Bon c'était pas si long que ça en fin de compte
Compétences
Force : 2
Résistance : 1
Déviation : 1
Vitesse : 2
Escalade : 1.5
Discrétion : 2
"A l'abordage" : 3 (se bat mieux en mer ou sur des bateaux )
Argent : 1900

Tu vas devoir t'y faire, assassin

Retours (partie 2) :

New-York, 1802, deux semaines plus tard…

-Rattrapez cet apache !
-Il est là !
-Ne le laissez pas filer !
Leeve bondit d’un toit à un autre, s’accrocha à un rebord de fenêtre, se hissa sur un autre toit et se retourna.
Sur le bâtiment d’en face, les trois hommes qui le poursuivaient hésitaient à le suivre. Cet Indien était un vrai singe ! Il avait rejoint d’un bond un bâtiment éloigné de… six mètres.
Eux, avec leur ventre mou, il n’y avait aucune chance qu’ils parviennent à le rattraper. Surtout qu’ils étaient essoufflés et que lui était hilare et en pleine forme.
L’un d’eux s’exclama néanmoins :
-On te retrouvera ! Tu ne quitteras pas cette ville vivant !
En réponse, Leeve leur adressa un petit salut provocant avant de faire volte-face et de continuer sa course.
Mais il avait fait une erreur en volant ce marchand. Il avait de bons amis. Des amis bien armés et nombreux. En fait il venait de se mettre à dos un homme véreux qui avait vraisemblablement le bras long.
Comment allait-il parvenir à quitter New-York sans encombre ?
-Encore des problèmes.
Leeve quitta les toits pour rejoindre les rues. L’ambiance était radicalement différente.
En haut, c’était le calme, le ciel, le vent, l’espace et la vitesse. En bas, c’était la foule, le bruit, les odeurs d’épice et de poisson…
Leeve avait une nette préférence pour le monde d’en haut. Cependant il était un homme, pas un oiseau. Il ne pouvait décemment pas vivre sur les toits et dans les arbres. Bien qu’il aurait aimé le faire.
Le jeune Amérindien rejoignit le port.
Les marchands vantaient la qualité de leurs produits, des poules et des chiens se baladaient en liberté, des artistes faisaient de la musique dans un coin, les badauds vaquaient à leurs occupations, des marins descendaient et montaient dans leurs navires…
Leeve aimait quand même bien cette ambiance.
Soudain, un cri retentit derrière lui. Leeve se retourna pour voir six hommes bousculer les passants en vociférant et se diriger vers lui à grand pas.
Ils tenaient des masses ou des haches de bûcheron. Visiblement, ils lui en voulaient.
-Encore eux…
Leeve, avec un grand sang-froid, regarda autours de lui. La foule était trop dense pour qu’il songe à s’enfuir par là, surtout que bousculer tout le monde pour se frayer un passage, ce n’était pas vraiment son style.
Les bâtiments étaient bordés d’étales qui gêneraient Leeve pour grimper.
Quant à plonger dans la mer pour échapper à ses poursuivants, c’était une option envisageable. Ils ne songeraient pas à le suivre dans l’eau glacée mais justement, elle était glacée.
Finalement, Leeve jeta un dernier coup d’œil vers les six hommes qui étaient à moins de dix mètres et prit sa décision.
Il leur sourit avec insolence, finissant de les mettre en rage, et s’élança de l’autre côté, vers la mer justement.
Le jeune homme bondit, pris appui sur un empilement de caisses, attrapa une corde, se balança et, d’un saut périlleux, retomba sur le pont d’un navire marchand.
Les marins le regardèrent comme s’il était fou.
Ses poursuivants s’arrêtèrent net en voyant que le bateau était en train de lever l’ancre.
L’un d’eux s’avança et hurla :
-Enfoiré de peau rouge ! Reviens là !
-Adieu mes amis ! Ce fut un plaisir, répondit Leeve.
L’homme prit de l’élan et balança sa hache. Leeve l’esquiva facilement et elle alla se planter dans le mât, sans faire de dégât.
Leeve continua à faire de grands signes alors que les six hommes devenaient des petits points noirs parmi tant d’autres, sur les quais.
Leeve sourit avec fierté. Mais son sourire disparut.
Où allait le bateau ?
Leeve s’approcha d’un matelot et lui posa la question.
-Où on va ? Ben, en Egypte pourquoi ?
Leeve eut un rire nerveux.
-Où ?
-En Egypte m’sieur.
-Hum…
Leeve alla s’asseoir sur une pile de caisse et soupira. Il pensait que les ennuis étaient finis, en fait, ils ne faisaient que commencer.
-On dirait que vous n’êtes pas dans votre assiette.
Leeve redressa la tête. L’homme qui s’était adressé à lui devait avoir un peu plus de quarante ans. Il avait des cheveux bruns, un visage rieur et quelques légères rides.
-Pas vraiment non, répondit Leeve.
-Vous aussi vous allez en Egypte ?
-Ce n’était pas prévu mais… Oui.
-Vous vous êtes trompé de bateau c’est ça ?
-On peut dire ça comme ça.
-Je connais ça. Moi aussi un jour je me suis trompé de navire. Je voulais me rendre en France et, au final, je me suis retrouvé en Espagne. Ce n’étais pas trop grave, me direz-vous, mais l’année suivante j’ai recommencé la même erreur sauf que cette fois le bateau s’est arrêté sur les côtes d’Afrique.
L’homme eut un fou rire.
-Euh, oui, fit Leeve. C’est très intéressant.
-Je m’appelle Lucien.
-Moi c’est Leeve.
-Vous êtes Indien non ?
-Amérindien. Ma mère était Nehawk et mon père Anglais.
Lucien haussa un sourcil.
-Anglais ?
-Oui.
-Et quand êtes-vous né ?
-En 1782 pourquoi ?
Lucien se tut et dévisagea le jeune homme. Avec un regard suspicieux, il répondit :
-Non… Rien.

