Je donne 2 points pour l'acte de cruauté gratuite / /
et 400 d'argent

Ouais /

Bilbonch

Bon, va falloir que je m'y remette mine de rien

Demain, promis, j'écris un chap

Merci Lenski, mes stats :

Force : 4
Résistance : 4
Déviation : 4
Vitesse : 4
Escalade : 4
Discrétion : 4
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage ) : 4
Argent: 4 800

Et je prends la grande évasion.

Moi je sais pas sur quoi écrire

J'ai un début avec Dietrich

Je pensais aussi faire un rapide détour sur la seconde guerre vu que l'état d'esprit des Lenski est sensiblement différent par rapport à celui des temps précédents

Enfin ils ont une mentalité semblable mais ils ne sont plus les immenses seigneurs intouchables /

Les gens, vous pouvez me faire un petit sommaire de tout vos derniers chaps, sil vous plaits?

Je compte les lire

jet : go sur le forum de flamme

D'ailleurs il faudrait que je termine l'histoire des russes

http://l-ere-des-assassins.forumjv.com/1-90243-11919-1-0-1-0-victoria-et-bismarck.htm

Alcahe, ton style s'affine, et je commence enfin à voir la folie de ton personnage
La question que je me pose, c'est pourquoi tu ne fais pas de chapitre de transition? Tu passe d'un lieux a un autre, d'une situation à une autre... Tu pense pas que certains passages méritent plusieurs chaps? En tout cas, continu

Bilbo, le projet réincarnation, c'est cool.

franz il faisait si peur que ça au réincarnation? j'attends de voir où ça nous mènes

jet : ça nous méne vers une grosse guerre en 2012 \ /
Tous les "champions" du présent vont devoir se battre contre leurs homologues du passé \ /

• remet la machine en marche*

\ /

[France occupée , 1943]
-Alors c'est vous qui dirigez tout le clan , commenta l'As de Pique .
Le Von Leinstniz se contenta de regarder par la fenêtre tout en se tenant aux côtés de son allié du moment . Il cligna des yeux avant d'observer le vieillard qui venait de lui parler .
-Les choses ne vont pas si bien pour notre famille que lorsque les pactes liant nos deux branches ont été signés . La révolution russe et la première guerre mondiale a provoqué …. Beaucoup de changements . Les russes ont perdu de leurs pouvoir et ils sont venus se placer sous la protection de mon père .
-C'est grâce à cela que vous dominez …. Que comptez-vous faire après tout cela ?
-Nos deux familles n'ont cessé de combattre pendant les deux derniers millénaires . Que pourrions-nous faire d'autre ?
-En effet …. à propos de combat ….
-Les Lazaro ont refusé de se joindre à nous mais promettent leur neutralité . Lansikh accepte de nous offrir toutes les informations disponibles sans pour autant s'engager physiquement , Chevalier a promit de traquer le Magerlan grâce aux ondes radio , Loeben dit qu'il mettra ses hommes à disposition dés que vous en donnerez l'ordre . Svenson a affirmé que les assassins suédois ne désiraient pas voir un Magerlan sur leur territoire . L'espagnol au nom imprononçable refuse de nous répondre mais nous savons par son « porte-parole » qu'il a trop peur de l'union de nos deux familles pour aider les Magerlan . Les Maeda sont trop préoccupés par leur politique intérieure pour nous offrir de l'aide .
-Je vois ….
-Je me disais …. Pourquoi éliminer les Magerlan ?
-Vous plaisantez ?
-Pas du tout , répondit l'allemand . Les familles les plus importantes sont prêtes à se ranger de votre côté si vous les menacez un peu et les autres suivront . Avec autant de soutien vous pourriez surpasser assassins et templiers …. Vous pourriez gouverner le monde .
-Vous les Lenski ne changerez jamais …. à peine détachés d'un Puissant que vous cherchez à vous en trouver un autre ….
-Cela valait au moins le coût d'essayer …. Mais je pense que vous ne devriez pas le mettre à mort sur le moment . Les familles d'assassins n'ont jamais été aussi unies que maintenant . Qui sait si cette chance se représentera un jour .
-Certes , certes …. Parlez moi du projet ….
-Réincarnation ? Je n'ai aucun document mais je peux vous en parler .

