beaucoup loreiller

"Pour l’instant, nos troupes ainsi que celles de Wreav tiennent le coup. Mais pour combien de temps encore ? »"

Doit-on comprendre que Wrex est mort dans ta partie ?

Oui, hélas

J'ai beaucoup apprécié le clin d'oeil au roman Ascension (mon préféré) et j'adore le personnage de Kahlee Sanders.

Si Mordin est là, ça veut dire que.......

Vraiment très bien. Continue comme ça.

Si Mordin est là, ça veut dire que.......

Que mon Shepard n'a pas eu envie de laisser Wreav détruire la galaxie et qu'il pleure Eve également

Encore Haru pour ton soutien

Zaal’Koris tenait une tête de Geth entre ses mains. Il pleurait, pleurait la mort de ceux qui furent la Création des Quariens, de ceux qui n’avaient chassés les Quariens de Rannoch que parce qu’ils y furent obligés par les Quariens eux-mêmes. Il pleurait la mort des enfants de son peuple.

Puis, il jeta la tête dans le vaste tas de carcasses geths qu’entassait son peuple à l’extérieur de la toute nouvelle colonie, à la surface du monde natal.

L’Amiral Koris supervisait, en tant que chef de la Flotte civile, la réinstallation de son peuple sur Rannoch et commandait, dans le même temps, la Flotte chargée de la défendre contre un éventuel retour offensif des Moissonneurs. Celle-ci était composée de l’intégralité de la Flotte civile ainsi que d’une partie des Patrouilleurs. Car sans chasseurs et bombardiers, la Flotte civile ne ferait pas long feu contre la puissance des Moissonneurs.

Et même avec cette aide…

Les Quariens avaient installés leur colonie sur le continent sud, le plus humide, les autres ayant été délaissés pour l’instant car étant trop désertiques (hormis de minces bandes côtières relativement fertiles) et s’était rapidement attelés à la tâche de relancer la production agricole. Et déjà, les première difficultés s’amoncelaient car produire de la nourriture dans les vaisseaux agricoles stériles et à l’environnement contrôlé n’était pas la même chose que de la produire à la surface d’une planète, fut-ce Rannoch, une planète avec très peu de microbes agressifs.

Cependant, le courage ne manquait pas aux enfants de Rannoch et la production de nourriture augmentait rapidement au point que l’on pourrait bientôt se passer des 3 vaisseaux agricoles et les envoyer à la Flotte lourde de l’ennemi personnel de Zaal’Koris, Han’Gerrel.

La colonie s’était installée non loin des ruines de Rayya, l’ancienne capitale de la Confédération quarienne, et l’on pouvait apercevoir, au loin, les plus hautes de ses tours, du moins celles qui ne s’étaient pas effondrés lors du conflit avec les Geths ou lors des 290 ans d’abandons qui s’en suivirent.

Malgré l’installation rapide de la colonie, la plupart des 12,7 millions de civils (la guerre geth avait fait 3,4 millions de morts chez les Quariens avec la perte d’environ 10 000 vaisseaux et il y avait un peu moins d’1 million de militaires qui servaient dans les Patrouilleurs, sur la Flotte lourde ou au sein des Marines de la Flotte nomade.) vivaient toujours à bord de vaisseaux mais, comme à leur habitude, les Quariens se montraient disciplinés. Point de pugilats avec les chanceux ou de protestations chez ceux qui n’avaient pas eu la chance d’être tirés au sort pour s’installer à la surface de la planète. De plus, on s’efforçait de multiplier les « visites » à la surface de Rannoch pour ceux qui vivaient encore à l’intérieur de la Flotte.

Malgré sa joie profonde du fait que son peuple avait récupéré une planète, sa planète, et au-delà de sa tristesse quant au sort des Geths et à sa crainte quant à la guerre contre les Moissonneurs, une flamme s’était allumée dans le cœur de Zaal’Koris. Gerrel, son adversaire, son ennemi, avait gagné sur toute la ligne. Enfin presque. Ses décisions stupides l’avaient considérablement noirci aux yeux de l’opinion quarienne mais il restait celui qui avait mené la Flotte à la victoire. Celui auquel les Quariens devaient en partie leur planète.

Et puis il y avait cet Humain, John Shepard, qui avait pris son parti, bien que Gerrel lui ait tiré dessus quand il était à bord du Cuirassé geth ! Certes, c’était surtout parce qu’il avait pris fait et cause pour la cause de la reconquête de Rannoch, mais Koris le détestait pour avoir rallié le camp de Han’Gerrel et avoir refusé son offre de compromis avec les Geths.

Et dire que c’était en grande partie sur lui que dépendait le sort de la galaxie et donc du peuple Quarien.

Zaal’Koris avait bien raison de pleurer.

On ressent bien les sentiments de Koris dans ce chapitre. Le fait qu'il soit dépité par la perte des Geths mais aussi le fait qu'il soit content d'avoir retrouvé sa planète d'origine.

Les choses ont l'air de bien avancer pour les Quariens sur Rannoch (dommage que le prochain Mass Effect ne soit pas une suite. On aurait pu visiter Rannoch et voir l'avancement de la reconstruction).

En tout cas, les chapitres arrivent vite.

Hâte de voir la suite.

Haru.

Les avoir écrit, pour les 4 premiers, il y a déjà plusieurs mois aide à les poster si vite. Malheureusement, on arrive bientôt à un moment où je n'ai plus rien écrit et donc il risque d'y avoir plus de temps entre les chapitres car je ne veux pas poster un chapitre produit à l'arrache.