Retours (partie 3) :

Cela faisait déjà cinq jours que le bateau voguait en plein Océan. D’après Lucien, le navire arriverait à Alexandrie dans trois bonnes semaines.
Lucien.
Un peu trop illuminé au gout de Leeve. Mais il dégageait une certaine aura que seuls les grands hommes possèdent. Et il cachait quelque chose, Leeve en était certain.
Soudain, la vigie du navire hurla :
-Navire en vue ! A tribord !
Leeve courut vers le bord, se pencha par-dessus le bastingage et plissa les yeux. A ses côtés, plusieurs marins s’étaient réunis et observait le bateau qui était effectivement apparu, au loin.
Et son drapeau était noir.
-Des pirates, cracha Lucien qui venait d’arriver. Les « chiens des océans » comme on les appelle. Des hommes qui n’ont pour seules valeurs que le meurtre, l’or, les femmes et l’alcool. Surtout l’or en fait, même si parfois on dirait que c’est l’alcool.
Leeve fronça les sourcils et effleura le manche de son tomahawk à sa ceinture. Il avait lu beaucoup d’histoires sur les pirates, en Amérique, et savait qu’ils étaient dangereux.
Les deux navires se rapprochèrent.
-Le combat est inévitable, cria le capitaine. Tous à vos postes ! Sortez les canons ! Déployez les voiles ! Nous devons avoir le vent en poupe !
Les marins se mirent à courir dans tous les sens. Ceux qui restaient sur le pont s’équipèrent de sabres et de pistolets. Lucien, au milieu de tout ça, semblait très serein.
Il s’autorisa même le luxe de bailler.
-Tu ne va pas t’abriter dans la cale ? demanda Leeve.
-Pourquoi ? répondit Lucien avec un regard surpris. Moi aussi j’ai envie de m’amuser.
-T’amuser ? On s’apprête à se battre ! A risquer nos vies ! Ce n’est pas un j…
Le jeune Amérindien se stoppa en entendant un sifflement. Il eut juste le temps de plonger sur le côté pour éviter le boulet de canon qui alla exploser sur le pont en projetant des morceaux de bois dans tous les sens.
Leeve roula sur lui-même et se redressa tout en tirant son tomahawk de sa ceinture.
Lucien avait disparu.
-Mais où il…
-Yaaaaaah !
Leeve tourna la tête pour voir une dizaine de pirate surgir sur le pont du navire, armes au clair, en hurlant. La plupart étaient torse-nus, simplement vêtus de pantalons et de bandanas sur la tête.
Leeve plongea dans la bataille.
Son tomahawk siffla et ouvrit deux gorges avant de plonger dans un ventre et de ressortir pour fendre un crâne.
Le jeune homme tourna sur lui-même en donnant des coups à droite et à gauche, comme s’il frappait au hasard, alors que chacune de ses attaques était calculée et maîtrisée à la perfection, et touchait sa cible à tous les coups.
Il virevoltait dans la bataille, son tomahawk tourbillonnant entre ses doigts.
Bien vite, un vide apparut autours de lui. Leeve se stoppa pour voir les cadavres qui l’entouraient.
Il détestait le sang et la violence. Sa mère lui avait appris depuis tout jeune qu’il ne fallait jamais tuer un homme autrement que pour se défendre ou pour défendre un être cher. Il en avait eu la conviction en voyageant à travers l’Amérique et en constatant la folie des hommes.
Mais il y avait des fois où on ne pouvait échapper à la violence.
Bien que Leeve soit parvenu à se débarrasser facilement de ses adversaires, les pirates prenaient malgré tout l’avantage.