Ailleurs , dans la demeure .
-Bielinski!
L'homme se retourna tout en envoyant un coup de poing . Son coup rencontra un autre poing et il resta figé face à son adversaire .
-As , je présume .
-Décidément … Des individus très intéressant vivent ici … Je suppose que nous sommes en quelques sortes pareils . Nous n'avons rien à voir avec le commun des mortels …. Depuis le temps que j'avais envie de vous comparer à nous .
-Nous ne sommes pas pareils , répondit Bielinski .
As le toisa du regard tandis que le russe se massait la main .
-J'ai horriblement mal et je ne risque de pas pouvoir écrire pendant au moins deux jours . Je savais que vous étiez des monstres en comparaison aux autres hommes mais à ce point ….
-Vous cherchez toujours les fragments ?
-En posséder un seul nous convient . Ne vous inquiétez pas , les bottes resteront à vous . Que les accords anciens soient respectés et vous n'entendrez plus parler de nous .
-Et dans le cas contraire ?
-Je l'ignore .

Dans une autre partie .
-Malroy , je présume …. Lequel , le coincé ou le taré ? Demanda Lane .
-Lane … J'ignorai que vous aviez rejoint vos rivaux .
-Les rivalités sont trop vieilles pour y accorder de l'importance , voyons .
-Que vous as-t-on promit ?
-Les Lenski accepteront de me restituer la pomme d'eden une fois les plus grandes familles d'assassins unifiées .
-C'est impossible , voyons .
-Tous se rallient à l'As de Pique . Les Malroy , les Lenski , les As de pique …. Honnêtement , qui pourrait s'y opposer ?
-Tout cela n'est que temporaire .
-Ne soyez pas rabat-joie .
-Quel sera vôtre rôle ?
-Comme les Lenski , bloquer tout renfort potentiel au Magerlan et à ses alliés .
-Et si les As de Pique perdent ?
-Qui est au courant de notre accord ? Il suffira juste d'affirmer que nous avons éliminé les ennemis des Magerlan .
-Vous êtes prêts à miser sur les deux tableaux .
-Et vous ? N'étiez-vous pas proche du Magerlan ?

Dans le bureau de l'As de Pique .
-Je vois ….
-Vous y avez pensé , n'est-ce pas ? Demanda l'allemand .
-À partir d'un échantillon d'adn , recréer un homme …. Une pomme d'eden .
-Je ne peux pas croire que vous n'y aillez pas pensé avant . Un membre haut placé du parti nazi pouvant se proccurer des informations capitales et dont la famille détient une pomme d'eden …. Un projet permettant de créer artificiellement des héritiers… Il ne vous manque qu'un ou plusieurs cobayes très puissants …. Tous les ingrédients dont vous avez besoin se retrouvent dans un même lieu …..

Jet_lag Merci; A vrai dire, pour les chapitres de transition, je sais pas, ça ne me tente pas beaucoup... Je trouve que ça risque d'alourdir mes chaps... Mais je vais y réfléchir...

Et pour la folie, ce sera un grand avantage si vous voulez suivre l'aventure d'Alec. Perso, lorsqu'il a tué Jane et a dénoncé Benjamin, c'était l'esprit de son ex-chef qui le contrôlait. A vrai dire, plus ma compétence augmentera, plus vous verrez Alec devenir dangereux et inquiétant. Lui-même ne comprendra pas ce qui lui arrive et sombrera dans l'alcool et la dépression. J'aime bien montrer des personnages déchirés par ce qu'ils leur arrivent...

