le Duc de Trêves succède à l'Archiduc d'Autriche à la tête du Saint-Empire Romain.
Héritage du trône de Hesse en 1695.
Kiev et la Crimée sont intégrés en 1698.
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Le monde en 1698 :

Obtention d'une union personnelle sur Thuringe en 1703.
Naissance de la révolution en Espagne en 1717.
Obtention d'une union personnelle sur l'Espagne en 1724.
En 1735, le Portugal est expulsé d'Ibérie et son territoire est partagé entre l'Albanie et l'Espagne.
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Obtention du succès Albanie et Ibérie :

Je ne sais pas si je continue la partie (étant donné l'état actuel du jeu en 1.31) ou pas.

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Maredioa

Partie commencée avec la Castille :

La couronne castillane porta d'abord sur regard sur le Portugal, pendant que son allié anglais perdait face à la France, afin de récupérer Porto et Ceuta.

Ne trouvant pas de bonnes opportunités d'expansion en Europe, la Castille se tourna vers l'Afrique du Nord, dont le jeu d'alliance était très fragile. Le Maroc a été vaincu une première fois, conduisant à la libération de Fez comme vassal. L'union ibérique eu lieu très tôt, et la dot conférée à Aragon fut la côte des Barbaresques, alors que le Tlemcen était simplement vassalisé.

L'union a ensuite été rétablie avec le Portugal, mais Naples a dû être conquise (quelqu'un peut-il m'expliquer les conditions pour les missions qui donnent soit des CB d'UP, soit des revendications ?).

La guerre majeure des cinquante premières années a été livrée face aux Mamelouks, qui disposaient de forces similaires. La mince bande de terre sous-développée menant à Alexandrie rendit l'avancée des troupes très ardue, et la stratégie victorieuse fut finalement de laisser les forces ennemies s'avancer jusqu'à Tunis afin de les exterminer séparément. Le traité de paix obtenu a permis à la Castille d'acquérir Jérusalem, Gaza et le Sinai, coupant en deux le territoire Mamelouk. Fez était également libéré comme vassal castillan.

Le monde en 1500 :

Continuant sur cette lancée, le reste du Maghreb a été envahi et donné aux vassaux espagnols. Fez, puis Tlemcen et enfin le Fezzan furent annexés. L'Espagne fut formée en 1520, alors que les colonies de Cuba et du Nouveau-Portugal prenaient vie aux Caraïbes et en Floride.

Une nouvelle guerre contre Naples permit l'acquisition de la Calabre. Les Flandres furent vassalisées suite au partage du territoire bourguignon, et la forteresse autrichienne de Split conquise.

Au Levant, le premier coup porté aux Mamelouks les avait terriblement affaiblis ; ils perdaient pied face aux Ottomans et à l'Ethiopie. Le territoire Fezzan fut reconstitué et la Syrie libérée en 1518. 15 ans plus tard la Syrie récupérait l'essentiel de ses provinces légitimes, et avant 1550, la rive droite de la mer rouge, tout comme Alexandrie et Rosette, était envahie.

Dernier colosse de la région, les Ottomans furent domptés une première fois début 1530, et Byzance libérée. Cet effondrement fut aussitôt exploité par les Hongrois et les Polonais. En 1550, suite à une nouvelle guerre remportée par l'Espagne et ses sujets, les turcs avaient perdu la quasi totalité de leurs terres européennes.

Une première implantation espagnole en Afrique conduisit à une guerre contre le Mali et les Peuls, à la suite de laquelle l'Espagne s'assura une emprise totale sur le commerce en Guinée. En parallèle, la Nouvelle-Grenade était fondée en Colombie, et des comptoirs espagnols instaurés dans les provinces brésiliennes les plus prometteuses.

