« Mon but c’est de rester ici à long terme, c’est-à-dire au moins jusqu’à la fin du championnat brésilien ». Avec cette déclaration, Everton Santos avait ravi les supporters parisiens, désireux de ne plus jamais revoir l’attaquant brésilien enfiler la tunique rouge et bleue. Il faut dire que le joueur de 22 ans n’a jamais réussi à s’imposer dans le club francilien, ses apparitions provoquant plus souvent moqueries et sourires gênés plutôt qu’admiration. Paris espérait donc se débarrasser de lui, et Fluminense semblait séduit par l’attaquant, partenaire offensif de l’ancien Lyonnais Fred.
Mais voilà, Everton Santos vient de retourner sa veste. Il veut revenir dans la capitale et en devenir un joueur clé. « J’espère qu’on trouvera un accord et que Paris voudra me récupérer. J’ai envie de montrer ma valeur. J’ai confiance en moi. Giuly ne me fait pas peur. C’est un grand joueur mais je veux me battre avec lui pour une place à côté de Hoarau », a-t-il ainsi déclaré, repris par L’Équipe. Si jamais Fluminense ne souhaitait pas s’attacher ses services, Paris le récupèrerait cet été. Mais lui donnerait-il une seconde chance ? Rien n’est moins sûr.
À moins que la situation financière du club n’oblige le PSG à compter sur lui. Everton Santos ne craint en tout cas pas la concurrence, même si elle se nomme Giuly. Pas sûr que la réciproque soit vraie.
Le Paris Saint-Germain respire aujourd’hui. Les deux précédentes saisons, pour le moins difficiles, ont laissé place à l’enchantement du côté du Parc des Princes, qui croit aujourd’hui en une possible qualification pour la prochaine Ligue des Champions. À quatre journées de la fin, le club de la capitale sait ce qu’il lui reste à faire pour conclure l’exercice en beauté et offrir à nouveau du rêve à ses supporters.
Mais, alors qu’il reste encore quatre semaines de compétition, la direction francilienne se projette déjà vers l’avenir. Et qui dit avenir amène les dirigeants parisiens à préparer au mieux la saison prochaine. Une chose est certaine, Paul Le Guen ne sera plus l’entraîneur de l’équipe première et déjà, les pronostics vont bon train concernant son successeur.
Si Antoine Kombouaré, dont les premiers contacts ont été noués, et Jean Tigana demeurent les pistes les plus sérieuses, Paris entend élargir sa base de données. Ainsi, Le Parisien assure aujourd’hui que Rudi Garcia, Carlos Bianchi et Abel Braga, sont également dans le viseur des Rouge-et-Bleu. Sans oublier au passage Frédéric Antonetti, dont les désirs de coacher une formation huppée ne cessent de s’accroître.
La tâche s’annonce difficile pour le PSG qui a tout intérêt à réfléchir à bon escient pour enrôler le technicien qui saura permettre au club de poursuivre son opération reconquête. Et entre les six noms proposés, les principaux décideurs n’ont que l’embarras du choix. À moins que ce dernier ne se porte finalement sur Jesualdo Ferreira, le coach de Porto, dont le patronyme s’ajoute également à la liste des pressentis. Réponse dans les jours à venir.
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Pas de signe de Wenger
Rothen sur le départ
Alors que France Football annonçait le probable départ de Mickaël Landreau en fin de saison, RMC ajoute que Jérome Rothen devrait suivre la même direction.
Mickaël Landreau et Jérome Rothen, qui soutenaient Paul le Guen, n'ont pas acceptés la décision de ne pas renouveler son contrat, ainsi ils auraient pris la décision de quitter le club de la capitale.
Rubinho sur les tablettes
[ Transferts - Jeudi 07 Mai 2009 - 14h33 ]
En cas de départ de Mickaël Landreau, le PSG suivrait Rubinho, le gardien du Genoa (L1 italienne).
Selon le site foobtall365.com, le PSG suivrait le dossier Rubinho depuis maintenant plusieurs semaines. Même si aucune démarche concrète n'a été faite encore, la piste demeure toujours active. De plus, le gardien brésilien serait sur le départ notamment en cas de non-qualification du Genoa en Ligue des Champions (le club italien est 5ème à un point du tour préliminaire).
