Je viens de finir mon Bac français écrit !!!

Libération

Suite dans la semaine

Alors, ça s'est bien passé Jayjay?

Ca peut aller mais j'ai pas du tout parlé de la personnification de la nature ni du registre épique

Chapitre 2
Auteure: HikariOni / Personnage: Lawliet S. O'Sullivan

-Je n'y suis jamais allé récemment, sinon je ne serais plus là, mais, je connais quelqu'un qui y est allé et qui en est revenu! Il s'appelle Jacky Schott!

Un légère brise souleva une de mes mèches rebelles. Les mains dans les poches, j'écoutais ce que mes compagnons avaient à dire. Dans quelle galère je m'étais embarqué, encore? Si Shaun n'avait pas été ici, je crois que ça ferait longtemps que je me serais éclipsé vers d'autres horizons. Une chance que je l'avais, celui-là! Je lui jetai un léger regard alors que je soupirai imperceptiblement. Je reposai à nouveau mon regard bleu foncé encadré de cernes sur Samuel Walter, l'aîné de la bande, puis pris la parole d'une voix lasse:

-Allons voir ce connard, alors.

L'aîné me jeta un regard noir; après tout, c'était lui le maniaque des bonnes manières et des lois! Je sortis ma main de ma poche puis déposai une cigarette sur mes lèvres, l'allumant ensuite grâce à une allumette. J'en pris une bouffée puis réajustai le bandeau rouge qui ceignait mon front.

-Juste un petit problème; il est où, et on y va comment, voir ce Jacky Schott?, demanda Andrew Mac Millan, le militaire du groupe.

D'ailleurs, je me demandais bien ce qu'il faisait dans notre "groupe", celui-là... Je haussai les épaules, et aperçu Shaun en faire de même. L'ancien Marshall prît simplement la parole:

-La dernière fois que j'ai entendu parler de lui, il était emprisonné à Andover. , dit-il.

-Ouais, ça fait un sacré bout de chemin à pied!, s'écria mon protégé.

Un léger sourire amusé se dessina sur mes lèvres pendant une fraction de seconde. Il me fera toujours rire, celui-là!

-On n'a qu'à voler une diligence ou un truc du genre, alors. , lâchai-je.

-Pourquoi? Tu veux toujours briser la loi, toi!, répliqua Samuel.

-Bah, tu vois un cheval qui nous appartient dans les environs? Ici, ya qu'Andrew qui en possède un! Tu veux vraiment faire tout ce chemin à pied?, répondis-je.

Walter haussa les épaules en soupirant. Je remis mes mains dans mes poches tout en commençant à marcher vers une quelconque route où passerait une diligence malchanceuse...

Nous marchâmes quelques minutes, la chaleur était écrasante. Nous nous étions éloigné de la ville, dans un endroit assez éloigné pour que les autorités n'y viennent que très peu souvent. Soudainement, nous nous arrêtâmes. Il nous fallait bien entendu un plan.

-C'est simple, on voit une diligence, on descend le conducteur et on s'en va., proposa Shaun.

-Pourquoi tuer le conducteur? On pourrais le faire marcher sous la menace, non?, protesta Samuel.

-Pour devoir le surveiller à toute heure du jour pour pas prendre le risque qu'il se dirige vers un poste de police? Non merci., répliquai-je.

Walter soupira. Moi, j'ai toujours été d'avis qu'il valait mieux faire taire les témoins complètement. Les pots-de-vins, je ne trouve pas ça suffisant. N'importe qui peut prendre l'argent, puis aller dénoncer... Après tout, on n'était jamais trop prudent...

Le plus silencieusement possible, je rechargeais mon arme. Mon œil droit scrutant la route à travers la lunette de mon Fusil Carcano, mon doigt prêt à tirer à tout moment, j'attendais le signal. Enfin, j'attendais plutôt qu'une diligence passe... En face de moi, de l'autre côté de la route, se tenait l'autre tireur d'élite du groupe, soit le militaire. Le reste du monde se tenait éparpillé, prêt à bondir.

Soudain, on entendit des bruits. Tout le monde se tût, essayant de respirer le moins fort possible. Moi, j'étais étendu dans le sable, et je restais calme. Ma concentration était à son comble, je ratais ça je ratais tout. Puis, j'eus les chevaux en vue. Un peu plus haut, l'homme qui les conduisait. Je visai, retint ma respiration, et tirai.

Le conducteur tomba violemment de la diligence, raide mort. Rapidement, je me levai et aperçus Andrew, qui essayait de tirer les passagers de sa position. Quant à Shaun et Samuel, ils étaient carrément entrés dans le chariot pour exterminer les dits passagers. Mon travail à moi, il était fini. En plus, si j'étais entré pour faire taire les gens, j'aurais rapidement perdu le contrôle...

Assis dans la diligence, je paraissais calme. Samuel conduisait, Andrew et Shaun étaient assis près de moi. Je regardais dehors. Pourquoi devaient on voyager sur cette route? Cette route où, il y a huit ans, moi et ma famille furent attaqués par des bandits qui exterminèrent mes parents et mon majordome. Je me souviens parfaitement de tout.

J'étais caché sous des valises, terrifié. Je voyais de grands hommes en noir, armés d'armes comme je n'en avais jamais vu, qui tiraient sur ma famille. Je regardais d'un air implorant mon majordome, mon seul ami. Le seul qui me comprenait dans ma solitude, le seul qui s'occupait de moi. Puis, un homme s'était tourné vers lui. Pointant son revolver vers la tête devant les supplications d'Adam, il tira. Il appuya simplement sur la gachette. Comme si ça avait été si simple. Je vis mon seul ami tomber au sol d'un coup, un trou en plein milieu du front. Les hors-la-loi fouillèrent la cabine, alors que moi, jeune garçon de quatorze ans, je sautai en bas et courut du plus vite que je le pouvais, en pleurs.