Et voici ma mission :

http://www.youtube.com/watch?v=cly40JbG8TE&feature=related

Chapitre 142
La chute de l'assassin courtois.
22 avril 1514, Venise.

J'entendis quelqu'un frapper à la porte, ce qui me réveilla. Je me levais dans un grognement. J'étais rentré avec Michelo trois jours plus tôt, et j'avais vu Flore et les assassins hier. L'ordre s'était un peu agrandi depuis notre départ pour Londres. Je n'était néanmoins pas resté très longtemps. Je ruminais mon meurtre et m'était juré de mettre fin à mes jours si je refaisais une bêtise pareille...

Le bruit se fit un peu plus pressant.

"J'arrive ! J'arrive ! Râlais-je."

J'ouvris la porte. Ce n'était que Michelo... Blessé à la poitrine ?! Il m'écarta et rentra.

"Michelo ? M'étonnais-je tout en fermant la porte. Que c'est-il passé, nom de Dieu ?
_ Argh... Grogna Michelo en s'asseyant. Ils m'ont eu...
_ Qui ? Qui t'as eu ? Le pressais-je.
_ Les gardes, pardi ! M'houspilla-i-il. Carmine, Peter, l'homme que tu as rencontré avant le siège de Meratto, il a capturé Francis et le détient à la prison de Padova ! Gino m'a envoyé te porter la nouvelle, mais les gardes m'ont attaqué en chemin. J'ai réussi à les semer et à me rendre ici... Teuheu... Enfuis-toi, Carmine, ils vont débarquer d'une minute à l'autre... Laisses-moi ici, je vais mourir de toute façon... "

Au moment où il finit sa phrase, les gardes toquèrent à la porte. Je voulus y aller mais Michelo me retint. Il me regarda, sortit un pistolet puis me demanda de partir. J'hésitais un instant, puis montait, après lui avoir fait mes adieux. J'ouvris ma fenêtre et entendis un bruit sourd, suivi d'un coup de feu, puis par des cris, des bruits de bataille, un autre cri, et enfin, le silence. Dégoûté par la mort de mon camarade, je sautais dans le Canal, après avoir pris diverses souvenirs de Viana et de ses dix dernières années. Désormais, il m'étais impossible de retourner dans ma propre maison...

• Le soir.*

J'étais enfin arrivé à la prison de Padova. La prison n'était pas tout à fait à Padova, elle se trouvait en faite à une lieue de la ville. Ce bâtiment était entouré de mur et des patrouilles se balladaient dans tous le secteur. Si je voulais passer en force, j'aurais été tué sur le coup. Il me fallait donc escalader le mur si je voulais passer. Ce mur, malheureusement, était au moins aussi haut que la Basilique San Marco, et je n'étais pas très fort en escalade. Mais Peter et Francis était ici, il fallait que je sauve au moins l'un des deux...

Je m'approchais de la muraille que deux gardes protégeaient. Je m'approchais discrètement d'eux. J'assassinais le premier garde.

"Merde ! Alerte ! ALERTE ! Paniqua le garde, hystérique. AAALLLEEERRRTTTEEE !!"

Je le tuais. Trop tard : Deux patrouilles accouraient. Je perdis le contrôle et mis mes mains sur ma tête, jetant au passage mon épée.

"Attendez ! Criais-je. Je veux parler au caporal Peter Slanger !
_ C'est lieutenant Slanger, maintenant ! Se moqua une voix.
_ Peter... Aboyais-je.
_ Quoi, Alec ?! Ricana Peter. Tu t'attendais à quoi, un comité d'accueil et des filles ? Eh bien non, my friend (mon ami), tu n'auras rien de toute ces conneries... Et ton ami aussi."

Tout en disant cela, il cracha sur Francis, qui était ligoté à côté de mon ex-coéquipier. Francis releva le tête, ce qui me fis sursauter de peur tant Peter avait maltraité le pauvre assassin. Sa chevelure blonde était maculée de sang, ainsi que son visage. Il avait un oeil au beurre noir, des cicatrices partout sur le visage et une partie de la lèvre arrachée.

