RIP
Je lis Planetary en ce moment d'ailleurs
Salut tout le monde !
Est-ce que certains d'entre vous ont lu l'omnibus Dark Vador par Gillen ? Et si oui, qu'est-ce que ça vaut et est-ce que cela nécessite une grande connaissance de l'univers ? (je n'ai juste vu que les films et jouer à certains jeux vidéos)
C'est une très bonne série tu peux lire juste avec ce que tu connais des films
Fini le Swamp Thing : Green Hell de Lemire et Mahnke en DC black label, une lecture que je vous recommanderais d'éviter.
Sur le papier, la promesse de cette mini en trois grosses issues peut avoir quelque chose j'imagine d'un peu alléchant : dans un futur relativement proche, une catastrophe écologique quelconque a provoqué une montée drastique du niveau des eaux, forçant les quelques rares humains survivants à lutter dans un monde à la Waterworld.
Les trois parlements (la sève, la chair, la nécrose) ne peuvent plus survivre correctement avec ce bouleversement de l'écosystème (pourquoi ? on sait pas, faut juste l'admettre), ils décident donc d'envoyer une nouvelle créature purger l'humanité afin de repartir sur un nouveau cycle d'habitation de la terre qui leur sera plus favorable (avec quoi, comment, on ne sait trop).
C'est une lecture des plus médiocres. Côté scénario, tout ce que le propos pourrait avoir d'intéressant est vite subordonné à de la bataille de monstres hybrides des trois parlements qui ressemble à du sous Blackest night esthétiquement ou à tout ce que propose éternellement le comics de super quand il décide de jouer sur la variation du "zombie", au sens le plus large du terme. Quelques personnages humains (une petite fille, son père, un vieux) sont censés nous apporter un peu d'ancrage dans l'intrigue mais ils sont écrits comme dans le plus feignant des films catastrophe hollywoodiens et pas une seconde leur destinée ne sera impliquante dans le récit, et encore moins surprenante. Lemire sort de sa besace les personnages attendus gravitant autour de ce type d'histoires (Alec, Deadman, Constantine, Animal Woman etc) mais ils se contentent de singer la manière dont ils sont écrits par des auteurs plus talentueux que Lemire, qui rend une copie dont la paresse étonne tout de même pas mal.
Si de son côté Doug Mahnke fait vaguement le taf au niveau de la direction artistique des monstres (le méchant Swamp Thing est inquiétant, bien que plusieurs de ses plans soient un peu pompés sur du Alien niveau composition, les arbres de la sève sont corrects), ses personnages humains demeurent toujours aussi cradingues avec leurs gueules de duplo ahuris et on est pas loin d'atteindre le tier Robertson / Dillon de la laideur. Le découpage est lambda au possible. On retiendra à la limite sa proposition ponctuelle d'un Alec émacié pour montrer l'épuisement de son corps qui a un côté carcasse de Dark Souls pouvant plaire à certains.
Finalement, tout ce charivari bien stérile de monstres qui se mettent des patates se règle en grosse bagarre d'autant plus sans enjeu qu'elle se déroule sur une petite île au milieu de nulle part dont on se fout éperdument ; et le mince propos écologique qu'il y avait à deviner au titre est lourdement martelé dans un dialogue naze histoire d'être sûr que même le bêta ait compris.
Un truc tout de même me chiffonne avec ce titre, outre le fait qu'intrinsèquement il soit bien naze. La collection black label avait, à mon sens, le but d'essayer d'attirer des lecteurs ponctuels voire nouveaux (éventuellement, des lecteurs de BD qui n'aiment pas le caractère relié du comics et son histoire éditoriale longue) vers des figures DC auprès desquelles la collection devait les introduire. Mais pour qui n'a jamais lu des runs précédents des personnages, bien que l'histoire soit hors continuité, c'est un bordel abscons. Qui est Deadman, qui est Constantine, quels sont ces trois parlements et quels sont les extensions exactes de leurs pouvoirs, pourquoi Constantine peut aller négocier des power-up en enfer expédiés en deux pages et demi ? Si t'es pas au courant, mange-le et ferme-la, Lemire avait pas le temps de te le réécrire différemment.
