KEISUKE HONDA CRUCIFIE LE VELODROME
D'ailleurs, pourquoi le PSG n'a pas 3 nouveaux maillots chaque année alors que des équipes comme Rennes et Sochaux en ont? On a 3 maillots, mais on reprend toujours un de la saison passée. Si vous avez une explication, je veux bien lol
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Tom_Paris
Posté le 30 août 2011 à 12:51:46
D'ailleurs, pourquoi le PSG n'a pas 3 nouveaux maillots chaque année alors que des équipes comme Rennes et Sochaux en ont? On a 3 maillots, mais on reprend toujours un de la saison passée. Si vous avez une explication, je veux bien lol
y en a bien 3 a priori il es rouge
http://www.lequipe.fr/Football/FootballFicheClub26.html
désolé pour le double post
Oui mais tu réponds pas à ma question là. On a 2 maillots nouveau (le domicile et l'extérieur) et le 3e, c'est le rouge de la saison dernière. Pourquoi Rennes et Sochaux ont 3 maillots nouveaux alors que nous, seulement 2? Je sais qu'on en a 3...
http://www.eurosport.fr/euro-visions_blog152/lugano-un-kaiser-a-paris_post1521108/blogpostfull.shtml
Le PSG a trouvé un patron, un roc, qui risque bien de laisser son empreinte dans la capitale. Partout où il est passé, il a gagné des titres et partout où il est passé, il est devenu une idole. Portrait.
L’homme est imposant. Diego Lugano est un beau bébé d’1m88 pour 87 kilos alors, lorsqu’il s’élève dans les airs, le ballon a peu de chance de lui échapper. Certains disent même de lui qu’il est imprenable dans le jeu aérien. Question de timing et de physique. Mais Lugano n’est pas qu’une machine à faire des têtes. Il est bien plus que ça. D’abord, c’est un leader, un vrai, sur et en dehors du terrain. Le Kaiser Uruguayen est un digne héritier de Paolo Montero, le légendaire défenseur central de la Celeste et de la Juventus. Au pays, beaucoup le comparent également à Obdulio Varela, le mythique capitaine de la Celeste lors du fameux Maracanazo.
En Uruguay, Diego Lugano est une star, une idole car il incarne parfaitement les valeurs du football "charrùa" : combat, sueur, sacrifice… Mais pas seulement, parce qu’avec ses bouclettes blondes, son regard de braise et sa parfaite éducation, il fait également figure de "gendre idéal". En Uruguay, Diego est un latin lover qui a beaucoup de fan femmes. Certaines sont même allées jusqu’à créer des pages facebook à son honneur, comme "Diego Lugano, le plus beau de la Celeste", ou encore, plus "hot" : "Pour que Lugano joue un match entier sans maillot". Le Kaiser Uruguayen est autant apprécié pour son jeu que pour sa personnalité. L’homme parle bien et il a la tête bien vissée sur ses épaules. Question d’éducation.
Des débuts difficiles
Son histoire ne ressemble pas à celle de la grande majorité des joueurs latinos. Il n’a pas grandi dans un bidonville, il a toujours mangé à sa faim et le football n’était pas la seule corde à son arc. Diego est né à Canelones, une paisible ville située à 40 kilomètres de Montevideo. Il n’a jamais manqué de rien, lui le fils d’une famille de classe moyenne. C’était un élève studieux, qui n’a jamais fait de vagues ni de bêtises. Il n’a jamais vraiment cru qu’une carrière de footballeur était possible. Longtemps il s’est plutôt vu comptable, et pour cela, il était prêt à faire une fac d’économie après son bac. Mais à 18 ans, au lieu de faire, comme prévu, une fac d’économie, l’appel du ballon rond a été plus fort. Remarqué par une grande équipe de la capitale, il décide de faire le grand saut et de signer un premier contrat avec le club Nacional de Montevideo. "Je me suis alors dit qu’il fallait que je tente ma chance et que si ça ne marchait pas, et bien tant pis, je ferais autre chose."
Les débuts de Diego Lugano sont difficiles. Il a du mal à s’adapter, à tel point qu’il ne s’est jamais imposé au Nacional. Il était certes dans l’effectif pro, mais il ne foulait que trop rarement la pelouse. Ses entraîneurs successifs ne lui faisaient pas confiance. Après deux saisons à cirer le banc des remplaçants, il lui a été prié d’aller voir ailleurs. Le coup a été dur à encaisser. A 20 ans donc, Diego est prêté à Plaza Colonia, un modeste club de première division uruguayenne. Il y va en traînant les crampons et pourtant, c’est là-bas qu’il explose en devenant en une saison et à 21 ans le capitaine de l’équipe de cette ville balnéaire (située sur les bords du Rio de la Plata). A son retour au Nacional, il continue de faire banquette et ce alors qu’il est un leader incontestable de la sélection des – 23 ans. Il ne sait plus quoi faire, il est désabusé, jusqu’au jour où un agent lui propose d’aller tenter sa chance au Brésil, au Sao Paulo FC. Un grand club par où sont passés les Raï, Leonardo et autres Kakà. Un grand club qui ne gagne plus rien depuis 10 ans.
