"Ce n'est pas le problème du lieu mais du talent de l'écrivain "

Si il a du tallent faut essayer de faire original. C'est comme les call of. C'est perpétuellement la même chose. Je demande pas une chasse ouverte au gens qui choisissent certain pays mais juste de changer un peu. Si les gens ont du talent pourquoi ne pas faire un truc neuf alors ?

• Analyse en cour* taux de répétition 99%

Non sérieux dsl j'étais en train de regarder une vidéo en même temps j'ai pas trop fait gaffe à ce que j'écrivais.

Ludo De qui vous parliez quand vous disiez sa?

De tout les nouveaux qui choisissent l'Italie.

Donc je suis d'accord avec toi

Merci Link ça fait plaisir de savoir qu'on peut comptez sur quelqu'un

je serai toujours là

Linkc je vais me renseigner sur l'histoire de l'Amérique du Sud et je te fait une mission
Ludo site moi 2 personnes qui ont leur assassin en Italie
En plus je te fais un compliment et tu me remercie même pas

Flamme J'ai des anecdotes en tete pour l'Amerique du Sud.
Elle font suite a Codex. Tu peus me laisser faire?
J'ai une sorte de scenario.

Je peux te citer personn, a part peut être tout les nouveaux qui tiennent deux jours avant de partir. Les seuls bons Italien c'est Homm et Ezio0.

Et merci beaucoup pour le compliment c'est vrai.

Coucou

Ouais bah tu peux te gratter pour en avoir d'autre

Linkc 500 pièces d'or et 1.5 points
T'as passé plus de temps à décrire la salle d'entraînement que à aller chercher le codex
Et évite de parler de Connor car on sait pas grand chose sur lui et on sait pas imagine qu'il meurt à la fin

Je ne vais pas spoiler, mais Connor va avoir une place importante apres

Prénom: Thomas
Nom: Maure
Age: 19 ans ( Né le 28 Mai 1764 )
Nationalité: Yémen (Parle Français, Anglais, Espagnol, Italien et Arabe)
Description Physique puis moral: Thomas mesure 1m79 pour 67 kilos. Il à les cheveux bruns frisé.

Histoire: Fils unique d’une famille d’explorateur au Yémen, il commença à s’attaquer aux livres d’Histoires et aux cartes maritimes à l’âge de 16 ans. Un jour, il mit la main sur un parchemin nommé « Liste des assassins de la famille Maure ». Et à sa grande surprise, il vit son nom tout en bas de la liste. Intrigué, il se mit à chercher des livres sur les « Assassins » et appris qu’ils étaient en guerre contre des templiers. Un jour, il trouva une carte indiquant tous les quartiers généraux et comprit que c’était son destin. Il partit en direction de Paris pour rejoindre la confrérie.

Tenue: Tenue d’assassin du Yémen.

Force:5,5
Resistance:5,5
Déviation:5,5
Vitesse:5,5
Escalade:5,5
Discrétion:5

Francs:10500

Armes: Une lame secrète, un sabre, 5 couteaux à lancer, un arc, une dague.

Je pense poster l'intro de mon nouveau personnage ce soir ou demain.

Ok

Anecdote 1
La fortaleza
Amérique, Septembre 1774

-Que la réunion commence, proclama Bernardo de Gálvez en bon maître de cérémonie.

Malgré l’insalubrité de la salle, celle-ci servait de repaire aux 5 assassins espagnols les plus importants du pays, assis en rond autour d’une table. Le premier était le général Bernardo de Gálvez, gouverneur de la Nouvelle-Espagne, de Cuba et j’en passe et des meilleurs. Le second était Constantino Lazaro, le premier chef de la famille Lazaro et, accessoirement, mon père. En troisième position se trouvait Giordano Arisabalaga. Un homme de l’ombre extrêmement influent au regard sombre. Cet homme tuait des Templiers recherchés depuis des années et avait le bras long. Juste après lui se trouvait mon frère Elian. Il n’avait que deux ans de plus que moi mais il s’était très vite imposé comme un assassin exemplaire en tuant trois chefs Templiers qui assiégeaient Malaga. Le petit dernier de la bande dont la place était très controversée, c’était moi Luciano Lazaro. J’avais arraché ma place dans ce conseil de guerre et j’étais surexcité à l’idée de partir en mission avec ces assassins de prestige. Bernardo fit un léger mouvement de tête en direction de mon père qui prit la parole.