Bref je ne souhaite pas passer pour un hater gratos du Canadien dont j'approche souvent le taf de façon très critique mais en l'occurrence...ce Hellblazer Green Hell - Swamp Thing pardon, on a tendance à l'oublier - est une daube.
Un Waterworld zombifiant naze, et vous penserez si vous avez le temps à essayer d'être un peu décroissant vite fait.
Je suis justement en train de terminer la lecture de l'omnibus de Dark Vador par Gillen
Franchement c'est un récit très agréable à lire se déroulant entre l'épisode 4 et 5 dans les films. Les personnages principaux sont très sympas à suivre et tout est dans le thème d'un personnage comme Dark Vador, jusqu'au type d'humour employé (on connait de vrais moments d'humour noirs très appréciables, mention spéciale au duo de droïdes sociopathes vraiment drôle). On a le droit à de très belles planches et des moments épiques.
Ce n'est pas l'œuvre parfaite, loin de là (le récit prend souvent des facilités et va vite dans la résolutions de plusieurs problèmes) mais c'est une bonne lecture que je conseille.
Je l'aime beaucoup également cette série.
Le caractère empire dans l'empire avec le plan de Vador qui doit à la fois composer contre l'empereur mais aussi contre ses ennemis donne une dimension enquête / espionnage à l'intrigue qui tient très bien l'ensemble et relie efficacement les péripéties entre elles.
Les ajouts au lore en terme de fonction des personnages ou d'approfondissement sont bien dosés parce qu'ils savent ajouter de la profondeur, de l'intérêt, sans être trop pesants, trop impactants négativement sur le reste ce qui viendrait à poser des problèmes de cohérence trop flagrants, et ils ne reposent pas sur des nécessités de connaissances encyclopédiques de l'UE.
Le personnage d'Aphra est super et son spin off en mode Indy dans star Wars était très cool, bien que je ne l'aie pas fini personnellement.
Après y a le côté très retouche numérique du taf de Larroca qui dérange souvent certains lecteurs. Moi c'est un type que j'aime bien et je peux préférer ce type de traits sur des univers comme SW qui ont une base cinématographique, là où je privilégie en comics traditionnel un style plus cartoon.
Pour ma part j'ai (enfin) lu les Green Arrow Green Lantern de Neil O'neil et Neal Adams.
Je savais juste que c'était connu (en dehors des dessins d'Adams) pour le propos social révolutionnaire mais pas les grandes lignes, même pas que c'était un road trip à travers l'amérique de Hal, Ollie et un des gardiens sous forme humaine.
C'est pas du tout subtil et ça a beaucoup moins bien vieilli que ce qui se faisait à la même époque (ou un peu avant) chez Marvel : genre le surfeur d'argent ou les Spider-Man (je préfère un milliard de fois l'épisode d'X-men dessiné par le même Adams ou les enfants qu'ont le cancer, les noirs et les femmes font un genkidama pour repousser les nazi de l'espace). Je trouve quand même que Marvel a toujours eu 400 ans d'avance sur DC, y avait certes aussi des maladresses quand ils abordaient ces thématiques mais ils les utilisaient vraiment pour rajouter de la nuance là où chez DC on fait 18 pas en arrière pour faire semblant d'en faire un en avant, on enlève les éléments vraiment subversif du genre pour faire une révolution de façade.