Le monde en 1550 :

Les solides finances espagnoles conduisirent à l'achat successif de comptoirs commerciaux dans le Bengal, sur l'île de Sumatra, et sur celle de Java. Pasai et Majapahit firent les frais de la voracité espagnole, qui s'accapara plusieurs centres commerciaux des nœuds des Moluques et de Malacca, à la valeur incommensurable. Brunei et son allié Sulu furent attaqués dans la foulée, entraînant une première pénétration espagnole dans les Philippines et sur Bornéo. Malacca, bien défendu par Ming, était une trop grosse proie pour les minces armées espagnoles envoyées dans le Pacifique.

L’Espagne se concentrait en effet essentiellement sur la ligue protestante qui s’était formée. Elle n’était pas bien impressionnante puisque les Archevêchés de l’ouest du Saint-Empire dominait la région, tandis que le protestantisme ne s’était pas enraciné chez les électeurs de l’est. Renforcée par plusieurs grandes puissances, notamment la France et la République des deux Nations, elle demeurait préoccupante pour l’Espagne, qui garda donc le gros de ses forces en Europe. Un maigre détachement de conquistadors était acheminé vers l’Amérique, et une chétive armée préservait les conquêtes africaines.

Les protestants attaquèrent avant la fin des années 1560, mais ne parvinrent jamais à menacer profondément la ligue catholique dominée par l’Autriche et l’Espagne. La guerre pris fin rapidement, avec une poignée de gain territoriaux, principalement dans les Flandres.

Ayant le champ libre en Europe, l’Espagne attaqua Lucques, qui s’imposait en Toscane. Florence fut restaurée, et plusieurs guerres conduites pour lui donner l’intégralité des provinces de la contrée.

Peu de temps avant la fin du siècle, la dynastie des Trastamara accéda au trône en Hongrie. La légitimité de l’héritier désigné fut fortement contestée, aussi le roi d’Espagne envahit-il la Hongrie pour faire valoir ses droits et gouverner lui-même le pays. Les Ottomans furent vaincus une nouvelle fois, et définitivement expulsés d’Europe.

En Afrique, l’Espagne s’étendit rapidement sur plusieurs fronts. Dans l’ouest, Mali et le Songhai étaient écrasés. Dans la réigion congolaise, Yaka et ses vassaux furent écrasés, le Congo libéré en tant que vassal. Au sud, le cap de Bonne-Espérance était colonisé. A l’est, Kilwa, Paté, Mogadiscio et l’Ethiopie était vaincues, devant accepter de lourdes concessions territoriales. Dès la fin du siècle, l’Espagne dominait tout le commerce du continent, et Séville était devenu le nœud le plus riche de la planète.

Dans la région du Méxique, une maigre armée de 20000 conquistadors domina sans mal les vieux empires aztèques et mayas. La Nouvelle-Espagne fut établie sur les ruines de cette civilisation agonisante. La Norvège, libérée du joug danois, devenait la première nation européenne après l’Espagne et le Portugal a s’aventurer en Amérique.

Le monde en 1600 :

J’écrirai la suite dans la soirée.

Florence est annexée dans les premières années du XVIIe siècle. L’Espagne laisse l’Europe de côté pendant un temps, conquérant seulement la Wallonie et le Brabant pour le compte des Flandres, ainsi que quelques provinces Lombardes. L’Angleterre, la France et la Frise se lancent dans la colonisation, acquérant les îles éparpillées dans les océans du globe. Dans le début des années 1610, suite à une centralisation rapide du pays et une réduction de l’autonomie provinciale, une fronde éclate, menaçant grandement l’autorité des Trastamara. La dynastie régnante sort cependant renforcée de cette période d’instabilité. Les rebelles sont vaincus ; les espagnols sont heureux de retrouver le calme, alors que l’expansion de leur nation rend les conflits de plus en plus lointains.

En Amérique du sud, la Plata et le Pérou espagnols sont fondés, l’une par la colonisation, l’autre par la conquête des civilisations des Andes. Peu à peu, les tribus éparses du continents sont vaincues et intégrées au territoire de la Nouvelle-Grenade, du Brésil ou de la Plata. Le continent entier passe sous contrôle espagnol dès 1645, bien que de nombreux territoires restent à coloniser, notamment à l’intérieur des terres.