Les marins n’étaient pas formés pour le combat. Ils se faisaient massacrer.
Heureusement, le capitaine menait son navire d’une main de maître et il parvint à s’éloigner du bateau pirate. Les bandits qui tentaient encore de grimper sur le pont tombèrent à l’eau en hurlant et se noyèrent.
Le vent en poupe, le navire marchand fila et s’éloigna du bateau pirate. Celui-ci, ralentit par les coups de canons du navire adverse, peinait à avancer.
Mais fuir ne servirait à rien si les pirates déjà à bord parvenaient à tuer tous les marins.
Leeve fit tournoyer son tomahawk entre ses doigts et s’élança.
D’une main, il fit jaillir sa lame secrète, arme ô combien utile que lui avait confié un Assassin Américain, et la planta dans la tempe d’un pirate.
De l’autre, il traça un arc de cercle dans les airs avec sa hache qui décapita deux bandits.
Il tourna sur lui-même. Son pied fouetta l’air et repoussa un pirate avant que la lame secrète ne l’achève dans le même mouvement. Son coude enfonça une cage thoracique, son genou explosa des côtes, sa lame ouvrit des gorges.
Et tout cela, il le fit sans cesser de tourner.
Ce qu’il ne vit pas, c’est que Lucien l’observait, depuis un coin du pont.
« Il se bat exactement comme son père. Incroyable. Si on m’avait dit que je rencontrerais le fils de Shan un jour, sur un bateau marchand attaqué par des pirates, je n’y aurais pas cru. Le monde est bien petit. »
Leeve se baissa et un sabre passa au-dessus de sa tête.
Il planta sa lame secrète dans la rotule d’un pirate et celui-ci tomba à genoux en hurlant. Le tomahawk fusa vers sa gorge et sa tête alla rouler aux pieds de ses compagnons.
L’Assassin Amérindien fit volte-face et explosa le visage du dernier pirate avec son coude avant de l’achever en lui enfonçant sa lame secrète dans la poitrine, suivit de son tomahawk entre les deux yeux.
Il retira ses armes du corps de son adversaire et soupira. Sa lame secrète rentra dans sa manche avec un bruit feutré.
La bataille avait été violente.
Heureusement, le nombre de marins mort était moins grand que ce qu’avait pensé Leeve au début. Seulement neuf pertes. Enfin, c’était déjà trop.
Le pont était recouvert de cadavres et une odeur de sang absolument horrible flottait dans l’air.
Le bateau pirate avait abandonné la poursuite et changé de direction. Ce n’était plus qu’un point noir, au loin. Leeve secoua son tomahawk pour en retirer le sang avant de le ranger à sa ceinture.
Lucien s’approcha.
-Bravo. Où as-tu appris à te battre ?
-Pourquoi ?
-Parce que tes mouvements sont parfaits, tes gestes sont ceux d’un expert.
-On m’a appris les rudiments dans ma tribu mais mes amis m’ont toujours dit que j’avais ça dans le sang.
« Ils avaient raison. »
-Ce soir, rejoins moi dans ma cabine, je dois te parler, fit Lucien en lui tournant le dos et en s’éloignant.
Leeve le fixa un instant avant de hausser les épaules.
Autours de lui, les cadavres étaient jetés à la mer et tombaient dans l’eau en la teintant de rouge. Les marins blessés, nombreux, descendaient dans la cale pour se faire soigner, d’autres membres de l’équipage s’occupaient de réparer les dégâts et de nettoyer le sang en versant des litres d’eau sur le sol.
Ce que personne ne vit, c’est l’ombre, dans l’eau, qui suivait le navire.

