Hé ! Vous deux, vous voulez un autographe, c'est ça, hein ? Dites ? Ok. Bon, alors, je vous ordonne de... oui et puis zut !

( = Vous voulez le chap suivant ?)

Un autographe ? pour quoi faire ? Ah j'ai pu de PQ Vas-y g une photo tu peux signer ?

( = Un chap. ? mmmh non )

Chapitre 5: Unis contre l'adversité.

Le ciel était dégagé, bien qu'il n'avais pas une couleur bleue. Il resterait rouge et orange, comme s'il était le reflet du feu qui embrasait le sol, cet enfer. On aurait pu croire que le ciel, ce rêve pour l'homme, nous montrais nos défauts, si bien que notre amour propre nous dictait de l'atteindre pour changer les choses. Pourtant, l'homme ne pouvait atteindre ce ciel si profond qu'il apparaissait comme divin.

Cals, l'archer, rejoignit le petit groupe et avisa les nouveaux amis de Rasélic, ce dernier prenant Warrid sur son épaule. Son œil perçant reconnu les faiblesses de chacun, au cas où ils tendaient un piège, mais son amitié avec Rasélic l'empêchait de s'opposer au choix de ce dernier. Ils se dirigèrent vers la base Lérée, l'ancienne cible de cet avant-poste de l'Ibis que les deux colosses avaient mis sans dessus-dessous. Arrivés à vingt mètre de la grande porte qui semblait celle d'un château-fort, des arbalettiers les visèrent, et un Lérée possédant une drôle d'arme à feu leur cria:
"-Qui êtes-vous et que voulez-vous ?
-Des compagnons d'arme venus chercher refuge après un dur combat, répondit Rasélic d'une voix forte.
-Vous passerez devant des experts, entrez pour l'instant."

La lourde porte s'ouvrit, et une sorte de couloir sombre apparût. À l'intérieur, des Lérée en combinaison blanche anti-radiations, en alluminium, avec verrière et un troisième bras articulé, alimenté par bâttement cardiaque s'élançèrent pour faire un travail rapide et efficace.
Le chef des experts, un homme très jeune, mais qui avait un regard qui imposait un respect immédiat, et un éclair d'intelligence qui traversait ses yeux, leur expliqua la situation.
"-Vous allez être cryogénisé, puis réchauffés au Graquième. L'opération est délicate, et une simple erreur de notre part entraînerait votre mort. Il y a trois phases de cryogénisation. La première consiste à ce que vous entriez dans un bac climatisé. La deuxième est un refoidissement de votre partie cervicale, pour eviter tout arrêt de vos fonctions motrices, ce qui entraîne une pertes des neurones intersticielles, ce qui signifit que vous perdrez toute envie de nous mentir, car de toute façon, vous serez heureux de nous dire la vérité pour que la procédure soit vite terminée. La troisième phase consiste à vous cryogéniser ou non. Si vous nous avez prouver que vous êtiez des alliés, nous continuons la procédure, et vous en sortez plus forts, car un changement d'état si rapide entraîne un chanboulement dans vos cellules créatrices, qui renforçeront toute votre partie osseuse et vous garantirons une force supérieure. Si vous êtez des ennemis, nous débranchons la machine en pleine crystallisation de votre corps, ce qui entraînera un chanboulement cette fois-ci négatif, qui tuera vos cellules, jusqu'à ce que votre corps meurt."

Sangoku ne dit rien et se laissa faire. Il n'avait absolument rien compris, mais il avait une sorte de nuage dans la tête qui l'empêchait de réfléchir correctement. Sangohan et Trunk, eux, avaient très bien compris, et se demandaient si c'était une bonne idée. Végéta s'était élançé pour faire la même chose que son rival. Après tout, Pourquoi Sangoku deviendrai plus fort que lui ? Tous suivirent, et Krillin et Warrid se réveillèrent pour suivre, eux aussi. Piccolo et Chaozu s'accordèrent uen trève, mais se jurèrent qu'ils se tueraient plus tard. Alors, Rasélic, Sangohan, Trunk, Gorfo et Grey entrèrent dans leur bac et attendirent que les experts fassent leur boulot.

