dans la parenthèse ( durée, age, forme, etc...) j'aurais pu ajouter "épreuves".
un oubli de ma part.
0 impact.

et puis je pourrais revenir sur LOTR et L'anneau unique choisissant son porteur. ( transition, épreuves, etc...) mais ce serait encore trop long.
mais non dénué d'interprétation. alors que JRR Tolkien n'avait jamais lu Campbell, il y a peu de chance en tout cas.

Le 10 décembre 2022 à 11:15:12 :

Le 10 décembre 2022 à 09:55:12 :
Cameron c'est le seul mec avec une filmographie introlable

il a jamais réalisé de mauvais film

il a produit quelques navets quand meme. personne n'est parfait.

produit pas réalisé

une boite de production c'est pas la même chose

Le 10 décembre 2022 à 11:14:38 :
may pas d'impact, gneuh gneuh gneuh
https://www.bfmtv.com/people/cinema/comment-avatar-a-t-il-marque-la-pop-culture_AN-202212100101.html
"Une expérience sensorielle et émotionnelle", "un vertige immersif", "une déflagration"... En 2009, Avatar a profondément marqué le public et changé l'histoire du cinéma en proposant une immersion jusqu'alors inédite dans un monde virtuel. Pourtant, au cours des années 2010, l'idée que le plus grand succès de l’histoire du cinéma n'a laissé aucune trace dans l’imaginaire collectif s'est peu à peu imposée.

Le 10 décembre 2022 à 11:14:38 :
may pas d'impact, gneuh gneuh gneuh
https://www.bfmtv.com/people/cinema/comment-avatar-a-t-il-marque-la-pop-culture_AN-202212100101.html

Extrait :

"Maintenant, il y a quand même un avant et un après Game of Thrones en termes de narration", prévient Lloyd Chéry. "Si le scénario ne muscle pas un peu son jeu, ou si les enjeux ne deviennent pas un peu plus dramatiques, ça risque d’être compliqué. Le film marchera, mais la vraie question, c’est est-ce qu'Avatar va réussir à se propulser comme une franchise incontournable de science-fiction."

Lloyd Chéry, auteur d'un livre sur Dune. Il me semble qu'il tenait le même genre de discours avant la sortie du film de Villeneuve, qu'il avait adoré. Quelques mois plus tard Top Gun 2 cartonnait avec des enjeux simples, peu de violence et SpoilAfficherMasquerquasi zéro mort à part Kilmer
Pour moi, cet avis est assez représentatif du décalage qu'il peut y avoir entre la commu geek/cinéphile et le grand public qui s'était rendu en salles pour Avatar et le refera probablement pour cette suite...

90% des cinémas vont réouvrir en Chine... Le jour de la sortie d'Avatar 2

Les premières projections voient un week-end d'ouverture à 200M$ en Chine, et le phénomène pourrait être bien plus grand quand on sait qu'Avatar 2 sort pile au moment où les chinois vont pouvoir sortir de chez eux

https://twitter.com/Franspeech/status/1601208313714442241?t=zd98s9sj6PI3xrNLkcIX_A&s=19

Le 10 décembre 2022 à 15:06:58 :
90% des cinémas vont réouvrir en Chine... Le jour de la sortie d'Avatar 2

Les premières projections voient un week-end d'ouverture à 200M$ en Chine, et le phénomène pourrait être bien plus grand quand on sait qu'Avatar 2 sort pile au moment où les chinois vont pouvoir sortir de chez eux

https://twitter.com/Franspeech/status/1601208313714442241?t=zd98s9sj6PI3xrNLkcIX_A&s=19

Quand Avatar est sorti en 2009 il n'y avait que 6000 cinés 3D dans le monde. En 2022 il y en a 1.2 millions dont 60 000 rien qu'en Chine.

Les gens qui ont dit que ça allait bider vont se sentir bien con

Cameron soumit a la Chine pour pouvoir continuer de raconter la suite de Pocahontas.
Cameron qui doit foutre des acteurs chinois pour faire plaisir au PCC.
Cameron en sueur apres chaque leak sur les Ouighours et les appels aux boycotts.

Complètement con le dernier message tu dois pas bien connaître James Cameron.

Tous ses films ont une force universelle sans équivoque dans l'histoire du cinéma, et c'est d'ailleurs un des thème majeur de Avatar premier du nom

Le 10 décembre 2022 à 09:29:32 :
Je comprends pas cette histoire d'impact culturel. C'est quoi l'unité de mesure? Konbini? Quel rapport avec le cinéma?