Un des délires c'est que Green Lantern obéit toujours à la loi, il va tabasser le prolo plutôt que son proprio machiavélique, dans un épisode un patron traite trés mal ses employés et Hal se dit qu'avant sa reconversion il se serait mis du côté du patron (alors que l'objectif du méchant c'est d'empêcher la police d'apprendre ce qu'il fait car c'est clairement illégal mais bref) alors qu'un des délires du genre bien avant les années 70 c'est que les persos ont un code moral en dehors du cadre légal et gouvernemental, c'est le cas de Spidey dès le début 10 ans avant, c'est aussi le cas de Superman dans les premières histoires ou de Captain America au moins dés Englehart (a peu prés a la même époque que GL / GA quoi).
Merci pour ton retour Manny, tu m’as salement donné envie de me refaire le run de Moore qui reste un des mets les plus délectables que j’ai connu de ma courte vie de lecteur .
Le Green hell me tentait plutôt pas mal, de part son pitch et par sa couverture qui m’intriguait, donc ça fait quelques sous d’économisé
Ca reste qu'un avis en passant, mais c'est clair qu'en termes de canons d'écriture - qu'on apprécie Lemire ou pas, d'ailleurs y a certains de ses tafs indés que je trouve corrects - on est à mille lieues d'un Moore qu'il imite pour les monologues intérieurs à la fois triste et détaché d'Alec ou d'un Delano et cie dont il essaie de reprendre la gouaille pour Constantine.
Animal Woman, n'en parlons même pas, elle apparaît simplement pour slasher des gens.
Très franchement, même le début de Swamp et Animal Man du new 52 qui se lisaient en parallèle ça me paraît bien plus intéressant (et on jouait aussi pas mal avec les parlements à ce moment) alors qu'on est pas non plus sur de l'écriture panthéonique.
Un truc qui m'a frustré c'est que dans l'écriture des méchants c'est vraiment con quoi. C'est ces espèces d'entités abstraites qu'on voit parfois dans les titres Swamp / Animal qui se plaignent mais on comprend pas de quoi exactement. On te fait des caisses pour te dire que le royaume de la chair n'a plus assez de viande mais les humains manifestement ont survécu en pêchant, dans les montagnes il reste des animaux etc, la végétation existe aussi dnas le monde marin, c'est pas que les gros platanes au bord de la nationale donc on voit pas pourquoi la sève aurait disparu non plus (et elle produit des monstres plus ou moins faits d'algue d'ailleurs), la nécrose bah même si le monde était rempli d'eau, avec tout ce qu'on a décrit précédemment, il y aurait quand même des êtres vivants qui se dégradent et pourrissent.
J'aime pas être le mec qui cherche la cohérence pointilliste dans des scénarios (les gens qui ont cette approche critique m'énervent même) mais là tu comprends simplement pas où est exactement le souci des antagonistes, d'autant que la brièveté du titre comme sa volonté de le circonscrire à une petite île qui a l'air de contenir trente personnes t'empêchent de te figurer tout cela.
C'est vraiment un des settings post-apo les plus pantouflards et incroyables que j'ai vus depuis un bout.
Merci beaucoup pour vos retours sur Dark Vador
Peut-être que je vais me laisser tenter alors. J'ai feuilleté un peu, les dessins de Larroca ne me dérange pas tant à première vue. Le seul bémol que j'aurai se porte sur les visages humains qui des fois font un peu trop "arrêt sur image" mais le reste me plait plutôt bien et se prête bien à l'univers (pour le peu que j'ai vu).
Salut les quilles. J'ai lu Geoff Johns présente Green Lantern tome 2. Qui marque la fin de la première intégrale.
Toujours aussi qualitatif
Les regrets d'Hal Jordan, mais aussi d'autres personnages sont très bien exploités. Ca questionne son rang, façon Civil War (Est-ce que son statut de policier interstellaire lui permet d'intervenir dans tous les pays ?). Il y a d'ailleurs un complot qui semble se former avec un groupe de justiciers qui m'est inconnu. A voir ce que ça va donner.