"-Première phase ! Cria le chef des experts."
Un levier fut abaissé et les portes des bacs se refermèrent. Tous étaient un peu stréssés, mais ils ne pouvaient rien faire pour l'instant.
"-Deuxième phase !"
Les bacs émirent un son grave, comme s'ils se chargeaient en éléctricité, et deux éléctrodes se plaçèrent sur les tempes de chacuns. Trunk, Chaozu et Sangoten avaient des bacs spéciaux à cause de leur petite taille, mais le principe restait le même. Une sensation de vive douleur et de bonheur se fit sentir dans leur tête. Le bonheur était un peu mystèrieux, comme s'il fallait l'attraper pour qu'il se fasse ressentir à l'êxtrème. Par contre, la douleur était assez forte pour qu'ils veuillent tous que cela finisse vite. Il y eu autant d'experts que de bacs occupés, et chacun posa des questions par des petits micros qui entraient directement dans la tête des refroidits.
"-D'où venez-vous ?"
-De la galaxie du Daim, du village d'Herriot, délcara Rasélic, qui semblait curieusement normal, comme si la fraicheur n'agissait pas sur son mental.
-De la galaxie de l'Ibis, dasn un avant-poste de Lérée, dit Cals.
Tous passèrent les uns après les autres, mais une réponse commune intriguait les experts.
-La Terre, dirent Sangoku et ses amis.
-Quelle Terre ? Demandèrent chaque Lérée en combinaison.
-Dans la galaxie Nord.
-Quelle galaxie Nord ?"

Les experts se sentaient mal à l'aise, car ces gens n'étaient pas de la galaxie de l'Ibis, donc ce n'étaient pas des ennemis, mais leur histoire de galaxie Nord était suspecte. Ça n'éxistait pas la galaxie Nord, il n'y en avait que trois, l'Ibis, le Daim et le Tigre. Leur chef, qui se revelerait plus tard comme s'appelant Prahs, ordonna aux experts de les laisser vivre. Il s'agissait du même Lérée que celui qu'ils avaiant aperçus avec l'arme à feu étrange. C'était un Lérée supérieurement intélligent et aussi un combattant hors-pairs. Son arme était en fait une épée améliorée, où les tranchants sur les côtés restaient de simples lames, mais le boût était en fait ouvert, et l'on pouvait aperçevoir le canon d'une mitrailleuse. Une épée sans précédent dans la galaxie du Daim et de l'Ibis. Surement une création importée de la galaxie du Tigre, ou alors cela avait été fabriqué spécialement par Prahs pour son usage personnel. La procédure se passa sans encombre, et tous sortirent indemne, et même plus forts de cette étrange procédé d'interrogatoire. Il sortirent du couloir sombre et se retrouvèrent dans une place d'arme plutôt impréssionante. Des soldats de toutes les sortes, entre les simples guerriers à épée longue, les fantassins à fusil d'assaut et les Lérée possédant des canons à nanotechnologie, décharges illimités et rayon d'action réglable.

"-Impréssionant, n'est-ce pas ? Se vanta Prahs, en les rejoignant après s'être débarassé de sa combinaison.
-C'est énorme, s'écria Sangoku. Génial, maintenant, on peut manger ?
-Je m'appelle Prahs, dit celui-ci en ignorant le ventre sur patte qui nous sert de héros."
Chacun se présenta, sauf Sangoku qui boudait.
"-Et lui, c'est mon père, Sangoku, dit Sangohan. Excusez-le, il est affamé.
-Je vais vous chercher de quoi reprendre des forces, dit Prahs avant de s'éloigner."
Un hurlement se fit alors entendre, et une cloche sonna. Qu'on vienne d'une galaxie lointaine ou d'une dimension différente, dans un avant-poste, ce signal était celui d'une attaque.

• • Dans les mines de Gorfo **

Danélic et Régo étaient saufs, et l'ennemi fulminait au-dessus. Ils étaient trop profond pour que l'Ancêtre lance une boule de feu, car celle-ci détruirait la planète si elle toûchait le noyau. Il partit donc rejoindre sa base, et seul quelques guerriers vagabonds, cherchant refuge dans les plaines purent le voir dans le ciel, en train d'hurler: "Scillax, du café !!!".