Si c'est moi que tu vises avec ta petite pique sur Konbini, j'ai pas fait référence à Konbini, mais aux réalisateurs invités dans leur format vidéo club

Y en a jamais aucun qui cite avatar. À contrario, moi qui n'aime pas spécialement 2001, il doit revenir à peu près une fois sur 3

Mais faîtes semblant de ne pas comprendre la notion d'impact culturel. Surtout quand on parle d'un film qui détient le record au box office depuis 13 ans

Le 10 décembre 2022 à 11:22:46 :

Le monomythe, c'est un mythe ritualisé commun à différents peuples interprété sous des formes différentes ( durée, age, forme, etc...) exemple: le passage à l'age adulte.
La notion de transition est trouvable dans tous les peuples de façon récurrente sous des interprétations différentes= monomythes.
Star Wars comme Avatar l'utilisent d'ailleurs. les 2 dans des univers différents mais de SF.
donc on s'en bat pas les couilles le Golem.
merci et au revoir.

C'est pas ce que disent les spécialistes de la question

C'est pas parce que Lucas a sucé la théorie de Campbell y a 50 ans, qu'elle est vraie

Lucas n'a strictement aucune compétence dans le domaine de l'étude des mythologies, pour déterminer si la théorie du monomythe est fondée ou pas

Pas plus que miyazaki

Or les érudits qui ont étudié sérieusement la question, disent que c'est de la merde e monomythe

Le 10 décembre 2022 à 16:10:53 MetalGearRemake a écrit :
Complètement con le dernier message tu dois pas bien connaître James Cameron.

Tous ses films ont une force universelle sans équivoque dans l'histoire du cinéma, et c'est d'ailleurs un des thème majeur de Avatar premier du nom

Non mais laisse tomber, le mec spamme depuis plusieurs semaines (mois ?) qu'Avatar 2 va bider (et que le MCU est mort etc), il est pas prêt.

Mais là son post du dessus prend déjà une nouvelle tournure, puisqu'il renouvelle sa vanne, désormais sur le mode "hihi Cameron va sucer le marché chinois pour exister". Il commence à sentir que sa théorie du bide au BO prend du plomb dans l'aile et tente de se réinventer.

Sinon, petite interview de Lang au passage :

Qu’est-ce qui se passe dans votre esprit au moment où vous comprenez qu’Avatar aura enfin une suite ?

Oh boy. Je savais que Quaritch allait revenir, parce que James [Cameron] me l’avait annoncé. Mais il n’avait rien précisé ! Je me suis dit que c’était soit un flash-back, soit un préquel. Peut-être un focus sur la Terre, lié d’une façon ou d’une autre à la RDA, avant les événements du premier Avatar… En fait je n’en savais rien du tout, j’étais dans le noir complet. Et puis un soir, lors d’un dîner à Malibu, il commence à me détailler toute l’histoire. Je l’écoute sagement, et là je comprends que mon rôle pourrait bien être aussi central que dans le premier film… Le choc ! Et quand j’ai enfin pu lire le scénario de La Voie de l’eau, c’était aussi cool que de découvrir celui de l’original. J’étais sûr de ne jamais retrouver cette sensation, la certitude d’avoir reçu le meilleur rôle du film. C’est sûrement ce qui fait que je suis efficace en Quaritch. Mais bon, j’imagine que Sam Worthington se dit la même chose pour Jake Sully ! En tout cas, c’est toujours bon signe d’avoir l’impression qu’on est au cœur du projet. Et le miracle, c’est que dans Avatar 2, 3, 4 et 5, Quaritch ne cesse de prendre de l’ampleur et de la profondeur. Le personnage n’avance plus en ligne droite comme dans le premier Avatar.

C’est-à-dire ?

Il y a des choses que je ne vous dirai pas. Si je commence à rentrer dans le détail… C’est la boîte de Pandore, sans mauvais jeu de mots ! En tout cas, sa mission est on ne peut plus claire : éliminer l’insurrection sur Pandora qui menace la RDA. Ils reviennent, mais ils n’ont rien appris, contrairement à mon personnage : si dix tonnes de bombes n’ont pas fait le boulot la première fois, alors ils se pointent avec vingt tonnes. (Rires.) Quaritch a un côté franc-tireur ; il fait les choses à sa façon. Donc il va se la jouer solo et cela va affecter la relation entre Quaritch et Sully, Quaritch et les Na’vis, mais aussi Quaritch et la RDA. J’adore la tension que ça génère.

Quaritch hérite d’un corps de Na’vi dans cette suite, ce qui explique son retour. On imagine que la motion capture doit quand même pas mal changer votre performance du point de vue physique.

