viens, on est là pour t'apprendre

Je pense que je vais écrire et poste ma première anecdote demain
Je le dis même vous vous en avez rien a faire . Jet-lag prépare toi a corriger une pelleter de faute
Bon j'essayerais de m'applique et me relire un maximum

Et ma correction de présentation aussi

Une question me brule les lèvres ! ...........….... Vous donne plus de mission ! Pourquoi, vous attendez la rentre pour remettre tous ça dans l orde et attendre que tous le monde revienne de vacance pour donner plein de mission après ?

Tu verras bien

Bon ben, j'écrirais une autre anecdote si l'inspiration vient !

Sauf si quelqu'un à une autre mission pour moi ! Dans la ville de préférence, varions un peux les plaisirs ! ^^'

C'est pour toi saphir.

Un apothicaire à qui vous avez fait une commande spéciale ne l'a pas honorée comme il se le devait. Allez voir pourquoi les marchandises ne vous ont pas été transmises.

Salut

Salut les gens

Bonne chance pour ta mission Saphir

Bonjour tout le monde

Bonjour

Je suis bloqué dans ma mission, mais je vais voir ce que je peux faire aujourd'hui

Voici ma correction de la présentation de mon personnage Merci Jet_Lag pour m'avoir corriger et aider

Nom : Stone
Prénom : Ryhan
âge : 19 ans
Pays : France ( région Bretgne)
Langue : Américain , Francais, Breton
Sexe : Homme
Decripiton ( physique ) Cheveux courts noir (Granite ). 1,90 M à
85Kg ,assez robuste et musclé, Mais vraiment agile et rapide , de plus extrement doué pour l escalade urbaine . Très mystérieux il est quasi toujour vêtu de Noir
Morale : quand il fais quelque chose il fais en sorte de toujour aller jusqu'au bout même bléssé ou autre ...
Il est très mytérieux auprès des autre.Il s'est découvert une prefèrence :Qu'il aime opérer la nuit que le jour , puis éliminer ses cibles dans des coins sombres pour que les crime ne se sache le moins rapidement possible
Mordu d'une intelligence dans la norme , il essayera d'evité les combat trops direct car admirateur de stratégie depuis sa tendre enfance, il a etudié de nombreuse bataille ou afront qu'il fussent de grande ou petite envergures .

HISTOIRE : Né en 1758 dans une ville Bretonne d'une famille de
petit noble Américain ayant fuis leurs pays a cause des tensions avec le gouvernement anglais
Au cour sa septième annés son père (Mike ) decida de lui aprendre l'escalade et la discétion malgré la perplexité de sa mère envers cette activités . Peu de temps après Ryhan se montra extrement doué pour l' escalade et et la dicréction.
Un an plus tard , il vit la mort dans son esprit car les autoritée royale envoyèrent plusieur espions tuer et sa famille car ses parent ayant installés leur famille en france , ils se croiyairent invulnérables pour continuer à Harceler les organisation et les plan du royaume d'angletterre en Amérique .
mais Ryhan n'était pas présent a ce moment là ,mais quand il rentra chez lui il les entendi donc ces assassins , il se cacha en conséquance , mais conserva un vue imprenable sur la future scène de crime .

Depuis Ryhan voyagea un peu partout en bretagne sur les toits de ville en volant 2,3 fruits au marchants pour survivre ,
Mais grâce a ses dons il fut repéré par plusieux guildes et dut faire un choix pour son avenir entre la guilde des voleurs ou la l'orde des assassins ...

Mais aussi mes statistiques

Force: 1
Résistance: 1
Deviation : 1
Vitesse:1
Escalade:1
Discrétion :1
Compétance Spécial(Precision de Ramsés):1

Ma compétance spécial permet de etre beaucoups plus precise pour tirer avec une arme à distance tout en bougent

• • le nom de l'assassin:Silny 

• le prénom de l'assassin: Mohamed 

• l'age de l'assassin:24 ans 

• le pays de l'assassin: Tchéchénie 

• langue: russe,tchétchène et francais 

• le sexe de l'assassin:Homme 

• Mon grade : Maitre Assassin 

• la description de l'assassin, Physique puis morale:fait 1m82 80kg moyennement muscler , cheveux noir, yeux noir .

