- faites préparer une chambre je vous pris, j'en ai pas pour longtemps.
La porte de la taverne s'ouvrit brusquement. Un halo de lumière illumina la pièce un court moment avant qu'une imposante silhouette n’obscurcisse la douce lueur venant de l'extérieur. Recouvert d'une lourde armure de facture naine,l'inconnu traversa rapidement l'ensemble de l'établissement en slalomant entre les tables et en évitant les ivrognes affalés par terre. Il arriva au comptoir en grognant. Il enleva lentement son casque qui masquait son visage,dévoilant ses quelques rides,ses yeux d'un bleu profond et ses cheveux blonds commençant à devenir gris. Il l'accrocha à sa ceinture. D'un geste rapide,il posa une vingtaine de Septim sur la table.
-L'hydromel le plus fort que vous avez,demanda-t-il.
Il tourna légèrement la tête vers les clients de l'auberge. Il reconnaissait des Elfes,des hommes-bêtes,des impériaux,et quelque Nordiques. Peuh ! Les étrangers n'ont rien à faire dans Bordeciel. Ils volent la richesse des fils de Talos,les exploitent et leur supprime toutes libertés. Qui sont-ils pour s'opposer aux Nordiques,les seuls vrais guerriers de Tamriel ? Rien. Ils ne sont rien. Qu'ils restent dans leurs contrées lointaines !
La chope d'hydromel arriva enfin. L'homme s'en saisit,la but d'une traite,puis en recommanda une autre. Il jura dans sa barbe en voyant un magicien faire parcourir des éclairs dans la paume de sa main. Sorcellerie ! La magie n'est bonne que pour les lâches et les faibles. Les nécromants,les sorcières,les invocateurs ... tous des poltrons. Ils se cachent derrière leurs sortilèges pour retarder l'inévitable. Le Nordique ne put réprimer un sourire fugace en repensant à ce mage qu'il avait tué. Ce dernier pensait pouvoir obtenir l'immortalité en s'enfermant dans une gemme ? L'homme lui a prouvé le contraire.
Le regard de l'inconnu se posa aussi sur un Argonien. Ces abominations. Ces erreurs de la nature. Ces faiblards. Ces lâches. Ces assassins.
Ces meurtriers. Ces briseurs de foyers. Ces tueurs de famille.
Maudit soit cette race,pensa-t-il rageusement. Une autre chope lui parvint,et il la but encore plus vite que la précédente. Il remercia la personne qui l'avait servit,et alla s'installer à une chaise près du feu. Son regard se perdit dans le passé. Son passé. Sa tragédie.
Le soleil tapait fort sur Markath. Des reflets d'eau aveuglait le jeune enfant,qui cligna des paupières. C'est bizarre,pensa-t-il,le soleil ne s'affiche jamais trop en Soufflegivre habituellement.
-Olaf,l’appela une voix,où es-tu ?
Le jeune garçon se leva.
-Je suis là,maman,clama-t-il de sa petite voix.
Vahin Tranchedragon,la mère du petit Olaf,accourut rapidement auprès de son fils.
-Encore à regarder l'eau ? Tu passes des heures à ne rien faire devant la rivière. Tu devrait aller chasser avec ton frère où t’entraîner à couper le bois avec ton père ...
Olaf soupira.
-J'veux pas m'battre,maman. J'ai déjà tué un cerf une fois,et ça m'a terrifié. J'veux pas non plus faire bûcheron. Si c'est pour aller à Epervine toute les semaines et pour revenir une seule journée ...
Vahin sourit tendrement à son fils. Il était sensible,quelque chose de rare chez les Nordiques. Il tenait sûrement cela d'elle ...
-Allez,rentre,chuchota-t-elle,c'est l'heure de dîner.
Olaf hocha la tête et repartit chez lui. Le soleil se couchait tristement derrière lui. Quand il passa le seuil de sa maison,la nuit était tombée. Sa mère rentra juste après lui.
-A table,annonça-t-elle en souriant.