-Mes frères, nous savons que les Amércaine ne tarderont pas à demander leur indépendance. L’Espagne ne doit jouer qu’un rôle mineur vu de l’extérieur, notre roi ne veut pas d’une trop grande exposition médiatique. Seul Bernardo sera présent officiellement. Notre armée comportera 20 000 soldats mais la moitié voir plus se fera passé pour des soldats venus de France ou des Provinces-Unis. Nous agirons dans l’ombre et personne ne retiendra notre nom. Une première mission a déjà été programmée. Elian, donne-nous les détails.
-Merci père. Avant toutes choses nous devons nous implanter dans la région. Nos supérieurs ont déjà trouvés une ville qui nous servira de QG. Les Anglais contrôlent pour l’instant la petite ville de Trenton qui sert de relais entre Philadelphie et New York. Nous allons monter une stratégie puis prendre le contrôle de la ville. Si nous rétablissons les fortifications après l’attaque, personne ne devrait pouvoir la reprendre.
Mon frère mit sur la table une petite maquette de Trenton. La ville était relativement petite mais possédait de très hautes murailles. Plusieurs bâtiment avait était peint en rouge pour souligner leur importance. Elian laissa deux minutes à tout le monde pour bien observer la réplique puis commença les explications.
-Cet immeuble là c’est l’entrepôt d’arme de la ville. Vu de l’extérieur il ne paye pas de mine mais il est construit avec de nombreux sous sol qui permettent d’entreposer d’énorme quantité de poudre et de baïonnette. Si nous coupions l’accès aux armes nous pourrions presque prendre la ville sans un coup de feu. Malheureusement nos espions n’ont pas étaient accrédité à garder cette endroit. Ces pilonnes que vous voyez à l’intérieur de la muraille se sont des tours de gardes. Les sentinelles doivent impérativement être neutralisé avant l’attaque ou on sera repéré avant même d’avoir ouvert le feu. Ce bâtiment derrière les habitations, c’est un immeuble blindé qui servira probablement de refuge au dirigeant s’ils sentent que le vent tourne. Le dernier endroit important est le grand entrepôt à l’Est de la cité. La nourriture est entreposée dedans. Si le siège dur trop longtemps ils ne doivent pas pouvoir se rationner.

Mon frère se rassit pour laisser la parole à Giordano. Ce dernier, à la façon d’un véritable expert, regarda tour à tour chacun d’entre nous et répartit les rôles. Sans bouger de sa chaise il donna son plan.

-Nous disposons de 5000 hommes soit largement assez pour prendre le contrôle de la ville. Par contre nous ne devons pas permettre aux dirigeants de se mettre à l’abri dans n’importe le quelle des bâtiments énumérés par Elian. Bernardo étant le seul à devoir être en vu, il mènera l’attaque de front. Je m’infiltrerai avec un groupe d’homme par l’Est et nous prendrons le contrôle de leur garde mangé. Giordano tu attendras qu’on lance l’assaut puis avec tes assassins tu partiras directement jusqu’au bunker. D’après moi les dignitaires n’auront pas le temps de rejoindre ce bâtiment. Ton fils prendra d’assaut la réserve d’arme afin que les Templiers ne puissent pas exposer une trop grande résistance. Luciano, tu viendras avant nous avec un groupe de 3 hommes choisis par mes soins qui t’aideront à attaquer les tours. Aucune sentinelle ne doit survivre. Il y a quatre tours contenant chacune 3 gardes. Nous te laisserons à 50 mètres des clôtures, il y a une partie endommagé dans la muraille. Vous pourrez vous faufiler à l’intérieur puis monter dans les tourelles. Vous serez quatre donc une tour par personne.