Si quelqu'un lit, peut-il me dire ce qu'il en a pensé ?

Le Nord (partie 1)
1mois après l'entretien avec le mentor
Yann se dirigea à nouveau vers le bureau du maître. Une nouvelle mission l'attendait. Il ne restait plus qu'a convaincre la confrérie de lui donner un bateau. Le maître était comme à son habitude dans son fauteuil à lire.
-Maître, j'ai à vous parler.
-Assieds-toi, je te prie.
-J'ai lu l'ouvrage de Pythéas que vous m'avez donné et j'ai acquis la certitude qu'il faut que j'aille en Islande.
-L’Islande ? Et pourquoi donc ?
-Cette île est désignée sous le nom de Thulé par Pythéas. C'est sur cette île, isolée de tout qu'il a caché une des clés de l'Atlantide.
-Oui, mais je te l'ai déja raconté, Erik Thovardsson, dit Erik le Rouge, l'a trouvé puis l'a donné à son fils qui s'est installé au Vinland, en Amérique.
-Justement peut-être trouverais-je un indice là-bas qui m'indiquera où Leifr Ericson l'aura mis.
-Il te faudra un assassin scandinave pour t'aider. Je vais contacter le mentor de Copenhague et l'informer de ton départ.
-Vous m'autorisez à partir ?
-Bien sûr, tu es l'un des hommes les plus doués que je connaisse. Si quelqu'un arrive à trouver le trésor des Atlantes, ce sera toi.
-Merci maître.
-Pars aujourd'hui et prends un navire à direction de la capitale danoise. Paix et Sérénité, Yann.
-Paix et Sérénité, Mentor.

Yann utilisa les deux semaines de trajet pour se reposer, chose qu'il n'avait pu faire depuis qu'il s'était remis de sa blessure à la jambe. Il sympathisa avec l'équipage et bientôt il connut le nom de chacun des hommes embarqués à bord du navire. Il lui apportaient leur connaissance de cette partie des mers qu'il n'avait jamais parcourue. Ils doublèrent le Skagerrack et entrèrent dans l'Oresund.
Le port de la ville grouillait d'activité. Yann dit au revoir à ces marins qu'ils ne reverraient surement jamais. Il descendit sur le quai
-Rien n'est vrai, dit un homme en s'approchant
-Tout est permis. (Yann observit l'homme en face de lui, c'était le type même du scandinave : blond aux yeux bleu, de grande taille et avec une forte carrure)
-Bienvenue à Copenhague, mon frère ! Je m'appelle Njàll et mon mentor m'a envoyé pour t'accueillir.
-Je suis allé le plus vite possible et mon maître m'a encore devancé. Mais bon, tu sais donc pourquoi je suis là ?
-En effet, et même si je pense que tu n'y arriveras pas, je vais devoir t'accompagner.
-Pourquoi ?
-Je suis islandais, pardi ! Mais avant de partir pour mon ile natale, mon maître souhaite te voir.
-Alors allons-y.
Le QG danois était caché derrière une taverne du port. Njàll l'attendit dans la taverne. Il y entra et trouva le mentor l'attendant à son bureau.
-Entre Yann, dit-il avec un accent léger.
-Maître. Vous souhaitez me voir ?
-En effet. J'ai un ouvrage en ma possession qui peut t'aider. Il bougea quelques livres et apparut un symbole assassin. Il enfonça sa lame dans la fente et la dalle se rangea et laissa apparaître un coffre-fort. Il sortit deux objets.
-Ceci est la Saga d'Eric Thovardsson, relatée par mes ancêtres. Ce n'est pas l'original, je l'ai traduit en danois quand j'étais jeune assassin. Njàll te la traduira. Il raconte la vie d'Eric le Rouge et comment il a découvert le sceau de Njörd, le dieu Vane de la mer.
-Cet épisode ne figure pas dans les textes que j'ai lus sur lui, dit Yann avec surprise
-Ma famille l'a cachée pour que des gens mal attentionnés ne puissent pas retrouver le sanctuaire d'Odin. Quand ma famille a rejoint la confrérie, on avait oublié depuis longtemps ce parchemin et quand je l'ai redécouvert, j'ai pensé à retrouver ce sceau, mais il y avait toujours autre chose à faire... J’espère que tu le trouveras. J'ai toujours voulu savoir à quoi ressemblait le sceau de Njörd....
-J'ai un de ces sceaux avec moi, je l'ai trouvé dans un trésor de pirates. (Il le sortit)
Le mentor l'observa.
-Bel objet, il correspond, à part pour le symbole... Paix et Sérénité, disciple.
-Paix et Sérénité, Maître.
Yann retrouva Njàll à la taverne. Il finit sa chope en voyant arriver Yann et rassembla ses affaires.
-Nous partons déjà ?!
-Oui Yann, le bateau nous attend au port et les marins l'appareillaient quand tu arrivais.
-Vous avez tout prévu, apparemment !
-En effet.
-Le maître m'a donné ceci. ( Il sortit la Saga) Je pense que tu en auras plus l'usage que moi.
-C'est...
-La saga d'Eric Thovardsson. Elle donne des indications sur l'endroit où Pythéas, l'assassin-explorateur massaliote a caché le sceau. Je vois que tu as hâte de le lire.
-Cette saga est inestimable.
-Tu auras le temps de me la raconter lors du voyage. Enfin avant, buvons !