Olaf se pressa d'aller s'asseoir à se place. Devant lui,son frère aîné Uraf dégustait déjà la viande de chevreuil qu'il avait rapporté de la chasse. A sa gauche,sa mère s'installait,toujours souriante. A sa droite,un siège demeurait vide.
-Votre père n'est pas encore là,répondit Vahin à la question qu'Olaf n'eut pas le temps de poser.
Le petit Olaf se réveilla brusquement. Il venait de faire un cauchemar. Un cauchemar horrible. Il était coincé dans une grotte remplie de trolls des neiges. Il était sorti de son rêve quand un de ces monstres avait frappé le sol à trois reprises avant de se jeter sur lui.
Soudain,il entendit trois coups retentir. Le jeune Olaf frissonna. Le troll était là ! Les coups se répétèrent,et il réalisa que quelqu'un frappait à la porte. Il entendit sa mère se presser d'aller ouvrir.
-Papa,s’exclama Olaf.
Il accourut vers le seuil de l'habitation,en trébuchant à moitié dans les escaliers. Son regard s'illumina en voyant l'énorme silhouette de son père prête à passer la porte de la maison.
Il s'interrompit quand il vit sa mère à genoux,entrain de pleurer. Olaf releva la tête. C'était un garde qui se tenait au palier de la porte.
A ce moment précis,Olaf sut que son père ne rentrerait jamais.
-Bientôt,chuchota Olaf.
Bientôt,se répéta-t-il dans la tête. Ils étaient bientôt à Epervine. Sa monture accéléra le pas. Le cheval d'Uraf lui emboîtait le pas. Enfin,ils allaient connaître le motif de l'assassinat de leur père.
Ragnar Tranchedragon,père d'Olaf et Uraf,avait été retrouvé mort aux alentours d'Epervine le 12 Soufflegivre 171. Une dague avait été retrouvée près des lieux du crime,ensanglantée et de facture orque. Tout les Orques environnant,s'élevant au nombre incroyable de trois,furent mit sous surveillance et interrogés,mais aucun d'eux ne fut jugé coupable. L'enquête fut abandonnée,comme nombre d'autres dans Bordeciel. Ragnar Tranchedragon ne fut plus qu'un nom oublié.
Mais pas par Olaf et sa famille. Son oncle s'en alla à Epervine,mais revint deux jours plus tard,gravement blessé par des bandits. Après cet incident,leur mère leur interdit d'aller à Epervine.
Mais maintenant,Olaf était un homme. Après 22 années d'existence,il était enfin prêt à savoir ce qui s'était passé,et pourquoi.
Il fit accélérer son cheval une fois de plus. Il voyait les cabanes d'Epervine au loin.
-C'est là,dit le garde. On a retrouvé son corps ici,et la dague quelque mètres plus loin. Bonne chance.
Le soldat se détourna des deux jeunes hommes,et rebroussa chemin. Uraf se dégourdit,puis s'assit sur un rocher. Olaf se gratta la tête,songeur. Ici. C'était là que son père était passé de vie à trépas. Il regarda aux alentours. Aucun endroit en surplomb,aucune crevasse,aucune cachette. Il y avait peu de chances pour que ce ce soit une embuscade qui ait tué Ragnar. Aucun abri naturel ne pouvait camoufler des attaquants,les arbres avaient été rasés depuis longtemps. La route,par contre,offrait beaucoup d'opportunités pour piéger un homme seul,rentrant chez lui à pied. On aurait put traîner le cadavre de son père hors de la route.
-Laisse tomber,petit frère,chuchota Uraf. Nous ne sommes pas des enquêteurs qui fouillent sur une scène de crime. Nous devons interroger les habitants d'Epervine et trouver le meurtrier si il a eu l'audace de rester dans la ville.
Uraf marquait un point. Cela ne servait à rien de spéculer. Il fallait du concret.
-Tu as raison,répondit Olaf. Allons à la taverne,et tentons de trouver quelques informations.