Agé de 26 ans, Rubinho réalise une très bonne saison et contribue grandement au bon classement de son club. « Je ne le connaissais pas trop, mais c’est vraiment un tout bon. Il nous a sauvés à plusieurs occasions cette saison. On peut vraiment lui faire confiance dans les moments chauds. C’est l’un de nos leaders avec Diego Milito et Thiago Motta. Il tire l’équipe vers le haut. » a confié son coéquipier Anthony Vanden Borre. Il serait, également, pisté par l’AS Rome, Galatasaray et l’Atletico Madrid
Jérome Rothen se plaint qu'Alain Roche (membre de la cellule recrutement) le dénigre auprés des recruteurs. De plus il aurait eu une explication musclée avec le président du Paris Saint-Germain, Sébastien Bazin, a la suite de sa sortie médiatique de mardi. En effet, le milieu gauche parisien s'est dit déçu de la politique menée par ses dirigeants, ce que Bazin n'a pas du tout apprécié.
Grégory Bourillon, fervent défenseur de Paul le Guen, devrait aussi quitter le PSG, en fin de saison.
La je commence a avoir peur ...
Bazin.
J'ai peur pour l'an prochain....
Bazin n'est qu'un Bon à rien.
Colony Capital, faut qu'ils dégagent aussi.
Oui & que Villeneuve revient avec ses investisseurs du Golf Persique
J'aimerais tant le retour de Villeneuve avec de grand investisseur
Oui clair.
+1
Le départ de Paul Le Guen sonne la fin d’une époque. Entraîneur, présidence, joueurs, le Paris Saint-Germain prépare déjà la saison prochaine.
Entraîneur : le vestiaire a eu la peau de Paul Le Guen – Sébastien Bazin et Paul Le Guen se sont vus pour un rendez-vous de la dernière chance dans un restaurant parisien dimanche soir. Le président du Paris Saint-Germain voulait discuter avec son entraîneur de manière informelle de la saison prochaine. Mais surtout le représentant de Colony Capital Europe voulait sonder le Breton sur ses dispositions à évoluer notamment en matière de communication. Convaincu de l’impasse après cette entrevue, Bazin a entériné la décision de se séparer de Le Guen. Un choix longuement mûri le soir du retour de Toulouse-PSG (1-4, 29e journée) dans l'avion où Bazin, assis seul dix rangs derrière Le Guen, attendait que son coach vienne discuter avec lui. Ce que ce dernier ne fit pas. Demeure ce qui a certainement fait pencher la balance dans le mauvais sens pour Paul Le Guen : le vestiaire. Charles Villeneuve, président, avait décidé de diviser le groupe pour mieux régner. L’ancien directeur des programmes sportifs de TF1 s'était mis dans la poche Claude Makelele, Ludovic Giuly, Mamadou Sakho, Zoumana Camara, Sammy Traoré, Peguy Luyindula, considérés comme la garde rapprochée de Villeneuve. Le Guen, soutenu en particulier par Landreau et Rothen, n'a jamais réussi à réunifier le vestiaire, qui aura finalement eu sa peau à l’heure des choix présidentiels. La page Le Guen tournée, qui pour lui succéder ? Les téléphones n’ont pas cessé de sonner ces derniers jours entre l’entraîneur de Valenciennes et des membres du conseil d’administration du club. La position de l’ancien défenseur parisien est claire : il est OK pour succéder à Paul Le Guen, son coéquipier de l’ère Denisot. Les hypothèses Frédéric Antonetti (OGC Nice) et Rudi Garcia (LOSC) n’ont aucune épaisseur. Ces noms ont été jetés en pâture à la presse pour brouiller les pistes et permettre aux négociations avec Kombouaré d’être menées tranquillement à leur terme. En cas de blocage des dirigeants nordiste, le Paris Saint-Germain aurait pourtant un Plan B. Il s'agit d'un entraîneur français dont le nom n’aurait jamais été cité. Exit donc les pistes Carlos Bianchi (Boca Junior) et Jesualdo Ferreira (FC Porto), tout comme celle de Safet Susic qui s'est manifesté jeudi pour proposer ses services au club.
Organigramme : les hommes du Président – Le Paris Saint-Germain se dirige vers un organigramme articulé autour de deux doublettes : Bazin - Boindrieux ; Roche - Kombouaré (ou autre). Sébastien Bazin, après avoir envisagé de déléguer la présidence, y aurait pris goût, mais surtout ne voudrait plus se faire « déborder » comme ça a pu être le cas par deux fois cette saison : les épisodes Michel Moulin et surtout Charles Villeneuve l’ont traumatisé. C’est ainsi qu’il préfère « garder un œil » et rester avec des hommes qu'il connaît, Philippe Boindrieux et Alain Roche en particulier. Roche, chargé jusqu’à présent de la cellule recrutement, verrait ses pouvoirs élargis, sur le modèle de Pierre Dréossi à Rennes. L’arrivée de Claude Makelele dans l’organigramme parait prématurée. Le capitaine parisien n'est pas encore jugé « assez mûr », notamment en matière de réseau de recrutement. L’ancien madrilène devrait prolonger l'an prochain sur le terrain, avec un emploi du temps aménagé.