morale:quelqu'un de naturellement gentil mais qu'il ne faut pas énerver

• Mon assassins : http://image.noelshack.c"o"m/fichiers/2012/33/1344813263-mohamed-silny.jpg

• L'histoire de l'assassin, son passé. 

née en Tchétchénie le 3 avril 1780 de père et de mère musulman son père était un assassin. Mohamed a été obliger de quitter son pays natal à 14 ans à cause de la guerre contre la russe son père et quelques assassins les ont protégé durant la fuite par décision de la mère ils sont partis en France avec ses 2 sœurs, ses là qu'il a appris le français, après être gravement blessé son père les a rejoint et il est mort quelques années plus tard. À ses 19 ans Mohamed est retourné en Tchétchénie et a rejoint les assassins après avoir fait ses preuves il fait le tour du monde pour aider ses frères.

capacité spéciale: fureur du lion lui permet d'augmenter la puissance de ses coups et leur vitesse peut aussi prévoir le prochain coup de son adversaire lors d'un corps-à-corps

• arme: épée

deux dague 
et deux lame secrète avec le pistolet intégrer 

• Compétence 

Force:10 
Résistance:10 
Déviation:10 
Vitesse:10 
Escalade:10 
Armes à distance:10
Fureur du lion:10 

7700 pièce d'or

Pourquoi tu nous ressort une énième fois ta fiche?
On s'en fou au bout d'un moment

Je change un truc chaque fois ...

Bon, ça va c'est pas si long que ça, Flamme.
Bonne lecture, je suppose

Mission : La mort de l’élite
Chapitre premier

Août 1796
Il passa sa main dans la fourrure drue de Neige. Il était passé voir un médecin qui lui indiqua son âge. Elle n’avait qu’une semaine lorsqu’il l’avait découverte et désormais en avait quatre. Aussi étonnant que cela puisse paraître, elle avait une taille anormalement grande et était déjà autonome, capable de courir, connaissait tous coins du repaire. Cette chienne était spéciale. Pensif, Dan se leva difficilement avec sa canne et tituba jusqu’à la bibliothèque. Il l’examina un moment avant de retirer un ouvrage à la reliure rouge, qu’il ouvrit et feuilleta. "Eureka", se réjouit-il en son for. « Je me doutais bien, dit-il tout sourire en ébouriffant l’animal, que tu me cachais quelque chose, Neige. Un chiot de ton âge devrait à peine savoir marcher. Et surtout être plus petit. » Elle répondit en penchant la tête de côté, ses rouges prunelles interrogatives, lorsque la porte de la loggia s’ouvrit sur Stanley. Sans même lui porter son regard, rangeant le livre, Dan lui annonça la nouvelle : « Tu ne devineras jamais, Stan. » Puis, se tournant vers lui, appuyé sur la canne : « Neige est une louve ! »

La nouvelle n’eut pas l’effet escompté. Son fils avait une mine atrocement triste. Il fixait le sol. L’enthousiasme de Dan se dissipa aussitôt. « Vous devriez venir voir, Père. »

Il n’avait pas reconnu de suite le corps pendu. Les corbeaux avaient déjà picoré un œil. Mais lorsqu’ils s’approchèrent, il n’avait plus de doutes. Il ressentit un pincement de cœur, sa jambe le lacéra de plus belle, Neige aboyait d’un aboiement juvénile. « Va… va le détacher, souffla Dan. » Son fils s’exécuta. Il coucha le corps et défit le nœud tandis que Dan avançait lentement sur cette maudite canne. Stanley passa délicatement ses doigts sur les yeux du cadavre. « Il est… était marié, n’est-ce pas ? Il… il n’a même pas eu d’enfants… » Dan acquiesça. « Je vais parler à sa femme. As-tu prévenu Geoffrey ?
-Non.
-Alors fais-le. Et emporte son corps au repaire, fils. Il mérite une sépulture décente. » "Repose en paix, Frère." Et il fit volte-face.