Uraf hocha la tête et se releva. Il s'en alla vers Epervine,et Olaf lui emboîta le pas. Il lança un regard fugace à l'endroit où son père fut tué,puis se détourna définitivement.
Olaf s'éveilla. Il avait passé la soirée à interroger des ivrognes,en vain. Uraf s'était couché avant lui,imbibé d'hydromel. Son frère abusait un peu trop sur la boisson depuis le décès de Ragnar.
Olaf s'était réveillé à cause d'un cauchemar. Une histoire de trolls dans une caverne. Il se rendit compte que c'était exactement le même rêve qu'il avait fait avant d'apprendre la mort de son père. Le jeune homme avait totalement oublié ce cauchemar après cette tragédie. Et il ne s'en rappelait que maintenant.
La porte de la chambre s'ouvrit. Olaf se crispa et posa la main sur sa hache de guerre. Grâce aux reflets de la lune,il vit une lame scintiller dans la main de la silhouette qui passait le seuil de la chambre.
Un hurlement de guerre brisa le silence macabre qui régnait dans la chambre. Uraf s'était levé,son épée à la main,et l'abattit vers le nouvel arrivant. Ce dernier esquiva le coup maladroit du Nordique,et lui lacéra le bras avant de lui donner un coup de pied dans le dos,qui fit tomber le jeune homme à terre.
Olaf se leva à son tour en hurlant,brandissant bien haut sa hache. Il donna un coup horizontal ayant pour but de trancher en deux son adversaire. L’intrus esquiva de nouveau,et fit plonger sa dague vers la gorge du Nordique.
Mais l'épée d'Uraf vint couper le bras de l'attaquant,qui beugla de douleur. Olaf n'hésita pas un instant,et planta sa hache dans le torse de son ennemi.
Une fontaine de sang jaillit du corps de son ennemi,qui s'écroula dans un gargouillement hideux. Il poussa un dernier râle d'agonie avant de sombrer.
Pour la première fois de sa vie,Olaf venait de tuer un homme. Curieusement,ce dernier resta de marbre. Le jeune homme s'effraya lui même.
-Bordel,il m'a blessé au bras,grogna Uraf en serrant les dents de douleur.
Les clients de la taverne accoururent vers leur chambre. Ils hurlèrent et appelèrent à l'aide en voyant le cadavre,et deux gardes firent irruptions. Ils dégainèrent leurs lames.
-Pas un geste,ordonnèrent-ils. Qui êtes vous et qu'est ce qui s'est passé ?
Olaf fit le récit de l'histoire,et les gardes restèrent perplexe. Ils les emmenèrent à l'extérieur de la taverne.
-Courage,l'apothicaire n'est pas loin,dit Olaf pour rassurer son frère.
Ce dernier grogna d'assentiment. Son bras était ensanglanté et Uraf commençait à devenir pâle comme un mort.
-Vous avez intérêt à tout nous raconter,étrangers,dit un des gardes,sinon,il y aura des ...
Il ne termina jamais sa phrase. Une flèche transperça son heaume,et une coulée de sang se déversa de sa tête. Il s'écroula d'un coup.
Le deuxième garde sortit son épée en hurlant. Deux hommes en noir surgirent de l'ombre,un équipé d'un arc,l'autre de deux épées courte.
Uraf brandit faiblement sa lame tandis que le garde fonçait vers leurs agresseurs. Olaf leva haut sa hache et fonça aussi dans la mêlée. Une flèche frôla sa tête et égratigna son épaule,mais il n'en eu cure. Il percuta l'archer,qui tomba à terre,et lui écrasa la main. L'assassin hurla,et sortit un couteau de sa poche qu'il planta dans la jambe d'Olaf. Le jeune homme hurla et tituba,et l'archer en profita pour se relever. Le Nordique esquiva une autre flèche,et d'un coup chanceux,décapita son adversaire.