Quelques semaines plus tard, je me retrouvai dans un orphelinat. Cet endroit ou je rencontrai Shaun, et où je le pris comme mon petit frère. C'est aujourd'hui la seule famille qu'il me reste...

Puis, trois ans plus tard, sur la même route. Équipé du même Fusil Carcano que celui dont je suis équipé maintenant, j'attendais. J'attendais ces enfoirés de bandits qui m'avaient volé mon ami, mon majordome. J'étais prêt à tout. J'allais avoir ma vengeance, coûte que coûte. Et je l'avais finalement eue, mais après le meurtre des bandits je m'étais emporté, tuant ainsi les passagers de la diligence que j'avais sauvée des hors-la-loi en tuant les meurtriers de ma famille.

Et ainsi, je me retrouvai à rouler sur cette route, encore une fois. J'essayais de garder mon air de glace, mais j'avais peur. J'étais sous un stress intense, je ne savais même pas pourquoi. Je tremblais, j'étais blême, je ne voyais plus grand chose... Mais je ne fis rien. Ni appeler à l'aide, ni avertir quelqu'un de mon état. Tout ce que je fis, fût mettre la main sur mon poignard. Je serrai la poignée comme si c'était la seule chose qui me raccrochais à la vie. Puis, je remarquai qu'Andrew était à ma gauche. Je serrai encore plus ma poigne sur l'arme. Je me mis à trembler encore plus, des flashs rouge me donnèrent un mal de crâne épouvantable. Mais qu'est-ce qui m'arrivait?

Brusquement, je bondis vers le militaire, le plaquait au mur avec ma main gauche et le menaçai avec ma main droite, qui tenait mon poignard. Je sentis le temps se figer, alors que je me demandais pourquoi je faisais ça. Je n'avais jamais vraiment eu de pensées hostile envers cet homme, et pourquoi ne me serais-je pas attaqué à Shaun, si c'était un simple moment de pure folie? Je ne comprenais pas, pourquoi moi?

Je fus violemment percuté contre le mur de la cabine par un coup de pied bien envoyé par MacMillan. Ma tête frappa violemment la parois de bois et je tombai dans l'inconscience par la force du coup.

Quelques minutes plus tard, enfin, je crois, je me réveillai avec l'impression d'avoir une horde de chevaux qui me galopaient sur la tête. J'observai les visages autour de moi; il y avait Shaun, l'air inquiet, puis Andrew, perplexe, et finalement Samuel, qui avait un air d'un mélange de frustration et de perplexité.

-Mais qu'est-ce qui t'as pris?, demanda celui que je considérais comme un petit frère.

-Il s'est passé quelque chose?,demandais-je. J'ai... j'ai juste l'impression de m'être fait attaquer par quinze lions enragés...

-Tu m'as attaqué, connard!, s'écria le militaire.

J'eus un air surpris. Je ne comprenais pas!

-Quoi?! Pourquoi aurais-je fais ça?

Ils haussèrent les épaules. Je m'asseyais, dos contre le mur, et me rendis compte que je n'avais plus un de mes poignards. Méfiant, Samuel me le tendis. Je rangeai mon bien là où il allait, me demandant bien ce qui était arrivé...

Quelques jours plus tard, journées sans encombres et ennuyeuses à mourir, nous arrivâmes à Andover. Nous prîmes tous une chambre dans un auberge, préparant le plan pour libérer Jacky Schott afin qu'il nous montre comment traverser la frontière et revenir en vie...

J'aime bien même si je l'ai déjà lu o))

très bon chapitre qui s'inscrit bien dans cette fic la sweeeet

Attends la suite n'est meme pas prête

Lisez et commentez ceci déjà :p

Bouarf, j'ai rien à dire

Il y a très peu de commentaires

Are you all dead ?

Le prochain chapitre sera de Gears38

Bon, ben je pense que les com' arriveront ce week-end.

Y'a pas mort d'homme, on peut attendre

J'espère pour eux

petit

C'qu'est bien avec c't'e fic, c'est qu'on peut bien voir le type d'écriture des 3 auteurs jusqu'à présent, j'ai hâte de voir celui du 4ème

Mais jamais je ne pourrai dire lequel de vous 4 écrit le mieux. J'ai pas envie de créer des conflits

Sinon, bilan du dernier chapitre

3x en très peu de temps, j'ai vu "celui-là", je deteste les répétitions, alors je les repères facilement

Quelques petites fautes

Hormis cela, un très bon chapitre, une bonne qualité d'écriture avec une description des personnes ainsi que leurs sentiments parfaites.

J'attends avec impatience le prochain chapitre

Le prochain chapitre est prêt mais l'auteur semble avoir fait un voyage éternel
On le postera la semaine prochaine en esperant qu'il ait donné des signes de vie d'ici là

[Z]oulo, t'inquiètes pas, dis ce que tu penses pour les chapitres

Pourquoi plus prsonne parle sur mon ancienne fic ?

Je sais pas

Peut-être parce qu'elle est finie?

[Z]oulo
Posté le 25 juin 2011 à 11:10:11
Je sais pas

Peut-être parce qu'elle est finie?
Lien permanent

J'admire ton intelligence sans failles