Les deux jeunes enfants se retrouvèrent donc dans une sorte de crevasse, un trou très profond où aucune échelle ne remontait dans la zone des fourneaux. Il devait s'agir d'un trou formé par l'ébranlement qui avait suivit l'explosion de la cabane de Gorfo. La lueur verte s'éteignit alors, et laissa place à la lueur rouge du feu qui brûlait loin au-dessus. Ils avaient attéris sur des sortes de matelas gelatineux, et n'avaient docn rien de casser. Danélic se leva tant bien que mal, mais ne resta pas longtemps debout. La surface sur laquelle ils se tenaient était très instable, et ils avaient même l'impression qu'ils s'enfonçaient dans une sorte de vase. Régo et lui marchèrent donc à quatre pattes vers ce qui semblait le bord de ce matelas étrange, et sautèrent. Ils n'avient pas remarqués que leur point de saut se situait à environ cinq mètres de l'endroit qu'ils atteinrent, et cette fois-ci, ils n'en sortirent pas sans égratinures. Mais ils n'eurent pas le temps de se demander ce qui était cassé, car un bruit monstrueux se fit entendre, entre le cri du lion et un bruit de ventouse géante. Régo éclaira la scène à l'aide d'une boite d'allumettes et ils avisèrent leur prétendu matelas. À la place se trouvait une créature horrible, un croisement entre une larve et un rhinocéros, mais qui avait la consistance gelatineuse, mais des dents bien réelles. Le fait était surtout qu'elle mesurait bien cinq mètres de haut, en étant couchée, et que les centaines de pattes musclées qui se situaient sous son corps indiquaient que la bête courrait vite. Malgré ces brillantes observations, la seule chose à faire était: fuir !

Les deux nouveaux amis s'élançèrent alors vers l'inconnu, l'allumette ne résistant pas longtemps, dans le noir donc. Cependant, une luminescence non artificielle apparûe, venant directement du corps de la béstiole, qui les avait pris en chasse, heureuse de trouver un repas de cette taille à cet endroit dans le sous-sol. Les enfants progressèrent donc du mieux qu'ils pouvaient parmis les escaliers naturels ou les ponts au dessus du vide de cette partie cachée de la planète. Régo se fit alors attraper par une langue violette et couverte de cloques, qui l'entraîna dans la bouche de la créature moelleuse. Des bruits d'abord liquéfiés se firent entendre, puis un craquement sinistre. Danélic n'en revenait pas. Il était à présent seul face à une bête vingt fois plus grosse que lui, capable de l'avaler d'une seule traite. Cependant, ce qui devait être la joue du monstre fut transperçée par un objet jaune et pointu, avant que cet chose se retire pour frapper à un autre endroit. Quand la joue fut suffisament perçée, un pied frappa et des lambeaux de… graisse ?… se déchirèrent pour tomber au sol, mollement. Régo bondit et manqua de bondir dans un précipice sans fond, mais Danélic le hissa pour qu'il se retrouve bien sur ses pieds. Ils se trouvaient tous deux sur un pont incroyablement long, alors que la monstruosité se trouvait au abord du précipice, bien que sa langue soit assez longue pour les attraper. Ils ne pouvaient pas courir en arrière, car si la créature s'avançait sur le pont, il céderait et ce serait fini de Danélic et Régo, deux guerriers comme les autres, dont la perte ferait le même effet que tous les autres soldats. L'ami de Danélic avait dans une main une dent du béstiau, ce qui justifiait le craquement. La première chose à faire était d'empêcher la bête de se servir de sa langue. Alors, Danélic, armé de ses deux épées s'élança en évitant les deux cornes qui manquèrent de fracasser le pont. Il bondit sur l'une d'elle et s'y attacha malgré les mouvements précipité de la créature pour le désarçonner. Visant un premier œil, il fit jaillir un liquide jaune, semblable à du pus, tandis que la bête hurlait de souffrance. La langue était en train de chercher sur le sommet de son crâne, comme si elle avait uen conscience propre, et elle attrapa d'un coup une jambe de notre héros. Celui-ci frappa, encore et encore, mais ce ne fut pas suffisant, et tout comme Régo, il se retrouva dans la bouche gelatineuse. Il frappa encore la langue, jusqu'à ce que celle-ci se détache du corps de son propriétaire. Il se dirigea vers le trou précédement créer par son ami dans la joue de la béstiole, mais retira ses mains des parois. Elles étaient rouge flamboyantes et une vive brûlure s'attaqua à ses doigts. Du venin, un poison sur ses dents. Le Lérée bondit alors sans réfléchir, mais se rattrapa au pont, avant de se hisser. Régo attendait sans savoir quoi faire. Danélic lui proposa son plan, mais ils étaient tous deux trop térrifiés pour le discuter. S'élançant des deux côtés, ils semèrent le trouble dans l'esprit de la larve, et celle-ci choisit de s'attaquer à Danélic, comme si elle sentait qu'il ne fallait pas se frotter à sa propre dent. Ce dernier bondit et frappa l'endroit où devait se trouver le cerveau de la bête. La consistance était terriblement molle, et les coups d'épées, malgré les doses incroyables de sang, semblèrent innéficaces. Régo vint le rejoindre alors, et brandit la dent comme un trophée, avant de l'abbatre dans le crâne de la créature. L'effet fut immédiat, la béstiole s'écrasa de tout son long, formant un formidable craquement sur le pont, qui aller s'éffondrer d'une minute à l'autre.
"-Vite, hurla Régo."