L’Assassin frappa à la porte. Depuis que la demeure des Rousseau était devenue le repaire, il dut déménager en ville. Cette maison était très modeste. De toute façon, il ne se plaisait pas dans ce manoir. Trop grand pour y vivre. La porte s’ouvrit sur une jeune femme brune qui lança un regard interrogateur sur Dan. « Madame. Puis-je entrer ? C’est à propos…
-Mon mari a un problème ? s’enquit-elle. » Ses prunelles brunes étaient déjà pleines de larmes. Se frottant un œil, elle l’invita à entrer. Ils prirent places au salon, talonnés par Neige. Une théière et une tasse remplie étaient déjà posées sur la table basse. Elle alla chercher une autre tasse avant de s’asseoir en face de Dan. « Cela doit faire deux jours que je ne le vois pas, commença-t-elle. Vous savez ce qui…
-Madame, bredouilla-t-il, votre… Philipe est… décédé. » Alors qu’approchait-elle machinalement sa tasse vers ses lèvres, elle la laissa tomber. Elle se mit à trembler de tous ses membres et éclata en sanglot. « Mais… que… dire à son enfant ? bafouilla-t-elle. Mais que… ?
-Je vous demande pardon ? » Elle grimaça un sourire. « Je l’ai… appris il y a qua… quatre jours. » Puis, après une nouvelle vague de pleurs : « Il aura besoin d’un père ! » Ce fut à peu près à ce moment-là que Dan se rendit compte de sa situation. Il n’avait jamais vraiment été doué pour la socialisation et le voilà en train de consoler une mère veuve…

« Ecoutez, dit-il maladroitement, ce sont les risques du… métier, je suppose…
-Les risque du… ! s’exclama-t-elle. Bon Dieu, mais il est intendant ! » Il jura en son for. Il était tombé bien bas… « Je crains, madame, que votre mari est… était bien plus qu’un intendant. » A nouveau, son regard rouge le perça le cœur. Neige semblait compatir à sa détresse. « Philipe était un Assassin, souffla-t-il. Et votre enfant, madame, la Confrérie s’en occupera. Elle se doit de s'en occuper. Je comprends que vous ayez des raisons de nous tourner le dos, mais comme vous l’avez dit, vous ne pourrez l’élever seule. » Elle resta pensive, encore tremblante. Dan se leva difficilement, imité par Neige qui était restée couchée à ses pieds jusque-là. « Je vous laisse y réfléchir. »

Il pénétra dans l’église. Neige semblait impressionnée par la voix du prêtre qui retentissait entre les murs. Une vingtaines de personnes étaient assises sur les premiers bancs, et un couple écoutait le serviteur de Dieu. Il s’assit discrètement à l’arrière, jusqu’à ce que les jeunes mariés quittassent l’enceinte sous les ovations de leurs familles. Le prêtre s’approcha d’un pas lent, les mains dans les manches. « Comment vas-tu, mon fils ? » Dan caressa machinalement Neige, le regard vide. « J’ai… j’ai perdu un ami.
-Je vois. » Dans un soupire plaintif, il s’assit sur le banc derrière l’Assassin. Ce dernier avait son visage enfoui dans les mains, se le frottait, puis se grattait la barbe et les yeux. « Parfois, j’ai envie de tout arrêter. Partir. Loin.
-Mais qu’est-ce qui te retient, alors ? » Un long silence s’installa. Neige gémissait, comme pour demander une réponse. Finalement il se leva. « Vous venger ne vous le ramènera pas, prévint le prêtre. » L’Assassin s’arrêta et se retourna, un sourire las en coin. « J’aime à croire que je suis intelligent, mon Père. Je sais bien qu’il ne reviendrait pas. D’ailleurs, qui à parler de vengeance, si ce n’est vous ? » Il acquiesça malgré lui.

Septembre 1796
Le port de Genève n’était pas très grand. A dire vrai, ce n’était qu’un port de pêche. D’autant plus qu’il ne donnait pas sur la mer, mais sur le lac Léman, qui offrait de délicieuses perches. Mais surtout, le port était contrôlé par les Templiers. Le lieutenant qui en avait la charge était surnommé l’Ours Gris. D’après les dires des pêcheurs qu’il soumettait, il avait la barbe et les cheveux longs et gris, et était bâti comme une montagne. Et Stanley cherchait cette montagne.

La nuit, le lac bleu devenait noir. Les rues éclairées étaient alors sombres. Mais on distinguait bien la tour. La tour qui marquait le territoire. Leur pouvoir et la soumission du peuple. Stanley s’y rendait, armé de son épée, d’une dague, d’une multitude de couteaux de lancer et d’un grappin. Il aurait apprécié de faire équipe avec Geoffrey, mais on lui avait assigné une autre mission.