Oui, dans l’original, c’était moi en live action pratiquement tout le temps, sauf à la fin quand je porte l’AMP et que je me bats avec Jake. Là, je dois TOUT jouer en performance capture, sur terre comme dans l’eau. C’est fascinant et épuisant. Tu ne dois faire qu’un avec l’attirail : la combinaison et le casque font partie de toi, et donc tu l’incorpores au personnage. Pas le choix, ça devient presque normal en fait. Mais le plus dur, ce fut de rester sous l’eau pendant très longtemps. On s’est entraîné avec les meilleurs plongeurs du monde, des mecs qui te poussent au bout du bout de tes capacités, mais qui font toujours en sorte que tu sois en sécurité. Le casting est devenu plutôt bon à ce petit jeu, mais certains étaient meilleurs que d’autres. En l’occurrence, Kate Winslet doit être à moitié sirène, il n’y a pas d’autre explication ! (Rires.) Mais c’est pas mal de galérer, parce Quaritch n’est pas un personnage « d’eau ». Et quand il s’y retrouve, il préfère s’en barrer au plus vite. Dans plein de scènes, j’essaie juste de me tirer et de revenir sur la terre ferme !

En deux parties, parce que ça ne passait pas en une (JVC ) :

Mais ce changement de corps, ça doit bien avoir un impact sur la façon dont vous bougez ?

Complètement. Je suis une meilleure version de moi-même, bigger, bluer. Mais Quaritch sera toujours Quaritch, qu’il soit humain ou qu’il fasse 3,5 mètres de haut. Il faut qu’on trouve des points communs dans sa façon de bouger. En fait, ça se joue plus au niveau psychologique - ce qui a tout de même un impact sur ses mouvements. Pour reprendre ce que je vous disais tout à l’heure, Quaritch avançait en ligne droite et à angles droits, métaphoriquement et littéralement. Et c’est en partie pourquoi il a été battu. Le monde de Pandora n’est pas carré, il est fait de courbes, il est fluide, il change tout le temps. Pour espérer s’y intégrer, il faut s’adapter. Mon personnage est capable de le faire, sans pour autant sacrifier totalement qui il était et ce qui faisait aussi sa force. C’est toujours un type dogmatique, un peu rigide, mais il parvient à intégrer la flexibilité qu’exige Pandora. Et ça fait de lui un meilleur ennemi qu’avant.

Peu de films ont utilisé la 3D comme Avatar, Cameron ayant mieux compris que les autres comment s’en servir. Sur le tournage, sa minutie peut-elle donner lieu à des complications pour les acteurs ?

Parfois, oui. Il peut y avoir de pures exigences techniques. Et ce qui se passe dans ces moments-là, c’est que Jim crie « CUT ! », et il a une discussion de 20 minutes à deux heures avec l’équipe technique pour solutionner le problème (Rires.) Après, pour moi, acteur, ça ne change pas grand-chose : « Il faut que je me mette là plutôt qu’ici pour que la 3D rende bien ? OK, faisons ça. » Sauf qu’avec Cameron, la 3D n’est pas qu’un autre outil de réalisateur. Personne n’a compris comme lui ses possibilités. On a vu pas mal de films qui s’en servent pour surprendre le spectateur, lui balancer des objets au visage. Bien sûr, il y a aussi ça dans Avatar, mais Jim se focalise sur l’immersion, c’est toute la différence. Il dit au public : « Venez. Entrez dans ce monde. » C’est une invitation.

Avatar, c’était il y a treize ans. Vous vous êtes questionné sur la capacité de James Cameron à reproduire l’effet de sidération si longtemps après ?

C’est presque une expression toute faite : « Ne jamais parier contre James Cameron » ! Et on le comprend dès la lecture de ses scénarios, qu’il écrit comme des romans. Ça m’a scié en découvrant celui du premier Avatar. C’est-à-dire qu’il n’écrivait pas : « Il y a une course-poursuite ». Il prenait trois pages pour raconter ce qui se passait ! Le film avait exactement - avec quelques changements, évidemment - la même densité et la même précision. À partir de là, je n’ai plus jamais eu aucun doute sur James Cameron. Est-ce qu’il allait réussir à reproduire ça pour la suite ? Évidemment. C’est quelqu’un qui va piocher dans les ressources de tout le monde : des scientifiques, des ingénieurs, des animateurs, des médecins, des jardiniers, des linguistes… Il absorbe tout, et ça donne le monde de Pandora. Ma foi en lui n’a fait que grandir au fil des années.