-Ce sera fait Maestro, dis-je en essayant de garder mon sang froid.
-Sort Luciano tu vas rencontrer les membres de ton équipe. Nous allons régler les derniers détailles mais normalement ton rôle devrait se limiter à ça, dit mon père avec une pointe de soulagement dans la voie.

Je pris la porte sans plus de cérémonie. La réunion avait eu lieu dans le sous-sol dont la porte donnait sur une petite ruelle déserte dans le quartier pauvre de New York. Dehors, trois assassins étaient assis sur des marches et se levèrent à mon approche.

-Le fils de l’Espagnol, dit un homme brun d’un 1 mètre 80 avec un léger sourire chronique. Je suis Andrew Fist élève du Maestro de Gálvez. A ton service.
-Moi c’est Alizé Rade, lança une femme plutôt mince aux longs cheveux blonds avec de beaux yeux bleus. Disciple du maître Arisabalaga, dit elle avec un large sourire et un accent français assez discret.
-Arrêté de lui lécher les botes parce qu’il s’appelle Lazaro. Normalement c’est moi qui devrais diriger l’équipe, dit le dernière homme en restant assit pour boire encore un coup.
-A qui ai-je l’honneur ? demandais-je en essayant de masquer mon mépris pour cet ivrogne.
-Lorenzo Piri, répondit l’Italien d’une cinquantaine d’année. Commandant dans l’armée Italienne ; travail obtenue sans aide monsieur.
-Laisse Luciano il a encore trop but. On part quand ? demanda Andrew beaucoup plus amical que son collègue.
-L’attaque débutera à 8 heures. On sera lâché à 7 heures 30 à 50 mètres de la clôture. On disposera donc d’une demi-heure pour prendre le contrôle des tours. Si on est repéré, la mission est fichue.
-Personne ne survivra ne t’en fait pas, dit Alizé très sûre d’elle.
-Très bien. On se retrouve tous demain au campement. Bonne nuit à vous, dis-je avant de m’éclipser.
-A demain Luciano.

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Le campement avait était établit à trois cent mètres des clôtures et les arbres empêchaient de voir les tentes depuis la route. Voir ces 5000 hommes qui s’affairaient dans tous les coins me donnait presque le mal de mer. Andrew finit par arriver en poussant deux trois soldats pour se frayer un chemin.

-Luciano ramène toi. Le Maestro nous attend pour faire le dernier briefing, dit-il avant de faire demi-tour.

Je le suivis a travers le camp jusqu’à une grande tente recouvert des blasons de l’armé Espagnol et de l’armé Américaine. L’intérieur contenait juste un lit et une grande table, Giordano était assit à la grande table. Il nous toisa de son air neutre et nous indiqua deux chaises d’un signe de tête. Alizé et Lorenzo avait déjà prient place sur deux chaises en face du maître.

-Holà soldados. Prenez place nous devons rediscuter une dernière fois de notre plan, dit notre patron en déroulant une carte des environs sur la table. Alors, nous vous larguerons ici, à 50 mètres de Trenton ; de façon à ne pas être repéré par les sentinelles. Vous continuerez jusqu’à la clôture en tachant de rester discret. Nos agents infiltrés nous ont parlés d’une brèche dans la muraille qui vous permettra de rentrer sans vous faire repérer. Vous aurez juste à crocheter une serrure pour accéder à un escalier en colimaçon qui vous montera au niveau des tourelles. Vous aurez chacun une tour à neutraliser donc trois gardes par personne. Les pistolets sont interdits car l’alerte serait donnée automatiquement. Vous pourrez utiliser arc, poignard, épée ou tomahawk et tout objet qui se trouvera à votre disposition. Une calèche vous attend dehors pour vous emmener à votre point de départ. Rompez soldats.