Dans le même temps, la conquête des riches provinces du Mexique avance : Itza est presque anéantie, et seuls certains anciens vassaux des Aztèques préservent encore leur indépendance. Plus au nord, les vastes territoires de Californie et de Cascadie sont colonisés. L’Angleterre parvient à fonder Newfoundland, se partageant le Canada avec la Norvège, désormais exilée en Amérique du Nord, puis envahie par une armée espagnole. Certaines provinces d’Amérique de l’est sont aussi colonisées par l’Espagne, le Portugal s’intéressant davantage à la Louisiane.

La conquête du Niger se poursuit sans encombres, et est achevée avant 1650. Plus au sud, les provinces légitimes du Congo sont reconquises, avant son intégration à l’Espagne. A l’est, la glorieuse nation hispanique prend progressivement le contrôle de la façade maritime.

Byzance et la Syrie sont annexées, mais les conquêtes s’arrêtent pour le moment dans la région, l’Espagne se tournant progressivement vers les richesses indiennes. Le sous-continent est morcelé entre plusieurs puissances moyennes, aucune ne parvenant à prendre un avantage définitif sur les autres. Leurs rivalités résultèrent aussi en un tissu d’alliances fébriles, sur lequel l’Espagne souffla sans hésiter. Le Bengal, Andhra et Vijayangara, isolés diplomatiquement, furent tour à tour attaqués et privés de leurs principaux centres commerciaux. Suite à cette série de conflits, Madurai et Pégou furent restaurés. Leurs provinces légitimes leurs seraient rendues dans la foulée.

En Indochine, Lan Xang, l’une des rares nations de la région n’ayant pas le statut de tributaire des Mings, découvrit avec stupeur la force espagnole. Les Khmers furent créés à partir des provinces arrachées à Lan Xang.

Pasai et Majapahit furent achevés, Brunei réduit à une poignée de provinces. La colonie de Tierra Austral naquît quant à elle en Australie.

Le prestige de la dynastie des Trastamara était sans égal, toutes les nations européennes se pressaient pour nouer des liens avec cette dynastie victorieuse. Ainsi, en 1641, le tsar de toutes les Russie mourut sans héritier. La noblesse locale, craignant une implosion du pays, donna le titre à Felipe VI de Trastamara, désormais Empereur d’Espagne, Tsar de Russie et Roi du Portugal.

Le monde en 1650 :

Désormais, l’Espagne est active sur tous les fronts, les armées déployées dans toutes les possessions des Trastamara fonctionnent en toute indépendance et écrasent leurs adversaires locaux.

Les tribus Amérindiennes restantes subissent le même sort que les natifs d’Amérique centrale et du sud. En Afrique, l’Ethiopie est vassalisée, ses territoires reconquis. Le Congo est entièrement sous contrôle espagnol, et seule une poignée de provinces sans intérêt subsiste encore dans l’est du continent.

En Inde, l’avancée espagnole s’accélère. Vajiyangara est rejeté au Sri Lanka. Bahmani, Gujarat et la grande puissance de Delhi, qui se revendique défenseur de la foi sunnite, sont écrasés ; leur territoire est morcelé, laissé aux mains des rebelles. La Perse voisine est elle aussi implacablement démantelée.

En extrême orient, Ming conserve un territoire puissant, mais est fortement affaiblie par une succession de guerres avec ses voisins. Submergé par les dettes, son mandat céleste effondré, Ming ne peut plus protéger ses tributaires. Tondo, Malacca et le Dai Viet en subiront les conséquences. La Mandchourie est envahie grâce au soutien des forces russes, reformées depuis que leur dette faramineuse a été remboursée par l’Espagne. Sans défenses, Ming est écrasé une première fois par l’Espagne.