"Carmine, tu dois me sortir de là... Geignis Francis avec peine.
_ Ouais... D'ailleurs, coéquipier. Tu bougeras pas d'ici. Soupira Peter."

Ce dernier prit la gorge de Francis. Peter attrapa son couteau. Je repris enfin le contrôle et tentais de l'aider, mais deux gardes me retinrent.

"Alec. Sais-tu que ton ami ne sais rien de ce qui c'est passé en 1503. Ni en 1504. Ni en 1506. Ni en 1507. Tu veux que je lui racontes ?
_ Va te faire foutre, Peter !
_ La ferme ! Se fâcha Peter. T'as tué ma soeur, et je torturerais un à un tes camarades, enfoiré ! Je croyais que tu aimais ma soeur, Alec !
_ C'est notre chef qui l'a tuée, pas moi ! je n'ai rien fait ! Et laisse Flore et les autres en dehors de ça !"

Je me mis à regretter ce que je venais de dire, car un sourire se dressa sur le visage de mon ex-coéquipier.

"Ainsi, elle s'appelle Flore, hein ? Susurra-t-il. Très bien. Francis, c'est ça ? Si oui, je m'en fous, si non, je m'en fout aussi, en fait. Sais-tu que l'homme qui a tenté de te sauver a tué un de tes compagnons, et a provoqué la mort de Benjamin je sais plus quoi et de ma soeur, hein; Il s'appelle pas Carmine Armoccio, mais Alec Alcatraz, un capitaine de Templiers. Qui sais combien de mecs est-il capable de tuer encore ? Ah ah ah ah !! Maintenant, à ton tour d'y passer..."

Il posa le couteau contre la gorge de Francis et appuya. Je détournais le regard, et tentais de ne pas prêter attention au cri d'agonie de Francis. Peter s'approcha.

"Donnes-moi les noms, Alec. Tout de suite."

Je lui crachais au visage. Il s'essuya, me frappa et dit au autres gardes :

"Donnez-moi son bras."

Contre ma volonté, un des gardes prit mon bras et retroussa ma manche. Je compris tout de suite et me débattais. Peter me retint et pris son couteau; Il l'enfonça dans mon bras, me faisant ainsi crier de douleur.

"Les noms, Alec. Tout de suite."

Comme je ne répondais pas, il appuya plus fort. Le sang gicla, et il rit lorsqu'il dut s'essuyer le front. J'hurlais tellement fort que d'autres gardes s'approchèrent.

"Alec, tu choisis. Me rappela Peter. Tu meurs aussitôt, ou alors tu me donnes les noms et je t'épargnes. Alors ? Tu préfères quoi ?
_ Ni l'un ni l'autre, mon gars. Souris-je.
_ Hein ?"

Il n'eut le temps de finir sa phrase. Je poussais le premier garde, saisit le couteau et l'enlevais avant de me faire frapper. Etourdi, je trébuchais sur l'autre garde qui me retenait. Entraîné par son armure, ce dernier s'écroula à terre dans un cri. Peter tenta de me tuer, mais je retint son bras. Les autre gardes me prirent au piège. Je pris mon coéquipier et lui plantait ma lame secrète en plein coeur. Ensuite, je projetais le corps, me relevais et me fis bousculer par un garde. Je me relevais et courut vers la ville, toujours poursuivi.

Je montais sur un cheval quelconque et m'enfuit, honteux de n'avoir pu sauvé Francis, mais aussi de m'être rendu compte que je devenais l'homme que je redoutais devenir le plus.

Un psychopathe sans pitié.

Force : 4
Résistance : 4
Déviation : 4
Vitesse : 4
Escalade : 4
Discrétion : 4
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage ) : 4
Argent: 4 800

Voilà, j'espère que ça vous plaira !