L'autre homme en noir fonça vers lui après avoir empalé le garde d'Epervine sur une de ses épées. Il était déjà gravement blessé à la poitrine,mais il donnait des coups dans le vide comme un dément. Olaf fit une roulade pour éviter de se faire ôter la tête des épaules,et trancha la jambe gauche de son adversaire. Ce dernier s'écroula en lâchant ses armes,en mugissant un cri inhumain. Olaf releva la capuche de son agresseur.
C'était un Argonien. Il maudit le Nordique dans sa langue avant de périr. Olaf releva la tête. Que diable un ...
Il cessa de penser en voyant la dépouille de son frère. Uraf était mort. Une flèche lui avait transpercé le coeur.
Olaf hurla de rage. Il frappa à plusieurs reprise dans le sol avec sa hache,et se mit à sangloter. Il pleura sur le triste sort de sa famille,sur la cruauté des dieux. Sur son avenir.
Un individu s'approcha furtivement de lui. Olaf hurla de rage,et donna un coup latéral pour tuer l'énième assassin qui se terrait à Epervine. Le jeune Nordique se retint de crier de surprise en voyant le cadavre d'un autre garde d'Epervine qui voulait simplement l'aider.
Olaf réfléchit à toute allure. Il fila à l'écurie,se mit en selle,et fuit vers Markath.
La porte de sa maison s'ouvrit. Olaf tremblait de tout ses membres. Il avait presque tout perdu. Les assassins d'Epervine avait emportés trop de vies. Son père,son frère. Le jeune Nordique tomba à genoux en voyant la nouvelle horreur que le destin lui avait préparé.
Sa mère était allongée au sol,éventrée. Son coeur avait été arraché et poignardé à plusieurs reprises. Une petite enveloppe avait été posée à côté. Il se lamenta toute la nuit sur tout ce qu'on lui avait fait. Puis il eu le courage d'ouvrir la lettre près du corps de sa mère.
"Olaf Tranchedragon.
Si vous lisez cette lettre,c'est que vous avez tout perdu et que votre famille a été totalement annihilé. Si vous voulez votre vengeance,rendez-vous au Dard de l'Abeille à Faillaise."
Le jeune homme frissonna et paniqua. Les assassins comptait sur son honneur pour qu'il aille au suicide. Mais il savait pertinemment qu'il allait mourir dans ce cas là. Il fut déchiré entre son devoir et son instinct de survie. Et finalement,il partit de Markath pour se réfugier en Cyrodiil.
Ainsi commence l'histoire d'Olaf Tranchedragon,d'abord surnommé le Déchu,et bien des années plus tard,le Brave.
Olaf sortit de sa rêverie. C'était bel et bien ça le début de son long périple,trente ans auparavant,et peut-être une des pire épreuve qui lui ait été infligé. Il cligna des yeux et bailla. Il était mort de fatigue. Il commanda une chambre,et alla dormir.
Demain,il aura d'autre chose à faire que de songer au passé.
( Hors RP : J'vais dormir. Désolé de pas pouvoir faire plus ample connaissance,je reviendrais demain. )
Tahnaatos ouvrit la porte. Il était couvert de neige. Il ôta son écharpe. On pouvait remarquer ainsi une petite trace de sang sur le coin de sa bouche qu'il s'empressa de sécher. Le voleur s'enferma dans une chambre et ferma la porte à clef.
Hors RP: Bonne nuit les coupains
-La confrérie m'a fait parvenir le payement du prix du silence. J'ai appris que des agents impériaux sillonnent ces routes en ce moment, je compte sur vous pour lever tout soupcons, la récompense n'en sera que plus belle.
-Tiens justement, quand on parle du loup...
Voyant les gardes Eclipse se leva du comptoir et se dirigea vers sa chambre. L' idée de subtiliser la bourse sur le bar lui avait traversé l' esprit mais vus la tête des deux briscards il l' abandonna.
(Hors RP, bonne nuit , nice ton post gropolou, ça c' est du RP )
Le dunmer surprit un regard d'Eclipse sur la bourse.
-Si tu avances ta main, tu rejoins Sithis, pensa Nahlfein.
L'argent en sécurité, l'elfe descendit dans la cave, antre de la cn...