P.S : Bilbo, ton nouvel assassin est superbement introduit

Pergame j'ai beaucoup aimé se texte, je n'ai pas vu de fautes particulière, tu écris très bien mais un peu plat ...

2 point 500 argent

Merci pergame Et sinon qu'as-tu pensé de la scène de combat du dernier chap Juste pour savoir si je dois changer des choses dans mon style ou pas.

C'est hard le bide du fow c'est temps si.

J-combien avant l'E3 déjà qu'on retrouve nos kikoos chérie ?

Première partie de mon anecdote ( oui je sais c'est cour...)

Quand je me réveillai, la première chose que je vus fut un maitre que je connaissais bien.
-« Comment te sens-tus ? » Me demanda t-il. La voie calme
-« Un peu mieux, merci. Mais que c’est il passé ? » Demandais-je anxieux
-« Des que tu as appris qui était le traitre, tu t’ais précipité sans réfléchir. Tu as reçu un très mauvais coup, mais la bonne nouvelle c’est qu’elle c’est enfouie… »

Je le regardai perplexe…

-« Elle c’est enfouie devant un assassin de grade 3, elle ne doit pas être si forte que ca. Tu pourras donc l’affronter après avoir subis ton entrainement.
-« Pourquoi devrais-je l’affronter ? Et quel entrainement ? »
-« C’est ton destin, pour avancer dans la vie du devra la tuer… Mais d’abord tu devras te rendre dans les Alpes là-bas un grand assassin t’apprendra l’art de la discrétion, tu le trouveras en haut d’une montagne dans une petite maison. Ensuite tu te rendras en Espagne, là-bas un autre maitre tu apprendras à te battre.
-« Heu… Ca fait beaucoup d’un coup mais je pense avoirs compris. Mais quand devrais-je l’affronter ? »
-« Dès que tu reviendra nous lancerons une offensive sur un de leurs camps. Ca fait des mois que nous préparons notre assaut.
-« D’accord je vais aller prendre l’air pour réfléchir à tout ca.

Quand j’arrivai sur la grande place je remarquai tout de suite, qu’il y avait un autre assassin. Il se pavanait et se vantait au près des dames. Quand il m’aperçu il se précipita vers moi.

-« Tu es bien l’apprenti de maitre Asgardien ? »
-« Oui et toi qui es-tu ? »
-« Je suis Alexandre, je doit t’aider a accomplir ton entrainement"

Je suis en train de songer que je vais vous envoyer pètre et arrêter Ludovico.

Oula As s'énerve trolololol
Bon si personne ne donne d'avis sur mon changement de perso avant que j'aille me coucher je suis content
Sur ce bonne nuit Nan allez je laisse à Lenski ou flamme ou autre pour intervenir. Remarque comme tout le monde s'en fou autant partir tout de suite

Je suis là!!!!!!!!!!

A merde. S'il te plait tu peux ne pas regarder mes postes si dessus pendant un quart d'heure.

Je vais faire mon possible

Merci ça fait plaisir.

Y a pas de quoi
Je te l'ai dis, je suis toujours là quand il le faut

Ouai enfaite non la t'es la quand y faut pas mais bon c'est pas grave.

4 minute avec le motherfucke de la journée.

Je viendrai pas la prochaine fois