Effectif : Rothen et Landreau en partance, Bodmer en pole – Comme nous vous l’annonçons depuis cet après-midi, Jérôme Rothen et Mickael Landreau ne devraient plus être Parisiens la saison prochaine. Depuis que le départ de Paul Le Guen est confirmé, les deux joueurs se sentent de plus en plus isolés dans un environnement qu'ils considèrent hostile. Rothen ne supporte plus qu’Alain Roche le dénigre auprès des agents alors qu'il peut se targuer d'être le deuxième meilleur passeur du championnat. Le milieu gauche a par ailleurs eu une explication musclée avec le président du club, Sébastien Bazin, après sa sortie médiatique dans Luis Attaque mardi sur RMC. Bazin lui a reproché de s'être exprimé et plus précisément d'avoir dit « Ne pas prolonger Le Guen c'est lamentable... », des propos que Rothen n’a pas tenus à l’antenne. Bazin, reconnaissant son erreur, s’est finalement excusé auprès du joueur. Mickael Landreau devrait faire jouer sa clause de stabilité (fin de contrat en 2010) pour partir cet été alors que Rothen possède encore 2 ans de contrat (jusqu'en 2011). Rothen s'apprête tout de même à quitter le club dès cet été à condition de toucher son salaire jusqu'à la fin de son contrat. Il pourrait poursuivre sa carrière en Angleterre... Enfin, Grégory Bourillon, qui faisait lui aussi partie des pro-Le Guen, devrait quitter le PSG cet été. Dans la colonne Prolongations de contrats, le cas de Guillaume Hoarau est la priorité des dirigeants du PSG. Le contrat signé par l’ancien havrais sous l’ère Cayzac assurait au joueur une augmentation de salaire graduelle : 80 000 euros la première année, 90 000 euros la seconde, 120 000 la troisième... Hoarau ayant explosé cette saison (meilleur attaquant parisien et deuxième buteur du championnat), Sébastien Bazin a décidé de réévaluer le joueur en lui faisant une proposition à hauteur de 150 000 euros. Même si l’écart avec Mateja Kezman (250 000 euros) reste substantiel, la raison devrait l'emporter. S’agissant de Stéphane Sessegnon, Sébastien Bazin serait prêt à lâcher le Béninois pour 20-30 millions d'euros. Mamadou Sakho a prolongé en janvier dernier jusqu'en 2012. Il est très bien à Paris et veut rester mais le défenseur a reçu des offres, obligeant Sébastien Bazin à consentir un « petit effort ». Le cas de Peguy Luyindula est le plus épineux, le joueur et la direction du club ne parvenant pas à se mettre d’accord sur les conditions d’une prolongation de contrat. Au registre des arrivées, le Lyonnais Mathieu Bodmer a fait part de son intérêt pour jouer dans la capitale. Agacé par le positionnement défensif qui lui est demandé à Lyon par Claude Puel, Bodmer cherche à retrouver une équipe qui le ferait jouer milieu offensif. Paris qui s’était intéressé au joueur la saison dernière pourrait à nouveau prendre position. Reste à négocier avec Jean-Michel Aulas.
J'espere que Sessegnon va rester.
Sinon Bodmer serait une bonne recrue.
Hâte de voir comment l'effectif va être.
Sinon le maillot de l'année prochaine il est comment ?
Très beau apparemment, selon Cayzac.
C'est un maillot moulant je crois.
Jérôme Rothen, lassé de la valse des entraîneurs au PSG s'était exprimé sur RMC sur la non prolongation du contrat de Paul Le Guen. Sébastien Bazin avait alors répondu vivement au milieu gauche en se basant sur de mauvaises informations. Cependant, les deux hommes ont remis les choses au clair et tout est rentré dans l'ordre.
Sébastien Bazin, président et actionnaire majoritaire du club, reprochait à Jérôme Rothen d'avoir qualifié de "lamentable" la non prolongation de contrat de Paul Le Guen lors d'une émission de radio. Cependant, le milieu du Paris Saint-Germain n'a jamais prononcé ce mot, et l'information sur laquelle se basait le président du club était erronée. Les deux hommes se sont alors parlés pour remettre les choses au clair et pour apaiser les esprits. Monsieur Bazin se serait excusé, et l'explication s'est bien passée. Cette discussion éloigne donc les rumeurs qui propulsent Rothen vers un départ inéluctable.
Si il part pas ce serait bien.
Ce serait nul que Rothen s'en aille
Tin, jamais possible de garder un effectif quand il est bon à Paris.
Merci qui ? Merci Colony Capital.