Le quartier des gardes entourait la tour. Atteindre cette dernière ne serait choses aisées. La nuit, les rondes étaient bien moins fréquentes. Un simple groupe d’une douzaine d’hommes parcouraient le quartier sans grandes convictions de tomber nez à nez sur un type armé jusqu’aux dents. Et Stan veilla à ce qu’il en soit ainsi. Il se faufila sur les toits, évitant les regards des quelques archers. Depuis un bâtiment assez proche, il sauta sur la paroi de la tour. Les appartements de l’Ours Gris se trouvaient au dernier étage. L’ascension s’annonçait longue et périlleuse. La tour n’offrait pas beaucoup de prises, et ce fut non sans devoir redescendre pour pouvoir remonter après et effectuer des bonds d’une prise à l’autre, que l’Assassin atteignit son but.

Il se glissa à l’intérieur, un étage sous celui de sa cible. Cette dernière se trouvait sur le balcon, observant le lac. Accroupi, Stan s’avança jusque lui, sortit sa lame secrète et… L’Ours Gris lui assena un lourd coup de coude qui le projeta en arrière. Il se releva aussitôt sous les rires du Templier. « Tu devrais faire attention à où tu vas, fiston. » L’Assassin lui mit une droite, puis une gauche dans la mâchoire qui ne le fit pas même broncher. En retour, l’Ours Gris lui balança son poing dans l’estomac. Le souffle coupé, Stan recula difficilement. Dans un cri de rage, il tenta un autre coup de poing qui fut stoppé net. La montagne lui retenait la main et lui asséna un crochet dans la joue qui le fit chanceler. Cependant, il ne le lâcha pas. Il l’attira vers lui et lui envoya un uppercut qui le fit voler plus loin. L’Assassin était étourdi, avait un goût de sang dans la bouche. Il se vit même cracher une dent dans une glaire rouge. Soudain, une masse écrasa sur lui une hache. Il eut le temps de rouler et de se lever, titubant, découvrant cette arme en or, horriblement magnifique.

L’adrénaline montait. En un coup d’œil, il sut que faire. Il détala vers le balcon, déroulant la corde du grappin et bondit dans le vide, lança le grappin sur le toit, qui l’attira contre la façade de la tour, et traversa une fenêtre. L’Ours Gris fracassa la porte et entra en trombe. Il découvrit une pièce sombre et vaste. Il le savait, il le sentait, l’Assassin s’y trouvait. Il l’observait dans l’obscurité. Il se mit à rire. « Ou te caches-tu, petit ? J’aimerais te présenter… » En écrasant sa hache sur une armoire dans un vacarme terrible, il termina sa phrase : « BETTY ! » Rien. Rien, lorsqu’il sentit une douleur atroce dans le pli du genou. En le tâtant, il toucha un petit couteau qu’il retira et continua ses recherches en boitant. Tout à coup, une masse blanche apparut devant lui et lui asséna un coup de poing tranchant. Stanley se rapprocha de l’Ours Gris à terre, ses couteaux de lancer serrés entre ses doigts.

Les gardes entrèrent en trombe. Ils découvrirent le lieutenant gisant à terre, une énorme plaie dans la gorge et une plume déposée sur le torse. Ils jurèrent quasiment tous en même temps, lorsque l’un d’eux leur attira l’attention. « Hum, les… les gars ? La tour de l’Aigle est… est en feu… » Tous s’approchèrent de la fenêtre brisée et observèrent cet incendie formidable, rougissant le ciel, dans le quartier voisin. Mais ce même garde ne s’arrêta pas là. Il fronça les sourcils. « Vous ne trouvez pas que…
-ça sent le brûlé, termina un autre. » Tous déguerpirent de la tour, alors que l’incendie faisait déjà rage dans les étages, mais tous ne purent en sortir.

Bon d'accord, c'est pas si court que ça

Lenski c'et en quelle année déjà que les assassins de alexanders et les templier sont devenu "allier"

dans les années 1778 je crois

Et ils sont vraiment alliés , les leaders templiers russes sont les meilleurs amis des Lenski

Ce sont des traîtres alors, les Lenski et les Templiers