Contre toute attente, Hal fonctionne très bien en duo avec cette e'merdeur de Guy Gardner (deux têtes brulées, quelque part ils se ressemblent ). Les dessins et décors sont toujours aussi fous la planète artificielle des Manhunters . J'ai cependant une préférence pour le tome 1 là dessus, et sur l'histoire.
A noter une scène touchante avec Batman. Et Geoff nous prouve qu'il n'a pas oublié le poids des actes passés d'Hal Jordan, et c'est précisément ce que j'attendais Bien qu'il ne semble pas vouloir malmener son héros plus que ça . Mais ça crée un gros ressort de tension dans le Corps pour le futur.
On pourrait pester sur la volonté de Geoff de vouloir faire revenir tous les persos passés de la saga. Y compris avec des explications bancales, voir carrément des résurrections pétées . Mais ça prouve sa tendresse de vrai fan pour cet univers
Mais du coup j'ai des questions :
- Comment Sinestro a simulé sa mort ? Parce que Hal lui a quand même pété la nuque
- Au final, qui a nucléarisé Coast City ? Mongul ? Cyborg Superman ? Une alliance des deux ?
- Qu'est-il advenu du Mongul originel ?
- Geoff Johns déteste t-il la fille de Mongul ? C'est le seul perso qui revient pour se voir infliger le pétage de nuque réglementaire dix pages plus tard. Expéditif
Le 27 août 2024 à 19:00:53 :
Hello la communauté,Je viens de terminer la lecture du fameux « Shadowland » de Diggle et je suis loin d’avoir trouvé ça aussi degueux qu’on le dit .
Je pense qu’un certains nombre d’élément jouent en la défaveur de cette arc narratif, à commencer par les excellents runs consécutifs de Bendis et Brubaker qui contrastent instantanément avec cette conclusion.
Pour autant je ne trouve pas l’aventure si mauvaise que ça, bien au contraire c’est même une belle surprise par rapport à la réputation du titre.
Alors oui, on va commencer par ce qui fait très mal : Daredevil en leader de la main ça aurait pu être autre chose. Plus complexe, plus ambigüe, etc etc. Maintenant pour les lecteurs des runs susmentionnés n’oublions pas que l’arc « daredevil prend la place du méchant pour améliorer les choses » à déjà été proposé par Bendis dans son Run et le lecteur sait que ce que donne un DD totalitaire. La position du diable de Hell’s Kitchen au côté de la main, les ressources mise à part, ne pouvait que s’enfoncer dans une réflexion analogue.
En bref : conclure le run de Brubaker sur un DD qui se donne à la main c’est fort et puissant d’un point de vue diégétique, mais sur une continuité organique c’était pratiquement certain que rien de grandiose ne serait fait avec ce genre de chose dans un comics estampillé Marvel.
Pour nourrir mon propos, si ce type de récit était un jour proposé en série ou en trilogie cinématographique, Le Run de Bendis serait le premier film, le basculement du héros vers le côté obscure représenterait indubitablement le twist du second volet (Run de Brubaker donc), et ce Shadowland (les héros urbains se regroupe pour résoudre la situation) serait la conclusion attendue à toute fin de trilogie consensuel qui se respecte.
Ça ne fait certes pas plaisir mais ça fait sens dans une approche rationnel et capitaliste du personnage. Attention je ne dis pas que capitalisme et rationalisme vont de pairs ni que c’était la meilleur chose à faire avec Murdock, je dis juste que ça fait sens. C’est organique et cohérent selon moi.Pour les fameux problèmes d’écriture régulièrement avancé, encore une fois je rappelle que Daredevil a toujours baigné dans une ambiance ésotérique/mystique. C’est pas du docteur Strange mais sur Smith ou Miller le délire ninja a toujours été intrinsèquement lié au monde urbain du héros.
Le pitch est certe simpliste mais il est fonctionnel. J’ai trop souvent lu des commentaires comme quoi « on assume pas jusqu’au bout le basculement du héros et on le masque avec un démon qui le contrôlait ». Oui mais non. Je ne suis profondément pas d’accord.