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Stephen-Lang-Dans-Avatar-2-3-4-et-5-Quaritch-ne-cesse-de-prendre-de-l-ampleur--interview

Mais c'est évident que 2001 a eu plus d'influence sur le cinéma qu'Avatar, je vois pas ce que tu prouves. Si tu veux il y a pas de phénomène culturel autour d'Avatar mais ça change quoi aux qualités du film? Et tant mieux si le film peut rester à la marge de la popkulture sclérosée

D'autant plus que la plus part des 2000 qui vont voir 2001 pour la première fois vont se faire chier comme des rats et passerons complètement à côté du côté poétique et contemplatifs de ce dernier, je suis pas sur qu'ils finissent par bien vieillir ce film...
Mais de façon indéniable car il est sorti au bon moment 2001 a apporté beaucoup au cinéma.

J'ai raison de ne pas avoir réserver ma séance en VO ?

Jme suis dit vu qu'on voit pas vraiment les acteurs tels qu'ils sont, osef de la vo go plutot vf

Le 10 décembre 2022 à 16:36:26 :

C'est pas parce que Lucas a sucé la théorie de Campbell y a 50 ans, qu'elle est vraie

Lucas n'a strictement aucune compétence dans le domaine de l'étude des mythologies, pour déterminer si la théorie du monomythe est fondée ou pas

Pas plus que miyazaki

Or les érudits qui ont étudié sérieusement la question, disent que c'est de la merde e monomythe

ces gens n'ont tellement aucune compétence qu'ils ont suivi une formation universitaire et ont soit lu le livre ou des extraits.
ceux qui disent que c'est de la merde sont tellement matrixés que ça fait peur à voir.

Avatar 2 aura t'il plusieurs passages avec des humains comme dans le 1 ou c'est seulement des avatar et autres créatures en sfx ?

Franchement, JVC est vraiment constitués de gens toxiques. J’aimerais pas traîner avec certains d’entre vous dans la vraie vie. Vous vous engouffrez dans n’importe quelle micro-brèche pour démonter le film. Pourquoi ? James Cameron a tué votre mère ?

L’appréciation d’un film d’une part, et l’analyse de ses forces/faiblesses sont des ressentis, avis et considérations totalement subjectives et personnelles. Votre problème, c’est qu’à cause de votre arrogance vous considérez que votre avis sur le film est une vérité universelle et que c’est vous qui avez raison, point barre.

Qu’est-ce qu’on s’en fou qu’à l’heure actuelle « ah oui mais quand le cinéphile monsieur Dupont que je ne connais ni d’Adam ni d’Eve cite ses 10 films les plus mémorables, il n’y a pas avatar dedans. Aïe, coup dur pour Avatar et son impact culturel ».

Franchement, l’unité de mesure de la réussite d’un film (hors résultats au BO) et de sa qualité, c’est SOI-MÊME.

Et personnellement, en 2009 j’ai pris une gifle au cinéma devant ce film. Je n’ai jamais pris une aussi grosse gifle de ma vie au cinéma. J’étais retourné le voir 3 ou 4 fois en 2 semaines, ce film m’avait rendu zinzin.

13 ans après, j’en ai désormais 31, et j’ai du regarder Avatar une bonne trentaine de fois au bas mot depuis 2009. Et je prends toujours un indescriptible plaisir devant ce film. Donc je m’en fou que Pierre Paul Jacques dise « oui mais l’impact culturel, oui mais attendez je vais pleurer un coup et je reviens ».

Quand j’écoute les musiques du film, je prends une claque.
Quand je regarde la plupart des scènes (quand Jack court pour la première fois avec son Avatar, la bataille à la fin, quand Jake fait son initiation avec son premier Hikran, sorry pour l’orthographe ; et tant d’autres scènes), je suis toujours autant émerveillé par la beauté de ses scènes, la précision d’orfèvre de chaque détail principal et périphérique…

A mes yeux, James Cameron a réussi en 1 film à créer un univers aussi riche que les réalisateurs des Star Wars en plus de 10 films.

Avatar n’est pas nécessairement mon film préféré (quoi que!), mais il est une pure et singulière gifle pour moi et j’ai une immense hâte de voir le 2.

Continuez votre, ce que je nommerai « wokisme de l’impact culturel et de la qualité du film »

Personne a nié ton droit à aimer Avatar, tu t'excites pour rien , simplement on peut aimer un film étant lucide sur sa qualité ou l'influence qu'il a pu avoir

J'adore tout un tas de monumentales daubes, je les revois régulièrement avec plaisir mais je vais pas essayer de leur inventer des qualités

L'ultime arrogance c'est de considérer que ce qu'on aime ne peut pas être médiocre