En tout cas, ton soutien m'encourage à continuer

"car je ne veux pas poster un chapitre produit à l'arrache"

Tu as bien raison. Il vaut mieux prendre son temps et sortir un bon chapitre.

Suite .

Suite en cours d'élaboration

« La reddition serait contraire à notre code de l’honneur ! » Tempêta le Lieutenant Septiamus.

Le Général Caserus, quant à lui, se tenait bien droit devant la table de la salle de commandement du QG de la Xème Légion. En effet, celui-ci se devait de conserver une posture digne car décision d’accepter la proposition du Moissonneur Enala, pour sauver les civils prisonniers d’une mort atroce, jetait sur lui l’opprobre et le déshonneur.

Mais il était encore général, du moins pour le moment, et il se devait de tempérer l’ardeur de son impétueux lieutenant et lui faire comprendre que sa décision était bel et bien prise.

« Lieutenant Septiamus, vous mentionnez le code de l’honneur mais celui-ci nous enjoint de défendre à tout prix la vie des civils. Or, nos frères et sœurs sont en danger de mort dans les camps installés par les Moissonneurs. De plus, notre situation militaire est de plus en plus critique. Le niveau de nos munitions mais, surtout, de nos vivres, est en baisse. Refuser l’offre de notre ennemi exposerait, comme l’a dit le Moissonneur, des femmes et enfants à une mort douloureuse. En tant que soldat de la Hiérarchie, je me dois d’empêcher cela à tout prix ! Lieutenant, ma décision est prise, je ne reviendrai pas dessus ! »

Le malheureux général su alors ce que le Lieutenant Septiamus allait lui demander avant même que ses lèvres ne commencent à bouger.

« Dans ce cas général, comme je vois que je ne pourrais pas vous faire changer d’avis, permettez à moi, ainsi qu’à ceux qui voudront en faire de même, de suivre leur propre interprétation du code de l’honneur. »

Caserus hocha alors la tête en signe d’approbation.

Septiamus sortit alors son pistolet de son ceinturon et se tira une balle dans la tête !

2 autres des officiers présents en firent de même dans les instants qui suivirent. Une fois l’effroyable scène terminée, il ne resta plus que 2 officiers présents aux côtés de Kordan Caserus dans la pièce !

Mais le vieil officier savait que la boucherie ne faisait que commencer. Il prit alors son Omnitech, le manipula pour se brancher sur la fréquence radio militaire de la Xème Légion et ordonna à ses troupes de cesser le combat tout en annonçant que ceux qui le voudraient pourraient suivre le code de l’honneur.

Presque immédiatement, une série de détonations se firent entendre dans le lointain.

Une fois que l’horrible bruit du carnage cessa, Caserus recommença à manipuler son Omnitech, en se branchant cette fois sur toutes les fréquences civiles possibles. Puis, il émit, en clair, un message annonçant que la Xème Légion se rendait, en espérant que les Moissonneurs écoutaient les fréquences sur lesquelles il avait émis son message.

Mais c’était bien sous-estimer la puissance et l’intelligence des disciples de l’Augure. En effet, à peine le message transmis, le spectre d’Enala refit son apparition au-dessus du QG de la Xème Légion.

« Je vois que vous avez fait le bon choix, général. » Dit-il alors que Kordan Caserus sortait de l’installation pour parler avec le Moissonneur. « Très bien. Maintenant, discutons des modalités du transfert de vos troupes survivantes sous le contrôle de nos forces. »

J'ai juste regardé le début, le moissonneur parle d'une façon trop humaine je trouve

Je pensais vraiment pas qu'un officer Turien accepterait de se rendre.

C'est dans le codex qu'il me semble avoir lu que l'ennemi ne voyait jamais le dos d'un Turien (ou quelque chose dans le genre).

Mais comme tu l'as dit dans la fic, en acceptant la proposition du moissonneurs le général s'est déshonoré.

Surtout que cela ne sert à rien de se rendre car au final les moissonneurs les tueront de toute manière alors autant se battre jusqu'à la fin.

Sinon, toujours très bien.

HeadCrabFucking Voir le profil de HeadCrabFucking
Posté le 6 juillet 2013 à 18:52:14 Avertir un administrateur
J'ai juste regardé le début, le moissonneur parle d'une façon trop humaine je trouve

===> Attention, les Moissonneurs (pensons à Sovereign), s'expriment non à la façon des Geths mais bien d'une façon presque humaine.

Haru

Je savais que les Turiens refuseraient de se rendre en temps normal, d'où le chantage odieux d'Enala sur les civils. Et puis on voit bien qu'une bonne partie des Turiens refusent tout de même de se rendre.

Gaya a bien eu raison de ne pas se laisser insulter sans rien faire. Surtout que les Quariennes sont de grande soldate. Il y a qu'à voir Tali.

Super chapitre et bien écrit (quand je lis, j'imagine toute suite la scène).

Haru

Avec le chapitre sur la reddition de la Xème Légion, j'ai cru que le niveau de la fic baissait

Visiblement, je me suis bien rattrapé

T'inquiète pas le niveau de ta fiction est excellente.

Et c'est toi l'auteur donc c'est toi qui décide comment les choses se passe dans ton histoire. C'est ça qui est bien quand on écrit.

Bonjour tout le monde.

Je mets la fic entre parenthèses pour cause de vacances. Je pars pendant 1 mois et sur place, j'espère pouvoir écrire quelques chapitres pour pouvoir rapidement la reprendre à mon retour.

A bientôt.