ça me plait \ /
Tiens , voilà ton prix /#

• alcahe gagne 1.5 points et 200 d'argent*

Lenski Merci.

Mes stats :

Force : 4,5
Résistance : 5
Déviation : 4
Vitesse : 4
Escalade : 4
Discrétion : 4
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage ) : 4
Argent: 5 000

Et je prends Message codé !

Désolé pour le double post, mission :

http://www.youtube.com/watch?v=cly40JbG8TE&feature=related

Chapitre 144
Dans la gueule du lion.
23 avril 1514, Venise, QG des assassins.

Je frappais à la porte désespérément. La pluie ruisselait sur moi,et je m'étais fait un pansement avec le tissu d'un garde, mais il était devenu rouge, vu qu'il était recouvert de sang. La nuit était tombé depuis longtemps, et le noir m'empêchait de voir plus loin que le bout de mon nez. Enfin, la porte s'ouvrit. C'était Jason, une nouvelle recrue anglaise.

"Carmine ?! S'étonna-t-il. Entrez, entrez, ne restez pas là !"

J'entrais tout en poussant un petit gémissement de douleur. J'allais instinctivement vers le hall. Mike, le fusilier des assassins, était assis sur une chaise, devant une table, en train de lire un livre. En m'entendant arriver, il releva la tête. Son visage était recouvert d'une capuche et d'un masque d'apothicaire, ce qui était donc impossible de dire à quoi il ressemblait. Toutefois, je savais que Mike avait les yeux marrons et venait de fêter ses 36 ans. Il se leva en un bond et me lança :

"Carmine ?! Que c'est-il passé ?! Où est Francis ?! Oulà ! (Il regarda mon bras) il faut que Flore t'examines ! Flore ! Carmine est revenu !"

Flore déboula dans la pièce. Elle me regarda, fixa tour à tour Jason et la sortie du QG, puis demanda :

"Où est Francis ?
_ Mort. Lâchais-je froidement."

Mike se tourna vers moi, accusateur. Flore recula, comme choqué. Puis elle quitta la pièce, la tête basse. Mike s'approcha de moi, furieux.

"Ah, et bien, félicitation, Carmine ! Aboya-t-il. Tu viens d'annoncer la mort de l'oncle de Flore ! J'espères que t'es content de toi !
_ Quoi ? Quoi ? Répétais-je. Francis était l'oncle de...
_ Flore, eh oui ! Me coupa Mike. Bravo, "l'assassin courtois", pour ta subtilité !"

Je me dirigeais vers la salle de réunion, là ou Flore était allée. En effet, elle était à genoux devant une croix, les mains jointes. Je m'approchais lentement et posais ma main sur son épaule.

"Carmine ? Murmura Flore.
_ Hum ?...
_ Mon oncle... Ca été rapide ?"

J'hésitais un instant.

"Oui. Rapide et sans douleur.
_ Qui l'a tué ? Poursuivit-elle.
_ Le lieutenant Slanger, le Templier que j'ai rencontré à Meratto. Soupirais-je.
_ Et toi ? Que t'on-t'ils fait ? Chuchota Flore.
_ Ils m'ont torturé. Ils voulaient que je donne vos noms. Je ne vous ait pas dénoncé. J'aurais été prêt à mourir pour que vous ne soyez pas impliqués.
_ C'est faux, Alcatraz. Pensa "l'autre". Dis-lui. Dis-lui où je le ferais.
_ Non. Contredis-je haut et fort.
_ Si, capitaine. Fais ce qu'il faut.
_ AHHHHHH ! Hurlais-je. "L'autre" prenait le contrôle de mon corps."