Idolâtré partout où il passe
A son arrivée au Brésil, il est reçu par une cinquantaine de journalistes à l’aéroport. Avant même de jouer, il est déjà critiqué car personne à Sao Paulo ne comprend pourquoi le géant brésilien s’est entiché d’un jeune Uruguayen, remplaçant dans son club. Diego encaisse les coups, redouble d’efforts, travaille comme un acharné et finit par s’imposer. En 96 matches, il inscrit 8 buts, devient capitaine de l’équipe et remporte un championnat, une Coupe Libertadores et une Coupe Intercontinentale en 2006. En trois saisons au Brésil, Diego Lugano devient un héros, une des rares idoles étrangères du club tricolore mais aussi l’un des meilleurs défenseurs centraux du continent. En 2006, à 26 ans, il traverse enfin l’Océan Atlantique et atterrit en Turquie, au Fenerbahce. Là encore, en cinq saisons, il remporte une Superligue turque et deux Coupes de Turquie. Il n’y à qu’à voir comment les supporters l’ont acclamé à son départ pour savoir qu’il a laissé une empreinte indélébile sur les bords du Bosphore.
A Paris, Diego Lugano va donc connaître son troisième club en huit ans. Ce qui prouve sa fidélité. Jamais, depuis Ricardo, voire le Gaby Heinze de la grande époque, le PSG n’a recruté un défenseur aussi fort. Avec lui, Mamadou Sakho a enfin trouvé son mentor et un partenaire idéal, qui va se faire un malin plaisir à lui apprendre toutes les ficelles du métier…
Alexandre Juillard
Je préfère le blanc
Lugano présenté cette après midi
C est quoi cet article de malade sur Lugano??
Sakho doit être comme un dingue à l idée d évolue à ses côtés.
On se rend pas encore compte à quel point on vient d acheter un Dieu vivant
Le mec va devenir une idole à Paris
Pour le poste de Tiene j'avais une idée pas mauvaise je trouve, c'est Maxwell du Barca. Il est le 3eme choix derriere Abidal et Adriano. En plus il a pas un salaire de fou . Vous en pensez quoi ?
Sakho - Lugano en défense
LamaWeahPauleta
Posté le 30 août 2011 à 13:33:34
Pour le poste de Tiene j'avais une idée pas mauvaise je trouve, c'est Maxwell du Barca. Il est le 3eme choix derriere Abidal et Adriano. En plus il a pas un salaire de fou . Vous en pensez quoi ?
c'est vrai que maxwell serait un bon choix je le trouve trés bon
Arrivé à Lens, ce lundi, Jean-Eudes Maurice n'aura guère eu le temps de goûter aux charmes de l'Artois. L'attaquant prêté au RC Lens par le Paris Saint-Germain est en effet aussitôt reparti vers les Caraïbes afin de retrouver la sélection haïtienne qui s'apprête à débuter les éliminatoires de la coupe du Monde 2014 face aux Îles vierges.
http://www.rclens.fr/infos_2011/08/30_selection_maurice/index.php#ancreContenu
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-20-15436891-1-0-1-0-je-sens-un-gros-coup-de-l-om.htm
c'est chaud quand même. Amauri eux ils appellent ça une pointure, nous on appelle ça un fardeau...
M'ouais, il compte payer ces 4M de salaire en cacahuètes ?
david_222
Posté le 30 août 2011 à 13:46:58
M'ouais, il compte payer ces 4M de salaire en cacahuètes ?
Exactement
pourquoi pas des pistaches
Ou des noix de cajou
Non ils peuvent lui payer son salaire , vu que Diawara et N'Koulou sont payés en bananes.
J'attend vos demande de ban pour racisme les bogoss
Les marseillais me font rire.
Ils n'ont pas assez de fric pour se payer autre chose que des mecs de niveau L2, et se mettent a baver sur Amauri, qui en plus d'être cher, ne vaut pas grand chose niveau talent.
C'est dans ces moments que je me rends compte qu'entre Paris et marseille, y'a vraiment un monde dans la conception du football.