Les deux enfants courrurent à toute vitesse et durent bondir pour atteindre l'autre côté du précipice avant que le pont ne s'écroule pour de bon. La bête tomba sans un son, disparaissant peu à peu dans le noir. Danélic brandit ses deux lames. Elles étaient resplendissantes, et illuminaient les alentours.
"Le sang de la béstiole, pensa-t-il."
Ils se trouvaient devant une gigantesque construction en pierre, une sorte de temple souterrain. Devant se trouvait de multiples ressources, telles que du bois, du foin, du métal, de la viande, et beaucoup d'eau. Les deux amis se rassasièrent et Régo se conféctionna une lance avec un bâton, une corde et la dent de leur victime. Une arme pareille était plutôt difficile à manier, car le poids de la dent n'était pas moindre, mais le poison tuerait n'importe quoi s'il réussissait à provoquer une égratinure.

Régo et Danélic s'engagèrent donc dans la construction en pierre, notre héros devant, avec ses torches tranchantes, et son ami derrière, prêt à tuer d'un seul coup. Tous deux cherchaient la sortie dans ce centre de la planète, mais n'étaient pas au bout de leur peine.

Le prochain chapitre s'intitulera: Une très ancienne civilisation.

Sweet please

:esole: flemme de lire maintenant !

don't worry, you have the time

Yes, but, I don't think I don't want to read your chapter because I'm occupied but especially because I don't want to read of all. Just to you make a poop ( ) !

Do you understand ?

I knew that from the beginning, but i was hoping that it has change in the time.
But, I juste want to know... Do you read the other because they are your friends, or because they're better ?

Chaud, vous m'aiderez pour l'anglais l'année prochaine ?

Mais, vu ton pseudo, t'as l'air de très bien t'en sortir ^^

Oh cheat ! I think you can't to speack english ! If you want to know why I read the other's Fiction, I can't to answer you because I didn't the other's fictions ! But, I wiill to read the other fiction of the forum ( ) before your because the chapters are smaller !

captain > Non

Oh, I see. But, it's the following of bigger chapter, you know ? I've done smaller chapters than before... then, if it's not as small as you want, i apologise for being so inspired

S'ious plaît !

et s'ious plaît pas, hein ?

c'est pareil !

100 pouet, lalalalallaa, youpi

non ! Pas d'enseignement d'anglais dans ma propre maison !

I don't want smaller or bigger chapters ! I just said the other's fic's chapters are smaller and it's not one good point ! So, alike the chapters are smaller than yours, I prefer to read their chapters because it's more quikly to read ! But, to you, I want yo do many many bigger and giant chapters because they are beautiful So, continue ! I will to read your chapter next than the other Fictions ! Alike what too, I can to be on the same place for all the fictions of the forum ( ) ! ?

The two > WWWWHHHHHATTTTTT ????

ok, i see, but when you way bigger, you mean like my precedently chapters ? 2 ou 3 post for one chapter ?

J'suis tombé où là !