Flore se releva et recula d'un pas. Mon bras se mit à onduler, des rires fusaient dans ma tête. Les hallucinations se stoppèrent soudainement. Je m'asseyais sur un siège. Flore s'approcha :

"Qu'est-ce qui déconne chez toi, Carmine ? S'inquiéta-t-elle.
_ Flore, je vais devoir dormir ici. J'ai plus de maison, les Templiers l'ont saccagée.
_ Pas... Pas la peine. Hésita mon amie. Je peux te loger chez moi. J'habites avec ma tante et ses filles de 11 et 7 ans. Viens, allons-y."

• Plus tard.*

J'étais arrivé devant la maison de Flore. Elle était grande et bordait le Canal comme ma maison, mais elle était plus proche de la Basilique San Marco que mon ancienne maison. Le bâtiment était aussi plus grande que mon ex-foyer. J'entendis à l'intérieur des rires et des cris d'enfant. Flore s'approcha et toqua. Une fillette ouvrit.

"Flore ! Cria la petite fille. Qui est le monsieur avec toi ?
_ C'est un ami. Il s'appelle Carmine Armoccio. Il est das les assassins, tout comme moi. Mais dis moi, Amandine, devines de quel pays vient Carmine."

Amandine hésita un instant, puis répondit :

"Il vient d'Espagne ?
_ Non ! Souris-je. Je suis Anglais, écoutes mon accent !
_ Ah... Fit "l'autre". Des petits êtres à torturer... Hihi, ça peut être intéressant...
_ Où est père ? Marmonna Amandine."

• Le lendemain.*

J'avais aménagé chez la tante de Flore, Séléna, et ses filles, Amandine et Brigitte. Flore leur avait annoncé la nouvelle de la mort de Francis. Mon sommeil avait été troublé par de nombreux pleurs, mais je comprenais, alors je ne disais rien. Gino m'avait transmis une lettre à décoder. Il fallait que je me rende chez "le casqué", que je le capture, que je lui fasses décoder la lettre puis que je le tue. J'étais arrivé sur place, Maintenant, il me fallait trouver le connard en question...

La maison ressemblait à celle de Flore, à deux différences près : la façade de la maison du "casqué" était recouverte de bannières, et des gardes patrouillaient autour de la maison. Si je voulais entrer, je devais être très discret.

Trois gardes gardaient l'entrée, et deux patrouilles de quatre gardes se croisaient devant la porte environ toutes les cinq minutes. Je m'approchais de la porte, après m'être évidemment assuré que les patrouilles s'étaient écartés. J'avançais vers le premier Templier, qui porta la main à son épée, méfiant. Je l'assassinais, et ses camarades voulurent déclencher l'alerte. Je tuais le premier à l'épée et, en même temps, éliminais le dernier garde à l'aide de ma lame secrète. Je n'avais pas le temps de cacher les corps, donc, j'entrais dans la maison, après m'être déguisé en Templier.

Deux gardes se retournèrent vers moi. Je fis semblant de paniquer et déclarais :

"A l'aide ! Un assassin nous a attaqué, il a tué deux d'entre nous mais j'ai réussi à l'abattre ! Venez tous !
_ Très bien. Commença l'un des gardes. Vous deux, allez avec lui, je vais prévenir le chef.
_ Non ! Fis-je. Les patrouilles arrivent, ce serait idiot d'envoyer des troupes supplémentaires à l'entrée du bâtiment, et si jamais les assassins passaient par la fenêtre ou le toit ?"

Le garde réfléchit un instant, puis trancha :

"D'accord. Venez avec moi, vous deux."

Il monta avec un garde, puis je le suivis. Il n'y avait donc plus que trois gardes au rez-de-chaussée. Arrivé au premier étage, je ne vis aucun garde, les soldats ayant tout misé sur la défense de l'entrée de la maison. J'assassinais discrètement le premier garde. L'autre se retourna pour voir une épée se planter dans sa poitrine. J'ouvris la porte de la chambre et trouvais "le casqué" au fond de la pièce, devant la fenêtre, avec à sa droite quatre tonneaux de poudre.