Sans plus de cérémonie je me levé en même temps que mon équipe. Une petite calèche très simple nous attendait avec une porte ouverte. J’eu à peine le temps de fermer la porte avant que les deux chevaux ne partent au triple gallo. En moins de deux minutes on nous déposa dans la zone de largage. Sans un mot on sortit rapidement du transport pour se jeter dans les buissons. On courut le plus vite possible vers l’endroit indiqué par Giordano. Effectivement, la pierre était extrêmement émoussée à un endroit, à telle point que 5 pierres avaient cédée. On rampa rapidement pour rentrer dans la ville. Ce coin du village était relativement isolé, a part pour que les sentinelles rejoignent leur poste, aucun bâtiment ne se trouvait à proximité. Alizé s’agenouilla et crocheta la serrure de la porte qui donnait sur l’intérieur de la muraille. L’intérieur était un long couloir sombre comprenant 4 escaliers qui conduisaient aux 4 postes de gardes. Alizé monta rapidement au premier escalier. Je pris le second escalier 10 mètres plus loin en laissant Lorenzo et Andrew continuaient. La tour était enfaite une petite tour qui surplombait la muraille. Elle était construit en bois et était entouré de vitre pour donné aux sentinelles une vue à 360°. A l’intérieur je pouvais voir trois gardes qui parlaient tranquillement entre eux en scrutant l’horizon. Ils portaient tous la tenue des soldats britanniques.
Je sortis mon tomahawk et ouvris doucement la porte qui tourna sans un bruit. Les trois hommes me tournaient le dos, l’un regardait la ville et les deux autres fixaient la forêt. Je m’approchais tout doucement du garde qui regardait la ville puis lui tranchait la gorge d’un coup net. Je retins son corps pour éviter qu’il ne fasse du bruit en tombant a terre ; je le reposais doucement sur le sol avant de me retournais pour attaquer ses camarades. J’assenais un magnifique coup de hache à la gorge d’un premier qui tomba à genoux en un instant. Le dernier tenta de s’écarter mais je pris rapidement une flèche dans mon carquois pour lui planter dans le ventre. Je rangeais rapidement mes armes puis jetais un coup d’œil aux autres tours. Alizé était déjà prêt avec une légère trace de sang sur la joue. Andrew avait pratiquement terminé de ranger ses armes. Lorenzo, quand à lui, avait terminé depuis longtemps et se tourner les pouces sur une chaise pour faire semblant qu’il pouvait faire bien mieux que nous. On attendit quelques minutes avant de voir arriver 2000 soldats parfaitement en rang avec Bernardo de Galvèz en première ligne. Nos alliés à l’intérieur ouvrir les portes et l’armée Espagnol pénétra dans la ville. Sans attendre je descendis de la muraille avec mes collègues pour rejoindre l’armée. La pluparts des soldats furent rapidement capturés car l’entrepôt d’arme avait était prit par Elian. Une fenêtre s’ouvrit rapidement et un homme se pencha armé d’un fusil. Je saisis mon pistolet d’un geste expert et tirais deux balles qui touchèrent l’homme à la tête se qui le calma relativement vite. On marcha rapidement vers le château qui servait de refuge aux dirigeants de la ville. Deux soldats qui gardaient l’entré de ce bâtiment pointèrent leurs fusils vers nous mais ils furent rapidement fusiller. Deux colosses défoncèrent la porte pendant que Bernardo descendait de son cheval puis entra tranquillement dans le palais suivit de près par mon équipe et moi-même. Tout les soldats se mirent à genoux et furent capturé par notre armée. Après avoir traversé un long couloir nous arrivâmes devant une grande porte en bois qui protégeait l’accès au bureau des représentants de la couronne britannique. Les deux brutes revinrent en première position et défoncèrent la porte à l’aide d’un bélier. Immédiatement, une dizaine de soldats Espagnol rentrèrent dans la salle et pointèrent leurs fusils vers nos ennemis. Bernardo entra rapidement derrière eux. Seul trois chef Anglais régissaient la ville. Je pris rapidement place derrière l’un d’entre eux et le bras droit du maître de Galvèz se chargea de l’autre. Ce dernier monta sur la longue table à laquelle avaient prie place les dirigeants en attendant leur sort. Le vainqueur s’approcha rapidement du dernier homme et pointa un pistolet vers sa tête.