La situation européenne est autrement plus complexe. Les Flandres sont annexées en 1651 et le Portugal est intégré en 1665. La République des deux Nations forme une UP avec l’Autriche, et le Brandebourg devient le nouvel empereur du SERG. La Bohème, démise de son rôle d’électeur, se rapproche de l’Espagne, dont elle devient le partenaire mineur. L’alliance de la République des deux Nations avec le Brandebourg et la Grande Bretagne a longtemps contenu l’Espagne, qui préférait se concentrer sur d’autres fronts. Le statut quo devait être brisé, et l’Espagne attaqua le chef de l’alliance en 1655. La guerre qui s’ensuivit fut longue et âpre, mais la victoire de l’Espagne fut totale. Toutes les provinces légitimes de la Russie et de la Hongrie leur furent rendues. Cette dernière obtint par ailleurs tout la Moldavie, et l’Espagne fit l’acquisition des Hébrides, d’où elle espérait pouvoir plus facilement débarquer en Grande Bretagne.

Cette stratégie fit ses preuves lors d’une guerre contre la Grande Bretagne et la Scandinavie. Cette fois-ci, ce furent l’Ecosse et le Danemark qui recouvrèrent leur liberté.

La France, isolée diplomatiquement à cause de sa religion, fut elle aussi coupée en deux, dans les dernières années du siècle.

Le monde en 1700 :

Suite à cela, les choses s’accélèrent drastiquement. Dès qu’une trêve prend fin, l’Espagne attaque et continue de s’étendre. De nombreux vassaux et États-Clients sont créés et annexés pour soutenir le rythme intense de cette expansion. La Bohème prend presque tous les territoires du Brandebourg ; la Russie s’étend en Tartarie et vers la Pologne ; le Japon, épargné jusqu’alors, tombe peu à peu.

Le monde en 1750 :

La Grande Bretagne est achevée en 1763, ses colonies passant de fait sous souveraineté espagnole, mettant un terme à la conquête du Nouveau-Monde. Les dernières provinces de Ming tombent en 1772 ; la conquête de l’Afrique prend fin en 1782, dans la foulée de celle du Japon et de l’Indonésie. En 1791, seule une poignée de pays indépendants subsiste en Europe. La République des deux Nations, seule rivale de l’Espagne, disparaît enfin en 1802. En 1810, après un processus de près de 50 ans, la Russie est intégrée à l’Empire espagnol, suivie par l’Etat-Client installé en Inde.

La conquête mondiale prend fin en 1812. Pour marquer cet événement fabuleux, l’empereur décide de restaurer l’Empire Romain, moins de dix ans après que l’imposture du SERG a été écrasée. Lippe est intégré à l’Empire dans les années qui suivent, alors que certains colonies doivent être relâchées puis envahies pour d’obscures motifs de conversion religieuse

Pour les doctrines, j’avais commencé avec exploration, mais j’ai remplacé ça par les idées administratives dans les dernières décennies. Avoir eu assez de points pour compléter l’ensemble montre d’ailleurs que j’ai créé trop de vassaux, et que j’aurais dû privilégier les annexions directes.

Dans l’ensemble, la partie s’est bien passée, malgré de nombreuses erreurs stratégiques. Les patchs récents facilitent bien les choses, et permettent la WC tout en restant dans une situation parfaitement stable. Je n’ai jamais fait d’emprunt, jamais dépassé les 200% de surexpansion (et même les 150% jusqu’aux toutes dernières décennies), jamais dépassé la capacité de gouvernance, et n’ai eu recours qu’une seule fois à des mercenaires. Avant la 1.30, je crois que c’était impossible d’être aussi tranquille.

Première partie finie en 1.31 démarrée avec Milan qui as formée l'Italie puis l'Empire Romain puis l'Empire Romain révolutionnaire.

En vrai je ne voulais pas forcement être révolutionnaire, c'est juste que un pays en Inde l'est devenu et à répandu la révolution sans que je puisse la brisé (pour une raison inconnue je ne n'avait pas le cb pour l'écraser) et quand le désastre est arrivé je me suis dit que pourquoi pas, de toute façon j'avait presque finit mes conquêtes.