up pour patate--boy
la BO du film est très réussi et j´aime bien le contraste image/musique lors de certaines scènes
ça a l´air super morbide comme film!!!ça vaut le coup d´aller le voir?
C´est Stupify de Disturbed le morceau de fin??
Je l´avais dans la tête toute la journée....
Oui il vaut vraiment le coup Lustucru
Mais tu n´as pas lâge....
je l´ais vu hier et rien a dire , il était excellant mais trop court ! !!!
J´ais lus que le dvd comportera 30 minutes de plus jugé trop gore pour la sortie cinema.
Donc voila une bonne nouvelle !
Non 10 minutes seulement.
Quand même 30 minutes cela eut été un peu beaucoup.
Arf. bon c´est déjà ça.
En tout cas moi j´ai déjà pré-commandé mon zone 1.
12 minutes de jugé trop gore par la MPAA.
J´ai trouver exellent ce film!
Pour ceux qui dise que c´est de la merde, faut pas pousser. Bon il négale pas le film zombie qui est pour le moins un des meilleur avec un de mes préférer: le retour des morts-vivants qui m´a bien fait marrer! Mais pour ma part il fait partit des meilleures, vraiment marrant et une fin bien classe: ils arrivent sur l´ile et se font attaquer par les zombie suivie d´une musique bien métal!
Résident évil est loin d´être le meilleur, je suis fan du jeu et pour l´instant il ne suit pas le jeu, c´est sur avec paul anderson comme réalisateur. Et dire qu´il va faire alien vs predator(un grand film qui sera surement pourri, pauvres alien et predator) le film n´ait pas encore sortit mais j´espere qu´il va pas pourrir ces deux symboles( franchement predator pète la classe et l´alien est drolement mignon).
Résident évil n´est pas un mauvais film même exellent, mais déçoit un peu les fans du jeu(comme moi) par contre, bravo pour la bande-son qui déchire surtout celle de slipknot:(un de mes groupes préférés) avec le morceau: MY PLAGUE.
Pour revenir sur l´armée des morts, je les trouver bien bourrin et bien fun!(l´humour noir me fait délirer) On ne peut pas dire qu´il soit gore(regarder zombie, cannibal holocaust le jour des morts vivants: pourri mais drolement gore: le type se fait ouvrir le bide par les zombie et se fait bouffer le tripes pendant qu´il est encore vivants) mais sanglant le sang gicle bien!
Mais le vrai passage dégueu c´est: LA GROSSE VIEILLE EN TRAIN DE CREVER! Vraiment dégeulasse!
Hoooooooooo!!! On préviens quand on spoile!
Alien vs Predator sort la semaine prochaine pour ton information.
Posté le 31 juillet 2004 à 17:40:40
Pour revenir sur l´armée des morts, je les trouver bien bourrin et bien fun!(l´humour noir me fait délirer) On ne peut pas dire qu´il soit gore(regarder zombie, cannibal holocaust le jour des morts vivants: pourri mais drolement gore: le type se fait ouvrir le bide par les zombie et se fait bouffer le tripes pendant qu´il est encore vivants) mais sanglant le sang gicle bien! styffler
Le jour des morts-vivants et Zombie sont tous les deux de Romero. Et autant je me fais toujours chier quand je regarde Zombie, qui a vraiment très très mal vieilli, autant j´aime bien Day of the Dead.
En parlant du film Zombie, très bon décryptage sur le site mad-movies :
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ZOMBIE
( DAWN OF THE DEAD)
USA - 1978 - 113 minutes
Réalisé par : George A. Romero
Producteur :
Scénario : George A. Romero
Photo : Michael Gornick
Musique : GOBLIN
Effets spéciaux :
Avec : David Emge,Ken Foree,Scott H. Reiniger,Gaylen Ross,David Crawford,David Early,Richard France, Tom Savini
Film décrypté par Clint le 31.07.2004
Culte est un terme qui se galvaude de façon régulière, un qualificatif utilisé de plus en plus en souvent à tort et à travers. Le cinoche des années 2000 est plus que jamais marqué du sceau de l’éphémère, des oeuvres au succès instantané sombrent dans un oubli total aussi rapidement qu’elles ont atteint les cimes du box-office et de nos jours un film peut devenir « culte » uniquement sur la base de ses recettes en salles. La notoriété de tel ou tel titre lorgne désormais plus souvent du côté du quart d’heure de gloire d’Andy Wharol que du marquage éternel au fer rouge dans l’esprit des spectateurs. Le règne du futile et du tape-à-l’oeil est aujourd’hui de mise et le film d’horreur pur n’existe quasiment plus. Le monde dort d’un sommeil profond et léthargique. Rien à faire pour le réveiller. Avant ce phénomène de mortification générale, il existait pourtant une catégorie bénie de cinéastes qui ont tout tenté pour éviter l’endormissement des masses. On peut citer Cronenberg bien sur, mais Romero a été l’un des plus fervent artisan dans le domaine du film d’horreur intelligent. Zombie reste le meilleur exemple de fiction politico-gore, une oeuvre au message tellement fort qu’elle traverse le temps sans que sa pertinence n’en soit altérée. Du concentré de film culte.