-Vous pouvez prendre ceci comme un coup d’Etat ou juste comme un coup de pied au cul, dit le maître avant de tuer son ennemi d’une seule et unique balle.

Les deux autres chefs furent assommés pour servir plus tard de monnaie d’échange en cas de besoin. Des soldats les prirent sur leurs dos et les emmenèrent dans les prisons de Trenton. On débarrassa le macchabé pour que Bernardo puisse prendre sa place. Mon frère et mon père nous rejoignirent peut de temps après. Mon père resta pour discuter avec Giordano et Bernardo tandis qu’Elian m’emmena m’aérer un peu après cette victoire. Dehors, on vit les paysans continuer leur vie comme si rien ne s’était passé. Devant le palais, une dizaine de soldats Anglais était à genouillé en rond pendant qu’un bourreau Espagnol faisait tranquillement les cent pas devant eux en leur posant des questions. Si la réponse le satisfaisait il continuait, dans le cas contraire il sortait un pistolet et collé une balle entre les deux yeux d’un des soldats. Le cadavre rejoignait alors le tas de corps de ceux qui avaient du servir d’exemples. Notre armée passait de maisons en maisons et fouillaient chaque recoins à la recherche à la recherche d’un britannique qui aurait tenté d’échapper à son destin. Un peu avant la sortit de la ville, on vit un homme se faire expulser d’une maison par deux de nos soldats. Il portait des vêtements de l’armée britannique et courut à quatre pattes jusqu’à nous.

-Pitié señor sauvé moi, implora-t-il. J’ai une femme et des enfants.
-Stop soldat, dis-je avant que l’Espagnol ne le transforme en brochette. Continuait votre mission et laissé le moi.

Le soldat obéi sans discuter. Une petite fille sortit de la maison et se blottit contre moi. Je ne lui donnais pas plus de 10 ans tandis que l’homme avait eu vingtaine d’année tout au plus.

-Celle-ci c’est ma nièce. J’en ai reçu la garde à la mort de mon frère. Mon fils et ma femme sont encore à l’intérieur, m’expliqua l’homme avec un léger accent anglais.
-Je vous ai fait une faveur. Si j’apprends que vous nous avez trahis je les tuerai tout les trois, dis-je avec fermeté. Suis-je clair.
-On ne peut plus clair monsieur, répondit-il en baissant les yeux avant de partir.
-Pourquoi sauver cet homme ? Tu viens de voir mourir cinq hommes devant le palais sans broncher, demanda mon frère avec un regard interrogateur.
-Ca sera toujours un homme de moins à mettre sur notre compte, dis-je.
-Arrête de me prendre pour un con. Je te connais tu as forcément une idée derrière la tête.
-Un espion Anglais qui pourrait infiltrer le camp adverse. Il sait qu’il me doit la vie et il ne mettra pas sa famille en danger. On pourrait dire qu’il a passé un temps dans nos prisons et qu’il s’est échappé.
-Un peu faible comme scénario. Nos ennemis on beau être Anglais ils ne sont pas débiles non-plus.
-On a tout le temps de le renforcer. Mais je pense que mon idée portera ses fruits.
-Je croise les doigts pour toi petit génie, dit-il en me poussant avec un sourire.

Ludo je te corrige plus tard
Mais t'as pas finis avec ton autre Assassin car il a pas tué le chef Templier de Barcelone

3 points et 700 d or

Lenskiiii !!!