-Espérons que M'aiq fasse son devoir, pensa-t'il
Les groupe de garde faisait irruption dans l'établissement, leur venue entraînait un froid pour notre bouffon terré dans les ombres. eT ce frisson n'était pas du fait de la bourrasque qui pénétra dans l'enseigne, réveillant les poivrots, mais bien de la.présence des gardes.
Il les haïssait plus que tout au monde, en une dizaine de seconde il souriait déjà en pensant au spectacle de leur mort.
(Petit up)
Fuhh. De l'alcool, le plus fort dont tu disposes M'aiq. Faut désinfecter cet merde.
Je peux te préparer quelque chose de mieux que de la.gnole, moyennant finance.
Erzaneon regarda les gardes impériaux entrer dans l'auberge. Elle eu un rictus nerveux en les voyants. Elle ce leva, passa à coté de celui qui semblait être le chef et, lui déroba sa bourse.
Elle continua à marcher jusqu'au kajiit qui venais d'entrer dans l'auberge puis s'agenouilla à coter de lui.
- T'es dans un sale état ... Tu a besoin d'aide ou ton honneur de Kajiit est plus important que cela? ....
J'vais pas crever comme un impérial au milieu de cette taverne remplie de gens tellement bourré qu'ils ne m'écoutent même pas. Je parie que Rolf a encore distribué du skooma.
YAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRGGGGGGHHHHHHH!!!
Recouds avec une aiguille et de la laine de mouton filée, tout en réprimant quelques gémissements de souffrance.*.
Erzaneon soupira.
- Aaaah, l'honneur des habitants de Tamriel m'étonnera toujours, enfin bon...
Prend ça au moins, ça calmera tes douleurs.
T'es dans un sale état ... Tu a besoin d'aide ou ton honneur de Kajiit est plus important que cela? ...
Toutes mes excuses ami, je ne t'avais pas remarqué dans ma douleur.
Comment te nommes tu, je ne t'avais pas encore vu ici?
- Cesse de ruiner mon commerce ! Plaisanta le bouffon, et cesse également de soigner mes cibles.
Le nordique sort de sa chambre en criant.
-Moins de bruit là dedans, y en qui essaient de dormir.
En voyant Erzaneon aider un Kahjiit à terre il s'avança vers elle.
-Dit moi, j'ai l'impression que tu t'y connais en soins et en potions. T'aurais pas quelque chose pour moi? Depuis trois jours le soleil m'ébloui, donc pas moyen de sortir. En plus j'ai l'impression d'être pâle.
Eh le dwemer! Oui toi là le grand casse pieds! Encore une réplique à mon encontre et je te dévisse la tête compris?Allez fais pas cette tête, je pensais que t'en avais plus dans le ventre!
La prochaine fois je te rendrai rien, capisco?
Rolf, je prends une chambre, voulez-vous bien.
Ah et... que l'idée ne vous prenne pas de venir me rendre une petite visite durant la nuit, à moins que vous appréciez la douce compagnie de mes frères, attachés à un poteau dans la cave...
Comment te nommes tu, je ne t'avais pas encore vu ici?
- Je me nomme Erzaneon, je suis arrivée ici ce matin, chance pour toi je m'y connais en potion, autre chance, tu est un Kajiit tu supporte donc toi aussi la discrimination des autres races...
Erzaneon entendit la voie du nordique avec qui elle avait discuté tout à l'heure et, ce retourna.
- Attendez je reviens vite, dit-elle au Kajiit
- Hum.... J'ai déjà vu ce genre de symptôme quelque part mon ami...
- Il va falloir que je vous parle... Seule à seul
- Il va falloir que vous me répondiez et, ne mentez pas. Vous êtes vous battu contre un vampire récemment ?
- Bien... Comme vous voulez. Prenez cela, c'est une potion a base de ninroots. Elle vous fera dormir comme un enfant... Nous parlerons demain...
Erzaneon retourna vers le Kajiit.
- Désolée de l’interruption. Comment vous appelez vous donc?