Murdock le dit lui même à la fin et je l’avais compris dès le début : le meurtre de Bullseye est uniquement de son fait. C’est d’ailleurs (avec le fait de devenir leader de la main sans doute) la brèche dans laquelle s’engouffre le démon. Une péripétie singulièrement catholique si elle en est (consubstantielle au personnage également rappelons le svp) qui va être l’élément déclencheur du « deus ex machina moral » que représente par la suite l’entité derrière tout ça. Mais le choix de Murdock de tuer est un choix libre et éclairé. C’est le faux pas qu’attendaient les moines japonais et c’est le renoncement de soit qui appel la créature à corrompre l’âme de DD conformément à sa volonté d’occuper un hôte initialement pure. Tout cela est tellement véridique que Murdock décide lui même de quitter New York à la fin du titre pour faire pénitence et expier son péché initial.
Si on peut s’étonner de la forme et d’un lore douteux (il ne me gêne pas personnellement) le fond est profondément en phase avec tout ce que j’ai compris du personnage depuis le run de Miller.
Pour le hordel autour de la main et la facilité présumée avec laquelle DD bascule. Pardon mais on fait un petit résumé de ces dernières tragédie svp ?
-divulgation de son identité secret
-échec à sauver un héros de seconde zone qui se fait abattre par la police lors de son procès
-Prend littéralement la place du caïd
-Va en prison un certain temps
-Évasion de prison
-Deviens fugitif
-« Meurtre » de Foggy
-Tombe amoureux
-Vie de sa compagne brisé par une drogue d’un Villain
-Milla internée en HP
-Trompe sa femme
-Doit cesser d’exercer son activité professionnelle
-Harcelé par la main et prend sa direction pour ne pas la laisser à ce même caïd.Et je suis sûre que j’ai oublié un peu moins de la moitié de ce qu’il se prend dans la gueule avant d’en arriver à devenir le leader d’une organisation terroriste et à imposer une loi totalitaire.
On rappelle qu’en parallèle de tout ce que j’ai exposé le Bullseye a flingué non pas une mais DEUX des plus grands amours de sa vie. Ce même Bullseye qui menace de tuer tout les gens que Matt aiment alors que DD est plus vulnérable qu’il ne l’a jamais été ?
Faut prendre aussi tout ça en compte avant d’estimer que le basculement est trop rapide.
Shadowland c’est les abysses que dissimule un fond que DD pensait palpable à la fin du run de Brubaker.
Sur l’exécution c’est sure que c’est pas ce que la série a pondu de plus fin, mais encore une fois : on sort de 2 (voir 3 avec Smith) travaux assez ouf.
Voir tout l’univers urbain (Wolverine, Spidey, Moonknight, Cage etc) s’engager dans une lutte façon au diable de Hell’s Kitchen a quelque chose de jubilatoire.
C’est simple, c’est facile, c’est superficiel. Mais franchement ça marche selon moi.
Peut être que le projet est un peu trop dépendant de ses arcs précédents. Je veux bien admettre que lire Shadowland en débutant le héros peut être assez catastrophique en matière de vision du personnage, mais prit au sein de son microcosme c’est pas brillant mais c’est pas la purge que je redoutais.
C’est efficace et divertissant.
C’est sucré, c’est cheesy, c’est kikoo dark, mais c’est pas une conclusion déshonorante à l’ère amorcé par Bendis.
Comme expliqué plus haut dans mon développement Shadowland c’est la nécessaire bataille final à chaque fin de trilogie quoi.
Et pour rester sur l’analogie cinématographique le truc est plus efficace que 99% des merdes pondus sous l’ère Marvel Disney donc à la rigueur je serais très curieux de voir ce que donnerais une adaptation de cette arc au cinéma ou en série, sans oublier que la taille du casting, finalement assez réduite, peuvent laisser espérer une adaptation nettement plus fidèle au matériel originel qu’un civil War ciné par exemple…
Persoent Je recommande le titre SI et seulement SI vous avez consommé les deux runs dont il est la conclusion !