Pour mettre sur pied ce qu’il convient d’appeler un brûlot contestataire, Romero est parti d’un postulat somme toute assez simple, confronter l’humanité à ce qu’elle craint le plus : la mort. Fort de son expérience acquise sur La Nuit des Morts-Vivants, il a décidé de pousser le concept dans ses derniers retranchements en écrivant de ses propres mains le scénario du film. Le tournage à commencé en 1977 pour un budget de 1.500´000 $ et Dawn of the Dead est sorti sur les écrans ricains le 24 Mai 1979 avec un classement R, le même qu’au Canada et en Australie. Avant de décortiquer le film, il est éloquent de voir comment certains pays l’ont accueilli à l’époque. La Norvège et l’Allemagne de l’ouest n’ont carrément pas fait dans le détail et ont interdit totalement le film sur leurs sols respectifs. La plupart des autres pays nordiques lui ont collé une interdiction au moins de 18 ans mais la France à fait encore plus fort en classant le film X lors de sa sortie le 11 Mai 1983 ( elle reclassera Zombie – 16 ans des années plus tard). A travers ces quelques exemples, il est évident que Zombie a dérangé, dérange et dérangera encore bien des gens. Autre curiosité qui n’appartient qu’aux vrais films cultes, il existe un nombre assez impressionnant de versions du film et il n’y a guère que Cannibal Holocaust pour rivaliser. Zombie se décline sur des durées allant de 117, 118 et 120 minutes pour le montage italien jusqu’à 156 minutes pour la version longue allemande. Il existe aussi deux montages de 126 et 128 minutes ainsi qu’un director’s cut de 139 minutes. Le foutoir ! Et surtout de quoi se poser la question suivante : laquelle est la meilleure ? Difficile de répondre sans les avoir toutes visionnées mais deux arguments solides font pencher la balance du côté de l’europe. Le premier se nomme Dario Argento, producteur du film et chargé du remontage que nous connaissons. A la vision de Romero est donc venue se greffer celle du génie italien et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’osmose a été parfaite. En réduisant le métrage sans toucher aux scènes gore, Il Maestro a dynamisé le tout en concentrant les évènements et en augmentant le côté claustrophobique du film. Il en résulte de nombreuses coupes sur des plans d’ensemble ainsi que sur les séquences dialoguées. Le deuxième point fort de la version européenne se résume en un mot : Goblin. Le score de Zombie est un monument de bande originale, « Alba dei Morti Viventi », « Ai Margini Della Follia » ou encore « Zaratozom » sont des morceaux qui hantent longtemps après l’écoute et rarement musique aura été en telle adéquation avec les images qu’elle illustre. Regarder la version US du film a été pour votre serviteur une torture tant les Goblin m’ont manqué. Au final, il n’y a aucun chauvinisme pro-europe à dire que la version d’Argento supplante celle de Romero. George a bâti les fondations, Dario a construit un palais dessus.
Après avoir parlé des origines du projet, il est important d’expliquer d’où vient le mythe du Zombie. Au départ, on trouve le vaudou et ses croyances, implantés depuis des lustres en Haïti. Les sorciers utilisaient ( utilisent ? ) leurs pouvoirs pour ramener à la vie des morts qui n’étaient en réalité que de pauvres bougres tombés en catalepsie puis « ressuscités » avec une puissante psychotoxine les transformant en légumes. L’ethnobotaniste Wade Davis s’est penché sur la question dans son livre The Serpent and the Rainbow et Wes Craven en a tiré un film du même nom. Le Zombie originel n’est donc rien d’autre qu’un esclave, statut préservé et parfaitement exploité par Romero dans son film par le biais des actes qu’accomplissent les Morts-Vivants ( manger, gémir, faire des actions mécaniques). Assujetti à un sorcier ou à la société, le Zombie demeure téléguidé dans un cas comme dans l’autre et Romero réinvente par là-même la notion de société-sorcière.