"Salut. Tu pensais quand même pas que j'étais pas au courant de ta venue, non ? Ricana-t-il en prenant une torche à sa proximité."

Je compris tout de suite. Il alluma la mèche et traversa la vitre. Je courus dans une autre pièce et sautais.

Une énorme explosion se fit entendre. Je fus projeté par terre, puis rampait pour échapper aux morceaux de pierre qui tombait. L'un d'eux me tomba sur la jambe, et je laissais échapper un cri de douleur. Je l'enlevais et vis un fusilier me viser. Il tira, mais j'eus le temps d'esquiver. J'attrapais le morceau de pavé que la balle avait fracturé et le lançait sur le garde. Le pavé heurta le casque du garde, qui s'écroula, évanoui. Il fallait sortir de cet enfer.

Le feu gagnait du terrain, et les civils s'enfuyaient à toute vitesse. Les gardes survivant évacuaient les blessés ou tentaient d'éteindre le feu. J'entre-aperçus ma cible s'enfuir, accompagné de deux gardes. Je tentais de les rattraper, mais ma jambe me faisait boiter. Je déboulais comme un idiot devant mes ennemis, ces derniers étaient en train d'appeler du renfort, il me fallait donc les anéantir au plus vite. Lorsque "le casqué" me vit, il rit et dit à ses gars :

"Q'on en finisse..."

L'un des hommes bondit sur moi. Je parais son coup mais me prenais un coup de genou dans le ventre. Je me courbais tandis que le garde recommença à m'attaquer. Je ripostais et parais son coup, mais je vis que le dernier soldat voulait ma peau. Je pris le garde en bouclier humain, et son camarade grogna de fureur lorsqu'il se rendit compte de son erreur. Je désarmais le garde. J'eus le temps de remarquer "le casqué" en train de s'enfuir, ainsi donc je blessais le garde à la poitrine et repartais.

En courant, "le casqué" trébucha, ce qui me fit prendre de l'avance. Il se releva avec peine, paniqua, puis emprunta un autre chemin. Je fis une petite montée de vitesse, mais il m'envoya un couteau dans le pied. Il se moqua de moi mais en se retournant, il découvrit avec horreur qu'il était piégé par les flammes. Je me relevais, retirais le couteau et attrapais "le casqué" par le col. Il me frappa. ensuite, je le plaquais au sol et lui mit un pin. Le feu s'approchait dangereusement. "Le casqué" me repoussa, et il voulut me poignarder avant que je ne le fauche. Il s'écroula.

Je m'approchais. Il me frappa encore, puis je le maîtrisais. Le feu lécha mon armure. Dans un hurlement de frayeur, j'éteignis les flammes et repris un coup. Je saisis l'homme et l'emmenais loin des flammes.

"Tiens. dis-je. Déchiffres-moi ça."

A mon grand étonnement, il obéit.

"Il y a marqué : Attention. Un général va venir à Venise. Il faut le protéger des assassins, dépêchez plus d'hommes si nécessaire. Puisse le père de la sagesse vous guidez. Et maintenant, que vas-tu faire, assassino ?
_ Je vais te tuer. Souris-je.
_ Ah oui ?! Se moqua-t-il. Et comment ?
_ Comme ceci."

N'écoutant pas ses cris d'indignation, je jetais mon ennemi dans les flammes et le regardait brûler? J'eus soudain un frisson lorsque je me mis à sourire....

Force : 4,5
Résistance : 5
Déviation : 4
Vitesse : 4
Escalade : 4
Discrétion : 4
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage ) : 4
Argent: 5 000

Voilà !

Hello ^^

Je voudrais savoir qui gère le RP, actuellement ? ^^

Lenski bilbo et moi trainons un peu, mais je lis de moins en moins

T'es inscrit?

Non, je ne le suis pas ^^
J'ai lu quelques pages, et j'aime bien (sauf le système de points de force/agilité etc.) u.u