(désolé du triple post)
C'est ce que j'aurais dû faire en effet. Parce que Shadowland en one-shot errrm ...
C'est l'effet de déception de voir un premier chapitre qui hype de fou
Pour aboutir très vite sur un comic convenu et consensuel
J'avais pas aimé le coup du démon. (davantage que Foggy soit la résolution si je me souviens bien ). Mais peut-être qu'avec les runs précédents ça fait sens. C'est vrai que Daredevil est peut-être naturellement trop bon (le côté chrétien) pour en arriver à cette extrémité. C'est difficile à dire pour moi qui suit encore "néophyte" du perso.
Bien aimé le retour au pouvoir du Caïd à la fin. Attendu mais mise en scène efficace.
Puta*n ça me rappelle la série Defenders J'aurais tellement aimé que ce soit un Shadowland réussi. Au final c'était un navet (avec une première moitié pas si mal je trouve. Et une deuxième partie nanardesque où l'on se marre, c'est déjà ça ).
A voir avec la série Born Again. Enfin, la saison 4 . Même si je doute que ça prendra cette direction.
Ah bah pour le coup la série Défenders côté étron ça se plaçait la .
Shadowland ferait un excellent Marvel Disney
Commencé la Revanche des Sinister Six à l’occasion de sa sortie en Must Have.
C'est exactement le style que j’apprécie pour Spider-Man, ce design et cette atmosphère fin 80s début 90s, Erik Larsen des grands jours au scénario et dessin.
Pour le moment c’est plutôt sympa, surtout porté par le style graphique qui m’accroche totalement.
Un petit défaut d’écriture repéré au passage (spoiler mineur) : Spidey qui explique qu’il s’est fait rétamer par les Sinister Six après un affrontement alors que seul Octopus lui a donné du fil à retordre, et qu’il a presque one-shot tous les autres
J’espère que d’autres Must Have sortiront autour de cette période (j’aimerais aussi lire les autres arcs "Sinister Six" qui existent en fait !).
Dans le genre j'aimais bien vers 2009 / 2010, par là, la période du Gauntlet qui voyait Spiderman réaffronter tous ses ennemis cultes (ou de nouvelles versions de ceux-ci) avec des power-up, chacun l'usant peu à peu. Le tout aboutissait à une pseudo suite de Kraven qui n'était pas super efficace mais les suites de duels en eux-mêmes fonctionnaient bien.
Slott avait un peu essayé la même chose pour arriver lentement à son #700 mais avec moins d'efficacité.
Qu'est-ce qu'on a en bonne sortie BD franco-belge et européenne cette année ?
Je n'ai lu que le Larcenet de récent
Manny -> Ah ça peut m’intéresser, j’aimerais bien jeter un oeil à la partie graphique, est-ce que tu sais si ces arcs ont été publiés en recueil relié en France stp ? Si oui avec quels titres ?
Ca a été publié dans un certain nombre de Deluxe, j'ai plus le nombre d'issues exactes en tête mais ça se trouve dans ces trucs là:
https://www.mdcu-comics.fr/comics/mag-vf-13447-panini-comics-marvel-deluxe-spider-man-mysterioso/
https://www.mdcu-comics.fr/comics/mag-vf-11755-panini-comics-marvel-deluxe-spider-man-le-pouvoir-au-peuple/
Je crois qu'il manque certains morceaux en Deluxe par contre, et il me semble que l'arc qui conclut tout ça (Grim Hunt) n'a pas été publié dans ce format non plus.
Je vois merci beaucoup ! Effectivement, modernité oblige on part sur quelque chose de très différent graphiquement, pas forcément ma came... en tout cas je mets ces titres de côté, et je vais vreuserles autres arcs debut 90s qui pourraient être dans la même veine !