La genèse du film étant exposée, on peut plus facilement comprendre pourquoi Zombie a autant choqué. La raison majeure n’a rien à voir avec l’atrocité de certaines séquences. Il ne faut pas s’y tromper, le gore de Zombie peut mettre mal à l’aise mais les consciences ont morflé surtout par le truchement du discours véhiculé par Romero. En pondant sa fable sur le consumérisme, le réalisateur implique de manière frontale le spectateur en lui affirmant d’entrée : « Regarde-toi mec, voilà ce que tu es. » . Le Zombie est ici une représentation du consommateur abruti que nous sommes tous un peu quelque part, de l’acheteur compulsif de dvd qui va casquer 50 éditions du même film jusqu’à la ménagère qui compare toutes les lessives, personne n’est épargné. Choisir un supermarché pour situer l’action est un choix très pertinent car il symbolise un lieu de vie, comme Auchan nous le râbache à longueur de journée, et un des produits qu’on y achète, la nourriture, nous permet effectivement de vivre. On vient acheter à manger au supermarché, cadre de vie, mais dans Zombie on vient s’y faire bouffer dans un endroit peuplé de morts. L’inversion des symboles marche à fond. De vie et de mort, il en est beaucoup question dans Zombie et les personnages n’échappent pas à la règle puisque l’équipe de survivants se compose de deux membres des forces spéciales, des semeurs de mort par extension, et d’un couple qui attend un enfant, l’ultime représentation de la vie. L’identification qui devrait s’opérer avec les héros du film est parasitée par l’image renvoyée par les morts. On se reconnaît plus ou moins en Roger et Fran, on fantasme sur Stephen et Peter et leurs gros fusils mais l’omniprésence des Zombies nous rappelle à chaque instant qui nous sommes vraiment. Le malaise crée est bien réel. Zombie est un film dur à encaisser. Le mode de fonctionnement du Mort-Vivant participe tout autant dans la déstabilisation du spectateur. Lent, acharné, le Zombie tue en mangeant ses victimes. Il pratique le cannibalisme, un des actes les plus révoltant pour un être humain normalement constitué. En psychanalyse, le cannibalisme est lié à l’amour ( je t’aime, je te mange) et tout acte de barbarie qu’il soit, il possède une résonance personnelle et particulière en chacun de nous. Voilà encore une raison de plus pour nous faire éprouver des émotions contradictoires à la vision du film mais je tiens quand même à préciser que je n’ai jamais bouffé personne les gars. Les sources du malaise colportées par Zombie sont donc en relation directe avec la condition humaine. C’est pour ça qu’elles font mal.
Le côté violent et gore du film ne peut malgré tout pas être passé sous silence. Enfants flingués, cervelles qui giclent, morsures béantes, machette dans la gueule, étripage en règle et sanquette à gogo, Zombie ne fait dans la dentelle. Le commun des mortels avait de quoi faire dans son froc à l’époque mais il est vrai qu’aujourd’hui, le lecteur moyen de Mad Movies regardera ça d’un oeil plus blasé ( quoique l’étripage...). Il est tout aussi vrai que 25 ans après, les effets tiennent toujours la route et possèdent un côté organique, viandeux, assez étonnant. Le travail de Tom Savini est tout simplement grandiose -il est d’ailleurs amusant de noter qu’une partie de la famille Savini joue dans le film, Tom est un des pillards et Donna et Mike Savini interprètent deux Zombies- et ce grand maquilleur proposait à l’époque un spectacle sang et barbaque inédit allant très loin dans les sévices bien gratinés. Il atteindra le sommet de son art en 1985 avec Le Jour des Morts-Vivants et nous offrira les plus beaux Zombies de l’histoire du cinoche. L’équation de la peur selon Romero s’appuie alors sur ses sfx en y collant le discours imparable expliqué plus haut. On peut ne pas avoir la trouille en regardant son film mais il est impossible d’en sortir indemne lorsqu’on bascule dans le domaine de la réflexion.
Le matérialisme basique n’est pourtant pas la seule institution que Zombie descend en flammes, les médias en prennent aussi pour leur grade. Face à l’invasion, la télé se révèle d’une inefficacité totale pour calmer et informer la population. Le vecteur numéro un d’abrutissement des masses se retrouve dépassé, victime de son propre jeu de dupe. L’anarchie met fin à toute forme de manipulation, le lavage de cerveau si bien orchestré tombe aux oubliettes dès que les barrières sociales s’effondrent. Plus personne n’a rien à foutre des pubs pour le shampoing ou de la dernière émission mongoloïde et la survie devient le seul élément motivateur. Que l’on soit survivant ou Zombie, on ne fonctionne plus qu’à l’instinct et voilà encore un nouvel élément perturbateur qui s’immisce dans la cervelle du spectateur. Ce rapprochement de comportement humain/mort-vivant est indéniablement une nouvelle source de trouble. On peut énumérer à l’infini les références nihilistes du film qui n’oublie pas d’égratigner la cellule familiale au passage. Par la force des choses, les survivants sont obligés d’en former une. Point de prise de bec entre les protagonistes, ils se serrent les coudes. Malheureusement, cela ne suffira pas. Des héros soudés ne sont pas l’arme absolue pour échapper à l’inéluctable pas plus qu’un famille unie ne l’est pour affronter les turpitudes de la vie en société. On peut temporiser mais pas laisser notre funeste destin derrière nous. Zombie raconte tout cela, caché par une façade de film d’horreur. Le genre tient là son mètre-étalon en matière de richesse thématique. Romero nous a livré la vision d’apocalypse la plus lucide qui soit, la plus plausible en dépit de son alibi fantastique. « Quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre » n’est pas une accroche à la con, un slogan opportuniste. C’est la vérité.
http://www.mad-movies.com/fiche.php?id=327
Je l´avais déjà lu. Pourquoi tant de lignes pour un film aussi moyen ? Pourquoi tout le monde s´évertue à crier partout que c´est un chef-d´oeuvre ? Pourquoi quand on dit qu´on aime pas, on est pris pour des débiles mentaux ?
Tant de questions qui resteront à jamais sans réponses.
pkoi tant de gens qui prennent leur jugement pour le seul valable?... qu´ils aiment ou pas le film...